AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Joanne Harris (218)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


A Narrow Door

(J'ai lu ce livre en Anglais, je ne crois pas qu'il soit disponible en français...J'ai traduit le titre mot à mot: The narrow door.)



Il s'agit de la dernière partie de la trilogie de romans policiers de Joanne Harris, après Classe à part, qui se déroule dans l'école de St Oswald, mettant en vedette le vieux maître latin Roy Straitley.

Le lycée pour garçons a une femme à la tête, Rebecca Buckfast, pour la première fois de son histoire et a ouvert ses portes aux filles.

C'est bien assez pour que Straitley s'en occupe, mais certains de ses élèves préférés découvrent un corps dans l'enceinte de l'école le premier jour du trimestre.

Comme le dit Straitley, à sa manière typiquement sèche : 'Les deux dernières années ont été difficiles pour nous tous. Multiples scandales ; un garçon assassiné; vengeance, abus et honte publique… La dernière chose dont nous avons besoin cette année, de toutes les années, est plus d'excitation.'

Lorsqu'il rapporte sa découverte à la nouvelle directrice, il s'avère qu'elle a sa propre histoire à raconter, celle d'un frère qui a disparu il y a des années.

Se déplaçant entre les perspectives de Straitley et de Buckfast - 'dans sa vieille robe noire et son costume taché de craie, il ressemble au dernier morceau de peau morte laissé sur une blessure qui guérit rapidement' - elle pense à son nouveau partenaire d'entraînement.

C'est la digne conclusion d'une excellente série. Straitley et son humour ironique et acerbe nous manqueront beaucoup.
Lien : http://holophernes.over-blog..
Commenter  J’apprécie          50
Chocolat

Il ne s'agit pas seulement d'une histoire de chocolat. Au-delà du fumet qui s'exhale de chaque page et du souvenir coloré que l'on peut garder de l'adaptation avec Juliette Binoche et Johnny Depp, ce roman parle de la fuite désespérée, la vie sans attache, l'état nomade dont parle Aude Seigne.

La magie fait partie intégrante de la vie de Vianne, qui n'a pas seulement un don pour deviner les friandises préférées de chacun.

Là où l'adaptation garde un côté bon enfant et joue la carte de l'exotisme et du conte, le roman se sert de son cadre apparemment innocent pour explorer plus en profondeur la psychologie humaine.



Commenter  J’apprécie          00
Chocolat

"Le Bonheur ! Aussi simple qu'un verre de chocolat. Ou aussi tortueux que le coeur. Amer, doux, vivant".





Vianne Rocher s'installe avec sa fille Anouk, 6 ans, dans un petit village du Sud-Ouest de la France et y ouvre une chocolaterie, La céleste Praline.



« A 6 ans le monde rayonne encore d'un éclat singulier ».

« A 6 ans on peut percevoir des subtilités qui, un an plus tard, sont déjà hors de portée. Derrière le papier mâché, le glaçage, le plastique, elle parvient encore à voir la vraie sorcière, la vraie magie ».





Du chocolat, à croquer, à déguster, à siroter, dans 39 chapitres, du 11 février (Mardi gras, cette année-là), au 31 mars (Lundi de Pâques, cette année-là).

En plein Carême !





Le curé, le père Reynaud, déteste Vianne, et l'idée même de plaisir. Personnage odieux et manipulateur, il monte ses ouailles contre elle, c'est la « brigade de Reynaud ». Il n'est pas plus tendre vis à vis des gitans, il est intransigeant, et prêche « les liens sacrés du mariage », même à une paroissienne qu'il sait battue par son mari.



Dans les chapitres où il a la parole, véhéments, désagréables à lire, le père Reynaud s'adresse à un ancien prêtre, « mon père », confidences réelles ou en pensées ( ?)



