Jean-Pierre Pécau

Une ouverture bien engageante sur une relecture de la seconde guerre mondiale tout à fait plausible.
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Premier tome d’une série de trois, l’album se concentre sur le changement de réalité ; en l’occurrence, le Président Reynaud qui tient tête au Maréchal Pétain pour continuer la guerre.

Un premier tome plutôt bien construit même si cela manque d’action et de personnages intéressants.

On peut espérer que ce premier tome qui met en place l’uchronie, amène à un second album qui se consacre plus à la guerre proprement dite.

J'ai découvert cette BD par hasard grâce à un jeu concours.



Je ne pense pas que je l'aurais achetée de moi-même, en effet elle semble plutôt destinée aux hommes et amateurs d'histoire.



J'ai beaucoup aimé l'idée de base, que la guerre continue.... Ainsi que les sublimes illustrations.



Je n'ai pas accroché aux personnages, à leurs façon de parler : étant des aviateurs ils utilisent des thermes et expressions que je ne connais pas forcément. Ainsi qu'au principe des flash-back qui embrouillent un peu l'histoire selon moi.



En bref, une BD pour adulte amateur d'aviation et d'histoire qui n'est pas faite pour moi, je ne pense pas continuer cette série.
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Ce second tome est plutôt décevant. Le récit est haché et, comme cela ne suffisait pas, on est perdu dans le déroulé des combats.

On ne sait pas trop où on se trouve ni comment se déroule la guerre. C’est d’autant plus dommage que c’est le coeur de l’histoire : comment la France a continuée la guerre. Ici, on est plutôt à chercher ce qu’il se passe ? Et qui tire sur qui ?

Je trouve dommage également que l’on apprenne rien sur ce qu’il se passe autour de la guerre en France ; seulement quelques allusions aux anglais et aux américains.

Bref, c’est décevant de ne pas avoir un déroulé plus clair et peut-être plus construit, surtout quand les BD sont basés sur des livres d’essais d’histoire.

Également, les combats aériens ne sont pas bien mis en valeurs, c’est encore une fois bien dommage pour un récit qui se consacre aux unités aériennes de l’armée française.

On verra si le troisième tome rehausse un peu l’ensemble de la série mais j’ai peu d’espoir.

Je suis globalement déçu de cette uchronie où la France a continué la guerre en 1940.

Un récit pour moi trop brouillon, pas assez précis et les dessins, notamment des combats aériens, sont assez fades.

La série se base sur le livre de Jacques Sapir qui a de bonnes critiques pour son analyse uchronique de la Seconde Guerre mondiale, la BD, elle, ne paraît pas aussi réussie.

Je pense qu’avec un récit plus étoffé et une analyse qui ne se borne pas qu’à une vue franco-française, la série aurait été plus passionnante.

Les grandes inventions sont souvent le fruit de circonstances imprévues.



La création du Spitfire MK I n'échappe pas à cette règle, et quand on connaît le rôle qu'il a joué dans les airs pendant la seconde guerre mondiale, ça ne peut que surprendre et vous donner envie d'en savoir plus.



C'est ce que ce premier volume d'une série appelée "Ailes de Légende", parue aux éditions Delcourt, à l'ambition de nous faire découvrir.



En attendant le second tome, consacré au Mitsubishi Zéro, je ne peux que vous conseiller ce premier opus, d'excellente facture.



À travers les difficultés techniques, les méandres de la politique et le spectre d'une guerre quasi annoncée, quelques hommes vont, dès 1931, participer et orienter l'issue du conflit en faisant voler un appareil sans égal, le Spitfire !!



Bonne lecture !

Une première partie somme toute enveloppante qui suscite bien des questionnements Le tome suivant devrait les dissiper sans aucun doute.
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Un propos ambitieux, commandant une lecture attentive. La morale de l’histoire : l’homme est un imbécile, même s’il arrive à concevoir des robots capables de réfléchir. Au fait, il vaudrait mieux qu’il se méfie de ces boites de conserve douées de raison, même si les trois lois de la robotique d’Isaac Asimov figurent sur les pages de garde.
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Alors je vais être franche, je n'ai pas tout compris à cette histoire qui fait référence au mythe d'Hercule et qui a priori, contrairement aux autres tomes de cette série de one shot, aura une suite - ou alors j'ai vraiment rien compris.

