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Critiques de Jean Vautrin (254)
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

C'est typiquement ce que j'appelle un livre d'aventures. On court, on saute, on se cache, on tremble, on retient son souffle, on distribue des coups de poing. Sur fond d'Histoire avec un grand H, en l'occurrence la seconde guerre mondiale, on suit les aventures (ou plutôt les mésaventures) de Boro, apprenti photographe. Le héros est de ces personnages comme on n'en fait plus : insolent, bagarreur, astucieux, téméraire. Si vous avez envie de passer un moment divertissant, et en même temps parfois assez sérieux au sujet du péril nazi, foncez. J'aurai bien lu les autres aventures de Boro mais cette série de livres commence à dater, il faudrait que je cherche du côté de l'occasion.
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

Paris 1943-1944 : l'époque est sombre. C''est l'occupation allemande. L'heure est à la délation, à la peur et aux arrestations.



Boro, l'infatigable reporter toujours équipé de son Leica, nous entraîne dans un Paris humilié où il va se livrer avec quelques résistants à une terrible bataille pour la liberté.



Il y rencontrera le sanglant docteur Petiot.



Ce nouvel opus est écrit comme les autres : il se lit de bout en bout sans en sortir, où le moins possible, tant l'intrigue est prenante
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

Venu chercher à Paris la liberté dont il s'estime privé en Hongrie, Blèmia Borowicz (dit « Boro ») tente d'y exercer ses talents de reporter photographe.



Cher Boro ! Quel charme ! Quel charisme !



Voilà une série que j’adore depuis le début.



Tout y est : l'humour, les intrigues politiques, les anti-héros et les événements majeurs de l'histoire à partir des années 30.
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

Mais quel plaisir de retrouver Boro et tous les autres personnages même si l'intrigue ne m'apparait pas aussi palpitante et inventive que précédemment !!

Je suis fan depuis le premier volume et été entraînée dans la valse de l'Histoire.



Boro, formidable personnage, toujours en danger, toujours sur le fil, nous emmène dans un tourbillon d'aventures à travers une période difficile où la guerre compliquait les destins et les choix
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

Ce livre s'inscrit dans la lignée des 4 autres tomes.



Les aventures de Boro sont toujours aussi passionnantes et je suis toujours pressée d'en connaître la suite.



Récit toujours aussi réjouissant avec beaucoup de détails historiques apportés par ses auteurs.



Cet épisode est un témoin intéressant de la vie en France sous l'occupation.
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A bulletins rouges

Ce roman figurait dans ma PAL depuis longtemps déjà, curieuse que j'étais de lire cet auteur de néo-polar reconnu. Publié en 1973, ce premier roman coche en effet toutes les cases du genre : se déroule en banlieue, dénonce le fonctionnement et l'hypocrisie de la société, dégomme le système politique.

Dans les roues des motos de la bande des Beuarks, j'ai donc découvert la banlieue de Sarcelles des années 70, dans tout ce qu'elle pouvait avoir de glauque : ses logements « clapiers à loyers modérés », sa violence, sa pauvreté aussi. En pleine période d'élections législatives, l'atmosphère est tendue et le climat délétère, nos jeunes rebelles en profitent d'ailleurs pour exprimer à leur manière toute personnelle leur ras-de-bol et leur rejet de cette société. Non par conviction, ils n'en ont aucune. Si ce n'est qu'ils veulent être libre et qu'on leur foute une paix royale.

La politique, ce n'est pas leur tasse de thé, mais ils n'ont rien contre quelques billets pour des actions dissuasives menées auprès de certains colleurs d'affiches. À cette occasion, ils rencontrent Véronique, surnommée Vérole, la fille de la candidate Madeleine Charron-Delpierre. Après des débuts houleux, ils finissent par s'entendre autour d'une seule et même idée : à bas le système.

Mais cette belle entente signe aussi le début des galères...



Un roman noir donc, très noir, dont le pessimisme n'est sauvé que par la verve de l'auteur.

