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Citations de Jeanne Pears (118)


Ça y est, putain, les choses sont dites. Ça fait bizarre de dire ça comme ça. Je n’avais pas réellement mis de nom sur la relation. Mais c’est fait. Elle secoue la tête, dépitée par mon discours. Je sais que je lui en demande beaucoup et je vois la peine dans son regard. Mais, putain, j’adore baiser avec elle et je refuse que quelqu’un d’autre la touche. Alors ouais, j’y vais à fond, je propose. Je sais que je prends un gros risque vu la situation actuelle, la cohabitation, Scott, mais je suis un connard égoïste et c’est tout
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- La première question à poser est : est-ce que tu aimerais vous donnez une seconde chance ? Si j’en juge par l’état dans lequel son retour t’a mis bien avant d’apprendre ça, il est clair que votre histoire n’est pas terminée.
- Je sais ce que je ressens, elle me fait toujours autant d’effet. Dès que je pose mon regard sur elle, les souvenirs affluent et… On était bien, merde ! Plus que bien. Mais Lexi ? Je me mets à sa place maintenant, et je ne vois vraiment pas.
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- Moi aussi, je t'aime, si tu savais.

- Je le sais, je le vis, je le sens.
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- Je ne peux pas te donner ce que tu attends.

- Mais en attendant, toi, tu prends tout ce que tu veux, c'est ça ? Et il faudrait que je reste pour ça. C'est ce que tu veux, hein ? Explique-moi au moins pourquoi ?

- Pourquoi quoi ?

- Est-ce que je suis trop chiante ? Peut-être pas assez, alors ? Franchement, je ne vois pas. Qu'est-ce que j'ai de travers ? Hein ? Je pense être quand même quelqu'un d'assez sympa. J'aime faire la cuisine pour tout le monde, j'aime le poker, jouer aux jeux vidéo, j'aime les sports en général, je n'ai rien contre un bon match à la télé avec une bonne bière. Je joue au billard, j'aime courir. Enfin, pas trop, plutôt marcher.

Je ne pense pas être trop débile, non plus. J'aime rire, plaisanter avec mes amis, nos amis, mon frère. Je sais écouter et meubler quand l'autre ne veut pas parler. J'ai rencontré tes parents. Tu m'as emmenée à l'anniversaire de ta soeur, putain ! Est-ce que je ne suis pas assez comme les autres ? Pas assez fine, pas assez de poitrine, les cheveux pas de la bonne couleur, pas de la bonne texture, les yeux pas assez clairs ou trop foncés ? Tu baises avec moi mais c'est tout ce qui t'intéresse. J'aimerais savoir pourquoi, parce qu'il doit bien y avoir une putain de bonne raison !

