Joseph Delaney

Un second tome où l'imaginaire est une fois encore bien travaillé.



J'ai à nouveau très vite plongé dans l'ambiance et j'ai été heureuse de retrouver Thomas et Alice, dont les personnages prennent un peu plus d'ampleur et de présence dans ce récit.



Plaisir aussi de découvrir une partie du secret de la mère de Thomas, mais le mystère est loin d'être dévoilé.



Une ambiance un peu glauque au milieu de ses sorcières et démons, avec cet Inquisiteur implacable, mais des rebondissements bien placés pour donner un bon rythme à cette lecture.



L'écriture est fluide et je me suis plu à plonger dans cet univers fantastique où l'auteur sait très bien mener son intrigue jusqu'au bout.



Un second opus que j'ai un peu plus aimé que le premier sans doute parce que le personnage de Thomas évolue.

Une lecture toujours aussi agréable.



Si cette série s'inscrit dans les lectures jeunesse je dirais quand même à ne pas mettre dans les mains des moins des 12-13 ans pour certains passages.

J'ai préféré le 1er tome mais celui ci reste toute de même agréable à lire.

L'univers de Delanay est toujours incroyable avec ces créatures et ces entremondes.

J'ai l impression qu'on peut lire le tome 2 sans avoir lu le 1er car il répète quasiment tout les éléments du 1er tome par ci par là.

Il y a quelques répétitions mais ça ne gâche pas la lecture.

L'évolution de Wulf est vraiment bien à l inverse de Johnson qui m'agace légèrement.

J'ai hâte d en voir plus sur les pouvoirs de Wulf et de ses tulpans ainsi que de savoir ce qu il y a derrière la porte de l entremonde de Hrotghar

Si j'avais adoré l'auteur sur toute sa série l'Epouvanteur, ce premier tome d'Arena 13 fut un rendez-vous manqué pour moi.



Abandon à 30%, simplement parce que je n'avais aucune envie de continuer.



Ni les personnages, que j'ai trouvé très stéréotypés (le héros orphelin, qui est très fort sans s'être vraiment entrainé avant, fils de..., la jeune fille rebelle badass, qui a appris à se battre malgré les interdits de son père et déjà très intéressée par le héros alors qu'ils viennent de se rencontrer), ni l'univers qui a pourtant de jolies particularités, ni les combats et ce que j'ai commencé à voir de ces défis n'ont su m'accroché suffisamment.



J'ai trouvé le fond très jeunesse, avec des "surprises" que j'ai vu venir de très loin, sans avoir assez de charme pour que je puiss passer au dessus. Et les fautes d'orthographe ou les fautes de frappe de mon édition n'ont pas aidé.



Je ne pense pas que ce soit un mauvais roman, il n'est simplement plus adapté pour moi. Je réessaierai d'autre romans de J Delaney, dans un autre univers plutôt.

Eh bien non ! Ce n’est pas une trilogie. Moi qui voulais vider ma liste de lecture en cours, j’ai l’impression que je n’arriverai jamais à terminer toutes les séries que j’ai commencé :/



Cependant, j’ai beaucoup aimé ce tome, je l’ai trouvé meilleurs que les deux premiers, en fait.

Cette suite est très entraînante, j’me suis tout de suite plongée dans l’histoire et je dois dire que j’adore Leif. C’est tout à fait le genre de héros dont j’apprécie de lire les aventures : droit, modeste, incroyable et déterminé. Il est trop attachant et à chaque péripétie, je vibrais avec lui. Son périple hors de Midgard est vraiment intéressant et on découvre de nouvelles choses qu’on ne soupçonnait pas du tout.



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Comme sur des roulettes !



C’est les seuls mots qui me viennent pour décrire ma lecture de cette suite. Ça se lit d’un trait. Fluide, rapide, concis, nos yeux glissent littéralement sur le texte au fil des pages. Le seul reproche que je pourrais faire à ce deuxième tome, c’est que c’est justement un peu trop lisse finalement.