Jean Vautrin étant dialoguiste et scénariste de formation, en ayant collaboré notamment avec Michel Audiard, cette expérience se ressent évidemment dans la structure et la forme du récit.

Écriture vive, percutante et acide, il ne laisse rien passer sur cette société dont on devine qu'il n'en apprécie rien ou si peu.

Sans être véritablement dénonciateur, il décrit avec férocité un quotidien lugubre pour ces jeunes et ceux qui les entourent, sans perspectives et loin de tout. Mais avec humour, voire cynisme…



Je n'ai pas été conquise, je l'avoue, par cette lecture qui m'a semblé bien sombre.

Une drôle d'époque, un drôle de monde.

Peut-on d'ailleurs en parler au passé ? C'est sans doute cet aspect qui m'a le plus attristée, de me dire que le constat est peut-être encore plus déprimant aujourd'hui...
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

J'aime les romans où l'auteur crée un personnage qui traverse un moment de notre Histoire : ici l'avènement d'Hitler en Europe. Grâce au travail de recherche des auteurs, le lecteur peut découvrir ainsi l'atmosphère qui a pu régner en ce temps. Et c'est précieux, pour ne pas oublier ce qu'ont pu vivre les gens de cette époque.

Il y a eu par contre plusieurs passages qui me sont restés obscurs : certaines paroles en allemand ne sont pas traduites; si on n'est pas calé au niveau des événements de cette époque, certaines choses nous échappent.
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

L'improbable histoire d'un petit 'reporter' frustré et arrogant, trop facilement présent un peu partout et qui passe son temps à ridiculiser les méchants allemands....L'épisode de la course en voiture à travers l'Allemagne est particulièrement impensable...

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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

Ce n’est certes pas d’une qualité littéraire sans égal, c’est même parfois un tantinet maladroit, et sans doute ça a vieilli, mais j’ai un petit faible pour Boro, et je trouve l’univers de ses aventures plutôt sympathique. La présentation de l’éditeur ne ment pas, c’est vrai qu’on pense à Robert Capa avec notre reporter photographe hongrois, pourvu d’un Leica, bourré de charme, amoureux d’une grande et belle actrice, dont la première aventure se passe en partie dans un Berlin nazifié.

Du feuilleton avec un personnage attachant et un contexte historique propice à la tension narrative, c’est plutôt agréable à lire.
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

Ce premier opus ne me donne pas envie de lire les autres volumes. La première partie est ennuyeuse et l’histoire a du mal à se mettre place. La deuxième partie est plus rythmée avec plus de suspense.

L’histoire s’articule entre Boro et sa cousine, entre Paris et Berlin, pendant la montée du nazisme.
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

« Les Noces de Guernica » constituent le troisième volet des « Aventures de Boro, reporter-photographe », concoctées par le duo Dan Franck et Jean Vautrin. Une saga immense qui couvre les années d’avant-guerre, la Seconde Guerre Mondiale et les premières années de l’après-guerre, c’est-à-dire une des périodes les plus noires et les plus captivantes de l’histoire du monde.

Nous connaissons maintenant bien notre héros, Blémia Borowicz : Blémia pour le prénom, Borowicz pour le nom, Boro pour la signature. Reporter-photographe, il parcourt l’Europe et se trouve mêlé plus ou moins directement à la grande Histoire du Monde. Et Dieu sait si elle s’écrit vite, en ces temps troublés, et de plus à l’encre rouge, ou bien brune, ou bien noire…

Nous sommes à présent en 1937, en plein cœur de la guerre d’Espagne. Les Républicains, qui restent les garants d’une certaine démocratie, d’une certaine vision positive de la vie politique (et pas seulement) face au déferlement des forces du Mal, incarnées par les fascistes qui pullulent en Europe (je rappelle qu’on est en 1937, pas en 2023, mais parfois il faut préciser pour éviter la confusion), les Républicains, donc, marquent le pas devant l’avancée inexorable des troupes franquistes, soutenues, encadrées par l’Allemagne d’Hitler.

