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Citations de Jeanne Pears (118)


Je regarde autour de moi, et la solitude me frappe de plein fouet. Depuis toujours, je repousse tout le monde, et jusqu'à maintenant, cela me convenait. Alors je ne sais pas pourquoi je suis las de tout ça, subitement. Je devrais être parfaitement heureux, mais je ressens comme un manque. J'ignore de quelle façon, mais c'est son image qui se dessine dans mon esprit alors que je divague.
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Parfois, je me dis que je me porterais mieux sans ressentir la peur, mais finalement, j'en ai besoin. Elle me maintient en vie, même si occasionnellement, il faut passer outre.
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Un désir profond est en train de me submerger, j’avais oublié à quel point cela prenait aux tripes, ce besoin urgent de sentir l’autre. Je devrais probablement ralentir, moi qui ne presse jamais rien, mais avec Carter, tout mon bon sens s’évapore
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C’est juste hallucinant. Pourquoi maintenant ? Subitement ? Mon Dieu, je vais perdre la tête. Tout cela me bouscule, me secoue, me chamboule. C’est tellement inattendu. Tellement longtemps que j’ai mis ma vie de femme de côté, je sens que je panique.
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- Je suis honnête et confiant, il y a une différence.
- Un peu comme ces voitures qui affichent un compteur pouvant aller jusqu'à deux cent trente, mais qui se mettent à trembler à peine la barre des cent passée ? Que des promesses...
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J'ai peut-être laissé paraître le contraire, mais je suis quelqu'un de sérieux.

Quand on est pilote, qu'on met sa vie en jeu chaque seconde, à chaque tour sur la piste, il vaut mieux avoir la tête sur les épaules.

Je ne l'ai peut-être jamais autant eu que dans ses bras.
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Mais moi, je ne ressemble absolument pas aux nanas qui gravitent autour de lui, alors je me demande ce qu’il me veut. Est-ce un jeu auquel il s’adonne avec ses copains ? Il ne gagnera rien avec moi. Je ne suis pas dupe. Un mec comme lui n’a rien à faire avec une fille comme moi. 
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A-t-elle la moindre idée à quel point ses mots me touchent ? Une larme s’échappe de mon œil, sous le coup de l’émotion. Certains y percevraient un signe de faiblesse, j’y vois seulement un signe d’amour. Elle la recueille d’un baiser et je crois que je pourrais arracher mon cœur et lui offrir sur un plateau, tellement je suis amoureux de cette fille.
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Elle peut bien croire que j’en ai fini avec elle, elle se trompe royalement. Je suis né pour les affrontements. Sur la glace ou dans la vraie vie, c’est pareil.
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Une simple rencontre, un contact visuel avec de splendides yeux verts ont chamboulé mon monde. Je me sens crétin au possible. Putain !
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Une microseconde plus tard, elle rouvre, fait un pas en avant et ne me laisse pas le temps de me préparer à la gifle qui s’abat soudain sur ma joue. Elle recule et referme brutalement une fois encore.

C’est plus fort que moi, malgré les picotements sous ma peau, je souris. Je souris parce que j’aime voir la fougue dans ses yeux, dans son attitude. Cela signifie que je provoque quelque chose en elle, et c’est bon signe. L’indifférence me tuerait.

– Joanna ! Je sais que tu es toujours derrière ta porte.
– Tu ne sais rien du tout, hurle-t-elle en retour.