Pourtant, j’ai passé un très bon moment en compagnie de Leif. Ses aventures ont maintenu mon attention jusqu’à la fin mais ça ne m’a pas transporté non plus. En fait, cette trilogie est bonne mais sans plus. Elle n’a pas de défauts (au moins pour l’instant) mais il manque cette petite touche d’originalité qui pourrait la faire passer de juste « bien » à « waouuh, incroyable, exceptionnel, j’adooore ! » En fait, on dirait que l’auteur suit un manuel du type “comment écrire un bon livre jeunesse sf/fantasy“. Il reste vraiment dans les codes sans jamais sortir des lignes, j’avais l’impression de lire quelque chose de très scolaire. Je me demande pourquoi il se retient d’explorer un peu plus l’univers de son roman.



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Alors, Arena 13, ça n’a été qu’une bouchée ! Je l’ai trouvé fluide à lire mais aussi un peu court. On se familiarise rapidement au vocabulaire de ce nouveau monde et j’ai justement fortement apprécié cette originalité. On découvre un univers dystopique et assez sombre, mais absolument pas effrayant (on peut lire « pour lecteurs avertis » à l’arrière, on ne sait pas pourquoi) où notre héros Leif, provincial doué et talentueux monte à Gindeen pour devenir le meilleur combattant Min de l’arène 13 et ainsi accomplir sa vengeance.



J’ai beaucoup aimé Leif, téméraire sur les bords, mais je like. En revanche, on se retrouve avec un schéma de personnages classiques pour ce qui est de ce type de fantasy. Leif est l’archétype du héros qu’on apprécie forcément (doué, courageux, généreux, pauvre), Palm l’archétype du rival jaloux qu’on déteste forcément (hautain, super riche, en concurrence avec le héros, méchant), Tyron est le vieux sage qui guide notre héros, Deinon le bon copain ami et partenaire du héros qui ne fait pas de performances incroyables mais il est dans la moyenne (eh oui, faudrait pas faire de l’ombre à la star) et Kwin la beauté dont tombe amoureux le héros (également écervelée et légèrement agaçante). L’auteur ne prend aucun risque sur les perso, il nous sort la bonne vieille formule qui marche tout le temps.



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Un livre que j'ai chiné dans un vide grenier. La dame qui me l'a vendu m'a dit que j'allais grandement apprécier ma lecture.

Et se fut le cas. J'ai aimé les personnages, j'ai aimé l'univers fantastique, les sorcières, les gobelins, les fantômes etc...

Classé en jeunesse, cela reste du fantastique sombre, meurtre, kidnapping, suicide sont des événements qui sont traités.

La quatrième de couverture vous mets en garde ''attention! Hisoire à ne pas lire la nuit ...'' moi je vous le conseil fortement même, ça vous mettra encours plus dans l'ambiance, quand votre imaginaire vous plongera dans cet univers et que d'un coup ... oh un bruit... imaginaire ou réel ?

Bref ce n'est peut être pas un coup de cœur mais j'ai drôlement hâte de continuer les aventures de Tom, l'apprenti epouvanteur et de son maître.

C'est toujours un plaisirs de lire du Joseph Delanay.

Une écriture fluide, simple à comprendre. Ça ce lit vite et l univers est toujours prenant.

Ce n'est rien d innovant car il reste énormément dans sa thématique épouvante mais c'est toujours une petite dose de dopamine et je suis contente de retrouver Alice et Tom.

Wulf est intéressant aussi malgré qu'on est parfois envie de le secouer.



J ai appris le décès de Joseph Delanay il n'y a pas longtemps. Ça m'a fait vraiment bizarre et je le savais même pas alors que c'était l'année dernière. Rip

Mr Grégory l'epouvanteur et Tom Ward son apprenti, poursuivent leur route pour combattre les forces du mal.

Dans ce rôle ci, le mal est puissant, vont ils réussirent ?



Il y a peu, grâce à une collègue, je découvrais cette histoire. Le tome 1 m'avait beaucoup emballé. Il ne m'a pas fallu longtemps pour que me titille l'envie de lire le tome 2.



Toujours aussi addictif ! Toujours aussi fluide, une immersion toujours prenante !

