Jean d` Aillon

Un roman qui plonge le lecteur avec brio dans la ville d'Aix d'ancien régime. Une fois commencé on ne peux plus s'arrêter. Seul bémol: les descriptions au début du roman peuvent perdre le lecteur. Mais une fois ce cap passer c'est un bijou.

Tout commence bien. L’histoire de Concini ou l’enquête de Gaston et Louis sont bien menés sans temps morts même s’il y a peu de suspense.

Par contre une fois l’affaire achevé, il y a encore des pages :et à moins goût elles ne sont pas nécessaire et sont plutôt gavante. On entre dans les détails de l’histoire d’après la Fronde au moment où chacun essaye de se racheter. Ce n’est pas inintéressant sauf que cette Histoire là, ne s’intègre pas bien dans l’histoire. Dommage

Tout commence bien. L’histoire de Concini ou l’enquête de Gaston et Louis sont bien menés sans temps morts même s’il y a peu de suspense.

Par contre une fois l’affaire achevé, il y a encore des pages :et à moins goût elles ne sont pas nécessaire et sont plutôt gavante. On entre dans les détails de l’histoire d’après la Fronde au moment où chacun essaye de se racheter. Ce n’est pas inintéressant sauf que cette Histoire là, ne s’intègre pas bien dans l’histoire. Dommage

L'auteur semble prolifique mais quelque soit la qualité réelle de ce roman je vais m'arrêter là. En effet j'ai trouvé que don érudition prenait le pas sur son récit qui du coup perdait de son intérêt.

le livre est très bien

premier livre de l'auteur que je lis.

L'histoire est très documentée, le récit est très précis, peu être trop.

J'aime les romans médiévaux et donc je commence ce livre avec envie.



L'intrigue est très longue à se mettre en place et le premier quart du livre est plus, de ce fait, rébarbative. C'est dans cette partie du roman que la masse de détails est usante. Peu d'action et trop de descriptions à mon gout.

Puis tout s'enchaine, le groupe de "héros" part en quête. L'action prend le dessus, de nombreux retentissements inattendus et vraisemblables servent à ravir l'intrigue de ce roman.

Une fin explicative assez longue, tellement l'intrigue est complexe, mais que j'ai suivi avec attention pour bien comprendre tout les tenants et les aboutissants de cette histoire.

Les personnages principaux sont nombreux et plutôt bien travaillés dans leur caractère. Chacun a sa place et son rôle dans cette histoire. Un petit bémol tout de même à la présence de Robert de Locksley, qui bien que possible historiquement n'apporte pas énormément au récit. Évidement ces qualités d'archer sont primordiales mais Guillaume Tell aurait fait l'affaire aussi.

Un livre sympathique, si on prend la peine de dépasser le premier quart.

J'en lirais peut être un second dans cette série si l’occasion se présente.

Une bonne intrigue, des descriptions sur Paris et la vie aux XVII siècle plus vraies que natures. Cependant, on se perd un peu dans la noblesse et ses multiples duc, prince... ayant tous plus ou moins un lien de parenté. Une généalogie depuis Henri IV, avec ses enfants légitimes et non aurait été la bienvenue.

Le meilleur de "Nicolas le Floch"

Les aventures de Guilhem d’Ussel continuent. Une fois encore, Jean d’Aillon ajoute un personnage littéraire en la personne du comte Dracul, ce qui m’a fait hésiter à me lancer. Mais j’ai toujours eu plaisir à lire cette série. Et je n’ai pas regretté. C’est probablement mon préféré avec « Paris, 1199 ». Il se passe pas loin de Toulouse dans des lieux que je connais (J’habite pas loin de La Salvetat St-Gilles, et je suis allé à Montségur plusieurs fois). Encore une fois un très bon roman, très bien documenté. Vivement le prochain « ???, 1202 ».

Marseille, 1187. L'avenir d'Antoine paraît bien compromis alors qu'il n'a que 13 ans et se trouve déjà confronté aux dures réalités d'une vie ouvrière misérable. Ayant réglé son compte au rustre responsable de la mort de sa mère, désormais orphelin, Antoine n'a d'autre choix que de s'enfuir sur les routes malgré les dangers qu'il encoure à voyager sans protection, à la merci de routiers sanguinaires. Faisant contre mauvaise fortune preuve d'un courage exemplaire, Antoine devient Guilhem, et va s'endurcir au contact de bonnes et mauvaises rencontres, tiraillé entre son appel pour les armes et sa passion pour l'art du troubadour. Sa route croise en particulier celle d'un ancien moine de l'Abbaye de Cluny, accusé d'avoir volé une relique et parvient à laver de tout soupçon le malheureux en confrontant le coupable.



la suite sur mon blog
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Savoureux mélange d'aventure cape et d'épée et d'enquête policiaire sur des fraudes fiscales au temps d'Henri III.

