Jennifer Weiner

Même si ce n'est mentionné nulle part sur la quatrième de couverture ni ailleurs, il s'agit de la suite d'Alors, heureuse ?. Je l'ignorais en commençant ma lecture, mais le nom de l'héroïne et des autres personnages ainsi que les références au passé me rappelaient vaguement quelque chose et il ne m'a pas fallu longtemps (merci Internet !) pour me confirmer que j'avais déjà croisé le chemin de Candace il y a plus de douze ans...



On retrouve donc ici l'héroïne d'Alors, heureuse ?, Candace, une dizaine d'années plus tard, pour une comédie douce amère qui parle de la famille et plus particulièrement des rapports mère-fille. J'avoue cependant que ce roman m'a laissé assez indifférente : je n'ai pas réussi à me sentir concernée par les brouilles entre Joy et Candace, ni par les difficultés de celle-ci à "digérer" son passé pour aller de l'avant.



D'autre part j'ai trouvé que, pour un livre classé "chick-litt", l'humour n'était pas très présent et l'ambiance était quand même un peu trop sombre à mon goût.



Une petite déception donc...

Une histoire divertissante qui nous montre que le bonheur n'est pas toujours là où on l'attend au départ et qu'il peut prendre un visage différent de ce à quoi nous nous attendions.

J'adore le titre et le clin d'oeil aux chaussures jusqu'à la fin 😊

intéressé par les bonnes critiques US de ce livre en anglais, je me suis laissé embarqué.

la mise en place de l'histoire est un peu longue, mais l'auteur a un sens aigu du détails, de la précision, et on visualise parfaitement les situations des personnage. la deuxième partie du livre est plus rythmée, plus facile à suivre, les éléments de l'histoire prennent sens progressivement.

Sur le fond, le livre est passionnant abordant selon plusieurs points de vue les VSS, avec beaucoup de sensibilité et sans concession sur les responsabilités de chacun.

Un livre qui mérite tout le bien que l'on dit de lui.

Livre emportée pour m'occuper pendant mon hospitalisation. J'ai eu un peu de mal à m'y plonger puis finalement, je l'ai fini dans les 24h. Histoire sympathique avec un dénouement auquel je ne m'attendais pas....

Je ne le relirai pas, mais il a fait son taf, il m'a empêché de m'ennuyer

a seule chose qui lie Rose et Maggie est le fait qu'elles sont sœurs, sinon elles n'ont aucun point commun. Entre relation amoureuse chaotique, relation à l'autre houleuse, secrets de famille ..., nous ne sommes pas sur une simple comédie.



Autant les 100 premières pages sont plaisantes à lire autant le reste du livre aura été pour moi une torture; c'est long, ça n'avance pas. Le personnage de Maggie est insupportable mais pour autant elle arrive toujours à rebondir, arrive toujours à se sortir de toutes les situations; alors qu'à l'inverse Rose cumule toutes les bourdes / désagrément possible. Les disputes sont permanentes et prennent le pas sur l'histoire.



En bref, je n'ai pas du tout accroché au livre et j'ai trouvé que le livre souffrait de certaines longueurs. Le livre est prévisible car tout se finit bien dans le meilleure des mondes (chacun retrouve sa place, les disputes sont oubliées ...)
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Une fois par mois je vais à la bibliothèque de ma ville. Les enfants aiment beaucoup prendre de nouvelles histoires. Elle est petite mais elle a du choix. Pour le moment de mon côté j’ai pris très peu de livres. Du coup avec les vacances je me suis dit que c’était le moment de voir un peu les genres et le choix possible. Et je suis repartie avec 2 livres.



J’ai commencé par le livre « Des amies de toujours ». Le résumé m’a beaucoup plus. Des amies d’enfance perdu de vue depuis une quinzaine d’années et qui se retrouve. L’une d’elle a besoin de l’autre car elle pense avoir tué leurs amours de jeunesse Dan.



Mais je dois avouer que j’ai été déçue. Les premiers chapitres étaient pas mal. Description des personnages, des lieux comme dans tout roman. Et puis au fil des chapitres je me suis lassée. Des flashes back pour nous raconter la jeunesse de ces deux copines, leur histoire, les évènements qui ont fait que Dan n’était pas forcément le garçon si gentil. On traîne en longueur. Et puis voilà qu’un inspecteur de police se rajoute à l’histoire avec lui aussi ces propres flashes back.



C’est seulement sur les derniers chapitres que j’ai apprécié ma lecture. Un peu d’action, avec quelques scènes marrantes et voilà la fin. Bon ok, une petite histoire sympa à lire mais sans plus.



Et vous, connaissez-vous ce livre ? Qu’en avez-vous pensé ?

Bof.....