Cette série est pour l'instant surprenante et à la hauteur de mes attentes !

Entremêlant anecdotes et informations sur les différentes créatures que l’épouvanteur John Gregory a affronté au cours de son périple, ce bestiaire est une vraie mine d’or! Résumant également les tomes précédents sous forme de petites anecdotes, le bestiaire se trouve chronologiquement après la perte de sa précieuse bibliothèque suite à l’incendie de la maison de l’épouvanteur. Ultime recueil du savoir de Gregory, c’est un plaisir que de découvrir comment affronter toutes les formes de gobelins, subjuguer les forces du Mal, résister à leur tentation… Il est amusant de retrouver quelques notes glissées rapidement à la main par le maitre lui-même, mais aussi par les apprentis qui ont précédé Tom Ward. C’est ce genre de petits clins d’oeils qui rendent la lecture du bestiaire très agréable. Le tout entremêlé dans de superbes illustrations, je pense que tous les fans de la série seront ravis de tenir ce livre entre leurs mains!

Dans ce tome, il y a encore une fois beaucoup d’action. Pas de temps mort, c’est très rythmé. Du coup je ne me suis pas du tout ennuyée et je l’ai lu très rapidement.

On découvre un nouveau personnage : Bill, épouvanteur de son état et ancien élève de John Gregory. Il a pour habitude de participer à la formation des apprentis. Il ne déroge donc pas à la règle, en prenant Tom.

Il y a beaucoup de souffrance en lui, ce qui en fait un homme très dur. Mais c’est quelqu’un de bien et de juste. Ils s’apportent beaucoup de choses entre eux et Bill se radoucit un peu à son contact.

Tom devient de plus en plus fort et à chaque tome on découvre l’ampleur de son courage. Les obstacles à franchir sont énormes ainsi que les enjeux. Il affronte quand même le Diable et l’avenir de l’humanité.

Il a des décisions qui ne sont pas toujours faciles à prendre mais il essaie au maximum d’écouter son instinct et son cœur. Est-ce une bonne chose ? Seul l’avenir nous le dira…

Un très bon tome, très intéressant. J’ai adoré cette lecture ! Vivement que je me procure la suite pour la lire.

Dans une atmosphère médiévale et fantastique, le jeune Tom Ward âge de 13 ans, septième fils d'un septième fils, quitte sa famille pour commencer son apprentissage auprès de l'Épouvanteur. 🧙

Une ambiance sombre et inquiétante dans un monde peuplé de gobelins, sorcières et autres créatures malfaisantes 👻 que Tom devra affronter aux côtés de son maître dont c'est le métier.

Mais la limite entre bon et le mauvais n'est parfois pas si évidente. La maman de Tom, venue de terres lointaines, a d'ailleurs des particularités bien mystérieuses...

Une écriture très fluide et une intrigue palpitante ! 🤩

"C'est parfois un atout que d'être sous-estimé. On remporte ainsi la victoire sans trop de peine "



#josephdelaney nous aura fait voyager à travers un univers fantasmagorique puissant et ça durant quasi 2 décennies avec ses différentes sagas jeunesse. Celle de l'Epouvanteur, la plus connue et aussi celle pour laquelle j'ai un attachement particulier 😍 et puis la saga du Frère Wulf qui n'est autre que la suite de la précédente saga et la fin malheureusement puisque l'auteur est décédé en 2022, je doute donc qu'une suite soit possible (mais sait-on jamais vu la fin ouverte de ce dernier tome).



Ce 3 ème tome de Frère Wulf a donc eu un goût particulier, déjà les circonstances mais en prime l'évolution de l'âge des personnages et notamment d'Alice et Tom qui fait un peu mal, étant donné l'âge qu'ils avaient dans les premiers tomes.

L'auteur a fait revenir également quelques personnages qu'on a plaisir à retrouver, d'autres se rajoutent, ce n'est jamais décevant. L'univers est tellement coloré, les détails tellement précis que l'on peut facilement (ou pas 🙈) imaginer les lieux ou les personnages pour s'imprégner de ce monde extraordinaire.