Au moment où commence l’histoire, Boro a disparu. Ses amis à Paris n’ont plus de nouvelles et le cherchent partout. En fait il est en Espagne où voulant voir de plus près la « Guerra Civil », il se retrouve au fond d’un cachot franquiste, aux mains de ses plus féroces ennemis, dont l’impitoyable Von Riegenburg,

C’est entre l’Espagne en pleine tourmente où Boro connaît le pire (la détention dans les conditions les plus pénibles) et le moins mauvais (un amour pour Solana, une belle espagnole qui lui fait oublier un temps Maryika), la France, où les amis hongrois et parisiens font des pieds et des mains pour rechercher le disparu, et l’Allemagne, où Maryika assiste au triomphe de l’Allemagne nouvelle et pressent les prochaines échéances tragiques, c’est entre ces trois pôles que se déroule l’histoire de ce roman, l’un des plus émouvants de la série, des plus captivants, mais aussi des plus durs.

C’est en effet un roman où Boro, laissant son côté dandy, désinvolte, voire insolent, se montre particulièrement émouvant dans sa relation avec la belle Solana, pasionaria jusqu’au bout des ongles.

Mais c’est un roman d’un réalisme terrible : la guerre on le sait, n’est pas romanesque, ni romantique, elle est décrite ici dans toute sa cruauté, sa laideur, et sa terrible influence sur les destinées individuelles. Dans toute la série des « Boro », celui-ci est un des plus éprouvants.

Mais, à lire ces aventures, on retrouve la jubilation qu’on a pu avoir en lisant Dumas ou Féval : dans un cadre historique précis, parfaitement documenté, et souvent apporteur de connaissances sur cette période si riche en évènements, les auteurs nous offrent un véritable feuilleton, extrêmement vivant, avec des personnages auxquels on ne peut que s’attacher, qu’ils soient bons (Boro, Maryika, Dimitri, Solana…) ou méchants (Riegenburg, Frau Spitz), le rythme est soutenu et ne vous laisse pas en repos, vous n’avez qu’une hâte, aller plus loin pour voir ce qui va se passer.

« Les aventures de Boro » c’est vraiment la saga d’aventures contemporaines : il y a du Tintin dans Boro, de l’Arsène Lupin, ou du d’Artagnan, le tout sur un fond historique bien défini qui donne crédibilité à ces emballantes histoires. Vivement la suite ! Ce sera « Mademoiselle Chat ». On s’en pourlèche déjà les babines !

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Un grand pas vers le bon Dieu

Un livre qui au premier abord me plaisait. Malheureusement, je n'ai pas spécialement aimé. Je n'ai pas accroché aux personnages. Une lecture qui reste tout de même très fluide. c'est un auteur que je connaissais pas du tout. Je ne sais pas si je vais lire d'autres livres de cet auteur
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Un monsieur bien mis

Je découvre Jean Vautrin, prix Goncourt 1989 par le biais de cette nouvelle. Ce texte, édité dans la collection Libres de Gallimard dirigée par Eric Orsenna et découvert dans une boite à livres semble être destiné à un jeune public et à le sensibiliser au racisme.

Scènes de la vie de banlieue, une cité de béton avec ses différentes communautés, ses clichés selon la couleur de peau, un monsieur bien mis, mais l'habit ne fait pas le moine, va suivre un balayeur africain jusqu'au bâtiment où il réside. La tension du tragique va se construire par petites touches avec un grand talent. Le texte est illustré par l'auteur. de quoi faire réfléchir nos jeunes lecteurs sur les méfaits du racisme ordinaire. Une belle découverte.



