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Critiques de Jean Grosjean (19)
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La lueur des jours

S'émerveiller de tout, d'un rien, d'une plume ou de la forme étrange d'un nuage. Celui qui voit la beauté en toute chose est un homme riche qui prolonge indéfiniment les joies de l'enfance. Mais que faut-il pour que ce miracle advienne? Que nous faut-il pour ne pas perdre en cours de vie ce fabuleux trésor donné au départ?

Les années passent et l'on se demande ce qu'est devenu ce tout petit enfant qui riait en soufflant sur des fleurs de pissenlits. Est-il parti? Est-il mort? Non. Il est là. Il s'est simplement replié à l'abri du monde.

Et pour le retrouver, il suffit peut-être d'ouvrir un recueil de Jean Grosjean et de laisser sa lumineuse poésie se répandre en nous. Car d'un feuillage, d'une brise, le poète nous fait un monde accueillant et doux. Dans "La lueur des jours", tout est comme au commencement, simple et pur. Ici, chaque poème enchante, nous menant peu à peu vers un apaisement, presque une consolation. Et si le poète est évidemment chrétien, sa poésie s'adresse à tous, croyants ou non croyants. Après tout, beauté et fragilité de l'instant ne sont-elles pas l'affaire de tous?



FRAGILITÉS



L'heure immobile comme un talus,

assise par terre avec les herbes mortes.

Tâches de soleil par terre entre les ombres.

Le remuement des feuilles en haut des arbres.

Pureté d'un ciel posé sur nous.

L'ongle de lune à peine visible en l'air.

Fragile la paix comme la beauté.

On n'entend plus vivre que l'âme.

Mais fragile l'âme, le peu qu'elle sait,

le peu qu'elle peut.



Poésie de la sagesse et de la maturité, Jean Grosjean aborde aussi la fin de vie qui approche et le grand questionnement auquel chacun doit faire face. Qu'avons-nous fait? Que laisserons-nous? Quelles traces?



"Je me retire en admirant

le sommeil sans fin des coteaux,

le tour quotidien du soleil

et l'air qui rôde sous les feuilles.



Je ne serai pas plus regretté

que je n'ai été attendu

excepté des buis de la tombe

où pleure la bise en hiver."



Nous ne sommes que grains de poussière au gré des vents, sous un ciel infiniment bleu, infiniment grand. Et si la conscience de notre finitude fait le poids et le prix de chaque instant, la poésie, quant à elle, lui donne son bel éclat furtif. Alors lire et relire, aux heures où notre ciel s'assombrit, " La lueur des jours" de Jean Grosjean, y boire, y puiser de la force.



"Encore un jour, mon âme, encore un jour

la vie n'est qu'un matin de plus."









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Le Messie

Il me semble que la poésie est comme une explication, mais qui n'explique rien".

Christian Bobin





Voici un étrange haïku chrétien :

Haïku parce que l'émotion naît toujours d'un poème de Jean Grosjean ; une émotion de même nature que celle d’un court poème japonais : juste suscitée mais profonde, authentique, naturelle et donc mystérieuse.

Dans son texte, toujours, se réveille un animal, une rivière, un paysage, un ciel étoilé, un parfum, une lumière, une couleur ou une fleur.



Chrétien parce qu’avec un magnifique décalage, Jean Grosjean nous conte cette période de quarante jours séparant la résurrection de l'ascension de Jésus et il inonde de toute sa poésie ce récit mystérieux.



A quelles distances sommes nous donc ici des récits évangéliques ?



et bien simplement à celle, immense, de la joie de vivre qui leur fait tant défaut.

Car si Jésus est triste, déçu et insensible aux hommes, la nature elle est gaie, vivante, réelle.



Aussi à cette distance, spatiale, qui éloigne les lieux décrits, et qui sont les nôtres, de la représentation habituelle de la terre sainte



Enfin à cette distance temporelle qui rend ce conte étrangement proche et mystérieux, toute religiosité en ayant disparu.



L’esprit de Jésus évolue naturellement presque parmi nous, nul ne s’en étonne mais tous espèrent. Trop.



Plus tard Jésus se sentira loin de son père, loin de Dieu, abandonné peut être, ne le voyant plus, ne l'entendant plus, le devinant caché derrière la beauté.

Jésus pleure...









Ah ! cette image de Jésus ne quittant pas notre monde terrestre dans une ascension prévisible, mais le repoussant, déçu, d’un léger mouvement d’orteil.

Comme elle est moderne, comme elle est intrigante….



Je ne suis pas attiré et ne connais pas précisément les récits bibliques. Mais en suivant le conseil d’un « ami » j’ai voulu lire ce texte d’un grand poète quelque peu oublié.

Et oui, il a raison : « cet ouvrage est vivant, incroyablement vivant ».