Marlowe, jeune femme perturbée, dont on ne sait pas grand chose, doit partir en mission pour retrouver un infiltré dans une zone de l'ex Grece (a priori) et un synthétique qui a disparu et qui peut être serait le nouveau dieu apparu. Zone où on été logé un grand nombre de réfugiés, e o^se cotoie maffia de toutes sortes et prêtres orthodoxes. Un peu perdue; elle mene l'enquête sans approcher le policier disparu ni l'androide.

Jusque la ca va, après...A voir avec le second tome éventuel...

Marlowe est un soldat qui revient de soins psychologiques après une mission éprouvante. Malgré son état, on lui confit une mission importante où elle doit désactiver un androïde capturer par des narco trafiquants sur l’île du Péloponnèse. Cette péninsule est devenue une île depuis la destruction de l’isthme de Corinthe. L’ile sert désormais de refuge aux migrants ainsi qu’à tout un tas de criminels de la pire espèce. Une île donc pourrie jusqu’à la moelle où même la nature modifiée par l’homme est devenue hyper-toxique. Autant dire que Marlowe va devoir faire preuve de prudence pour retrouver l’androïde et le désactiver !

Difficile de faire un synopsis de cette histoire tant il y a d’éléments qui construisent le récit.

Ce premier tome est intéressant mais il reste assez floû justement à cause de cette complexité du scénario, mais il y’a beaucoup de choses intéressantes qui permettent de penser que l’histoire, en 2 tomes, peut être passionnante.

J’attends la lecture du second tome pour me faire une idée plus juste de cet album prometteur.

Marlowe a été désignée pour s'infiltrer dans la zone, une espèce de non etat où règnent différentes mafias, narcotrafiquants et autres abandonnés à leur sort. Son prédécesseur, qui avait pour mission de retrouver un androïde volé, a disparu.



J'avoue je n'ai pas tout compris à l'intrigue, ça saute du coq à l'âne à grand renfort d'acronymes et de noms de groupes dont on situe ni les intérêts ni les amitiés. En plus des sigles, il y a également tout un jargon informatique et de référence que je peine parfois à comprendre.

Ce tome n'étant que la premiere partie de l'histoire, je me dis que ça s'éclaircira par la suite...

Je n'ai pas non plus été très conquise par le dessin un peu raide, un peu anguleux.

Onzième volume de cette série de BD composée de récits indépendants n'ayant qu'un seul point commun : le thème des androïdes, et plus particulièrement les lois de la robotique d'Asimov auxquelles ils obéissent. En effet, pour ce qui est de l'époque, des personnages, du genre (enquête, guerre, etc.), liberté est donnée aux auteurs et dessinateurs, différents sur chaque album.



Si cette série a connu des hauts et des moins hauts, j'avais toujours donné plus que la moyenne aux différents volumes. Celui-ci sera l'exception. Je n'ai pas compris grand-chose à cette histoire (un beau bazar sans queue ni tête apparents, en tout cas c'est ce que j'en retiens, mais ça vient peut-être de moi) et surtout je n'ai accroché ni au personnage, ni à l'histoire, ni au style graphique, ni à cet univers en général. Pas de bol, cet épisode s'étale sur deux tomes, mais je ne suis vraiment pas motivé pour lire le chapitre II.

Les derniers tomes de la série ne vont vraisemblablement pas sauver l'ensemble. Ce onzième opus n'est que la première partie du douzième et il est vraiment assez confus au point que le lecteur ne peut y trouver grand intérêt, renonçant à comprendre les tenants et aboutissants du capitaine Marlowe.



Le mélange de mythologie herculéenne avec les affres de la mission de la capitaine n'apporte rien de plus, hormis une chasse gagnée d'avance contre le sanglier d'Erymanthe qui succombe sous une force bien plus artificielle que celle du puissant Héraclès.



Pour le dessin, c'est quand même plutôt bon mais pas au point de rattraper un scénario bien peu convaincant.