Challenge Riquiqui 2023.
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Le Cri du peuple

Attention c’est du lourd ! Quel souffle ! Vautrin entremêle la Grande et sanglante Histoire (on croise , Courbet ,Valles, Louise Michel et les dirigeants communards ) et les aventures individuelles ( la quête vengeresse de Grondin , les amours de Tarpagnan et Pucci …) dans un Paris transformé en champ de bataille . On y lit donc l’histoire courte et terrible de la Commune de Paris , et si Vautrin ne cache pas sa sympathie pour les Communards il en montre aussi les dérives . Le peuple n’est en rien divinisé mais son héroïsme et la sauvagerie de la répression soulignent la brutalité du pouvoir quand les privilèges sont menacés. Cette histoire (qui m’a rappelé des romans d’Hervé Le Corre ) est magnifiquement mise en image par le génial Tardi . Les dialogues font revivre la langue drue et la verve caustique du petit peuple parisien. Bref , une merveille !
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

« Le temps des cerises » est le deuxième volet des aventures de Boro, reporter-photographe. Dans le premier, « La Dame de Berlin », nous avions fait connaissance avec Blémia Borowicz (« Blémia pour le prénom, Borowicz pour le prénom, Boro pour la signature »), reporter-photographe de l’agence Iris, juif hongrois exilé à Paris, bien décidé à se faire un nom dans le journalisme, à l’image de ses compatriotes Kertesz ou Capa, avec pour tout viatique, ses convictions intimes, sa canne et son Leica. Ses aventures ont commencé en fanfare parce qu’il avait photographié par inadvertance un petit homme avec une drôle de moustache sous le nez (drôle mais qui ne faisait pas rire tout le monde). Boro a pu ainsi toucher du doigt, au début des années 30, la montée du nazisme, et en France l’émergence de sensibilités d’extrême-droite, pour qui l’Italie de Mussolini et l’Allemagne d’Hitler sont des modèles.

Avec « Le Temps des cerises », nous voici en 1936. Année capitale s’il en est : c’est l’année du Front populaire en France et celle de la Guerre Civile en Espagne, deux évènements majeurs que Boro va devoir affronter bille en tête. La rencontre de Liselotte, une jeune fille de 17 ans, va le mettre sur la trace d’une organisation d’extrême-droite, la Cagoule, qui œuvre pour le démantèlement de la démocratie et l’alignement sur l’Allemagne. Parallèlement, par le biais de sa cousine Maryika, il fait la connaissance de Dimitri, jeune combattant communiste qui veut se battre en Espagne.

Franck et Vautrin ne s’en sont pas cachés : ils font clairement du roman-feuilleton. « On pense aux personnages de Dumas, de Féval, d’Eugène Sue… Tout y est, tous les ingrédients de l’aventure exceptionnelle et de la mission impossible ». (Nicolas Bréal, « Le Quotidien »)

Tout y est dans l’intention, y compris la défense des victimes, des petits, des prolos. Tout y est aussi dans la forme : le rythme trépidant, les personnages hauts en couleurs, dessinés non pas comme des héros de romans, mais plutôt comme des personnages de BD, ou des personnages de feuilletons télévisées (de séries, dirions-nous aujourd’hui), avec des silhouettes appelées à revenir, comme chez les « vilains » Friedrich Von Riegenburg ou Frau Schmidt, et chez les « gentils » Dimitri (on les retrouvera tous les trois dans le volume suivant « Les Noces de Guernica »)

Il y a du Tintin reporter dans Boro, forcément, mais c’est un Tintin moins idéalisé, Boro, lui, est à 100% dans son époque, il est un témoin, autant qu’un acteur. Les aventures de Boro, si elles représentent une magnifique successions de poursuites, d’amours, de coups de théâtre, de scènes tour à tour violentes, humoristiques ou tendres, sont aussi un témoignage direct sur tout un pan d’Histoire (notre histoire), et qui plus est, vue d’en bas, par les yeux des vrais acteurs du drame, loin des livres d’histoire, ce qui donne à l’ensemble une belle apparence d’authenticité.

Apparence peut-être, mais c’est la même qu’on retrouvait chez Dumas et consorts, qui ne nous a jamais empêché d’adorer ces récits à l’emporte-pièce, pleins de panache et de vie.