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L'ironie christique: Commentaire de l'Évangi..

Comment, moi qui ne suis pas un croyant conventionnel, qui n'ai jamais ouvert un nouveau testament, puis-je trouver un intérêt à lire un commentaire d'évangile ?



Ce serait oublier notre culture occidentale, pétrie de cette histoire divine - de ces légendes peut être - qui modèlent notre façon d'aborder, de toiser le monde. de ces textes qui, sans que je les connaisse vraiment, hantent sans conteste les fondements de nos réflexions et nos attitudes.

Ce serait également oublier la poésie de Jean Grosjean.

Oh ce n'est pas la poésie qui habite les textes que j'ai lu précédemment, flagrante, un peu déstabilisante. Là elle rôde plus discrètement car nous sommes bien devant un vrai commentaire de l'évangile de Jean. Tout y passe: le sens caché, le style d'écriture qui font de cet évangile le préféré de l'auteur.



La poésie, discrète, nous la sentons, nous en jouissons dans des descriptions, dans cette façon d'aborder le personnage de Jésus, dans cette ironie de Jésus que Jean révèle innocemment. Une ironie bienveillante, presque paternaliste de cet homme qui toujours conserve son ascendant mystique. Et Jean Grosjean la relève dans de nombreux versets, il l'enchâsse comme une pierre précieuse sur le bijou de son écriture.



Le poète Jean Grosjean ne pouvait qu'être emballé par le poète Jean



Ce que l'auteur aime aussi dans Jean c'est la « quelconquerie » du Messie, sa banalité, celle qui lui permet de toucher n'importe qui ; le très-bas de Christian Bobin. C'est une des formes du langage divin



Grâce à cette poésie, par les silences entre les mots, on devine beaucoup de la représentation qu'il se fait de Dieu.



C'est frais et cela permet de discerner l'homme que fut Jésus en deçà de la catéchèse obscure et rédhibitoire de mon enfance. Avant tout un simple homme, avant tout un homme simple.

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Les Parvis

Recueil de poèmes en proses.



C’est parce que Christian Bobin cite souvent Jean Grosjean que, curieux et attentif, j’ai emprunté ce volume.

Instantanément je ressens une mouvance commune entre ces textes et ceux de Bobin qui d’ailleurs ne cache pas sont admiration et son amitié pour lui.

Je dirais que ces deux là naviguent de concert mais pas de conserve.

La nuance est de taille : ils vont au même endroit mais ne conservent pas le même cap.



Les plantes, les arbres, les rivières, la lumière, l’ombre, le cosmos inondent ces textes courts. Ils y sont sublimés, vénérés comme les traces géologiques du divin.



Mais chez Jean Grosjean ce divin porte le nom de Dieu.

Un Dieu abrahamique certes, mais chargé de forces telluriques, intime de l’homme et débarrassé de toute religiosité ou spiritualité.



Cependant « les parvis » ne sont pas que cela ; nombres de textes évoquent la vie.

Simplement la vie.

Intiment la vie.

Et c’est beau, très beau.
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Arpèges et paraboles

Une forme de poésie qui me convient bien.

Dans ce recueil, les poèmes en prose de Jean Grosjean ont ceci de commun avec les courts poèmes japonais qu’ils sont brefs – pas autant – et qu’ils suscitent, à travers des images de nature, d’animaux et de saison, des sentiments diffus et profonds.

Des sentiments qui souvent laissent rêveur ou mieux, songeurs…

Dieu se cache dans ces poèmes et se tait.

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La rumeur des cortèges

Si on doit écrire ou définir, plutôt, la poésie de Jean Grosjean, notamment dans cet ouvrage, je dirai qu'elle est mélancolique, ce qui n'est pas un défaut. Bien au contraire. Cette mélancolie là portée, par ses vers langoureux, ressemblerait à de l'aquarelle dans les tons plutôt chaud. Je sais et je ressens un attrait vers cette légèreté, cette technique, qui se marie fort bien avec les mots, les vers, les poèmes de Grosjean. Le bucolique triste, la nature, la rêverie, la flânerie composent ce recueil que l'on déguste doucement, en prenant le temps, comme un souvenir gardé au chaud de sa mémoire.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Arpèges et paraboles

La lecture terminée de ce recueil de Jean Grosjean, on aimerait encore retenir cette étrange beauté qui s'en échappe, comme un rêve tout en écriture. Au fil des pages du livre, composé de trois courts chapitres (Arpèges, Romances et Paraboles), se déploie une poésie méditative. L'écriture de Jean Grosjean, sous le rythme de l'épure, invite au recueillement. C'est comme une oraison douce et fragile qui ouvre les paysages, le temps et la mémoire sur une dimension plus intime et subtile. Tout l'art de la poésie de Jean Grosjean est ici sublimé.
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Le Messie

Entre Résurrection et Ascension, Jean Grosjean livre son imaginaire de ces 40 jours de la vie de Jésus ressuscité, homme, mais différent des autres.



