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Les enquêtes de Louis Fronsac tome 10 sur 22
EAN : 9782081270060
531 pages
Flammarion (25/01/2012)
3.86/5   63 notes
Résumé :
1617. Des malandrins osent un acte insensé : voler la recette des tailles de Normandie. Qui les a informé ? Concino Concini, maréchal d'Ancre, est-il mêlé à ce forfait ? Mystère, puisqu'il est assassiné peu après, et son épouse, Lénoa Galigaï, exécutée pour sorcellerie. Ultime audace : avant sa mort, cette dernière maudit ceux qui ont trahi son mari. 1649.
Tandis que se termine la Fronde des parlementaires parisiens, Gaston de Tilly, procureur à la prévôté de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Hardi, Pardaillan !

C'est à cela que me fait penser ce roman historique plein d'estocades, de complots, de corruption et de jalousies en ce XVIIe siècle, froufroutant au Louvre et désespérant dans les campagnes.

En 1617, le jeune Louis XIII, excédé par la rapacité sans bornes du maréchal d'Ancre, le redoutable Concini, conseiller de sa mère, Marie de Médicis, envisage sérieusement de faire taire son arrogance. Concini et sa femme, la Galigaï, dame de compagnie de la reine, aventuriers italiens et manipulateurs sans scrupules en quête constante de richesses et de propriétés, fomentent le vol d'un convoi lourdement chargé de la récolte des impôts de Normandie.

L'enquête est confiée à Louis de Tilly, lieutenant du prévôt général de Rouen. Curieusement, celui-ci se tue avec sa femme dans ce qui ressemble à un accident de la route. Plus d'enquête. Plus d'intérêt de la part du roi qui s'est approprié les biens de Concini. Les voleurs ne furent jamais retrouvés. le Trésor public compta ses pertes. Les deux malfaisants périrent, l'un pour trahison, l'autre pour sorcellerie, assénant aux responsables de la mort de son mari une malédiction sur plusieurs générations.

Trente ans plus tard, Gaston de Tilly, fils du précédent, retrouve par le plus grand des hasards, en revenant sur les lieux de son enfance, les rapports de son père concernant ses soupçons et ses recherches quant à l'identité des voleurs des tailles normandes. Il découvre l'identité de l'assassin de ses parents et, aidé dans ses pérégrinations de son ami notaire, Louis Fronsac, ils vont déjouer et élucider bien des méfaits. D'autant plus que la préparation d'un nouveau vol, semblable à celui qui eut lieu trente ans plus tôt, arrive à leurs oreilles.

Ainsi se construit progressivement et à grands renforts de rappels historiques ce roman plein de verve et de trouvailles sur fond de Fronde, d'affrontements entre Mazarin et Condé, de bras de fer entre Anne d'Autriche et les Parlementaires parisiens, de coupe-gorge et de traquenards. le mécontentement est général, touchant les privilèges des riches et renforçant les taxes des pauvres. le pays est en ébullition et aussi en guerre contre l'Espagne, ce qui explique le besoin gigantesque d'argent. Les prix flambent, le pain devient inabordable. Mazarin, comme Concini, est honni du peuple.

«Le dessein proposé par Bréval au duc de Beaufort pour appauvrir Mazarin en le privant de revenus était loin d'être absurde. Les finances du pays étaient vraiment exsangues, les impôts rentraient mal et étaient réduits à la portion congrue à cause des bénéfices vertigineux que prenaient les traitants ».

Gaston de Tilly et Louis Fronsac, de par leurs fonctions, évoluent dans tous les milieux, rencontrent autant de truands à la Cour que dans les auberges. Ils finiront non sans peine à vaincre les obstacles et à retrouver les coupables du vol et de la mort des parents de Tilly après des rebondissements dignes des meilleurs films et livres de cape et d'épée.

Excellents moments de détente grâce à la plume virevoltante de Jean d'Aillon. Beaucoup de personnages qui, quelle que soit leur importance, ont droit à une courte biographie qui s'inscrit facilement dans le texte sans l'alourdir. Par contre, une agréable synthèse pour qui connaît mal cette période compliquée de l'histoire de France.

Première lecture de Jean d'Aillon, conseillée par Srafina que je remercie pour ce bon moment de détente.