C'était vendu comme un Bridget Jones français.... Pas vraiment drôle au contraire.

Il s'agit de l'histoire de 3 amies qui remettent en question leur couple et leur vie personnelle. Le roman alterne entre dialogue et introspection de chacune des protagonistes. Guère passionnant.

Roman plat et sans intérêt, à la limite du déprimant. J'ai eu l'impression de regarder un film français, où l'on attend qu'il se passe quelque chose, et on arrive à la fin : rien.

J'adore lire et j'adore les livres "feel good". Quand j'ai commencé ce livre, j'étais partie sur cette idée de livre. J'ai été, au début, déçue quand l'histoire est partie plus sur un policier. Au final, agréablement surprise par l'histoire et j'ai dévoré le livre!!! Tout au long du livre, j'ai eu envie de savoir ce qui allait se passer avec Ben et Evan, et bien sûr qui avait tué Kitty. J'ai eu du mal au début mais j'ai lu les 3/4 du livre en un après midi!

Enceinte, j’ai adoré lire ce livre qui n’enjolive pas la maternité mais qui raconte toutes les galères que chacune peut vivre. J’ai vraiment beaucoup aimé le lire et je l’ai lu d’une traite, sans voir passer l’année que vivent les héroïnes. Je recommande !

Dès les premières pages de ce roman, nous découvrons Sylvie, femme du sénateur et mère de Diana et Lizzie, toutes les deux déjà adultes. Sylvie a toujours tout fait pour sa famille, tout en se mettant elle-même en arrière plan, en sacrifiant ses envies, sa vie. Mais un jour, elle apprend dans la presse que son mari a eu une liaison pendant quelques mois avec une jeune femme de 24 ans. Bien que très amoureuse de son mari, elle décide de le quitter et d'aller vivre dans sa maison de vacances. Elle sera bien vite rejoint par ses deux filles, au bord de la crise elles-aussi.



Comme souvent, je découvre l'auteure en même temps que le livre. Dès le départ, son écriture me charme. J'aime sa manière de décrire les personnages, leurs émotions, les souvenirs, et ceci avec énormément de détails. Néanmoins, cette description très appréciée au départ est devenue quelque peu éreintante. Les pages sont longues, lentes, j'ai parfois sauté des passages. Toute cette description étouffe un peu les petites péripéties de l'histoire que pourtant j'ai aimées.



Ce livre est scindé en 3 parties, elles-mêmes scindées en chapitres d'une vingtaine de pages (un peu long pour moi). Chaque chapitre est associé à une femme de la famille. J'apprécie encore et toujours les narrateurs multiples, les points de vue différents. J'ai surtout apprécié les chapitres sur Diana et Lizzie, peut-être parce que plus parlants pour moi. Les chapitres sur Sylvie sont tout de même intéressants.



Les retours en arrière très présents dans le roman sont vraiment importants pour la bonne compréhension de l'histoire. Ils permettent ainsi de s'attacher plus facilement aux personnages, même si j'avoue qu'à part le personnage de Lizzie, les autres m'ont laissé plutôt indifférents.



Il y a plusieurs thèmes dans ce livre, l'adultère, les secrets, le nouveau départ, la famille, le couple... Et j'ai trouvé que Jennifer Weiner avait une bonne manière de parler de ces sujets parfois délicats.



Dans l'ensemble, je n'ai pas détesté ce roman, mais je ne l'ai pas adoré non plus. J'aimerais tout de même lire d'autres livres de Jennifer Weiner car je pense que je peux bien accrocher avec son écriture. Lequel me conseillez-vous ?
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Sylvie est la parfaite épouse d'un sénateur. Mais quand elle découvre la liaison de son mari en une des journaux, elle décide de reprendre sa vie en main. Direction la campagne avec ses 2 filles, elles aussi en pleine crise existentielle.



Je n'ai pas du tout accroché à ce roman, je me suis ennuyée. La principale raison est que je n'ai pas réussi à éprouver de l'empathie pour les personnages. Ces trois femmes ont des vies tristes mais je suis restée totalement en dehors de leurs histoires. On a le point de vue de chacune, de façon alternée.

J'ai eu du mal dès le début, j'ai persévéré pensant qu'une fois le contexte posé, ça s'arrangerait, mais non.

J'attendais un roman plus drôle, plus joyeux, une comédie ou un feel good.



En bref, ce roman n'est pas pour moi.

Cette mère de famille s'ennuie à mourir...il n'y a pas qu'elle : le lecteur également.

Le point de départ s'avère intéressant mais il n'est qu'un simple prétexte pour faire une resucée de romans que France-Loisirs avait rassemblé sous le titre Piment.

Ce n'est que le déroulé d'une vie sans intérêt dans une microcosme de société américaine telle que décrite dans moult soap opéra.