Usant de décors issus de clichés photographiques, l’artiste fait preuve d’une belle recherche relevée par une colorisation remarquable. […] Une fin de diptyque remarquablement bien gérée et pour le moins entreprenante.
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Fin de la déroute de la capitaine Marlowe dans ce dernier épisode du diptyque qui met sans doute fin à la série Androïdes.



Si quelques tomes sortaient du lot, ce dernier ne laisse pas une impression favorable sur l'ensemble. Les dialogues sont à la peine, vulgaires et vraiment pas convaincants.



Quant aux androïdes, il n'en reste plus qu'un seul, pleurnichard et bien mal loti dans un univers terrestre réaliste des plus confus. La capitaine ne dégage pas particulièrement d'empathie, même avec la dernière planche de ses yeux.



Satisfaction et soulagement d'avoir terminé cette série.

Je n'ai rien, mais alors RIEN compris à cette histoire. Ca part dans tous les sens, un méli-mélo d'organisations, de complots, de trip hallucinogènes de conversations sans queue ni tête… Je me demande si le scénariste n'a pas passé un peu trop de temps dans la forêt de cristal lui aussi.



Cette série BD "Androïdes" n'est pas qualitative dans l'ensemble, seulement quelques tomes qui se détachent de par leur histoire originale, leurs dessins / colo de qualité. Les autres tomes sont peu intéressants, j'ai l'impression d'un travail en roue libre parfois bâclé. Pour un hommage à Asimov on repassera.

Suite du précédent tome, après plusieurs aventures Marlowe touche au but et va se retrouver face à l'IA fugueuse. Elle va s'apercevoir que finalement celle ci a pris le pouvoir dans son petit domaine de la zone canal mais qu'elle ne rêve que d'une chose s'évader, aller dans le monde extérieur. Pour cela, elle va dénouer la mémoire de Marlowe et la mettre en face de ce qui a causé son stress post traumatique. Ce qui risque d'avoir des conséquences désastreuses pour Marlowe mais aussi pour l'IA. Une histoire assez nébuleuse, truffée de références à la quête d'Ulysse, pas toujours très claires...Le contexte est plutôt intéressant puisque cela se passe sur Terre, dans des pays qui existent toujours (la Grece, la Turquie, siege des pérégrinations d'Ulysse). Dommage car je suis rentrée moyennement dans l'intrigue.

Je pense que pour goûter à la qualité du scénario, il faut lire les deux tomes à la suite. Autant le premier tome était un peu flou et bourré d'informations, autant ce second tome éclaircie les choses.

Le récit parle de mythologie grecque (le lieu est propice évidemment), de la modification des souvenirs, de la modification des êtres vivants, de la création de jeux vidéos, des hackers, de drogues, de missions d'infiltration, d'implants et bien sûr d'androïde qui échappe au contrôle des humains notamment grâce au développement d'une IA forte.

On peut reprocher au scénario d'en mettre un peu trop pour une histoire en 2 tomes, c'est vrai que le message est brouillé alors que l'essentiel est dans ces deux personnages que sont Marlowe et l'androïde.

La conclusion est en tout cas bien amenée et intéressante, mais effectivement soit certaines parties auraient du être allégée, soit une histoire en 3 tomes aurait été plus judicieuse. Reste tout de même un bon épisode de la série « androïdes ».

Marlowe finit par retrouve l'IA volé, et elle va découvrir que celle-ci s'est en fait libéré d'elle-même et a pris l'ascendant sur les réfugiés et les dealers de la zone. Coincé dans ce non-lieu, elle influence Marlowe pour que celle-ci la libère dans le monde.



J'ai eu bien du mal à enter dans l'intrigue et j'avoue ne pas avoir réussi à bien saisir la fin. J'ai des doutes sur qui a réussi à manipuler l'autre dans cette affaire et je n'ai pas bien compris la dernière page.

Globalement le scénario manque de clarté avec de nombreuses références non explicités. Les rapprochement à la légende d'Ulysse ne rendent pas le tout plus attrayant. J'ai eu tout autant de mal à adhérer aux personnages et au dessin.

Pour moi vraiment pas le meilleur opus de cette série malgré le format en diptyque qui permet de mieux développer une intrigue.

J'adore les dessins, mais l'histoire est confuse... je n'ai pas accroché, abandon au tome 2.