Ce récit très décalé emprunte des scènes évangéliques telles que celle des disciples d'Emmaüs, des apparitions de Jésus au Cénacle ou à Marie-Madeleine, de la pêche miraculeuse. L'auteur imagine ces rencontres auxquelles il confère sa vision très poétique, quelquefois assez éloignée des textes évangéliques, avec pas mal d'humour.



Les sentiments et réflexions qu'il prête à Jésus ne sont pas sans originalité en imaginant des contextes de lieux et de temps quelquefois très différents de la Palestine.



De très belles descriptions de la nature, des plantes, des arbres, du soleil et de la lune émaillent ce très court récit qui ne peut laisser indifférent, quelles que soient les croyances ou les incertitudes du lecteur.
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La GLoire, suivi de

Poète, écrivain, traducteur et commentateur de textes bibliques, directeur de publication chez Nrf Gallimard, étonnamment peu connu du public, Jean Grosjean est pourtant une figure majeure de la littérature du XXème siècle.

Édité en 1969 sous le titre de "La Gloire" qui rassemble d’autres textes antérieurs du poète "Apocalypse" (1962), "Hiver" (1964) et "Élégies" (1967), ce recueil a été pour moi la première rencontre avec Jean Grosjean.



Dans l’écriture de Jean Grosjean, la parole se scinde en deux, faisant égale part entre l’image et son retentissement, entre la beauté et le regret, entre l’espoir et le désenchantement. Une écriture grave, toujours à la recherche d’une signification qui ne soit pas ultime, pas figée.

Jean Grosjean est l’auteur d’une poésie du sacré dans laquelle il fait part d’une tension intérieure, celle d’un reproche fait à Dieu de s’être retiré du monde, d’être devenu absent de la vie des hommes, de s’être dilué dans une parole passante… C’est pourtant au creux de la parole, au cœur de la poésie que l’auteur veut faire surgir un Dieu qui ne soit pas éternel mais qui soit bien présent. Jean Grosjean interroge, plus qu’il n’apporte des réponses, suggère plus qu’il n’affirme.



Dans ce beau recueil, ma préférence est allée aux "Élégies". Toujours sur le thème de la disparition, ce sont ici de courts textes en prose qui disent l’absence de l’être disparu, de la femme aimée :



" Jamais ne fut ni ne sera rêvé plus de lumière que n’en tinrent nos mains ni plus d’espace que n’en ouvrirent nos pas quand nous marchions vers cette ombre où ton ombre me sert de blessure et de baume. "



Logée entre mémoire et présent, la parole restitue à la conscience le poids de l’absence, du regard de l’aimée, de sa chevelure, de sa respiration, d’une ancienne promenade partagée, d’une saison traversée, d’un temps que l’on pensait à portée de main et sur lequel le regard se pose aujourd’hui :



" Puisque personne n’a pu dénouer ma soif , c’est la clarté de tes lèvres bientôt qui rouvrira la primevère troublante et peut-être mes yeux."



Une poésie intime, qui ouvre la conscience, qui se resserre un peu plus dans le souvenir de l’autre, dans la possibilité d’une mort qui puisse offrir d’ultimes retrouvailles. Car tout n’est que passage. Il ne reste que la parole.
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Clausewitz

Une réflexion philosophique sur la guerre, le destin des peuples au travers des conversations entre quatre hauts dignitaires de l'armée prussienne encore présents en Champagne quelques années après Waterloo.



Il est beaucoup question de la grandeur de la Prusse, de sa rivalité avec l'Angleterre, pourtant alliée afin de venir à bout de Napoléon, l'ensemble dans un débat d'idées entre des connaisseurs politiques et militaires.



Une certaine poésie émane de ce livre dans de courtes mais assez fréquentes descriptions de la nature et des intempéries de l'hiver champenois où se mêlent pluie, vent, ciel, nuages, lune, étoiles.