Une chose est sûre, pour ceux et celles qui aiment l'action et toutes les histoires qui ne se passent jamais comme elles doivent se passer, Joseph Delaney est l'auteur idéal, la routine il ne devait pas connaître. C'est ce qui rend l'univers encore plus passionnant 😁



#bayardjeunesse

L'epouvanteur ce bat contre les forces obscurs, il a déjà eu de nombreux apprentis pour affronter sorcières, gobelins...

Tom Ward devient l'un de ses apprentis et c'est lui que nous allons suivre !



Alors la je sors le coup de coeur ! Je sors complètement de ma zone de confort avec ce livre, moi qui lit que du policier pour ainsi dire, ici rien à voir... Et pourtant je me suis trouvé happée, emportée par ce roman des les premières pages.

L'écriture est fluide, on s'imagine aisément avec l'epouvanteur et surtout son apprentis.

L'histoire est prenante !



Bref je suis conquise et je vais donc poursuivre cette série !

Je viens d'achever la lettre du troisième tome de la saga liée au frère Wulf et je suis mitigée.

J'ai été, comme beaucoup, ravie de retrouver les personnages principaux de la saga original, L'epouvanteur. Mais, j'ai trouvé que certains caractères n'avaient pas été assez développé comme c'est le cas de Tilda par exemple.



En outre, la première partie, celle d'Alice, était détaillée comme nous en avons l'habitude avec l'autre. La seconde partie, racontée par Wulf, est plus rapide, moins précise. Certains combats semblent tellement faciles que cela fini par être déconcertant.



Toutefois, le récit reste passionnant et j'ai hâte de savoir si le quatrième et dernier tome va répondre à l'ensemble des questions qui ont été laissées en suspens.



Seul l'avenir nous le dira !

Ayant lu la première série il y a pas mal de temps désormais, je n'ai pas hésité lorsque cet opus s'est offert à moi dans une boîte à livres. L'univers est intact : sombre, mystérieux et bien dosé. Je trouve qu'à bien y réfléchir, cette série est assez proche de "The Witcher", même si le filtre "jeunesse" permet moins de complaisance gore et violente et ouvre davantage vers l'imaginaire. J'avais le souvenir d'une narration posée, j'ai l'impression que Frère Wulf démarre au quart de tour ! Jeune moine plus ou moins possédé par des visions, il se retrouve au service d'un épouvanteur (après être passé entre les mains d'un premier) afin de sauver son maître d'une sorcière. Sauf qu'il est agent double, travaillant (malgré lui) pour l'inquisition qui veut éradiquer les épouvanteurs, sorcières et toutes créatures impies. L'auteur s'amuse (et nous aussi) à voir nos idées reçues, prévisions et clichés retournés. L'arrogant n'est pas si mauvais que cela, le gentil n'est pas aussi brillant et les sorcières ne sont pas toutes méchantes. Sans compter que face à une "déesse" nommée Circé (dans la mythologie grecque, ce n'est pas une déesse, mais bon...), il va falloir conjuguer les efforts ! Bref, c'est très sympa à lire, enlevé, un peu tordu, mais pas trop. Le dénouement ouvre sur une suite (on se doutait bien qu'on n'allait pas en rester là), sans pour autant tomber dans le pénible "la suite au prochain épisode". À suivre !

Je suis quelque peu mitigée avec ce troisième tome de cette saga.

Comme toujours l'histoire est prenante, avec de nombreux rebondissements, tel que l'on peut en connaître dans la saga Epouvanteur. Mais c'est la fin de roman qui me laisse perplexe, car tant de choses concernant certains personnages n'ont pas été développées.



A priori, un tome 4 est prévu, peut-être cela sera l'occasion de développer ces choses. J'espère qu'il conclura en beauté l'oeuvre de Joseph Delaney.

Beowulf est moine novice. Il se voit contraint par son supérieur d'entrer en tant que secrétaire au service de Johnson, un épouvanteur assez amoureux de lui-même et soucieux de laisser une trace écrite de ses exploits. Les intentions de son supérieur ne sont pas claires cependant, puisqu'ayant accepté de se séparer de son novice, il charge celui-ci d'espionner son employeur... L'inquisition n'est pas loin...