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1617. Pendant la minorité de son fils, le futur Louis XIII, Marie de Médicis assure la Régence conseillée entre autres par son favori Concino Concini. Cet aventurier italien a réussi à se rapprocher de la reine grâce à son mariage avec Léonora de Galigaï, une de ses dames d'atours qui fut sa soeur de lait. Riche, puissant et influent, le Maréchal d'Ancre, gouverneur de Rouen, est aussi détesté par la noblesse, le peuple et surtout le futur roi. Celui-ci ayant atteint l'âge de régner, Concini décide de repartir pour son pays avant d'être arrêté ou même tué. Mais pour cela, il lui faut de la trésorerie. Lui vient alors l'idée de voler la recette des tailles de Normandie. L'impôt, acheminé vers Paris sur la Seine, s'élève cette année-là à un million de livres. Ses complices réussissent leur coup mais Concini ne profitera jamais de ces richesses. Il est tué sur ordre du roi et sa femme est brûlée pour sorcellerie. Même, Louis de Tilly, lieutenant du prévôt général de Rouen chargé de l'enquête, meurt avec sa femme dans un accident. Plus personne n'est là pour se préoccuper de ce vol, d'autant que le roi s'est largement remboursé en confisquant les biens de Concini.
1649. Trente ans après ces faits, Gaston de Tilly, procureur à la prévôté de l'Hôtel du roi, apprend le décès du seul parent qui lui reste, son oncle Hercule. Il découvre alors que son oncle s'interrogeait sur la mort de son frère et de sa belle-soeur. Gaston découvre que la mort de ses parents n'était pas accidentelle. On voulait faire taire le lieutenant après le vol des tailles! Il n'a plus alors qu'un seul désir: démasquer les assassins de ses parents pour les venger. Avec son ami de toujours, Louis de Fronsac, il se lance sur la piste des hommes de main de Concini. Mais en ces temps troublés d'antagonisme entre Mazarin, premier ministre et Louis de Bourbon, prince de Condé, ses investigations sur le passé ne plaisent pas à tout le monde.


Jean d'AILLON le précise bien dans sa postface : le vol de la recette des tailles de Normandie n'a jamais eu lieu. Il s'agit juste d'un prétexte pour envoyer sur les routes de France ses "détectives", le marquis Louis de Fronsac et le procureur Gaston de Tilly. A Paris ,d'abord, où les puissants intriguent sous les ors des palais, où les bourgeois affirment leurs positions, où les bas fonds grouillent de bandits prêts à tuer pour une pièce d'or. A chaque coin de rue, une auberge ou une rôtisserie où pour trois sous on peut se gaver de pigeons farcis et se désaltérer de vin de Montmartre. En Normandie, les nobliaux désargentés ont leur honneur pour seule richesse, d'autres moins scrupuleux puisent dans les recettes de l'Etat pour leur propre compte, dans les champs, on moissonne les blés, sur la Seine circule les marchandises. Louis de Fronsac et Gaston de Tilly vont vivre de passionnantes aventures, cherchant la vérité, ménageant les susceptibilités à la fois de Mazarin et du prince de Condé, pour amener devant les juges ceux qui sont coupables et épargner ceux qui sont victimes d'intrigues et de complots.
Un récit foisonnant, une éblouissante leçon d'Histoire, deux héros fougueux et courageux pour un polar historique riche en aventures! J'ai adoré!
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Actuellement je renoue avec mes lectures d'antan, le roman historique et cela grâce à un petit challenge d'été et quelques copinautes.
Cette fois ci c'est Jean d'Aillon, que j'avais découvert avec « Les ferrets de la reine », livre qui nous présentait Louis Fronsac notre héros et son ami Gaston de Tilly, au temps de leur enfance au collège.
Avec « La malédiction de la Galigaï » on se retrouve au moment de l'après Fronde, du temps de Mazarin, et de la fuite du jeune Louis XIV loin de Paris.
Vraiment une très belle écriture, ainsi qu'une intrigue bien construite, l'histoire nous prend et ne nous lâche plus. Et en plus grand bonheur pour moi, j'ai l'impression de replonger dans mes livres d'histoire, mais par la petite porte, dans le quotidien des grands mais aussi et surtout dans celui du peuple tout court.
Louis Fronsac est un personnage récurrent chez Jean d'Aillon, et je me rends compte qu'à travers les différentes allusions faites dans ce livre, des autres aventures de notre héros, l'envie m'est venue de lire les précédents….et les suites.
L'Histoire est vraiment plaisante je trouve quand elle est racontée de cette façon, à la fois ludique et détaillée, avec des faits avérés et des personnages fictifs et réels mélangés. Et puis ma foi un peu de romance et d'aventure rajoutées à tous ces événements réels, ne sont pas pour me déplaire.
De l'Histoire, de la romance, des héros courageux et téméraires, la cour des Miracles, un bon roman de cape et d'épée dans le monde de la prévôté et des procureurs et des brigands de grand chemin à la solde des grands de ce monde qui savent si bien cacher leurs méfaits à travers conspiration et manipulation.
Très sympathique et surtout très intéressant pour les amateurs de l'époque.
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Vol des deniers publics par les grands de ce monde. Taxation à outrance des moins fortunés. Crise économique. Gueguerres (tribales ou presque) entre puissants du royaume au détriment du peuple. Rien n'a guère changé, doesn'it ? Mêlant fiction à l'histoire Jean d'Aillon nous décrit ici les divers mouvements de la Fronde, qui opposa Gondi à Mazarin (qu'il voulait renverser, quitte à détruire la royauté) tandis que le prince de Condé essayait de s'imposer au cardinal (qu'il voulait soumettre et dominer, tout en protégeant le futur Louis XIV). Si le contexte historique est passionnant, la trame imaginée par d'Aillon l'est beaucoup moins, et traîne en longueur. Un coup de théâtre sauve à grand-peine l'ensemble, mais on a une impression de déjà vu et revu. J'avoue que je préfère les romans purement historiques de l'auteur à ses enquêtes policières, aussi sympathiques que soient ses personnages.
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Premier livre de Jean d'Aillon que je lis, très bonne surprise !

