Jeanne-Marie Sauvage-Avit

Mon avis sur ce roman est assez mitigé (et je suis même loin du coup de cœur que j'attendais, dommage) je trouve que les personnages ne sont pas assez décrits, du coup j'ai eu du mal à m'attacher à eux (autant les personnages principaux que secondaires). Je n'ai pas trouvé que les habitants du village se soient réellement battus pour protéger leur village. J'ai trouvé vraiment "gros" ce qu'a fait Jessy pour y parvenir. Je crois que son personnage m'a un peu énervé, tout le long j'ai eu envie de la secouer : d'abord dans sa relation amoureuse, puis dans son aventure "artistique".

Le dénouement est celui attendu et en même temps j'ai trouvé un peu facile la manière de passer du "rien ne va" à "tout est résolu"... Bon en même temps le roman est très court et il est difficile de tout décrire, mais quand même 😉

Malgré tout ça, j'ai passé un bon moment de lecture, la description des paysages est magnifique, on se voit vivre dans ce petit village avec tous les habitants, on comprend l'engouement de Jessy pour son chalet...

Voici la suite de perline, c est l histoire de céleste sa fille qu elle a eu avec gerard.nous retrouvons un autre combat pour l emancipation des femmes après la libération en 1945. Elle se marie avec un soldat américain et se retrouve dans une ferme où la vie est rude

L histoire est bien documentée sur le sujet mais j ai une préférence pour le premier roman. Bonne lecture

Voici un petit bijou que j ai dévoré. Mon deuxième livre de Jeanne- marie Sauvage-Avit. L histoire de la vie de plusieurs femme pendant la guerre de 14 18 et après. La condition féminine de l époque j ai beaucoup appris pendant cette lecture j ai dévoré les pages jusqu'au bout. Je me suis attachée à tous ces personnages qui évoluent pour faire avancer le monde. Un grand roman historiques pour moi-même s il est romancé les faits historiques sont proches.je vous le recommande pour les passionnés! L histoire se déroule près de st Étienne et au alentour de la loire

"Cueilleuse de thé" est un roman qui retrace l'histoire d'une cueilleuse de thé en Inde qui tente de fuir sa condition difficile. Elle part étudier en Angleterre et avec l'espoir de revenir en Inde avec des qualités qui lui permettront d'obtenir un meilleur travail.

L'histoire narre sa vie difficile en tant que cueilleuse de thé et surtout en temps que femme. Même si le travail est pénible, les journées plus longues que celles des hommes, la véritable difficulté est d'être jolie, parce qu'on devient alors la convoitise des contre-maîtres. Et ces hommes ne demandent pas la permission, ces hommes écoutent leurs instinct sans crainte des représailles. Parce que le déshonneur sera sur cette femme souillée que plus personne ne voudra épouser.

Alors l'héroïne part. Elle trouve les moyens de voyager, affrontant sa peur de l'inconnu. Elle débarque en Angleterre où elle trouve du travail, une place à la fac, des gens qui lui sont proches. Tout n'est pas simple, en tant qu'immigrée elle est abusée par ses employeurs qui la sous-paie. Mais peut-être peut-on reprocher à ce livre d'être un peu trop "facile". L'héroïne trouve toujours une solution, s'en sort toujours, ne s'énerve jamais. C'est cet aspect-là du livre qui manque le plus de profondeur et de travail selon moi.

Et comme elle se l'était promis, l'héroïne retourne en Inde pour un meilleur travail, pas exactement comme elle l'avait imaginé cependant. Je dois avouer que la dernière scène avec l'homme qui lui a fait du mal est absolument jouissive (et le terme est particulièrement adapté).

Petit bémol cependant, je ne comprends pas comment son viol a pu la rendre infertile. Je suis interne en médecine et je ne vois pas bien le rapport, sauf s'il l'a tellement déchiré qu'ils ont dû faire une hystérectomie de sauvetage sur hémorragie massive ?.. Je ne dis pas être experte mais je ne suis pas convaincue par ce détail.

En bref, c'est un beau roman qui décrit bien la condition difficiles des femmes en Inde, et qui dépayse en décrivant des traditions et des croyances différentes aux nôtres. Ce roman reste léger, mais ça fait aussi parti de son charme et cela nous permet de rêver.

La ceuilleuse de thé est un ouvrage qui se lit facilement et vous transporte rapidement dans l'univers de l'Inde. Ce n'est pas un chef d'œuvre mais vous passerez un moment agréable et divertissant. J'ai apprécié découvrir au fils des pages cette jeune femme prendre en main son destin pour un pays étranger en dépit de sa pauvreté et son statut de femme immigrée.