Beowulf déchante vite au service de son maître : celui-ci ne daigne s'occuper que des sorcières, et se montre parfois un peu trop prompt à cataloguer les gens. Et pour le reste, gobelins et autres créatures de l'obscur, il laisse les gens se débrouiller seuls avec leurs problèmes, rien que ça ! Et Beowulf, n'étant ni épouvanteur, ni son apprenti, mais doté de compassion et de bonne volonté, va bricoler un peu comme il peut pour pallier aux défaillances de son maître, jusqu'au jour où celui-ci se fait enlever par une sorcière plus forte que lui...



Beowulf s'en va donc trouver un autre épouvanteur pour l'aider à tirer son maître de ce mauvais pas. Et cet épouvanteur, c'est bien sûr Tom Ward, qu'on a plaisir à retrouver coulant des jours heureux, sinon paisibles, aux côtés d'Alice...



Et Beowulf va tomber de Charybde en Scylla en voyant que Tom Ward vit avec une sorcière, qu'il a un gobelin domestique et qu'il va même relâcher certaines sorcières captives de Johnson !



On retrouve ici tout le talent de Joseph Delaney. Pourvu que le reste de cette nouvelle série - puisque, on le comprend vite, Beowulf troquera le noviciat pour devenir apprenti épouvanteur ! - soit aussi réussi que ce premier tome !

Un livre jeunesse qui se lit très bien. Je l'ai lu sur les conseils de ma fille, et je n'ai pas regretté, hormis le fait qu'on n'ait pas les tomes 2 et 3 à la maison et qu'il soit difficile de se les procurer vu qu'ils ne sont plus édités ... dommage !!

L'histoire : un jeune garçon, Leif, quitte sa campagne pour la ville dans le but de venger sa famille, détruite par Hob, un djinn qui dirige la ville d'humains par la terreur et la violence. Ayant gagné un ticket de loterie, il peut demander à n'importe quel maître d'arme de le former pour combattre dans les arènes de Gindeen. Il choisit de s'adresser au meilleur car il veut combattre dans l'arène 13, la plus terrible de toute, celle où parfois combat Hob, toujours jusqu'à la mort.

Cette histoire, c'est aussi un récit d'interactions entre quatre ados, avec son lot d'injustices, de tromperies, et d'amitiés.

Enfin, c'est une histoire d'apprentissage, de liens tissés entre un maître et son élève, de confiance et de respect, d'entre-aide mais aussi de règles strictes.

Si vous le trouvez, n'hésitez pas à le lire !

En toute honnêteté, j'avais entendu parler de cette série de romans, mais je n'envisageais pas d'en lire, jusqu'à ce que le tome 1 déboule dans la liste de lectures scolaires de mon aîné. Donc, je m'y suis mis, et je me suis vite pris d'affection pour ce duo que tout oppose: le vieil épouvanteur qui gère le monde des morts, de l'au-delà, et son nouvel apprenti, naïf, limite niais et qui ne connaît rien de la vie.



On pourrait même l'appeler François Pignon... finalement. Ce genre de duo est assez courant, cela fonctionne bien, cela roule même tout seul en général. le vieux bougon, qui a tout vécu, et le jeune timoré qui a peur de son ombre. Les ados, qui constituent le public-cible, pourront sans doute s'identifier à l'apprenti ou se moquer de sa naïveté avec les filles...



Mais franchement, même si c'est assez prévisible, il y a du suspense (léger quand même car, vu qu'il y a déjà un paquet de tomes, on sait que tout se passez plutôt bien), un peu de comique de situation, des quiproquos, des trahisons, et des revirements de situation... Bref, le cocktail adéquat. Je regretterai le fait que plusieurs situations se reproduisent plus ou moins à l'identique, ou presque. C'est dommage quand même. J'ai toutefois pris un certain plaisir à découvrir l'univers de Joseph Delaney, car je n'avais pas d'attente particulière. Cela dit, je ne suis pas sûr de renouveler l'expérience, sans rien regretter.