Tout n'est qu'apparence, étalage de richesse où les seules préoccupations sont l'habillement des enfants et la préparation de fêtes pour les enfants qui ne sont que le moyen d'en mettre le plus plein la vue aux autres.

L"héroïne est débordée par tout, est surtout préoccupée de ce que penseront les autres personnes du quartier où elle habite.

Ce n'est que répétition des mêmes questions, des mêmes routines quotidiennes totalement dénuées de relation avec la réalité des choses.

Un crime ? Une enquête ? Où ça ? Si le crime, on est au courant mais la suite ne vient pas. C'est dilué au possible, on retrouve les inévitables souvenirs du grand bal, des garçons connus à cette époque, des robes choisies.

Ne pas oublier une multitude de personnages. Ils sont tous nommés, du plus insignifiant au plus important. Il est vrai que c'est là un gros défaut de romans américains.

De l'humour paraît-il. Je n'ai rien trouvé qui ressemble à quoi que ce soit d'humoristique, où alors c'est du style Mister Bean dont le succès m'échappe toujours alors que j'adore l'humour anglais.



D'un roman détente, j'attends d'être emmené, dépaysé, charmé. Ici, j'ai eu l'impression de lire le descriptif du type de scénarios recherchés pour faire une série bon marché.



J'ai jeté l'éponge après un petit 150 pages.

Contrairement à un roman précédent dans cette série, je n'irai jusqu'à dire qu'il est juste bon à caler une armoire. C'est simplement que cette série n'est pas faire pour moi, je n'aime décidément pas cet univers totalement artificiel, insipide, totalement déconnecté de la réalité. Je suis le premier à dire que dans un roman, le seul maître à bord est l'auteur, qu'il peut se permettre de créer un univers mais ici, ce n'est pas le cas, il reprend des codes utilisés par ailleurs.



Il existe un lectorat pour ce type de romans, je ne jette nullement l'opprobre sur ceux qui en font partie, il faut juste savoir où on met les pieds.

En tout cas, il ne s'agit nullement d'un bon polar.



Bonne lecture... à ceux qui aiment.

Ma note ne porte pas sur une valeur absolue de l'ouvrage, elle est juste le reflet de mon ressenti, de ma côte d'amour.

Cannie est une journaliste d’une trentaine d’années et ronde certes mais plutôt bien dans sa vie jusqu’à ce que son ex petit-ami Bruce publie dans un magazine féminin un article sur leur vie intime et sa « différence » physique. D’abord en colère, elle décide pourtant de le reconquérir mais les choses ne vont pas se passer comme elle le souhaiterait…

Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu de chick-lit ! Je trouve que ce type de lecture, davantage pour les filles, est idéal pour les vacances car il est amusant et rarement prise de tête et ce roman de ne déroge pas à la règle et reprend bien les codes du genre : héroïne féminine, personnages hauts en couleur, humour, amour, famille et amitié.

Et j’ai trouvé en Cannie une jeune femme moderne, sympathique, fragile, touchante et attachante et au fil des pages je découvre sa vie avec ses moments difficiles ou heureux et évidemment le dénouement est digne d’un roman chick-lit mais le principal reste que j’ai passé un moment sympathique et rafraichissant en sa compagnie et pour ce genre, j’en demande pas plus ! 😉

J'avais déjà lu des romans de cette autrice dont mon premier "Envies de Fraises", offert par une collègue alors que j'étais enceinte et qui m'avait assez plu par son côté Desperate Housewives.



Ici, ce n'est pas du tout le cas. Celui-ci est même la suite du roman "Alors heureuse !" que je n'ai pas lu.



Je cherchais un livre détente et drôle mais c'est un roman sur la relation difficile entre une mère, Candace surnommée Cannie et sa fille, Joy. Candace est autrice. Elle a écrit un roman qui a cartonné et se contente d'écrire, sous un pseudonyme, de la SF.

Elles sont juives et une très longue partie de ce roman qui fait 444 pages, et consacrée à la barmitsva de Joy. Ses envies, celles de sa mère. Les barmitsvas de la famille, des amis,...

Mais aussi les relations toutes aussi compliquées de l'une et l'autre avec leur père respectif.

Des secrets, des mensonges, des faux semblants,...



Les chapitres sont narrés, en alternance, par Candace et Joy.

Il y a beaucoup de répétitions. Les nombreux passages avec la robe sont pénibles. Rien de drôle et même un roman finalement assez triste.

Dans ma version, il y a même quelques coquilles.



Heureusement, toutes les relations parents-enfants ne sont pas aussi délicates à passer à 13 ans, enfin j'espère.

2 sœurs et leur mère traversent une zone de turbulences. L'occasion pour elles de se rapprocher et de découvrir ce qui les porte vraiment.