Très bien écrit, pour amateurs et connaisseurs de cette époque.
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Adam et Ève

excellent ;

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La Bible : Nouveau Testament

Ayant côtoyé toute mon enfance les bancs des églises, je ne pouvais que très naturellement lire la Bible et notamment le Nouveau Testament, mais alors avec la distance d'un passionné de littérature et d'histoire. Si les quatre évangiles et les Actes des apôtres se lisent aisément: la vie de Jésus est trépidante, pleine d'actions miraculeuses et extraordinaires (Superman peut aller se coucher), il faut bien reconnaître que les épîtres qui suivent sont lourdement redondantes. Heureusement, le dernier livre, l'Apocalypse de Jean est un morceau de choix. On plonge encore dans le merveilleux, des anges y combattent des dragons, des tempêtes emportent tout sur leur passage, des scènes fantastiques défilent sous nos yeux. Bref, du grand art.
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Dieu appelle

Présenté comme un "almanach", ce petit livre propose, pour chaque jour, des encouragements et des enseignements certainement inspirés. Ces petits textes ont été recueillis dans les années 1930 par deux femmes (anglaises ou américaines, je ne sais plus) qui ont souhaité rester anonymes. Ils soulignent la bonté de Dieu qui veut que nous le considérions comme un ami et un père bienveillant et attentif.
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Le Coran

Le Coran se présente sous la forme de 104 Sourates ("chapitres") chacune composée de versets (de 1 à 286). L'ensemble représente, en format Pléiade, 770 pages. Les 20 premières sourates s'étendent sur la moitié des pages, les 20 suivantes sur un quart ; les 20 suivantes sur un huitième ; les 20 suivantes sur moins de 10% et les 20 dernières sur les derniers 5%.



Il n'y est pas du tout question de la vie du Prophète, mais seulement du discours divin qu'il est censé avoir fidèlement rapporté. En introduction, il est précisé que les premiers croyants répétaient oralement les paroles de Muhammad pour les retenir, puis ils les ont recopiées sur des os et des morceaux de cuir avant qu'elles ne soient composées en recueil vers 650. L'alphabet arabe ne permettant déjà pas de consigner les voyelles brèves mais ne possédant pas non plus alors de points diacritiques (qui permettent de différencier par exemple le b, le n, le t ou le y), le report des premières traces a donné lieu à des versions différentes, limitées à 7 au Xème siècle. La version unifiée du texte date de 1923. En conséquence, on remarque que l'idée d'une unicité du texte par transmission directe d'une parole est quelque peu écornée.



L'immense majorité des versets parlent des hypocrites, des incroyants et des polythéistes qui iront brûler dans la Géhenne en enfer. Pharaon et Moïse sont aussi très souvent mentionnés. Abraham et Jésus sont très souvent évoqués puisqu'ils sont les deux premiers prophètes qui annonçaient la venue du troisième, Muhammad, lequel n'est qu'un passeur, et qui s'efface en conséquence dans les pages que l'on parcourt. L'ensemble est donc axé sur l'absence de celui qui rapporte les paroles, mais aussi de l'énonciateur, qui reste lointain, seules ses paroles seraient rapportées ; il est aussi axé fortement sur la notion de Vérité et la haine du mensonge.

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L'ironie christique: Commentaire de l'Évangi..

Le livre de Jean Grosjean sur l'évangile de Jean ne tient pas toutes ses promesses. Prenons le début. Au commencement était le Logos. Jean Grosjean traduit Logos par langage. Or, comme Heidegger l'écrit, il convient de traduire Logos par Grâce, c'est à dire l'Amour éternel.



Et tout est à l'avenant.



Reste les commentaires vivants et piquants de Grosjean. Même s'ils sont parfois le fruit d'une lecture trop littérale.
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Le sommet de la route et l’ombre de la croix

Un peu mystérieux, le titre de ce petit livre est, en fait, un vers extrait du "Rosaire" de Francis Jammes, dont Georges Brassens avait composé la belle chanson "Je vous salue Marie". Son sous-titre est plus explicite : "six poètes chrétiens du XXème siècle". La préface, intitulée "Mon Dieu m'a dit", les présente de façon synthétique, en indiquant ce qu'il est important de savoir de chacun d'eux. Puis, comme si ces six poètes répondaient à ce que Dieu leur a dit, l'ouvrage nous propose une sélection de leurs textes. Les mots ont parfois une telle puissance d'évocation -ou d'invocation- qu'un poème peut, en effet, constituer une prière ; inversement, des auteurs ont aussi choisi d'emblée la voie poétique pour écrire une prière. A titre personnel, je suis plus sensible aux rimes et aux alexandrins, qu'aux vers libres. Marie Noël et Charles Péguy dominent donc ce florilège. Une lecture rafraîchissante.
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Arpèges et paraboles

Dans ce court recueil en trois parties, Jean Grosjean explore tour à tour la contemplation, la mémoire et la perception de la religion chrétienne, qu'il retranscrits au travers du prisme poétique. L'ensemble est signifiant, apaisant. Il m'a donné l'envie de découvrir plus avant un auteur que je croisais pour la première fois dans cet ouvrage.
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Dieu en poesie

Petite anthologie de textes poétiques sur Dieu, depuis l'épopée de Gilgamesh jusqu'à quelques poètes contemporains. Des textes assez variés, dont certains sont aussi de véritables prières.
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Le Messie

Christian Bobin en parle dans son livre "Prisonnier au berceau".
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