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Critiques de Jean Louis Tripp (980)
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Magasin général, Tome 1 : Marie

Cette critique vaut pour toute la série.

Des dessins pleins de force, d'émotion, d'originalité, d'humour et des personnages attachants.

Des histoires émouvantes sur l'amour, la vie, la campagne, la ville, la tolérance, le progrès.

Un langage adapté du québécois, avec des mots et des expressions typiques, auxquels il faut un peu s'habituer, mais qui ajoutent tellement au charme de cette série.

Nous sommes au Québec, dans les années 20...

La paroisse de Notre-Dame-des-Lacs, secteur Nord et Sud, la ville de Saint-Siméon.

La famille Roberge, Louise Laflamme et Jacinthe Tremblay, le moulin de Noël Poulin, la famille Godbout, la famille Omelette, les frères Latullipe, la famille Archambault, la famille Allaine, Réal et Alice Coté, la famille Massicotte, Alcide Choquette, la famille Bérubé et la famille Bernier...autant de personnages attachants...

Marie et Félix Ducharme tiennent le magasin général, mais Félix meurt, laissant une jeune veuve sans enfant.

Serge déboule alors dans la vie de Marie, avec son expérience du monde, de la ville, des grands restaurants...et il ouvre un restaurant dans le magasin de Marie, pour le plus grand plaisir des villageois, qui découvrent la gastronomie.

Puis, les femmes découvrent l'envie de prendre soin d'elles, de s'habiller pour aller au restaurant.

Les hommes, qui passent l'hiver dans les bois, ont d'abord une réaction hostile, mais en voyant leurs femmes s'embellir, en découvrant la musique et la danse grâce au gramophone, ils vont eux aussi apprécier les améliorations dans le village.

Serge est aussi médecin à ses heures, et cela va aussi lui permettre de s'intégrer au village.

Marie tombe amoureuse de lui, mais Serge est homosexuel, et leur amour demeurera platonique...et ils inventeront une histoire pour expliquer que leur mariage est impossible, tant le village attend leur union.

Et on va suivre sur les 10 tomes des histoires de familles, des naissances, des deuils, on va se battre, danser, éprouver de la joie et de la peine, de l'incompréhension, assister à des changements...la vie tout simplement, le tout au Québec, dans la neige, les bois et avec les bûcherons.

C'est truculent, émouvant, drôle, un bonheur de lecture et une évasion garantie !
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Le petit frère

Cet album, à la mémoire de Gilles, m’aura tiré bien des larmes et laissé le coeur gros, tellement le sujet est bien rendu dans son intensité et son intention.

On sent que Jean-Louis Tripp a mis ses tripes sur la table à dessins avec cette BD accomplie qui rend compte du deuil familial, de la perte de son petit frère, mort tragiquement lors de vacances d’été en 1976.

Cet album est vivant.

Les dessins redonnent une histoire à Gilles qui a vu la sienne se terminer à l’âge de 11 ans. Jean-Louis m’a totalement embarquée dans ce récit qui montre tous les sentiments vécus par la famille lors de cette tragédie. La colère, le ressentiment, les « j’aurais donc dû », l’importance des rites funéraires, l’entourage qui s’entraide… tout y passe.

Et pourtant, la vie continue.

Les dessins sont magnifiques, l’émotion est palpable. L’auteur rend également un bel hommage à sa maman, victime collatérale de ce pénible décès, en lui donnant la parole pour honorer la mémoire de Gilles.



« C’est mon fils… on le ramène chez nous… il avait 11 ans… il s’appelait Gilles… »
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Extases, tome 2 : Les montagnes russes

Excellente suite et fin du dyptique Extases de Jean-Louis Tripp. Le sexe en tant que tel s'efface un peu plus face à sa psychologisation. La sexualité laisse place à un nouveau thème très lié sur une grande partie de l'album : l'amour. Et ce n'est qu'à la fin qu'on comprend réellement le propos de l'auteur et sa démarche artistique. En effet, il exprime par son art, comment il se découvre en tant qu'homme, en tant que membre de l'humanité par la sexualité.

Je pense, en conclusion, que plus d'hommes devraient lire ce duo d'album.
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Le petit frère

JeanLouis Tripp (sans tiret au milieu du prénom) a acquis une très forte renommée dans le monde de la BD grâce à la superbe série Magasin général, scénarisée par Loisel et illustrée par Tripp, neuf albums publiés entre 2006 et 2014 (voir ma critique sur le site).



Après deux volumes d'un roman autobiographique évoquant sa vie sexuelle, Extases, le voilà qui plonge en 2022 plus profond dans sa propre vie pour évoquer un épisode particulièrement douloureux, la mort accidentelle de son jeune frère à l'âge de 11 ans.