- Je ne veux pas de tout ça, c'est tout. Il n'y a pas de raison particulière. Il faut t'y faire, c'est tout. Ne cherche pas une idée tordue.
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J'espère vraiment que les choses évolueront entre vous. C'est tout le mal que je vous souhaite.
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On dit souvent qu'il faut savoir faire rire une fille pour la séduire, mais je suppose que le mec peut facilement tomber sous le charme de la fille rien qu'en l'entendant rire, rien qu'en voyant son sourire et son visage s'illuminer.
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Je n'ai pas besoin de quelqu'un. Je ne sais même pas pourquoi je lui ai demandé. Je n'arrête pas de lui dire que je ne veux rien de plus, ça ne serait pas vraiment lui prouver le truc que de la traîner à cette soirée. Mais la vérité, c'est que j'aimerais bien voir ce que ça donnerait si on se retrouvait rien que tous les deux, sans les potes à proximité.
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J'ai bien peur de finir par souffrir de la relation plus qu'elle ne pourrait me rendre heureuse. C'est probablement une bêtise de faire ça, mais parfois c'est difficile de se contrôler quand le désir prend le pas sur la volonté.
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Une personne n'est peut-être pas belle pour tout le monde, elle ne l'est peut-être pas de la même façon pour tout le monde, mais quand vous êtes avec quelqu'un, ce quelqu'un vous plaît forcément, il vous attire.
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Chapitre 4 :
Callie
«… – La prochaine fois, abstiens-toi.
Je pivote vers lui doucement et plisse des yeux tout en le détaillant. Je vois qu’il se contient pour ne pas exploser plus encore, même si je trouve sa réaction totalement disproportionnée. Sa mâchoire est contractée et une tension s’est emparée de ses épaules.
– Pourquoi ça te met dans un état pareil ?
– Je n’aime pas qu’on touche à mes affaires, j’aimais comment c’était avant.
– Tu veux dire, en désordre ? Sale ?
Je m’efforce de rester calme, mais j’espère qu’il note bien le ton ironique que j’emploie. Je hausse un sourcil tout en buvant mon verre d’eau. Je ne sais pas s’il comptait sur moi pour un échange tout en cris et reproches, mais je n’entrerai pas dans le conflit. J’ai suffisamment ma dose avec Adam et ses petites crises, je veux préserver une bonne entente à la maison. Et cela semble marcher parce qu’il descend d’un ton en reprenant la parole.
– Ne touche plus à rien.
– Je n’ai touché à rien. Enfin… j’ai tout remis à sa place, plutôt. Je n’ai rien dérangé. Pourquoi ça te met en colère ? Tu as peur que je trouve quelque chose ?
– Je n’ai rien à cacher, assure-t-il, les bras croisés. Mais ma chambre, c’est mon territoire. Tu n’avais pas le droit.
– C’est très clair, je ne recommencerai pas. Ça te va ?
Il grogne pour toute réponse. Je vais vers le four et en sors un plat. Mon gratin a l’air très réussi et il sent super bon. J’entends très distinctement les gargouillis en provenance de l’estomac de Shane. Ça me fait plaisir parce que je me dis qu’il réagit à ce que j’ai préparé et c’est agréable. Cela me fait sourire. Mais je ne vais pas pour autant lui passer sa petite crise, j’ai envie de jouer avec ses nerfs encore un peu. C’est lui qui a commencé après tout.
– Qu’est-ce que tu as fait ? demande-t-il en bougonnant toujours.
– Rien pour toi. Je suppose que si je ne suis pas autorisée à faire le ménage dans ta chambre, je ne le suis pas plus à te faire à manger, le provoqué-je.
C’est juste une déduction logique. Ça ne fait pas longtemps qu’il est parmi nous, mais j’ai l’impression que je vais pouvoir le ranger dans la mauvaise catégorie. C’est vraiment dommage. Au moins dans la famille Hollner, je peux compter sur Eric pour relever le niveau. Un sur deux, cela pourrait être pire.
– Tu n’auras qu’à aller au Burger King ou au McDo, interdiction pour toi de toucher à ce plat.
Il pense sûrement que je plaisante, aussi je me retourne et le fusille du regard. Il finit par quitter la cuisine,....»
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Chapitre 1

Franck

«...– Qu’est-ce que tu fous ? demande-t-il.

– Vous êtes trop lents, je me casse ! Ça fait déjà dix minutes que j’attends.

– Tu es sûr que tu t’es lavé ? me titille-t-il.

– Hein hein, grimacé-je alors que Nathan, notre capitaine, passe à côté de moi.

– Frank ! Attention ! s’exclame-t-il.

C’est trop tard, je viens de percuter quelqu’un et vu le « merde ! » qui s’échappe, ce n’est pas un de mes coéquipiers mais une femme. Quand je me retourne, une rousse au carré flou, accroupie, tête baissée, est en train de ramasser des documents. Je me précipite aussitôt pour l’aider, emmerdé

– Excusez-moi, j’aurais dû regarder où j’allais !

L’inconnue est focalisée sur les papiers éparpillés partout, elle m’ignore. Des pieds passent de chaque côté de nous. Maintenant, avec cette connerie, je vais être le dernier à arriver ! Alors que je lui tends les derniers documents, mon regard tombe sur le dessus de sa main et j’arrête brusquement de respirer. Mon cœur marque un temps d’arrêt, un bourdonnement sourd résonne dans ma tête. Je m’empare de ses doigts et caresse du pouce la petite marque de naissance en forme de croissant de lune et les trois grains de beauté à côté qui font image d’étoiles.

– Lexi ? demandé-je d’une voix très rauque, bien plus que d’habitude.

