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Citations de Jennifer Johnston (106)


The Captains and the Kings (1972) winner of the Author's Club First Novel Award
The Gates (1973)
How Many Miles to Babylon? (1974)
Shadows on Our Skin (1977) shortlisted for the Booker Prize
The Old Jest (1979), winner of a Whitbread Book Award for 1979
The Nightingale and Not the Lark (1980)
The Christmas Tree (1981)
The Railway Station Man (1985)
Fool's Sanctuary (1988)
The Invisible Worm (1992)
The Illusionist (1995)
Three Monologues: "Twinkletoes", "Musn't Forget High Noon", "Christine" (1995)
The Desert Lullaby (1996)
Finbar's Hotel, edited by Dermot Bolger (1997) (Contributor)
Two Moons (1998)
The Essential Jennifer Johnston (1999) (contains The Captains and the Kings, The Railway Station Man, and Fool's Sanctuary)
Great Irish Stories of Murder and Mystery (2000) (Contributor)
The Gingerbread Woman (2000)
Mondschatten (2000)
The Great Shark Escape (2001)
This is not a Novel (2002)
Grace and Truth (2005)
Foolish Mortals (2007)
Truth or Fiction (2009)
Shadowstory (2011)
Fathers and Son (2012)
A Sixpenny Song (2013)
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Because I am an officer and a gentleman they have given me my notebooks, pen, ink and paper. So I write and wait. I am committed to no cause, I love no living person. The fact that I have no future except what you can count in hours doesn't seem to disturb me unduly. After all, the future whether here or there is equally unknown. So for the waiting days I have only the past to play about with. I can juggle with a series of possibly inaccurate memories, my own interpretation, for what is worth, of events. There is no place for speculation or hope, or even dreams. Strangely enough I think I like it like that.
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Aujourd'hui , Imogen est décidée à explorer le passé pour comprendre ce qui, à force de non-dits, de désirs inavouables, de violence contenu, a conduit à une tragédie
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Écho : répétition des sons, due à la réflexion des ondes sonores par un obstacle qui les répercute. Plate et insipide définition du dictionnaire d'un phénomène charmant et plutôt romantique.
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Je me suis réjouie qu'il ait noté ma ressemblance avec sa grand-mère, une formidable mère de huit enfants. J'aime ce sentiment de continuité, d'avoir été plantée à un moment donné dans le passé.
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Certains souvenirs sont si joyeux que l'on peut s'en repaître indéfiniment ; il en est d'autres que l'on aimerait repousser, loin, dans l'obscurité d'où ils ont brusquement jailli.
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J'habite aujourd'hui une maison coquette à Sandycove, sur une route qui mène à la mer. J'ai besoin de vivre près de la mer ; je ne veux pas être dedans ni dessus, mais il m'est difficile de vivre sans son bruit, son odeur, sans les reflets du ciel, des nuages, de la nuit, des gris, des bleus, et j'aime le tumulte des tempêtes.
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Le sommeil est une chose étrange : tantôt sans raison, on s'agite, on passe la nuit à se retourner, à se tortiller, à soupirer et à malmener son oreiller, tantôt, alors que tout l'univers est en train de basculer, on dort comme un bébé dès l'instant où l'on a posé la tête sur l'oreiller.
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C'est le sentiment de l'échec qui m'accable, et le chagrin.
Le chagrin de n'avoir su connaître mon fils et, le connaissant, de n'avoir su le sauver de la mort.
L'amour ne suffit pas.
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Il ne paraissait pas s'intéresser outre mesure à son travail scolaire, il pouvait tantôt remettre un devoir bâclé et tantôt surpasser les meilleurs de sa classe, ce qui avait l'heur d'exaspérer ses maîtres. Il échappait à leurs commentaires. Pour eux, il était aussi insaisissable qu'un oiseau de mer. Je ne pense pas que ce soit une qualité appréciée des professeurs.
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Il ne m'est pas venu à l'esprit à ce moment-là que je serais peut-être heureuse de rentrer à la maison. Auparavant, je devais retrouver ma confiance en moi et mon énergie. Les livres, me semblait-il, étaient là source à laquelle je puiserais la force nécessaire.
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Je ne crois pas que l'âge ait à voir avec le fait que les gens se plaisent ou non.
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Je m'étonne toujours que, dès l'instant où l'on commence à puiser dans les eaux de la mémoire, les choses les plus étranges se prennent dans le filet.
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Je m'étonne toujours que, dès l'instant où l'on commence à puiser dans les eaux de la mémoire, les choses les plus étranges se prennent dans le filet.
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Je suis plutôt contente de ne pas être née garçon: je préfère avoir été une enfant un peu délaissée plutôt que d'avoir eu à supporter le poids des attentes d'autrui. Personne ne se souciait que je sache remonter du fond de l'eau, que je sois première ou dernière en classe, jolie ou banale, solitaire ou populaire à l'école. On ne me prêta attention que le jour où je perdis la faculté de parler.
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Alors qu'Arthur était un homme influent , acharné au travail, un esprit noble et charitable, Millie fut une épine dans le pied de la famille. Féministe, socialiste, végétarienne, athée, mue par le désir de dépenser en faveur des pauvres tout ce qu'elle pouvait obtenir de la fortune paternelle, telles étaient ses caractéristiques, les moteurs de son existence.
Durant ses vacances, elle dormait dans les fossés et les granges, parfois dans les commissariats de police où elle distribuait des florins , des demi- couronnes et parfois des conseils alimentaires.....



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Je suis moi-même. Je suis Laurence McGrane. Je suis professeur, je sais qui je suis. Je sais que ma femme et mon enfant ont été assassinés. Je sais que je me comporte de façon violente et irrationnelle envers les gens qui disent m'aimer. Je sais qu'un jour je reviendrai à la normalité et que je serai calme, poli et aimable, mais pas encore. Je veux pouvoir crier, m'emporter et haïr, jusqu'au jour où j'en aurai marre de m'apitoyer sur moi-même. Je ne peux pas te donner de date. Alors fous-moi la paix, papa, et cesse de vouloir me guérir.
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Je pleure les morts inutiles.
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- Alors ce sont des traîtres. A L'Irlande et à leur classe et...-il se pencha davantage vers elle - à leur religion.
Il se redressa sur sa chaise.
-Je suis avec toi, fils. Je suis avec toi.
La voix du vieil homme était affaiblie par la boisson et la maladie.
- Ne mêle pas la religion à tes divagations. Les beaux parleurs que vous êtes doivent faire pleurer le Christ. Pleurer.
Elle cria le mot à son fils puis, épuisée par son accès de colère, elle serra les bras autour d'elle comme si elle voulait retenir ses os de tomber.
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J'ai besoin de vivre près de la mer. ; je ne veux pas être dedans ni dessus, mais il m'est difficile de vivre sans son bruit, son odeur, sans les reflets du ciel, des nuages, de la nuit, des gris, des bleus et j'aime le tumulte des tempêtes.
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