Certains lecteurs pourraient, a priori, passer à côté de ce très épais album (340 pages) en considérant que l'auteur fait preuve d'une impudeur choquante en déballant avec forces détails ce drame intime. Pourtant, ils auraient tort de le faire, car Le petit frère est une oeuvre magnifique. Je n'ai probablement jamais lu un récit aussi profond, détaillé, sensible, sur le deuil d'un proche.



[Lire la suite de ma critique sur mon site Le Tourne Page]






Lien : https://www.letournepage.com..
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Extases, tome 1

Bande dessinée très psycho-sociologique sur la vie sexuelle de son auteur. On y suit ses découvertes adolescentes, sa vie d'adulte, son rapport à son corps et à ses organes. C'est presque comme une autobiographique de son phallus,parfous assez allégorique dans les moments de tiraillement entre jalousie et excitation. Cette lecture est un conseil que j'ai bien fait de suivre. J'espère sincèrement que le second tome sera aussi bon.
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Le petit frère

Tout d'abord quel courage Mr Trip de partager cette histoire autobiographique dramatique.

Ce roman graphique est une merveille dans le dessin et un arrache coeur par son histoire.

J'ai versé des larmes et me suis accrochée à la lecture.

Prendre son temps pour digérer et... malgré tout savourer.
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Magasin général, Tome 1 : Marie

Voilà, je viens finir le 9e et dernier tome de cette saga québécoise, après avoir dévoré les 8 premiers d'affilée.

Je suis encore un peu au début du 20e siècle, dans cette contrée au climat rude et aux personnages attachants, une ode à la liberté et la tolérance...
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Tu ne tueras point

Dans cet album, nous allons découvrir où re-découvrir un panel d' affaires judiciaires ayant eu lieu dans différents lieux, milieux et époques et qui ont toutes en commun la mort;

une ou plusieurs morts par suicide, meurtre, accident ; pour des raisons politiques, sentimentales, d'héritage de folie ou encore bien d'autres causes.

Après l'exposé des faits, en fin de chaque chapitre on retrouve les conclusions des enquêtes, le verdict de culpabilité ou non et l'essentiel peines encourues et effectuées ou pas.

Un condensé de justice en quelques pages très intéressantes et instructives.
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Le petit frère

Et voilà ça recommence. Un roman graphique que je serais bien incapable de chroniquer.

Il y a des œuvres qui se suffisent à elle-même. Il y a des récits si universels et percutants que mes mots seraient bien peu de choses pour les raconter.

Mais je vais essayer.



Jean-Louis Tripp nous offre une bande dessinée autobiographique. Ici, pas de lamentation, pas de pathos. Seulement la réalité.

La mort.

Et ce que cela représente de perdre quelqu'un.

Le comment vivre avec. Comment se reconstruire. Comment accepter. Comment oublier ?

On oublie pas.

Et quand ça ressort, c'est dévastateur.



J'ai été emporté par cette tragédie. Et sous les coups de crayons de Jean-Louis Tripp c'est tous mes morts partis trop tôt que j'ai pleuré.

Car le deuil fait parti de la vie. Et il nous relie tous les uns aux autres.

Face à la mort nous sommes emportés, terrassés, balayés, et anéantis. Mais vivants.

Toujours debout, à devoir vivre avec l'absence. A devoir faire avec.

Comme on le peut.



Alors merci d'avoir partagé votre vécu. Votre souffrance. Et votre reconstruction.

A tous nos Gilles partis bien trop tôt.
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Le petit frère

Je connaissait Jean-Lois Tripp par la série "Magasin Général" que j'ai redéguster à nouveau il y a quelques semaines, et quand ma conjointe est arrivé de la bibliothèque locale avec "Le petit frère" de cet auteur, je l'ai dévoré, et j'avoue avoir versé quelques larmes à plusieurs reprise dans la BD. La sobriété des images rendent bien l'émotion relié à ce cheminement de résilience. Les 5 étoiles sont bien mérités.
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Le petit frère

Il est de ces livres qui vous prennent aux tripes parce que l'histoire, les personnages ou les lieux ont une resonnance particulière. Celui-ci en fait partie, assurément. Jean Louis Tripp nous dévoile ici l'histoire de son frère Gilles, mort à l'été 1976 lors d'un accident de la route et la douleur, et la peine, et la culpabilité que cet accident apporte dans sa vie. Je les comprends. Car pour moi il s'agit du 28 juillet 2012. Mon frère. Accident de la route. Et les mêmes émotions, les mêmes souffrances, les mêmes questionnements, les mêmes cauchemars.

