Citations de Jean de Brunhoff (27)
"Tu as de bonnes idées, je te nome général. Et lorsque j'aurai ma couronne je te donnerai mon chapeau."
" Sa maman l'aime beaucoup. Pour l'endormir elle le berce avec sa trompe en chantant tout doucement."
Mais l'après-midi arrive et tout le monde repart à la pêche. Il y a tellement d'hameçons dans la mallette de Babar que Flore ne sait pas lequel choisir.
« Je vais prendre ce joli papillon vert », annonce-t-elle.
Babar en choisit un rouge vif.
« Ces appâts vont nous porter bonheur », dit-il.
En effet, à peine ont-ils jeté leur ligne à l’eau qu'ils ferrent chacun un poisson
« Papa, aide-moi ! Je n'y arrive pas toute seule… »
Et Babar laisse filer sa prise pour aider Flore à remonter son poisson.
(p. 146)
Elle entend chanter les oiseaux et couler un petit ruisseau. Alors là, comme par magie, le joli pot se remplit!
Patali di rapata, cromda cromda ripalo, pata pata ko ko ko
Vraiment pas facile d'élever des enfants, dit Babar. Mais comme ils sont gentils! Je ne saurais plus m'en passer.
Heureusement, une vieille dame très riche qui aimait beaucoup les petits éléphants comprend qu’il a envie d’un bel habit et lui donne son porte-monnaie.
Babar se sauve parce qu’il a peur du chasseur. Au bout de quelques jours, bien fatigué, il arrive prés d’une ville. Il est très étonné parce que c’est la première fois qu’il voit tant de maisons. Que de choses nouvelles ! Ces belles aventures ! Ces autos et ces autobus !
Dans la forêt, un petit éléphant est né. Il s'appelle Babar.
Le pays des éléphants est loin maintenant. Sans bruit le ballon glisse dans le ciel. Babar et Céleste regardent le paysage. Quel beau voyage.
Voilà la mer, la grande bleue.
Poussé par le vent en pleine mer, le ballon est surpris brusquement par une violente tempête. Babar et Céleste tremblent et se cramponnent de toutes leurs forces à la nacelle. Le ballon allait tomber dans l'eau, quand, par une chance extraordinaire, un dernier coup de vent le jette sur une île, où il s'aplatit dégonflé.
"Petit, petit, veux-tu un radis ?" dit Zéphir. Mais à qui parle-t-il donc ? Le coquin essaye d'attirer le lézard craintif qui s'enfuit.
Martha la tortue qui se promenais par là a tout vu et tout comprit à la situation.
Dans la grande forêt, un petit éléphant est né. Il s’appelle Babar. Sa maman l’aime beaucoup. Pour l’endormir, elle le berce avec sa trompe en chantant tout doucement.
Babar a grandi. Il joue maintenant avec les autres enfants éléphants. C’est un des plus gentils. C‘est lui qui creuse le sable avec un coquillage.
Babar se promène très heureux sur le dos de sa maman, quand un vilain chasseur, derrière un buisson tire sur eux.
Le chasseur a tué sa maman. Le singe se cache, les oiseaux s’envolent, Babar pleure. Le chasseur court pour attraper le pauvre Babar.
Babar se sauve parce qu’il a peur du chasseur. Au bout de quelques jours, bien fatigué, il arrive près de la ville…
Il est très étonné parce que c’est la première fois qu’il voit tant de maisons.
Que de choses nouvelles! Ces belles avenues ! Ces autos et ces autobus! Pourtant ce qui intéresse le plus Babar, ce sont deux messieurs qu’il rencontre dans la rue.
Il pense : « Vraiment ils sont très bien habillés. Je voudrais bien avoir aussi un beau costume… Mais comment faire ???? »
Heureusement une vieille dame très riche, qui aimait beaucoup les petits éléphants, comprend en le regardant qu’il a envie d’un bel habit. Comme elle aime faire plaisir, elle lui donne son porte-monnaie. Babar lui dit : « Merci, Madame.» Sans perdre une minute Babar va dans un grand magasin, il entre dans l’ascenseur. Il trouve si amusant de monter et de descendre dans cette drôle de boîte, qu’il monte dix fois tout en haut, descend dix fois tout en bas. Il allait continuer quand le groom de l’ascenseur lui dit : « Ce n’est pas un joujou, monsieur l’éléphant maintenant il faut sortir pour acheter ce que vous voulez, justement voilà le chef de rayon.
Alors il s’achète : Une chemise avec un col et cravate, puis un beau chapeau melon, un costume d’une agréable couleur verte, enfin des souliers avec des guêtres.
Très content de ses achats et satisfait de son élégance, Babar va chez le photographe.
Et Voilà sa photographie.
Babar le jeune roi des éléphants et sa femme Céleste viennent de partir en ballon pour faire leur voyage de noces.
"Au revoir ! A bientôt ! " crient les éléphants en regardant le ballon qui s'éloigne.
Arthur, le petit cousin de Babar, agite encore son béret.
Le vieux Cornélius, qui est le chef des éléphants quand le roi n'est pas là, pense inquiet ;
"Pourvu qu'il ne leur arrive pas d'accident ! "
Le pays des éléphants est loin maintenant.
Sans bruit le ballon glisse dans le ciel.
Babar et Céleste regardent le paysage.
Quel beau voyage !
Voilà la mer, la grande bleue.
Poussé par le vent en pleine mer, le ballon est surpris brusquement par une violente tempête.
Babar et Céleste tremblent et se cramponnent de toutes leurs forces à la nacelle.
Le ballon allait tomber dans l'eau, quand, par une chance extraordinaire, un dernier coup de vent le jette sur une île, où il s'aplatit dégonflé.
Babar va bientôt devenir papa. Il ne pense qu'au petit bébé qui va naître. Soudain, boum. Un coup de canon. C'est le signal.
Babar le jeune roi des éléphants et sa femme Céleste viennent de partir en ballon pour faire leur voyage de noce.
< < Au revoir ! A bientôt ! > > crient les éléphants en regardant le ballon qui s'éloigne.
Arthur, le petit cousin de Babar, agite son béret.
Le vieux Cornélius, qui est le chef des éléphants quand le roi n'est pas là, pense inquiet ;
< < Pourvu qu'il ne leur arrive pas d'accident ! > >
Que c'est long d'attendre ce que l'on désire !
Pour célébrer ce grand mariage, les invités sont arrivés des quatre coins de la grande forêt. La fête peut commencer.
La fête est finie. Maintenant tout dort. Les invités sont rentrés chez eux, très contents mais fatigués d'avoir trop dansé. Le roi Babar et la reine Céleste heureux rêvent à leur bonheur.
Si l'on n'est pas familier avec les personnages de l'entourage de Babar, il n'est pas évident de les appréhender en ce seul album. L'histoire se passe en deux temps différents (celui du temps présent et celui de la narration) et l'intrigue elle-même est relativement complexe puisque le lecteur est amené sur une enquête sur un vol qui n'a en fait jamais eu lieu...
Bref, cet album ne me semble adapté ni aux très jeunes à qui l'on fait encore la lecture, incapables de comprendre les niveaux de lecture, ni à ceux qui lisent déjà couramment pour lesquels Babar est sans doute loin de leurs préoccupations.
Tout ça pour dire que j'ai un peu de mal à recommander cet album...