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Citations de Jean Dufaux (1688)


La jungle, c’est le territoire des tueurs Otomis, à la peau rouge. Ils nous cherchent sans répit, nuit et jour. Je les ai vus s’acharner sur Gomes, lui arrachant la peau alors qu’il vivait encore… Rien ne leur échappe. Aucune trace… Aucun signe…. Ils ne nous lâcheront jamais !
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Il n’y a qu’un monstre qui puisse en vaincre un autre.
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La date. Je dois me raccrocher à la date… C’est tout ce qui me reste… Nous sommes en mai 1520… Le jour ? Je ne me souviens plus du jour… Mon Nom… Hernando Royo… Oui… C’est le nom d’un homme qui est encore en vie… D’un homme qui a échappé à l’esprit qui bouge… Txlaka, fils des racines de l‘oqtal… J’ai sucé la sève de l’oqtal… C’est peut-être pour cela que je n’ai pas succombé comme les autres… Les autres… Sont-ce leurs ossements qui me recouvrent ? Je ne sais plus… J’ai oublié… Il y a comme un grondement dans ma tête… Un grondement qui va en s’amplifiant… Un grondement auquel je ne peux échapper. C’est donc ici que tout se termine ! C’est ici que s’éteint à jamais le fils du noble comte del Royo. Un fils maudit par ses parents, indigne de porter leur nom… Et c’est sur une chute que je disparais de leur mémoire… Car la chute était inscrite dans mon destin ! Comme me l’avait prédit la fille de notre régisseur, la douce Pipa…
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Mon Paradis et mon Enfer sont différents des tiens, de ta religion, du passé qui t’a construite, je m’y perdrais aussitôt. Quant au néant, personne ne tient à s’y risquer.
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Et les petites pestes savent qu’elles peuvent compter sur les grosses brutes.
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C’est de la méfiance que naissent les méprises.
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Je crois aux écrits, comme je crois en la mémoire.
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Il semble que la République dévore ses propres entrailles. Quel destin funeste que celui d’un pouvoir qui s’abîme ainsi dans les flammes.
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Cet anneau, je le rends à la République.
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Le vieux débloque complètement. Il pique des crises à tout propos et n’écoute plus mes conseils.
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Je préfère les risques à la guerre.
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C’est vrai que je ne présente pas le même aspect que les putains que tu fréquentes. Moi, il faut me mériter.
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Ah ! Enfin un discours viril ! Je te trouvais un peu mou ces derniers temps…
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Et comme s’il fallait exaucer un vœu d’une piété bien relative, la nuit même, la Dyle passa à l’attaque. Et un déluge de feu s’abattit sur la cité. Les projectiles lancés par la Dyle frappèrent au hasard. Mais le hasard fait parfois mal les choses, et, lors de l’attaque, la Scuola Negra fut frappée de plein fouet ! les bombardements durèrent toute la nuit. Puis, au petit matin, le vaisseau de la Dyle s’éloigna enfin. Restait à constater les dégâts. Ainsi de la Scuola Negra, où il ne restait presque plus rien de l’ancienne église.
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Après le coup d’état organisé par les Fasci du Doge Asanti, le couvre-feu avait été instauré dans la cité. Mais aucun pouvoir, aucune loi, ne pouvaient arrêter l‘étrange rumeur qui circulait dans les ruelles de la basse-ville. La Lune… La Luna a disparu.
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Et la musique m'a prise à elle, elle m'a reconnue et elle ne m'a pas lâchée. Elle m'a imposé son rythme...
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C’est vrai. La peur les tenaille. Ils ont appris à marcher courbés.
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Le travail rend indépendant. C’est là une maladie qu’il nous faut éradiquer. Le peuple doit vivre uniquement de nos largesses.
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Et le nouveau martyr souleva ses paupières, offrant son corps entier à la foule, texte sacré révélé à la curiosité de tous, sacrifice du parchemin fait de chair et de peau. Et les signes offerts à la foule frappèrent la foule. Et les grabataires retrouvèrent l’usage de leurs jambes. Les aveugles recouvrèrent la vue. Les lépreux écartèrent leurs voiles. Les plus indigents retrouvèrent l’espoir et la foule s’écria : Miracle ! Miracle !!! Miracle !!!
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Car le nouveau martyr vous apprendra que la force n’est rien sans la compassion, la générosité. Et, si certains vous adressent un message de mort, de destruction, lui, vous apporte des paroles de paix et de pardon. Et toi, Ô grand Cadi, sache que ce peuple est prêt à recevoir ta parole infiniment juste et glorieuse, car cette parole est inscrite dans la chair même du nouveau martyr.
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