Ce livre, je l'ai emprunté ce matin à la médiathèque d'elbeuf uniquement pour son titre. Sans connaître ni l'histoire, ni l'auteur. Mais je suis convaincu qu'aucun livre ne nous arrive dans les mains par hasard. Il se passe toujours quelque chose d'inexplicable. Ce titre, c'est évidemment une pensée immédiate pour mon petit frère, mais aussi pour cette chanson du groupe IAM que j'aime particulièrement.

En refermant le livre, après avoir pris le temps de tout lire, y compris les remerciements comme toujours, j'essuie cette larme qui coule le long de ma joue. Mathieu est mon Gilles à moi, il avait 19 ans. Nos histoires sont différentes et pourtant nos souffrances sont similaires et seuls ceux qui ont vécu ce genre de drames peuvent les comprendre.

Aujourd'hui je comprends donc chacune des émotions que l'auteur nous livre à travers cette fantastique BD. Il en faut du courage pour être capable de l'écrire, de dessiner et de mettre sur le papier toutes ces émotions torturées.

Un très bel ouvrage pour un très bel hommage. Voilà ce que je retiens de ce coup de cœur de ce début d'année 2024.

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Le petit frère

Fait partie de la sélection du Prix des Lecteurs du Val de Sully.



Août 1976 - en Bretagne.

C’est la canicule, ce sont les vacances et on les passe le long des routes à bord d’une roulotte. On est sur la fin du séjour.

Nous sommes insouciants, on chante, on rit et d’un coup l’accident…

Tout s’effondre…



Roman graphique. Jean-Louis Tripp, l’auteur et dessinateur, relate l’histoire de la disparition de son frère et les conséquences sur la vie de chacun des membres de la famille.



Les dessins sont très expressifs et le choix du noir et blanc donne plus de poids aux souvenirs.

J’ai été souvent bouleversé par la douleur évoquée tant par les textes que par les dessins.

J’ai été révolté lors de la plaidoirie de la Défense par les mots de l’avocat. Je ne peux m’empêcher de vous décrire la scène. L’auteur procède à un zoom sur la bouche de celui-ci, par 7 dessins et des tailles de caractères de plus en plus grandes.



Image 1 : plan général du visage.

« Comment évaluer le préjudice… »



Image 2 : plan resserré sur les lèvres et le nez.

«S’il s’était agi d’un père… d’un soutien de famille… On aurait pu se baser sur les revenus de celui-ci… et définir la perte… le manque à gagner… »



Image 3 : gros plan sur les lèvres fermées.

On sent que l’avocat se prépare à lâcher une bombe.



Image 4 : gros plan sur la bouche. L’avocat parle. - à partir ce plan la taille des caractères changent -

« Mais un enfant de 11 ans… »



Image 5 : gros plan sur les dents.

« Je suis vraiment désolé de le dire ainsi, mais… un enfant de 11 ans ne rapporte rien… »



Image 6 : gros plan sur la luette.

« A tout prendre… »



Image 7 : nous sommes dans la bouche de l’avocat et cette image donne l’impression qu’on entend résonner ses derniers mots

« … ce serait plutôt une bouche de moins à nourrir… »



Ce livre n’est pas une histoire mais une tranche de vie. Celui-ci est très fort émotionnellement. L’auteur nous fait vivre toutes les étapes de la vie qui lui ont permis de passer de la culpabilité à la résilience.



Et puis les planches colorées arrivent On comprend alors que tout s’apaise.



Je ne peux que vous encourager à découvrir cet ouvrage.
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La légende du dieu Stentor

Barthélémy Duflo le célèbre archéologue n'y tient plus : il vient de déchiffrer des manuscrits kayas et découvrir l'emplacement de la vallée secrète et cachée du Dieu Stentor, le dieu du café. Ni une, ni deux, direction le Yucatan où le café a fait son apparition au Xème siècle pour une expédition où une jeune femme spécialiste du fruit du caféier et un journaliste-géologue-aventurier accompagnent le professeur... suivi et pisté par deux individus des plus louches...

Entre Tintin et les Picaros et Indiana Jones, ce one-shot qui se lit d'un trait est plaisant, fort en aventures et riche de rebondissements. On y pénétre la jungle et les secrets d'une civilisation gardienne de l'art et la tradition du café. Le dessein publicitaire de cet album n'apparaît que dans le nom du Dieu. La preuve que pour la bd comme pour le café, ce n'est pas la peine d'en rajouter !
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Le petit frère

Ce roman graphique de Jean louis Tripp est très personnel et retrace un moment assez lointde sa propre existence. Il y a 45 ans alors qu'il n avait que 18 ans il part en vacances en famille et un triste évènement a détruit tout l équilibre de sa famille. Son jeune frère Gilles est percuté par une voiture et décède.