« le mal affiche un sourire charmeur et des couleurs vives. Quand j'étais enfant, j'écoutais toujours avec terreur l'histoire de la maison en pain d'épice, de la sorcière qui attirait les petits enfants chez elle et qui les mangeait. »



L'on découvre in fine une sorte de trauma originel, qui l'a fait vriller.





A l'opposé de ce personnage antipathique et méprisant, la douce Vianne, ses friandises, ses recettes gourmandes, son don pour deviner les préférences des uns et des autres, son talent pour faire le lien entre chacun.



L'on comprend in fine pourquoi Vianne a fui toute sa vie, via le souvenir de ses conversations, avec sa mère, qui tirait les cartes, et craignait « l'Homme noir ».



Trauma originel, là aussi.



J'ai en tête ces mots : « Admirable et terrible épreuve dont les faibles sortent infâmes, dont les forts sortent sublimes » (Victor Hugo, dans Les Misérables (je mets le passage complet plus bas) )



Je traduis.

L'infâme, c'est le curé.

La sublime, c'est Vianne et sa chololaterie. Et les chapitres où elle a la parole sont exquis.





Le film magnifique, « le chocolat », tiré du livre, est bien différent, qu'il s'agisse du « méchant », c'est Monsieur le maire, le comte de Reynaud, et non (en tout cas moins directement) le curé, comme de l'histoire d'amour avec le gitan (Johnny Depp encore propret, avant sa période « Eau sauvage »).





Le livre « pêche » un peu, par son manichéisme. Petite amertume…

Commenter  J’apprécie          105
Chocolat

Tout d'abord ce livre déborde de descriptions très détaillées de confiseries, de chocolats et de pâtisseries. L'auteur donne de longues listes de noms de gâteaux et pâtisseries. Difficile parce qu'indigeste. Bref, l'histoire est un peu trop manichéenne malgré une construction bien menée. Seul le personnage de curé tordu est bien intéressant.
Lien : http://objectif-livre.over-b..
Commenter  J’apprécie          10
Chocolat

Un délice!
Commenter  J’apprécie          00
Chocolat

Lecture délicieusement gourmande, qui n'atteint jamais le seuil de rassasiement, Chocolat agit sur nous en véritable addiction au style de Joanne Harris. L'atmosphère y est envoûtante, mystérieuse, magique, changeante au gré du vent, et résolument et empathiquement tournée vers l'autre.

Cette lecture me rappelle tendrement Mary Poppins, qui a bercé mon enfance !



Challenge Multi-Défis 2019
Commenter  J’apprécie          30
Chocolat

j'ai adoré! C'est tout doux,ca sent bon et ca se mange comme des pralines! un vrai bon moment que cette lecture! Une belle histoire,des personnages attachants,un soupçon de magie dans l'air,de la gourmandise,tout y est!

J'ai aussi adoré le film.
Commenter  J’apprécie          00
Chocolat

Un roman bien sympa

L'intégration vaste débat me direz-vous .

Là il s'agit des gitans et des catholiques.Comment vivre ensemble en oubliant les préjugés

Tolérance et plaisir sont les maitres mots de ce roman

j'ai hate de lire la suite
Commenter  J’apprécie          10
Chocolat

J’avais vu le film il y a des années, et je ne pensais pas m’en souvenir du tout. Et pourtant, au fur et à mesure des pages, on se rappelle de petites choses, et ça finit presque par en devenir un peu gênant : on a l’impression de relire une histoire dont on connaît déjà la fin. Personnellement, c’est une sensation que je n’aime pas, hormis lorsque je me replonge dans l’un de mes livres préférés. C’est donc resté une lecture en demi-teinte, malgré l’histoire sympathique et quelques personnages attachants.
Lien : http://therewillbebooks.word..
Commenter  J’apprécie          20
Chocolat

Vianne Rocher et sa fille arrivent dans le petit village de Lansquenet. Mais que viennent-elles faire dans ce trou paumé, où tout le monde se connaît et regardent les étrangers d’un œil méfiant ?

