Citations de Jay Crownover (837)
Mon cœur avait désormais une porte et il était le seul à en avoir la clef.
Je te voyais, Affton. Je t’ai toujours vue.
J’ai passé toute ma vie à brasser de la merde, Reed. Une petite fiente ne me tuera pas, crois-moi.
« L’amour, c’est de l’amitié qui s’est enflammée. Il prend le visage de la compréhension tranquille, de la confiance, du partage et du pardon. L’amour reste fidèle par beau temps ou mauvais temps. Il accepte ce qui n’est pas parfait et se montre indulgent envers la faiblesse humaine. »
- Je ne te vois pas, mais je te sens, Royal, et tu es magnifique.
Putain de merde, il était bon. Entre ses mots et ce qu'il était en train de faire avec ses doigts, en plus du frottement incessant de son corps dans le mien, j'étais finie.
Je t'aime, Royal. Je t'aime assez pour vivre pour toi, me réveiller pour toi, vivre dans l'instant tant que tu y es avec moi. Je t'aime assez pour te donner tous les sales secrets, que j'ai et te dire toutes les chose horribles que j'ai faites, et comment ces choses ont laissé des traces dans mon âme. Je t'aime d'une façon qui me donne envie d'être plus que ce que j'ai jamais été, mais je t'aime aussi assez pour vouloir te protéger des choses quand je sais qu'elles vont te faire souffrir. Si tu m'aimes autant et que tu me fais assez confiance pour te cacher des choses pour l'éternité, alors on a peut-être une chance. Je sais que je te demande une chose impossible, mais c'est le seul moyen.
- Tu es la dernière personne que je veux embrasser. La dernière que je veux dans mon lit. Je veux que tu sois la dernière fille qui touche toutes les parties de moi, Salem, et ça veut dire tellement plus qu'une première fois. Qu'est que ça peu faire, si Poppy était là avant ou s'il y a eu des inconnues entre temps ? Tout ce qui compte, c'est qu'à la fin il n'y a que toi, seulement toi, et personne d'autre.
Le premier amour, pour une fille, ce n'est pas rien. On ne s'en remet jamais vraiment.
"...Nash Donovan était une flamme chaude, belle et mauvaise, qui m'a brulée quand je me suis trop approchée..."
Les relations ne sont pas faits sur mesure et les gens sont défectueux. Vous devez contourner cela et aimez l'autre personne de toute façon. Nos défauts sont ce qui nous rend unique,
Tu es tellement pleine de couleurs et énergique que tu ne te noies jamais dans tous le gris qu'il y a dans ma tête. Je ne veux pas perdre ça.
L'amour ce n'est pas parfait. C'est du boulot et parfois il faut faire plus d'efforts pour être amoureux que pour s'enfuir. Si tu continues à chercher la perfection, tu vas passer à côté du grand amour.
Nous étions de vrais jumeaux, il était la lumière contre mon obscurité, la facilité contre ma difficulté, la joie contre ma colère, la perfection contre mon côté bien, bien vrillé, et sans lui je ne suis que la moitié de la personne que je ne pourrais jamais être.
De mon point de vue, mon ennemi n'était pas Hyde. Ce n'était pas non plus le fonctionnement anarchique de mon cerveau. Non, le vrai problème, c'était cette connotation négative que trimbalent les problèmes de santé mentale. C'était le fait d'être regardée comme une bête curieuse, tout ça parce que je ne marchais pas comme tout le monde.
L'amour, ce n'est pas parfait. C'est du boulot et parfois il faut faire plus d'efforts pour être amoureux que pour s'enfuir. Si tu continues à chercher la perfection, tu vas passer à côtế du grand amour.
Avec lui, je pourrais toujours être moi et peu importe sous quelle forme, et c'était un cadeau que personne d'autre n'avait été capable de m'offrir.
L'ancienne moi, la nouvelle moi, et tout ce qu'il y a entre les deux ou qui n'est pas encore là, tout est à toi.
Ce n'était pas naturel, et gênant, comme l'étaient désormais toutes nos conversations. Avant, nous pouvions nous parler, simplement nous regarder et savoir ce que l'autre pensait. Maintenant, nous étions juste deux personnes en souffrance pour des raisons différentes et qui essayaient de faire comme si cela ne les déchirait pas de devoir respirer le même air.
Tout chez elle me donnait envie de me servir de mon père comme d'une cible pour du tir d'entraînement. C'était lui qui lui avait fait ça, qui avait volé sa vitalité, l'avait transformée en ce fantôme ambulant de femme.
Tu cherches l’incendie, mais tu oublies que les flammes se fichent de ce qu’elles brûlent.
« La bravoure, c’est quand on est seul à savoir qu’on a peur. » FRANKLIN P. JONES
Je t’aime vraiment. – Ça tombe bien que je t’épouse, alors
« Je l'embrassais pour la prévenir de la route que nous prenions. Nous ne pouvions plus nous arrêter. Ni revenir en arrière. Ni nous regarder l'un l'autre et voir qui nous étions avant. Je l'embrassais pour lui montrer que je plaçais tout dans celle qu'elle était aujourd'hui. Les avantages à renouer le lien maintenant que nous étions plus âgés étaient nombreux; changer la nature de nos activités ensemble au lit n'était qu'un élément de plus sur la liste. Les siestes enfantines et les câlins innocents avaient encore leur place, mais les corps brûlants se frottant l'un contre l'autre et les souffles surpris de plaisir étaient tellement mieux. Je l'embrassai à lui couper le souffle et me servis de mes dents et de ma langue pour qu'elle se tortille contre moi. Je voulais lui faire comprendre que je la voulais et que ce baiser volé n'était que le début. Quand je la regardais, je ne voyais plus ma camarade de jeu, je ne la considérais plus comme la petite fille sotte et altruiste qui avait brisé mon Coeur d'ado, me laissant partir sans rien dire. »
- Beast, p. 163