Boro c’est Tintin, c’est aussi un peu d’Artagnan. Merci à Dan Franck et à Jean Vautrin de nous l’avoir ressuscité pour notre plus grand plaisir

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Gipsy Blues

De Jean Vautrin je ne connaissais que le grand photographe Boro.

Dans ce roman nous suivons à rebours le sinistre parcours de Cornelius un jeune gitan,dont nous faisons la connaissance alors que la mort est à ses trousses. Il n'a que 24 ans.

J'ai aimé l'écriture de l'auteur qui mêle des termes gitans et nous immerge ainsi au cœur de la "kumpagnia" .Cette écriture offre un bel élan poétique au peuple tzigane et fait la part belle au grand-père de Cornelius,un personnage charismatique qui symbolise à lui seul les valeurs de sa communauté, la liberté la fraternité et la fierté. Avec son violon il traduit mieux que quiconque les joies et les peines de leur histoire.

J'ai trouvé intéressant le face à face symbolique entre ce viel homme et son petit fils,l'un représentant un monde en voie de disparition et l'autre l'espoir d'un nouveau monde sans stigmatisation des gitans.Le trait d'union étant la persécution toujours présente bien que différente.

Ce roman dénonce aussi,au delà de l'univers gitan,notre société qui n'a plus de rêve en dehors de l'avoir et qui pietine de façon insensée et suicidaire tout ce qui constitue la beauté du monde.

Par contre,je n'ai pas été convaincue par le personnage de Cornelius que je trouve trop égocentrique et peu crédible ce qui a gâché un peu ma lecture.
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Les Aventures de Boro, reporter photographe..

Auteurs Dan Franck et Jean Vautrin



Personnage principal , Blèmia Borowicz dit Boro, juif hongrois, est un jeune apprenti photographe dans une agence à Paris.

Au fur et à mesure du défilement des pages de cette belle œuvre on se rend compte qu’il n'a pas froid aux yeux et qu’il est bon parleur .

Malgré son handicap (il boite ), il arrive à se tirer des situations les plus ardues et photographie des scènes de la vie au milieux de l'entre deux guerres .

Ce qui va l'emmener dans des situations dangereuses.

L'histoire est haletante et pleine de rebondissements, le héros dont la vie est inspirée de celle de Robert Cappa, le célèbre photo-reporter est très réussi.

Il y a aussi dans ce roman d'aventures une femme, Marycka Vremler, sa cousine.

C’est celle pour qui Boro se met en danger à plusieurs reprises.

C’est également celle dont il est amoureux depuis des années. Mais cela n'est pas simple





C’est un roman que je vous conseille de lire , un roman d’aventure au cœur d’une période sombre de l’histoire avec un héros plein de charme ,au grand cœur .



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Boro, reporter photographe : Le temps des c..

Troisième et dernier tome de ce cycle. Boro, notre journaliste est confronté à la guerre civile espagnole et aux représailles du groupe d'extrême droite en France. Je n'ai pas du tout accroché avec cet album. Les nus sont pour moi d'aucune utilité. De plus, je trouve qu'il y a des problèmes de cohérence dans les dialogues. C'est dommage car j'aimais bien l'atmosphère rendue par les graphismes.
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Boro, reporter photographe : Le temps des c..

Ce deuxième tome s'ouvre sur la victoire du Front Populaire aux élections. Boro mène l'enquête pour aider à faire sortir de prison le fiancé de son amie, un jeune communiste. J'ai été un peu déçue par cette suite que je trouve un peu "brouillon" et qui part dans tous les sens.
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Boro, reporter photographe : Le temps des c..

Nous retrouvons Boro, le journaliste, dans l'entre-deux guerres. J'aime beaucoup les graphismes qui rendent bien l'atmosphère de l'époque. Ce premier tome pose les jalons de l'intrigue. Leon Blum et le Front Populaire sont victimes de complots d'un groupe d'extrême droite. La lecture est agréable et distrayante.

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