Si vous aimez la peinture et les beaux paysages montagnards, n'hésitez pas ce livre est fait pour vous et vous allez passer un bon moment sans prise de tête. L'héroïne Jessy va s'installer dans une maison à la montagne dont elle est propriétaire à la suite de son licenciement. L'indemnité élevée qu'elle a perçue va lui permettre de s'adonner à son art car c'est une talentueuse artiste peintre. Je ne vous en dis plus pour ne pas déflorer l'histoire qui est ma foi très bien tournée.

Trois ans après « La Cueilleuse de thé », prix du livre romantique en 2017, Jeanne-Marie Sauvage-Avit revient avec un nouvel ouvrage, « La Terre des Loups » publié le 18 août aux éditions Charleston.



1944. Haute Savoie. Le célèbre peintre Steven Witzberg est poursuivi par les Allemands. En cause, un portrait qu’il a réalisé d’Hitler. Avec sa femme, Aysun, il s’apprête à passer la frontière Suisse. Mais d’abord, il faut franchir les montagnes. C’est un jeune garçon, fils de montagnard, qui va les aider. Un certain Raymond Boissenet…



44 ans plus tard, Lyon. Jacynthe Delmass vient de se faire virer sans ménagement. Ex bras droit du PDG d’une entreprise de publicité, Jessie a subi les affres du nouveau directeur. Mais qu’importe. Avec les indemnités de son licenciement, elle décide de s’installer au Villaret, dans la commune de Monteloup, et plus exactement dans la bergerie de Witzberg. L’occasion pour elle de se ressourcer et de renouer avec son premier amour, la peinture…



J’ai eu un peu de mal à entrer dans cette histoire. Je dirai que pendant les 90 premières pages, j’ai trouvé le récit long et même plat. Nous assistons à l’installation de Jessie dans la bergerie et faisons la connaissance de Raymond Boissenet, le jeune garçon qui avait aidé Witzberg. Dorénavant en maison de repos et âgé de plus de 80 ans, Raymond relate à Jessie sa rencontre avec Witzberg. Pour le remercier, le célèbre peintre lui avait alors donné une valise avec du matériel de peinture et lui avait offert un tableau qui vaut aujourd’hui des millions.



Les discussions concernant le style du peintre m’ont un peu ennuyée. Je trouvais qu’il ne se passait pas grand-chose. J’attendais le moment où Jessie allait être plus active, plus déterminée. Et puis une fois la centième page passée, le récit est devenu plus intéressant. Les évènements s’enchaînent et le rythme s’accélère. La relation entre Jessie et Mathieu évolue, la venue de son amie Amélia dynamise le récit. Et surtout, Le Villaret est menacé par des politiciens mal intentionnés. Jessie décide alors de sauver par n’importe quel moyen la bergerie. Comment faire pour obtenir rapidement un million d’euros? La solution est toute trouvée: peindre un faux Witzberg et le revendre à prix d’or…





Je conseille?



Ce nouveau roman de Jeanne-Marie Sauvage-Avit vous emmènera en Savoie découvrir les paysages typiques et précieux de la Vanoise. Dépaysement garanti! « La terre des loups » est un récit court et agréable, qui se lit tout de même assez bien. Si les premières pages ont été un peu laborieuses, j’ai apprécié la suite du récit. Les personnages secondaires sont intéressants et l’évolution de Jessie m’a convaincue.






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Nichée au cœur de la Savoie, sept décennies séparent Witzberg, célèbre peintre Allemand, et Jessy, passionnée de peinture, à la bergerie au Villaret.

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Witzberg. A plusieurs reprises j’ai cherché sa trace dans l’art contemporain. En vain. L’inspiration, l’écriture à la fois douce et poétique de l’auteure sont troublantes tant ce peintre m’a semblé réel. J’ai été envoûtée, conquise.

Les personnages sont attachants et bienveillants.

La description des paysages est saisissante. L’auteure nous offre une ode la nature, à l’authenticité, riche d’émotion.

Un livre que l’on savoure, doucement, intensément.

Une histoire tournée vers l’art, qui est sublimée par la précision et l’intensité des mots.

J’ai été plongée entre les palettes, les pinceaux, les toiles et les tableaux, le visage tourné vers l’immensité de la montagne, l’oreille à l’écoute des animaux sauvages. Le cœur conquit par cet ensemble fabuleux.

Je recommande vivement ce roman qui saura vous surprendre et vous faire profiter pleinement de la beauté de la terre des loups.

Avec ce beau roman, l’autrice a su m’emmener en montagne et me faire grelotter de froid alors que nous sommes en été. Intriguée du début à la fin, je ne le lâchais pas et j’ai vraiment apprécié cette lecture.
Lien : https://sorbetkiwi.wordpress..

Une fois de plus, j’ai débuté cette lecture totalement à l’aveugle, j’aime de plus en plus faire cela et débutant des titres sans lire (ou relire) la quatrième de couverture avant.