Les références historiques super-documentées et très précises, les moeurs de l'époque, les personnages fouillés quoique pour certains un peu rocambolesques, le travail sur deux tableaux...
Seules quelques longueurs sont à déplorer, mais elles sont tellement justifiées de par ailleurs...

Je retenterai l'aventure !
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Louis et Gaston rencontraient chaque jour Pierre Corneille qui exerçait avec sérieux ses charges d’avocat du roi pour les Eaux et Forêts et d’avocat du roi à l’Amirauté de France. Avec lui, ils se rendirent fréquemment aux audiences de la Table de marbre du palais où, trois jours par semaine, se réglaient les affaires dont il avait la charge. Corneille leur parlait aussi de ses pièces avec un brin de nostalgie.

p. 505
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Quelques ricanements menaçants retentirent. L'homme en noir frissonna. Il n'aurait jamais dû accepter la proposition du maréchal d'Ancre. Tout cela allait mal finir, pour lui. Il parvint à déglutir avant de demander poliment :
— Savez-vous où il est, monsieur ?
L'escogriffe hocha lentement la tête, puis glissa quelques mots à son voisin qui se leva pour se diriger vers le fond de la salle.
Les conversations reprirent et plus personne ne s'intéressa à l'homme en noir. Celui-ci hésita. Et s'il s'en allait maintenant ? Il dirait à Gramucci et à Nardi ne pas avoir trouvé Petit-Jacques. Il terminait son verre et s'apprêtait à se lever quand celui qui était parti revint, accompagné d'un jeune homme d'une vingtaine d'années.
Petit, trapu, un regard vif malgré des yeux délavés, des poils épars sur des joues boutonneuses, le nouveau venu portait un grand coutelas à la ceinture et surtout, un masque de cuir sur le haut du visage. Deux hommes plus âgés l'accompagnaient.
— C'est toi qui me cherches ? s'enquit-il en considérant attentivement l'inconnu.
— Oui, monsieur. Si vous êtes Petit-Jacques.
— T'es un archer du prévôt, un exempt ?
— Non, monsieur, je vous en donne ma parole.
— Ta parole ! Mets-toi debout et enlève ton manteau !
Le silence s'établit à nouveau, étouffant et menaçant. Tous les regards étaient tournés vers lui. Malgré la chair de poule qui le faisait trembler, l'homme en noir insista d'une voix peu rassurée :
— Si vous êtes Petit-Jacques, j'ai juste besoin de vous parler un instant.
— J'aime pas répéter…
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— Vous le savez, monsieur Mondreville, les sommes que les receveurs encaissent ont une triple destination assignée par un ordre du roi, débuta Balthazar Nardi sur le ton d'un homme de loi.
— Oui, monsieur. C'est la distribution des finances.
— C'est cela. Une partie est affectée aux dépenses locales, comme les appointements d'officiers, les travaux publics ou les arrérages de rentes, une autre conservée par le receveur, enfin, le reste transporté à la caisse dont dépend le receveur, c'est-à-dire à la recette générale ou à l'Épargne, à Paris. Cette opération, appelée la voiture des deniers, se révèle particulièrement délicate, car on doit prendre des précautions à la fois contre l'insécurité des chemins et la malhonnêteté des receveurs. Une première vérification est faite au départ par un élu délégué ou un trésorier de France. Ensuite, comme le convoi est exposé à être