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Je découvre cet auteur par ce livre. Un très bon roman historique où je me suis plue à suivre l'aventure de Louis Fronsac. Une très bonne documentation historique .

Encore une brève note pour conseiller la lecture du troisième opus de la série historique de Jean d'Aillon. Après Marseille et Paris, Guillem d'Ussel se rend à Londres, en mission secrète pour le roi de France. Il y fréquentera la Tour de Londres, et un London Bridge au tout début de sa construction, dans cette étonnante capitale anglaise où normands et saxons s'observent sans aménité, et dont les rois successifs, tout à leurs guerres, sont le plus souvent absents.
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Un bon roman , qui en plus nous plonge dans l'histoire de France.

Dans cet ouvrage, Jean d'Aillon nous entraîne dans la ville d'Aix en Provence en l'an II de notre ère. Le héros est un ancien légionnaire romain qui se retrouve, malgré lui, impliqué dans un attentat qui doit être commis prochainement dans la ville. Mais qui est visé ? Qui sont les coupables ? Les pistes seront nombreuses et fort embrouillées. Mais le héros parviendra à ses fins !

Un ouvrage fort agréable, rempli de faits et d'anecdotes historiques.

Comme toujours avec Jean d'Aillon, on apprend et on se distrait.

Découverte de cet été. Un policier qui mêle beaucoup d'histoire (certains d'iront trop...) à un roman policier très bien ficelé. On suit les péripéties de Nicolas Fronsac, notaire de son état, à travers l'époque troublée de la fin du règne de Louis XIII et les luttes de pouvoir qui en découlent. C'est le premier d'une série,mais chaque tome peut se lire séparément.

L'histoire :

Paris, 1624. Louis Fronsac, tout jeune pensionnaire au collège jésuite de Clermont, est le témoin d'un complot : la Reine Anne d'Autriche doit recevoir un magnifique bijou de la part des Anglais, des ferrets en or et faux diamants. L'escroquerie vise à discréditer l'Angleterre, la Reine, et en cela remettre en cause l'entende entre la France et l'Angleterre.

Avec l'aide de ses camarades de chambre, Louis va manœuvrer pour approcher l'entourage de la Reine, afin de la prévenir de la machination.



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En ces temps de rentrée scolaire, il est bon d'être confrontée à la réalité froide d'une rentrée en 1624, fut-elle parisienne ! Dans ce nouveau roman de Jean d'Aillon, nous retrouvons Louis Fronsac dans sa toute première enquête (les aventures de Fronsac ne sont pas éditées dans l'ordre chronologique) et c'est un véritable enchantement car j'ai eu du mal à me décrocher de ce livre là ! La vie quotidienne au collège de Clermont (actuel lycée louis le Grand) est un véritable anti Poudlard !



Comme les petits sorciers de JK Rowling, les pensionnaires doivent faire face à une nouvelle discipline, mais là où Poudlard laisse une certaine fantaisie, Clermont n'offre qu'une ombre de liberté possible : à cette époque, les enfants ne décidaient pas de leur avenir et certains étaient forcés de devenir religieux ! Bon gré, mal gré ! Mais les enfants restent des enfants et parviennent à se sortir de tout plein de mauvais pas.



C'est toujours un régal, si je peux dire, de lire les descriptions des rues de Paris, couvertes d'immondices, encombrées d'animaux ou encore les ponts habités (comme celui de Landernau).



Un livre recommandé à celles et ceux qui apprécient les énigmes, qui veulent changer d'air en changeant d'époque tout en rafraîchissant (comme moi) leurs cours d'histoire. L'occasion aussi, pour ceux qui connaissent déjà la suite des enquêtes de Louis Fronsac, de découvrir la jeunesse du héros, la maison de son enfance et la manière dont cohabitaient tous les membres de la maisonnée : hébergement des domestiques, repas partagés entre domestiques et "patrons". J'ai bien aimé le personnage du grand-père de Louis, un sacré "Monsieur" ma foi. Et surtout, surtout, mention spéciale de l'histoire, qui bien que revisitée comme il en est fait mention par l'auteur lui-même, est originale, et nous plonge dans un monde autrement plus fascinant que celui des filles et fils à Papa, car il s'agit d'un monde qui nous concerne tous : le monde de nos origines.



Mon article illustré sur le lien








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