Et quelle plongée qui avait déjà tout pour me conquérir ! Le roman s’ouvre sur un prologue où Steffen Witzberg, un peintre talentueux, se cache des Allemands dans un petit village de Savoie. Devant leur arrivée imminente, il prend la fuite, aidé des villageois. Des dizaines d’années plus tard, Jessy, jeune femme passionnée de Witzberg, rachète la maison dans laquelle il avait trouvé refuge. Licenciée depuis peu et son couple battant de l’aile, cette experte du peintre espère prendre un nouveau départ et se consacrer à sa propre passion pour la peinture, un peu délaissée jusque là.



Je me suis sentie tellement bien dans cette lecture, dans ce petit village de montagne, à partager les balades de Jessy dans la nature, à me familiariser très vite avec les villageois et ce rythme de vie paisible et doux. Le lieu est aussi pour moi un personnage clé de ce roman qui contribue à mon plaisir de lecture : un petit village préservé, loin de l’effervescence et des frasques de la ville. Seulement, il est menacé par l’installation d’une remontée mécanique qui viendrait détruire tout son charme. Une solution ? Trouver un million d’euros pour installer cette remontée mécanique sur un autre site. Un défi énorme à réaliser en si peu de temps.



Jessy va tellement prendre à cœur de sauver le village qu’elle va avoir une idée exceptionnelle pour réunir ce million, une idée qu’elle va mettre à exécution, en secret. J’ai adoré l’idée et en même temps, elle met à mal la crédibilité du récit parce qu’il m’est impossible de passer outre les petits détails qui rendent les choses assez peu plausibles. En soi finalement, ce n’est pas très grave, c’est ça aussi un roman et on ne peut pas lui demander d’être parfaitement crédible de A à Z (d’autant que ce qui n’est pas crédible pour moi ne gênera peut être pas Pierre, Paul ou Jacques).



Et ces détails, une fois la lecture achevée, ne sont pas tant ce qui m’importe. J’en retiendrai le climat si plaisant, les personnages, le village, l’histoire de ce peintre qui va se mêler au présent de Jessy. J’ai été fort surprise par les ultimes rebondissements de l’histoire qui a su me tenir en haleine jusqu’au bout. J’ai profondément aimé la passion de la peinture présente en toile de fond du roman, l’histoire de ce peintre si habilement mêlée au présent est vraiment jolie tout comme la passion pour la peinture qui anime Jessy elle-même. Je ne vais pas oublier Jessy que j’ai eu temps de plaisir à voir évoluer vers une vie plus complète et heureuse.
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ce roman est normalement une suite mais je n’avais pas lu le premier. Je lis très peu de livres historiques mais j’ai vraiment adoré celui-ci. Les personnages sont hyper attachants, l’histoire change de ce que je peux lire d’habitude.

Ce roman met en avant la place qu’avait les femmes dans les années 40/50. On y aborde plein de thèmes comme le mariage forcé, le traumatisme et la dépression après avoir vu les horreurs dans les camps, la pression parentale ou encore religieuse.

J’ai eu un peu de mal à me mettre dedans au début mais je ne regrette pas d’avoir poursuivi.

Une vraie petite merveille , un dépaysement total et une vrlle leçon de vie d'une jeune femle qui voulait et rêver d'un autre avenir ! À découvrir avec une belle plume de l'auteure. Vraiment ! Les belles histoires se font rares...

C'est un roman historique et féministe, qui rappelle le rôle indispensable que les femmes ont tenu pendant la guerre.

Les hommes partis au front, elles les ont remplacés au pied levé.

Perline est LA féministe de l'histoire, celle qui n'accepte pas forcément les choses, juste parce que ça a toujours été comme ça ! Elle est un petit caillou dans la chaussure de la domination masculine.

Elle est celle qui dit les choses, celle qui dénonce les injustices, celle qui appelle un chat un chat.

C'est très instructif sur la condition des femmes à l'époque. Elles n'avaient aucun droits :

« Quant aux filles, s'il ne rechignait pas à leur donner un minimum d'instruction, il était néanmoins persuadé que leur destin était avant tout de devenir des épouses obéissantes et de bonnes ménagères. »

« Ici, comme ailleurs, les femmes recevaient des gifles. Le mari avait un peu trop arrosé la Saint-Machin, l'épouse avait laissé mourir le feu ou cassé le bol de l'arrière-grand-mère... et vlan ! la baffe tombait. »

C'était il y a cent ans, c'était hier. Ça ne me semble pas si loin, mes grands-parents paternels avaient 21 et 22 ans en 1920.



Mais c'est un roman qui dénonce aussi la barbarie qu'a été la première guerre :

«  Partout en Champagne, en Picardie, les mêmes cimetières, les mêmes croix blanches, les mêmes allées monotones, alignements de tombes uniformes qui hurlaient dans le silence l'accablement d'une nation, la honte des hommes. »

«  Il avait soudain réalisé la catastrophe humaine, la folie d'un pays capable de sacrifier une génération d'hommes en pleine force de l'âge. »



C'est un roman passionnant, qui se dévore !