attaqué et pillé par les gens de guerre et les vagabonds sur le grand chemin, les archers de la prévôté sont tenus d'escorter le transport. Malgré ces précautions, de nombreuses attaques contre le voiturage des deniers se sont produites au cours des derniers mois. Devant l'insécurité des routes, le receveur général de Rouen a décidé d'envoyer les tailles à Paris dans une gabarre halée protégée par une centaine de mousquetaires à cheval. Comme aucune attaque ne sera possible dans ces conditions, il fera transporter un million de livres sans aucune pièce d'argent. Uniquement de l'or.
— Un… million ! C'est impossible !
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— Attendez ! Écoutez-moi, je vous en supplie ! glapit l'homme en noir en essayant de se dégager. On m'a dit aussi que vous êtes le marinier le plus adroit ici et que personne ne connaît mieux la Seine que vous…
— Qui t'as clabaudé tout ça ? aboya Petit-Jacques, en le lâchant.
— C'est sans importance ! Ce qui compte, c'est ceci : une barque partira de Rouen dans trois jours. Elle transportera un chargement d'or envoyé par le receveur général au trésorier de l'Épargne, à Paris. J'ai besoin de votre aide pour le prendre.
Petit-Jacques recula d'un pas et une étrange lueur s'alluma dans ses yeux délavés.
— Raconte !
— Je saurai l'heure du départ, mais il y aura des gens armés à bord.
— Combien ?
— Je l'ignore, mais pas plus de trois ou quatre.
— Ils ne me poseront pas de problème. La barque remontera à la voile ?
— Non, elle sera halée. Mais un halage escorté de mousquetaires.
— Combien ?
— Beaucoup, une centaine.
Le brigand secoua la tête.
— C'est trop dangereux !
— Bien sûr que c'est dangereux ! Mais votre part sera à la hauteur du risque.
Petit-Jacques parut hésiter. Finalement, il laissa tomber :
— Je veux mille pistoles !
— Non.
— Alors, file et ne reviens plus ! Je garde tes armes pour m'avoir dérangé.
— Pas mille pistoles. Cinq mille3, lança l'homme en noir, reprenant de l'assurance et comme pour le défier.
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Pour sa réussite incroyable, Concini avait suscité la jalousie et la colère des grands du royaume, écartés des charges lucratives. Quant au peuple, écrasé d'impôts, il fustigeait l'estranger, fourbe et arrogant. Comparé d'abord à Arlequin, le bouffon fanfaron de la commedia dell'arte, puis surnommé le coyon infecté, il était désormais l'objet des railleries les plus vulgaires. On le traitait de bardachon7, de sorcier et de magicien. On l'accusait d'avoir volé des millions à l'État. Ses ennemis collaient des placards insultants devant sa maison, surnommée « laprincipauté de Lucifer », et, deux ans auparavant, on avait découvert à Amiens une mine8 creusée jusqu'à sa chambre dans l'intention de le surprendre sur place et de le pétarder, raison pour laquelle il avait échangé le gouvernement d'Amiens contre celui de Normandie.
Dès lors, objet de haine, Concini disposait de peu de fidèles, sinon une clientèle de parvenus et de nobliaux attachés au vent de sa fortune. Il tenait le royaume de France par les sens de la reine et une féroce répression, couvrant Paris de potences et faisant décapiter ceux qui complotaient contre lui.
Les seuls en qui il avait confiance étaient ses compatriotes.
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