Surtout que la jolie Vianne se permet d’ouvrir une magnifique chocolaterie le jour du Carême et qu’elle n’assiste pas à la messe. Que va penser le curé de la paroisse ? En plus, elle copine avec les gens du voyage qui viennent d‘arriver !



Un soupçon de merveilleux, une généreuse dose de bons sentiments, un petit vent de liberté et de révolte… Voilà la recette de ce roman : intéressant, sans toutefois être inoubliable. J’ai aimé certains personnages, d’autres m’ont semblé mal dégrossis. Certaines intrigues secondaires m’ont également parues superflues.



Ce fut sympathique, sans être inoubliable.
Commenter  J’apprécie          160
Chocolat

J'ai lu ce livre il y a un long moment déjà mais j'en garde encore de bons souvenirs. Je n'aime pas le chocolat mais le titre m'a intrigué. Ce livre traite des relations humaines entre les personnes qui dans un premier temps sont très méfiants vis à vis de cette nouvelle boutique de chocolat qui ouvre. Pourtant, la gourmandise fera bien des miracles et provoquera de jolies rencontres.

J'ai aimé ce livre que je vous recommande.
Commenter  J’apprécie          30
Chocolat

Lansquenet est un petit village paisible, où la vie est routinière et où les villageois se délectent de quelques commérages.

L'arrivée d'une jeune femme et de sa fille va tout changer.

Vianne décide de s'y installer avec Anouk, sa fille, et d'y ouvrir une boutique de chocolat. Suscitant un certain émoi, l'arrivée de cette femme libre et mystérieuse ne plaît pas à tous, et surtout pas au curé du village.



Installée face à l'église, elle ouvre sa boutique le dimanche de la messe et surtout la veille du carême. Décidant également d'organiser un énorme festival du chocolat pour le dimanche de pâques .



Entre Armande, Joséphine, Reynaud, Roux, les Muscat, Guillaume... les secrets vont bon train et se révèlent au fur et à mesure des pages.



J'avais lu le livre il y a longtemps, après avoir vu le film, j'en avais oublié la complexité et les différents thèmes abordés.

Un plaisir littéraire!!
Commenter  J’apprécie          30
Chocolat

Un beau jour de carnaval, dans un petit village du Sud-Est de la France, Vianne Rocher s’installe avec sa fille Anouk, ses cartes de tarot et le souvenir très tendre de sa mère un brin sorcière. Elle ouvre une confiserie et grâce à ses chocolats, ses belles vitrines, les senteurs et la chaleur de sa petite entreprise et toutes ses autres qualités qui sont nombreuses et tendrement féminines, elle attire toutes les âmes jeunes, naïves, fragiles, endolories ou esseulées de l’endroit, déclenchant par là-même le venin des «bonnes âmes» et des «grenouilles de bénitier» avec à leur tête le cabaretier haineux et surtout Reynaud, le curé trop rigide.



Bien sûr cette opposition des deux clans est un peu simpliste et trop systématique transformant le récit en conte de fées en faveur d’une vie douce et indulgente contre les tabous religieux et les vices cachés des puissants et pourtant ce parti-pris ne m’a pas gênée une seconde puisque je me suis sentie constamment du côté des faibles finalement victorieux dans la lutte qui oppose tour à tour les deux narrateurs : Vianne et Reynaud, la gentille chocolatière et le vilain curé. Je me suis laissée prendre au jeu et c’était un grand plaisir de voir les bons l’emporter ainsi sur les méchants dans un roman qui n’a rien de policier et qui pencherait plutôt vers le feuilleton un peu gentillet si ce n’était le talent de la romancière qui a réussi à me séduire d’un bout à l’autre de son récit et à me donner envie, non seulement de voir le film tiré du roman, mais d’en lire la suite.