C'est une lecture engagée, des portraits de femmes déterminées, courageuses et en quête d'indépendance.



Une ode à la recherche de la liberté. C'est féministe et ça nous transporte dans le début de l'émancipation des femmes.



Les personnages sont attachantes, touchantes et on adore les voir prendre leur destin en main.



Une écriture belle et sensible.



Un roman que je conseille grandement.

Et je vous conseille aussi de lire "Perline, Clémence, Lucille et les autres" avant celui ci.

Un roman tout en douceur, quoique que...

D'une très belle plume, en plus de faire voyager, ce livre m'en a appris sur les moeurs dans les plantations de thé, qui a bien y penser, n'ont rien à envier aux plantations de coton en Afrique.

Shemlaheila, jeune indienne de 19 ans, effectue le travail difficile de cueilleuse de thé dans une plantation de la région de Nuwara Eliya au Sri Lanka. À la mort de sa mère, elle se retrouve sans protection face au contremaître, le kangani Datu-Guemi qui est un homme sadique et violent.



Maintenant vulnérable, elle prend une décision courageuse : partir pour l’Angleterre avec dans son bagage un visa touristique, un jean, un dictionnaire hindi-anglais puis quelques économies. Une fois à Londres, la jeune femme est confrontée à la difficulté de l’émigration et doit s’adapter à une culture occidentale qui n’est pas la sienne.

Elle se plonge méthodiquement dans le travail et l’apprentissage de l’anglais avec un rêve en tête : Retourner dans son pays natal en tant que femme libre et indépendante afin d‘y travailler comme vendeuse. Malgré bien des désillusions, elle croise sur sa route des personnes bienveillantes pour l’accompagner dans son changement de vie. Toutefois, Shemlaheila reste très attachée à ses racines et n’a pas oublié qu’à Nuwara Eliya, une jeune personne voit en elle un modèle et attend impatiemment son retour.



Le récit fait des allers-retours entre l’Inde, les plantations de thé du Sri Lanka et L’Angleterre. Dans ses épisodes indiens, le roman invite le lecteur à un voyage sensoriel dépaysant bien que celui-ci ne soit pas toujours idyllique. La romance occupe finalement une place secondaire dans ce livre féminin touchant et optimiste qui porte l’espoir d’une vie meilleure. L’auteure témoigne à travers ce roman de la condition des femmes en Inde, pays émergent où les viols et les mariages forcés font partie du quotidien.



Marie Van Der Vynckt

Je profite de ce mois de décembre où peu de sorties retiennent mon intérêt pour vider un peu ma PAL. Pour ma première lecture j’ai choisi de découvrir ce roman qui a reçu le Prix du Livre Romantique Charleston l’an dernier. Une lecture qui s’annonçait poétique, passionnée, sensible.

(...)

Je viens de finir ce livre et j’avoue que je ne sais pas trop quoi en penser. J’ai aimé suivre l’histoire de Shemlaheila sans pour autant être transportée. Tout d’abord, j’ai eu beaucoup de mal à entrer dans l’histoire et à identifier tous les personnages. Entre les indiens et sri-lankais aux noms imprononçables et parfois identifier par leur statut plutôt que par leurs noms et les nombreux personnages de nationalité anglaise, je me suis un peu perdue. Il m’a fallu atteindre la moitié du roman pour bien tous les cerner et véritablement entrer dans le cœur de l’histoire.

J’ai aussi été dérangée par la chronologie ou plutôt son absence. Impossible pour moi de savoir combien de temps se déroule entre chaque chapitre. (...)

En revanche, j’ai beaucoup aimé les thèmes évoqués dans ce livre. Sous couvert d’une histoire romancée, l’auteure aborde des thèmes difficiles tels que l’esclavagisme moderne, l’abus sexuel ou l’immigration.

La suite sur :
Lien : https://misscroqbook.wixsite..

L'histoire de cette cueilleuse de thé est terrible et magnifique. L'écriture est riche et elle m'a emportée à l'autre bout du monde dès les premiers mots. L’héroïne est déterminée et tous les évènements s'enchainent pour parachever le récit jusqu'à la toute fin. Je recommande !

Beau livre sur la vie difficile des cueilleuses de thé au Sri Lanka. L'auteur s'attache à trois d'entres elles : Shemlaheila qui s'exilera en Angleterre pour parfaire son anglais et échapper à sa condition, Pokonaruya obligée de subir les bassesses de son mari et Mohanty, dont la jeunesse et la beauté la mettent en danger. J'ai dévoré ce livre et l'ai beaucoup aimé même si j'ai trouvé la fin un peu "rapide".