Ce roman graphique apparaît alors comme un besoin de parler du thème de l absence et de continuer à le faire vivre à travers ces pages.
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Magasin général, Tome 1 : Marie

Suivez l'histoire d'un magasin général (ou droguerie) au Canada. Cette bd casse les codes du XXème siècle Nord-américain, on nous avons plutôt été habitués à un far west violent, aux odeurs de salon et d'indiens. Ici vous allez pouvoir observer la communauté de notre dame des lacs au nord du Québec.

Bonne lecture !
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Le petit frère

Petit frère

Un roman graphique hommage, à un petit frère perdu, parti trop top lors de vacances en famille.

Les coups de crayons sont magnifiques, les couleurs sombres, légères collent parfaitement au thème, au difficile sujet abordé.

Jean Louis Tripp rend, à travers ses dessins, un brillant hommage à son petit frère disparu 45 ans plus tôt.

Cette lecture nous prend aux tripes, nous fait des noeuds dans le ventre, nous donne envie de pleurer.

On ressent ce qu’il a ressenti et ce qu’il ressent toujours.

Merci beaucoup pour ce moment lecture

Merci beaucoup pour cet hommage à ce jeune garçon parti trop tôt

Gros coup de cœur
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Le petit frère

Lire cette bande-dessinée c'est se confronter à l'injustice de la mort d'un enfant. Injustice parce qu'il avait toute sa vie devant lui, injustice par les décisions qui ont donné suite à ce décès, violence des conséquences pour ceux qui restent. C'est un récit sur la difficulté du deuil et comment celui-ci peut impacter tout le reste d'une vie.
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Le petit frère

Ce roman graphique est très émouvant, l'auteur nous raconte la mort tragique et prématurée de son petit frère et essaie de recoller les souvenirs des uns et des autres.



J'ai été portée par le récit plus que par les dessins, que j'ai apprécié.

On suit l'auteur qui a poursuivi sa vie, en se demandant ce qui s'est passé dans sa famille ensuite. La culpabilité de l'auteur reste palpable tout comme les silences familiaux.

Les différentes étapes du deuil et de la justice se présentent et ce petit frère compte même pour ceux qui ne l'ont pas connu.



Une lecture mémorable.
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Le petit frère

Le petit frère

de Jean-Louis Tripp

👦

1976

Les vacances

L’été

La Bretagne

Les roulottes

L’insouciance

Le bonheur

La joie

Les rires

Le chant

Les regards

La main tendue

Le choc

Le drame

L’incompréhension

Les larmes

Le bruit

Le sang

L’horreur

Le bitume

L’état second

L’urgence

Les pompiers

L’hôpital

Le médecin

Les émotions

La mort

L’enterrement

Le deuil

L’incompréhension

La colère

La rage

La tristesse

Le souvenir

L’hommage

La vengeance

La « réparation »

Et après tout cela,

La vie qui continue…

👦

Je savais que ça serait fort cette lecture…

J’ai versé des larmes… me projetant dans tel ou tel personnage…

À lire, en retenant son souffle !!!



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Magasin général, Tome 1 : Marie

J’avais le goût de lire cette BD depuis plusieurs années. Je connaissais un peu le travail de Régis Loisel au travers de son Peter Pan et j’aimais bien ce qu’il faisait. De plus, la thématique historique du village québécois d’antan venait trouver chez moi un écho favorable.



J’ai donc fait le saut à Notre-Dame-des-Lacs cette année avec le premier tome de Magasin général. Je fais cette chronique à rebours puisque j’ai ensuite dévoré les huit autres tomes. Dans celui-ci, le premier de la série, c’est par la mort de Félix Ducharme que nous entrons dans ce village et que le décor se met en place. C’est une immersion totale – et totalement réussi! – dans un village reculé avec ses interactions sociales, ses besoins et ses défis.



Les personnages sont admirablement bien construits. La palette complète de ce qui compose un village est présente, de Gaétan, « l’idiot du village », à Réjean, le nouveau prêtre, en passant par Noël, le vieux solitaire, et les Madames Gladu, trois vieilles veuves qui se montrent critiquent sur tout le monde. Il ne faut pas non plus oublier Marie, qui doit tenir le Magasin général après la mort de son mari Félix.



C’est un coup de cœur. Les graphismes sont d’une grande beauté. C’est sensible, lumineux, savoureux. Le travail des auteurs est si bien réussi qu’on se sent imprégné par l’atmosphère de Notre-Dame-des-Lacs. Le scénario est bien mené afin qu’on puisse découvrir les sociabilités villageoises et la psychologie des personnages. Magasin général est un peu une chronique sociale d’un village québécois du début du XXe siècle.



Je ne peux que recommander cette BD. Pour moi, c’est un coup de cœur!

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