Evidemment je n'ai pas pu éviter le rapprochement entre le repas de fête offert à l'occasion de son départ définitif par Armande , la grand -mère rebelle, et le fameux "Dîner de Babette" de Karen Blixen.
Commenter  J’apprécie          30
Chocolat

Je lis ce livre pour la seconde fois, en anglais bien sûr encore, presque 7 ans après la première fois. Je souhaite me replonger dans ce village où raison et passion s'opposent, et où le chocolat se fait tentation !
Commenter  J’apprécie          30
Chocolat

Vianne Rocher et sa fille Anouk, âgée de six ans, s'installent dans un petit village fictif du sud-ouest de la France, Lansquenet-sous-Tannes. Vianne y loue une boulangerie qu'elle convertit aussitôt en confiserie, à la stupéfaction des habitants et plus particulièrement du prêtre Francis Reynaud, qui voit en Vianne une tentatrice qui n'a pour autre objectif que de détourner ses fidèles de son église et de la foi, d'autant plus lorsque Vianne annonce un grand festival du chocolat pendant le Carême. Il va alors tout mettre en œuvre pour empêcher la jeune femme de mener à bien son projet, aidé en cela par des commères jalouses. Parallèlement, Vianne noue des amitiés au sein du village, notamment avec Guillaume, inséparable de son chien Charly, Armande, une vieille dame au caractère bien trempé mais finalement attachante et Joséphine, une femme maltraitée par son mari.

L'histoire débute le jour de mardi gras et s'achève le jour de Pâques. Le roman est mené à la première personne, dans des chapitres qui donnent la parole alternativement à Vianne et au prêtre, qui raconte sa lutte contre la jeune femme à son mentor, un ancien prêtre dans le coma tandis que Vianne nous livre ses impressions quotidiennes ainsi que son passé par bribes. L'ensemble constitue ainsi peu à peu une sorte de journal à deux voix antagonistes.



J'avais beaucoup apprécié le film de Lasse Hallström sorti en 2000 avec Juliette Binoche et Johnny Depp et j'ai dans un premier temps retrouvé l'atmosphère du film dans le roman. J'ai aimé le côté superstitieux et ésotérique (les bougies, l'encens, le santal sous l'oreiller pour adoucir les rêves, le tarot...) et bien évidemment, tous les passages ayant trait à la cuisine du chocolat sous toutes ses formes mais j'ai finalement regretté de ne pas lire davantage de descriptions de techniques, de recettes (oui, je sais, je suis gourmande!). L'action m'a semblé ralentir sur la fin ; peut-être qu'en gagnant en concision, le roman aurait-il aussi gagné en densité et en émotion. J'avoue que je me suis un peu ennuyée en atteignant la page 300. J'ai tout de même passé un bon moment mais je crois que j'en attendais trop !

Commenter  J’apprécie          50
Chocolat

"Je crois qu'être heureux est la seule chose qui compte."

Une sorcière? Une sorcière à Lansquenet? Dans notre petit village du Périgord ?

"Tout le monde a besoin d'un petit luxe, d'un petit plaisir de temps en temps".



Quel est ce vent coquin, ce "vent de carnaval", qui poussa Vianne à ouvrir une Chocolaterie artisanale, "La Céleste praline".

Une étrangère d'accord, mais une sorcière?

Elle vend des "rêves, d'exquises tentations", dans sa boutique...



Cette "Céleste praline" embaume le sucre, le chocolat, et la tentation. " Les parfums mêlées du chocolat, de la vanille, et de la cannelle sont enivrantes."...

Un véritable pêché pour beaucoup dont le curé, qui est mortifié par son attirance pour les douceurs exposées (et sans doute aussi par Vianne, si douce et si tentante... ) Une femme libre, sans mari, et qui ne va pas à la messe!



Vianne qui sait deviner, d'un regard, quelle est la friandise à laquelle va succomber chacun de ses clients? Sa mère savait les philtres et les potions, Vianne sait mélanger les saveurs et les parfums...



Vianne va réveiller ce petit village, où les rumeurs vont bon train. Elle et sa fille ne sont que des intruses, aux yeux de Monsieur le maire...



