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Citations de Jean d` Aillon (601)


Je ne sais pas ce qui me déplaît le plus chez les chrétiens : leur crédulité ou leur idolâtrie !
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Malgré cela, Guilhem d'Ussel appartenait toujours à un autre monde, celui des coureurs d'aventures ne comptant que sur leur propre force.
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Jeudi dans la maison du roi,
Arrivèrent en bel arroi,
Les trois pucelles triomphantes,
Qui valent vraiment des Infantes
(P103)
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Il avait sous les yeux le corps et le visage de Notre Seigneur Jésus-Christ qui, par un incroyable miracle, avait laissé son empreinte divine sur ce linceul !
Joignant les mains, le sergent templier se mit à prier et à sangloter, remerciant le Dieu de l'avoir choisi pour sauver la plus précieuse relique qui puisse jamais exister.
Il compris que Dieu approuvait son choix de quitter le Temple. Avec la bourse d'Arnaud de Moncontour, il lui avait même offert les moyens de regagner les terres chrétiennes. Dieu ne voulait pas que le saint linceul reste à Acre, dans un pays d'infidèles, mais qu'il soit honoré dans une abbaye de terre chrétienne.
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Guilhem songeait au voyage qu'ils allaient entreprendre. Après ce qu'il venait d'apprendre au palais, c'était certainement le plus mauvais moment pour se rendre à Toulouse. Traverser le Limousain, le Quercy et le Périgord soumis à des guerres entre barons et ravagés par des bandes de routiers serait une expédition périlleuse, surtout avec des femmes, des enfants et des hommes refusant de se battre.
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Finalement, à sept heures et demie du marin, le 21, les premiers détachements alliés entrèrent dans Aix.
A neuf heures, toutes les cloches sonnaient et les premiers chars américains prenaient place sur le cours Mirabeau.
Des centaines de résistants, jusque-là inconnus descendirent alors dans les rues : Je n'en avais vu autant ! déclara avec surprise un partisan, pourtant dans la clandestinité depuis deux ans.
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C'était un vieux reître, maigre et noué par les ans, tout couturé de cicatrices. Moustache en crocs, justaucorps de buffle barré d'un baudrier soutenant une lourde épée de fer à poignée de cuivre, bottes à revers jusqu'aux cuisses et éperons tintinnabulants, il avait tout du capitan de la comédie italienne avec une seule différence : lui, il était mortellement dangereux.
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- Oui, ce garçon qui enlève une épine douloureuse de son talon. Seulement, à la différence du spinario, je ne ressens pas une piqûre, mais deux, et je n'ai pas vocation à aimer souffrir comme saint Eustache.
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Le comite hésita un moment, Il n'avait pas à obéir à un inconnu. Mais un lieutenant-colonel... des chevaux-légers qui plus est, c'était différent.
Il savait qu'il n'existait que quatre régiments de gendarmes chevaux-légers : Berry, Bourgogne, Orléans et ceux de la reine.
Ce n'était que des corps aux service de la famille royale. Cet homme pouvait lui faire perdre sa place.
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- Je peux gracier mais je ne dois jamais pardonner.
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Condé montra ses dents et grogna :
- Claire-Clémence est folle, monsieur Fronsac ! Folle à lier comme sa mère.
- Je n'ai pas choisi de l'épouser, vous le savez. Mais elle s'est montrée hardie durant la Fronde. Elle s'est comportée comme une princesse de Condé et je lui en saurai toujours gré.
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Louis Bourbon était l'ami de Louis Fronsac, l'ancien notaire roturier qui avait été à ses côtés à Rocroy, quatre ans auparavant, alors qu'à vingt-deux ans, le prince n'était que duc d'Enghien.
Tous deux, avaient aussi été les frères d'armes du marquis de Pisany.
.../...
Pour toutes ces raisons, Louis était un féal du prince. Un de ses hommes liges.
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Louis n'avait pas besoin de se retourner pour savoir qui était celui qui venait de l'interrompre aussi grossièrement. Louis de Bourbon, nouveau prince de Condé et actuel général de l'armée du Nord, avait fait quelques pas vers lui et le considérait avec un sourire moqueur.
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- Je crois pourtant que vous ne m'avez pas tout révélé, monsieur le chevalier, ajouta Enghien dans un rictus effrayant.
.../...
Sachez, Fronsac, que je n'aurai pas accepté qu'ils vous tuent.
Et s'ils l’avaient fait, ils l'auraient payé fort cher. On ne touche pas à mes fidèles.
.../...
Je veux que chacun à la Cour sache que vous êtes mon ami et que personne ne doit attenter à vos jours. S'attaquer à vous, c'est s'attaquer à moi gronda-t-il.
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- Songez à votre origine et à la mienne. En m'épousant, vous perdriez tous vos amis et toute considération dans ce monde.
- Vous vous trompez, lui répliqua-t-il. Vous êtes plus digne d'estime que toutes celles que j'ai rencontrées. Quant à mes amis, je n'ai nulle crainte, ceux qui vous connaissent m'ont déjà approuvé.
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Le duc d'Enghien dit à Louis Fronsac :
- Gardez vous bien, et n'oubliez jamais que vos ennemis sont aussi les miens, même si ce n'est pas le cas de vos amis.
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Sur le plan militaire, Rocroy est aussi une rupture totale dans le déroulement des grandes batailles de fantassins.
En effet, le duc d'Enghien, le futur Grand Condé, va pour la première fois s'affranchir des règles immuables en vigueur depuis trois ou quatre siècles dans la stratégie militaire.
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- Je me bats avec les armes que Notre Seigneur m'a donné, monsieur ! répliqua fièrement Gaston. ici je n'ai que mes poings pour défendre mon honneur !
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- Je peux être votre homme, seigneur. Je veux bien faire la guerre pour vous, mais je ne veux ni voler ni piller comme l'ont fait les hommes de La Fourque.
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Mais en 1560, l'Inquisition avait d'autres préoccupations. A Tolède, les Morisques, ces Maures espagnols convertis, donnaient beaucoup de travail aux tribunaux ecclésiastiques. En effet, les religieux jugeaient généralement que la conversion de ces musulmans était feinte et préféraient les condamner au bûcher.
En outre, en Europe, l'hérésie luthérienne gagnait partout. Calvin avait de plus en plus de disciples en France. L’Espagne même n'était plus à l'abri.
Enfin, le Grand Inquisiteur jugeait qu'on ne pourchassait plus les Juifs avec autant de rigueur que dans le passé et que, même si l’Espagne restait un exemple pour la chrétienté avec ses exécutions massives (chaque année quelques milliers de Juifs expiraient dans les flammes), la répression restait insuffisante.
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