Putain ! Putain ! Putain! ...»
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Chapitre 4 :
Lexi
«… Le fil de mes pensées est arrêté par Frank qui est en train de faire le pied de grue devant ma porte de chambre.
— Qu’est-ce que tu fais là ?
— J’aimerais te dire deux mots.
— À cette heure-ci ? Sûrement pas. On parlera lors de notre prochaine séance.
— Je croyais que je n’étais pas sur ta liste !
— Je viens de changer d’avis
— Je peux savoir combien de temps ça va durer ce cirque ? Ça n’est pas suffisant que tu emménages dans MA VILLE, que tu débarques dans MON ÉQUIPE, que tu t’immisces dans MA VIE, il faut aussi que tu fasses du charme à MES COÉQUIPIERS !
— Je leur fais du charme ? Mais tu délires complètement ! Je crée des liens avec des personnes que j’apprécie et qui m’apprécient en retour. Ils se sont trompés sur mes intentions au départ, ils se rendent compte que je peux les aider. Ce qui n’est visiblement pas ton cas. Arrête deux secondes de jouer les martyrs, tu veux ? Cela ne te mènera nulle part. Cette situation, fais-je en désignant l’espace entre nous deux, c’est toi qui en es le responsable. Si cela ne te convient pas, tu peux partir. C’est un peu ta spécialité après tout.
Je m’empresse d’ouvrir la porte de ma chambre et la lui claque au nez.»
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Chapitre 4 : Effort
«… — Zachary ?
— Notre ancien colocataire.
— Qu’est-ce qui lui est arrivé ? Pourquoi il est parti ?
— Oh, il n’en pouvait plus de vivre avec moi, répliqué-je gravement.
J’ai le droit à un froncement de sourcils de la part de Rim.
— T’es sérieuse ? me demande-t-il après quelques secondes.
— Ouais, je suis une vraie chieuse.
— Pourtant, si j’ai bien compris, l’appartement est à Sophia et toi tu es toujours là.
— Ouais, mais j’étais là avant lui, c’est donc logique qu’il parte et moi non.
— Tu me dis ça pour me mettre en confiance, c’est ça ?
— Je plaisante bien sûr. Zachary est parti pour le boulot. Par contre que je suis une chieuse, ça c’est vrai. Et je suis sûre que Sophia t’en a déjà parlé.
Son silence en dit long, mais ce n’est pas grave. Après tout, c’est la vérité...»
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Chapitre 3 : Cohabitation
«… — Salut, me dit-il d’une voix super rauque qui m’oblige à lever les yeux vers lui.
— Salut, marmonné-je en retour.
Bordel, mais qui est-ce ? Qu’est-ce qu’il fait là ? Ce n’est sûrement pas un ami de Sophia, encore moins une relation de travail. Je pose enfin mon regard sur mon amie. Un regard un peu perçant, pour l’obliger à tout déballer.
— Euh… marmonne-t-elle mal à l’aise. Rim est le copain d’un de mes cousins qui habite au Texas.
Ouais Kansas ou Texas, c’est pareil. Je hausse les sourcils l’incitant à poursuivre.
— Il est à New York pour quelques mois et du coup comme on a une chambre de libre, il va habiter ici.
Je ne sais pas ce que mes yeux peuvent montrer, mais j’espère qu’ils ne sont pas aussi acérés que mes pensées. Putain, c’est quoi ce bordel ? Je mords l’intérieur de ma joue et joue au ping-pong entre Sophia et lui. C’est quoi ce bordel ?
...»
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Tous ceux qui disent que le physique n’a pas d’importance sont hypocrites. Bien sûr qu’il en a. une personne n’est peut-être pas belle pour tout le monde, elle ne l’est peut-être pas de la même façon pour tout le monde, mais quand vous êtes avec quelqu’un, ce quelqu’un vous plait forcément, il vous attire.
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Chapitre 15 :
Jordan Septembre
«…
— Pourquoi tu es fâchée comme ça ?
– Tu te fous de moi, hein ?
– Non.
– C’est toi qui as commencé. Tu t’étonnes de ne rien savoir mais en même temps tu ne me demandes jamais rien. C’est toi qui ne veux rien savoir.
– C’est faux, je n’ai jamais dit ça.
– Peu importe que tu l’aies dit ou pas, ça revient au même. Tout ce qui t’intéresse, c’est de pouvoir tirer ton coup quand tu le souhaites, sans rien de plus.
– Peut-être, mais je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas qu’on se parle.
– Pour quoi faire ? À quoi ça servirait, hein ?