Un beau roman américain, avec en toile de fond la description un peu amère des coulisses de la politique made in US.

Derrière sa couverture et son titre qui donnent envie de le lire sur la plage, ce roman n’est pourtant pas le livre auquel on pourrait s’attendre (mais vous pouvez quand même le lire à la plage!).





Daisy a une vie bien rangée, entre son mari parfois distant et sa fille adolescente qui se montre un peu difficile. Elle vit dans une jolie maison et se considère comme chanceuse. Mais pourtant, quelque chose la tracasse et l’empêche de dormir.

En parallèle, elle reçoit des mails qui ne lui sont pas destinés. Ils sont adressés à Diana, une jeune femme qui vit une vie très éloignée de celle de Daisy.

Les deux femmes finissent par s’échanger des mails et se rencontrent. Elles deviennent amies, et on comprend vite que ce rapprochement n’est pas vraiment une coïncidence..



Après une première partie relativement lente et trop descriptive à mon goût, j’ai vite été happée par l’histoire, prise de sympathie pour Diana, Daisy et sa fille Beatrice.

Même si j’ai deviné assez rapidement le « pourquoi du comment », j’ai tout de même été surprise à de nombreuses reprises, et j’ai trouvé l’histoire intéressante.



Ce roman traite de sujets forts et sensibles en surfant sur la vague du mouvement Me Too et de la pensée « boys will be boys ».

L’autrice y dépeint une réalité effrayante, celle dont les femmes et épouses sont perçues.



Entre l’été, la plage et la mer, on y découvre deux femmes qui n’ont rien en commun, et qui, pourtant, vont devenir amies. Un acte peut avoir des répercussions terribles, et de l’envie irrépressible de vengeance.





Que s’est-il passé cet été la ?

J'ai choisi ce roman qui est enterré dans ma PAL depuis plusieurs années pour avoir une lecture détente et m'attendant à une histoire girly.

Clairement, c'est trop pour moi ! Je ferme les yeux et je vois du rose, des chaussures et du maquillage, sans compter les nombreux cocktails !

Il y a à peu prés 400 pages de trop !



Deux sœurs qui sont opposées pour tout sauf pour les chaussures.

Une bosseuse à lunettes pas taillée comme un mannequin et chaussant que des marques et si possible à talons hauts, d'un côté, j'ai nommé Rose.

Une sexy girl, qui a du mal a garder un emploi, voleuse, menteuse, profiteuse, j'ai nommé Maggie.

Une mère qui manque, un père caché derrière une belle-mère taillée comme Cruella d'enfer.

Et puis il y a le personnage d'Ella, mais dans un premier temps, on ne sait pas où elle va se relier par rapport à tout ce monde.



Il y a les disputes, les non-dits. Mais c'est long car il y en a beaucoup...des disputes.



Tout est bien qui finit bien et sans grand coup de baguette magique.

C'est surtout de tourner la dernière page qui fait du bien car, clairement, je n'ai pas trouvé chaussure à mon pied avec ce roman.

Dans ce livre on suit Candace, journaliste de 28 ans qui a décidé de faire un break dans sa relation avec Bruce. On pourrait imaginer une nième comédie romantique où tout le monde est beau, riche et gentil et bien pas vraiment. Et c'est une agréable surprise car pour une fois on suit une femme en surpoids avec son mal être, ses doutes...on rit mais pas que...Il y a derrière ce livre une véritable réflexion sur la vie des "gros, mais aussi sur ce qui rend heureux, l'essentiel...Ça été pour moi une belle lecture et je vous la recommande.

Envie de fraises.

Ça faisait longtemps que je n'avais lu un Jennifer Weiner, et c'est toujours avec ce style bien à elle, que l'on rentre et ne veut plus sortir du roman.

"Envie de fraises" est un livre pour les femmes qui sont mamans et qui veulent le devenir. Chaque héroïnes incarnent un style et on peut facilement s'identifier. J'ai aimé partager leur doutes, leurs joies , leurs craintes, de faire ce voyage avec elle dans le monde de la maternité, ça m'a permise de voir que oui on ne peut rien prévoir, seulement vivre chaque moment.

Puis de se souvenir qu'être mère , ne font pas des femmes que des "mamans", mais sont encore des épouses, des femmes actives pour certaines, des belles-filles, des grandes sœurs... On n'est pas cantonné qu'à ce qualificatif: maman.

La vie de Lia est un sujet difficile, auquel on ne veut même pas penser une seule seconde, et de voir que l'on peut essayer de se reconstruire donne un espoir.

Merci pour ce beau roman remplis de beaucoup d'émotion, d'humour, de rire, de joie, de larmes.

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