Après Vianne et ses mystères, voilà des gitans, des romanichels, des vagabonds au bord du fleuve. le curé veut protéger ses ouailles, contre ces créatures qui aiment tellement la Vie...

C'est Pâques et le carême...

Alors, ces Violettes en sucre, ces Pralines, ces "Tétons de Venus" exposés en vitrine...



"Le Bonheur! Aussi simple qu'un verre de chocolat. Ou aussi tortueux que le coeur. Amer, doux, vivant".

Armande a succombé, au chocolat "aphrodisiaque". Guillaume gâte son petit chien, sans réfléchir, et puis il y a Joséphine...
Commenter  J’apprécie          7710
Chocolat

J’ai beaucoup aimé le côté « hors du temps » des personnages. En particulier le personnage principal et sa fille.

Le livre tient à la fois de l’histoire extraordinaire, on se croirait dans un conte, et du roman décrivant au bout du compte un banal village de province avec ses habitudes, ses commérages, ses histoires dans les familles, la vie en fait.

J’aime aussi le côté sorcière ou fée de notre « chocolatière », même les plus méfiants s’y laissent prendre, ils semblent retrouver à contre cœur leur côté humain !

Le fait de transformer les habitants, de les faire sortir de leurs habitudes, mais aussi de leur standard sur « les autres », ceux qui arrivent et que l’on ne connaît pas, de décrire cette méfiance que l’on peut avoir envers l’inconnu est très bien mené.

J’adore le chocolat, au sens propre, mais aussi au sens figuré dans ce livre là, il est un fil conducteur inhabituel et savoureux.

Les relations entre les individus sont bien mises en valeur, leurs personnalités aussi, la vie n’est pas que douceur, elle est complexe et parfois amère, on s’y retrouve.

J’ai aimé l’écriture qui ne lasse pas, qui court, qui donne un rythme à l’ensemble, les personnages sont vivants, même si on ressent aussi la lenteur et les réticences de la vie d’un village de province.

La fin ? il ne finit pas en conte de fée, la vie est injuste parfois, mais il faut aller de l’avant.
Commenter  J’apprécie          30
Chocolat

Délicieux, simplement délicieux

Commenter  J’apprécie          00
Chocolat

A lire de préférence en hiver : l'évocation des odeurs, des textures est plus prégnante me semble-t-il à cette saison . Roman très "sensuel" avec des personnages mystérieux et donc attirants. Une histoire où "l'étrange(r)" est beau est séduisant.
Commenter  J’apprécie          00
Chocolat

"Les senteurs mêlées du chocolat, de la vanille, du cuivre chauffé et de la cannelle sont enivrantes, puissamment suggestives; l'âcre odeur terreuse des Amériques, le brûlant parfum résineux de la forêt tropicale. C'est ainsi que je voyage à présent..."



Prenez un petit village du Sud-Ouest, avec ses codes moraux et son curé, ajoutez-y deux malicieuses et mystérieuses étrangères (mère et fille) qui décident, en plein Carême, d'ouvrir une chocolaterie en face de l'église, incorporez quelques joyeux gitans sur une péniche, mélangez l'intolérance, l'amitié, la haine, l'amour, saupoudrez d'un soupçon de magie, d'une pincée d'épices et vous obtiendrez cette exquise friandise...



Ce livre est une pépite, une gourmandise de notre enfance, une douceur aux délicats parfums, un conte délicieux et enchanteur... Bref, un vrai régal!
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Joanne Harris (1178)Voir plus

Quiz Voir plus

Paul Auster

Sous quel pseudonyme a-t-il publié un roman ? (indice : ce pseudonyme est également le nom de certains de ses personnages)

Paul Dupin
Paul Retsua
Paul Benjamin
Paul Palace

10 questions
276 lecteurs ont répondu
Thème : Paul AusterCréer un quiz sur cet auteur

{* *}