– Agir comme des amis, réponds-je bêtement, ce qui a pour effet de lui faire lâcher la brosse brutalement sur sa commode et se tourner vers moi.
– Tu veux qu’on soit des amis, maintenant ? ricane-t-elle en faisant un pas. Tu crois vraiment que c’est possible ? Genre comme des sex friends ?
– Je n’en sais rien, je n’ai jamais fait ça jusqu’à maintenant. Tu crois quoi ?
– Oh, mais je ne crois rien du tout, soupire-t-elle.
– Je n’ai jamais été dans aucune relation, mens-je. Je n’en ressens pas le besoin, c’est tout. Et même si on couche ensemble et que je ne veux rien de plus, ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas qu’on soit des amis. Donc, oui, je te propose qu’on soit sex friends.
Ça y est, putain, les choses sont dites. Ça fait bizarre de dire ça comme ça. Je n’avais pas réellement mis de nom sur la relation. Mais c’est fait. Elle secoue la tête, dépitée par mon discours. Je sais que je lui en demande beaucoup et je vois la peine dans son regard. Mais, putain, j’adore baiser avec elle et je refuse que quelqu’un d’autre la touche. Alors ouais, j’y vais à fond, je propose. Je sais que je prends un gros risque vu la situation actuelle, la cohabitation, Scott, mais je suis un connard égoïste et c’est tout.
...»
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Jeanne Pears
Chapitre 15 :
Jordan Septembre
«…
— Pourquoi tu es fâchée comme ça ?
– Tu te fous de moi, hein ?
– Non.
– C’est toi qui as commencé. Tu t’étonnes de ne rien savoir mais en même temps tu ne me demandes jamais rien. C’est toi qui ne veux rien savoir.
– C’est faux, je n’ai jamais dit ça.
– Peu importe que tu l’aies dit ou pas, ça revient au même. Tout ce qui t’intéresse, c’est de pouvoir tirer ton coup quand tu le souhaites, sans rien de plus.
– Peut-être, mais je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas qu’on se parle.
– Pour quoi faire ? À quoi ça servirait, hein ?
– Agir comme des amis, réponds-je bêtement, ce qui a pour effet de lui faire lâcher la brosse brutalement sur sa commode et se tourner vers moi.
– Tu veux qu’on soit des amis, maintenant ? ricane-t-elle en faisant un pas. Tu crois vraiment que c’est possible ? Genre comme des sex friends ?
– Je n’en sais rien, je n’ai jamais fait ça jusqu’à maintenant. Tu crois quoi ?
– Oh, mais je ne crois rien du tout, soupire-t-elle.
– Je n’ai jamais été dans aucune relation, mens-je. Je n’en ressens pas le besoin, c’est tout. Et même si on couche ensemble et que je ne veux rien de plus, ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas qu’on soit des amis. Donc, oui, je te propose qu’on soit sex friends.
Ça y est, putain, les choses sont dites. Ça fait bizarre de dire ça comme ça. Je n’avais pas réellement mis de nom sur la relation. Mais c’est fait. Elle secoue la tête, dépitée par mon discours. Je sais que je lui en demande beaucoup et je vois la peine dans son regard. Mais, putain, j’adore baiser avec elle et je refuse que quelqu’un d’autre la touche. Alors ouais, j’y vais à fond, je propose. Je sais que je prends un gros risque vu la situation actuelle, la cohabitation, Scott, mais je suis un connard égoïste et c’est tout.
...»
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Chapitre 1 :
Sarah Juillet
«… Il porte le mobile à son oreille sans me lâcher des yeux. J’entends les sonneries puis mon frère répondre.
— J ? Qu’est-ce qui se passe ? Tu as besoin de conseils avec Barbie ? ricane-t-il.
— Ta gueule, ducon ! grimace Jordan. Scott, ta sœur est là.
— Comment ça, ma sœur est là ? demande Scott, visiblement incrédule.
Jordan se relève et s’éloigne légèrement. Je ne peux plus entendre mon frère, mais les paroles de Jordan me parviennent toujours très clairement. Je pose les yeux sur l’écran XXL accroché au mur d’en face.
— Écoute, je l’ai trouvée devant notre porte. Elle fait peur à voir, putain ! Je n’en sais rien ! Elle voulait repartir, j’ai réussi à la retenir. Elle… On dirait qu’elle a été battue, murmure-t-il. Je ne lui ai pas demandé ! Ramène ton cul vite fait. Je veille sur elle en attendant, fais-moi confiance...»
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