À nouveau, j’éclate de rire, parce qu’elle vient juste de confirmer mes dires, ce qui a pour effet de la provoquer. 
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Je distingue une fièvre dans ses iris, si semblable à celle qui m’anime, qui me fait vibrer à ses côtés. J’attrape sa nuque et attire sa bouche sur la mienne, d’une manière extrêmement possessive.
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Il me serre contre lui et m’embrasse avec une tendresse mêlée de dévotion. J’ai tellement envie de lui que cela en devient douloureux.
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Cette chanson dit tout pour moi et je suis mal à l'aise à l'idée que Rim le découvre. Les autres me connaissent depuis plus longtemps, ils savent déjà certaines choses ... Mais Rim, c'est différent. J'aurais aimé être une page blanche, malheureusement j'ai été gribouillée au fil des années.
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Chapitre 28:
Shane
Je lève les yeux au ciel et apprécie le soleil qui caresse mon visage. Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve, si Callie pourra me pardonner, mais quoi qu’il en soit, cela me frappe de plein fouet : je sais ce que je dois faire.
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Quel est le crétin qui s’est garé devant mon portail putain ?! hurle un homme. J’entends la jeune femme s’écrier d’effroi face à son impolitesse, et je prends un instant pour le détailler. Il porte un jean plus très propre, un tee-shirt blanc, (enfin, il devait être blanc à la base) près du corps, et une chemise à carreaux par-dessus, dont les manches sont retroussées jusqu’aux coudes. Des bottes de cowboy complètent sa tenue, bien entendu. Je cherche en bout de bras le chapeau qui aurait parfait l’ensemble, mais ne vois rien. Ce que je ne manque pas par contre, ce sont les deux molosses qui l’accompagnent. Je recule d’un pas, soudain effrayée, même si les dogues argentins sont parfaitement calmes, et sagement assis aux pieds de leur maître. Ils sont impressionnants mais magnifiques, robe blanche immaculée, exceptée une tache noire sur un œil pour l’un, et sur une oreille pour l’autre. Quand mes yeux rencontrent ceux de l’homme, je suis subitement renvoyée des années en arrière. Je le reconnais immédiatement, malgré la courte barbe qui couvre le bas de son visage, malgré les dix ans qui ont passé, malgré les changements physiques qui se sont opérés. Il s’agit de Jay Cooper. J’en déduis qu’il est le frère de la jeune femme qui m’a accueillie, et donc le propriétaire du ranch. Je me sens stupide de ne pas avoir fait le rapprochement plus tôt.
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Chapitre 3 :
Troy
«… Alors comme ça, à vue d’œil, j’ai l’impression que le physique du nouveau ne suit pas et ne tiendra pas la route sur du long terme.
Bon sang, il prend tout son temps pour ôter son casque. Je serre les mâchoires et les poings, impatient de découvrir mon nouveau collègue et, malgré tout, concurrent. Il s’arrête de l’autre côté des barrières, les mains gantées de chaque côté de son casque, et le retire au moment où Jeffrey fait les présentations.
– Troy, je te présente Hope. Hope, voici Troy.
Ma respiration se bloque à l'instant même où nos yeux se rencontrent. J’ai l’impression d’atterrir dans un univers parallèle. Plus aucun bruit ne filtre autour de moi, je ne vois plus rien à part son visage, je n’entends plus rien à part mon cœur qui bat à tout rompre. Je finis par cligner rapidement des paupières, espérant l’espace d’un instant que la personne devant moi change, mais non.
Putain de bordel de merde ! La nouvelle recrue est une femme, et putain, quelle femme ! Celle que j’ai embrassée au club, qui hante mes pensées depuis deux jours. C’est une blague ?! Je vais me réveiller. Je passe rapidement en vue Dwight, puis Valentino, avant de revenir à Jeffrey.
– Troy, Hope est ma nièce … »
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Chapitre 1 :
Troy
«… son attitude est sûrement juste un moyen de se rendre inaccessible, soit parce qu’elle a peur, soit parce qu’elle sait quel genre d’homme je suis, et cela ne l’intéresse pas.
– C’est comme ça que tu t’y prends pour charmer ? Tu complimentes sur le rire particulier et tu t’attardes du regard sur les cicatrices ?
– D’ordinaire, non.
– Qu’est-ce que tu fais alors ?
– Eh bien, après une super conversation sur les arbres à chats, je propose une danse, et si la fille est intéressée, je lui montre à quel point je suis doué avec ma langue, avec mes doigts et avec tout le reste.
Elle commence à vouloir rire, mais elle plaque une main sur sa bouche pour s’en empêcher. Elle est sûrement pleinement consciente que son rire est bizarre, et évidemment, avec ma réflexion à deux balles, elle se retient d’être elle-même. Je n’aime pas ça.
– Mon Dieu, ce que tu peux être arrogant !
– Je suis honnête et confiant, il y a une différence.
– Un peu comme ces voitures qui affichent un compteur pouvant aller jusqu’à deux cent trente, mais qui se mettent à trembler à peine passée la barre des cent ? Que des promesses…
Je ne peux m’empêcher de rire à cette comparaison. Elle est bien la première femme que j’entends faire de l’humour en utilisant les voitures. Alors forcément, elle m’intrigue.
– Je te promets que je peux atteindre les deux cent trente sans trembler, et même plus encore.
Après tout, c’est mon métier, même sans sous-entendu cochon, je ne mens pas … »
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- Je tiens tellement à toi, lui confié-je pour la première fois. Je ne le supporterais pas.
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She is my whole life.
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