Citations de Jules Stromboni (17)
Ce sont les bonnes manières qui font l'homme. N'oublie jamais cela. Et aussi de traiter une femme comme une dame.
...Retrouver la force du rêve, revenir aux temps premiers où la césure entre diurne et nocturne n’existait pas, où les décisions se prenaient en dormant, où la sensation supplantait de très loin la compréhension.
Tu crois que c’est vrai c’qu’on dit ?
Que les cigarettes ça empêche de grandir ?
C’est c’que dit mon père…
Je travaille plus pour la famille Quin. Le vieux...Le vieux a essayé... Enfin, tu sais... Les gens riches, ils se croient tout permis.
- INSPECTEUR LESTRADE !
- Vous devez avoir mis le coupable sous les verrous pour vous aventurer jusque ici !!
- Tenez-vous donc la police en si grande estime Mr Holmes ?
- Pas du tout ! Quelle idée saugrenue !
- Et vous m'excuserez : j'ai fort peu de temps.
Holmes : J'espère que vous avez bien dormi Watson ?
Watson : Vous plaisantez Holmes ?! Après ce que j'ai vu cette nuit, je n'ai même pas touché au petit-déjeuner, au grand dam de Mrs Hudson !
Holmes : Mon cher Docteur, comme le meurtrier serait fier de vous voir ainsi !
Watson : Et pourquoi, je vous prie ?
Holmes : Mais ! Franchement... Qui, d'habitude, prend en pitié de simples prostituées ? ... Personne.
Les lumières brûlent bleu. C'est à présent la morte minuit.
De froides gouttes de peur se figent sur ma tremblante chair.
Ai-je peur de moi-même ?
En Corse, on nomme MAZZERU l'homme ou la femme qui part chasser dans son sommeil, l'arme à la main. De ses songes, il rapporte une prédiction. Dans la gueule de la bête qu'il a tuée ou blessée, la mazzera ou le mazzeru reconnaît une personne de son entourage qui subira le même sort dans l'année. Victimes de leur don, les mazzeri annoncent malgré eux un événement contre lequel il est déconseillé d'agir...
Il faut du temps pour qu’un mouvement devienne naturel. Les hommes ont désappris à se mouvoir. Les gestes des animaux sont magiques car ils ne répondent pas à leurs consciences individuelles mais à la nécessité de l’instant.
Holmes : "Cela va offrir à votre nouvel ami Conan Doyle l'opportunité d'enjoliver d'avantage le récit de mes enquêtes, n'est-ce pas ?"
Watson : "Que voulez-vous dire ?"
Holmes : "Que mes investigations sont romancées à outrance !!! Au lieu de simplement rendre compte de faits précis concernant mes méthodes."
Watson : "Enfin Holmes, il s'agit de licence poétique. Le lecteur a besoin de..."
Holmes : "Mais bien sûr !!! Cette prose prétentieuse pleine de bouffissures... ! Et vous avez laissé faire cela..."
Bon sang ! Les lumières vont brûler toute la nuit !!!
J'aime la nervosité du trac avant d'entrer en scène, le bruit des tissus qui tombent sous les ciseaux des couturières, j'aime n'avoir qu'un quart d'heure pour résumer à un journal en 15 lignes, pas plus, mon engagement dans l'art en tant que femme, mais ce que j'aime surtout, c'est la petite odeur de transpiration là, juste derrière la nuque de mes deux enfants, Deirdre et Patrick.
Danser c'est l'écriture du corps
C'est la révolution russe qui est venue à moi, c'est elle qui m'a proposé de m'aider à fonder mon école. Pour un art nouveau sur une terre révolutionnaire. De toutes façons, je serais aller n'importe où...
A présent voici Miss Duncan qui, à travers sa nouvelle danse, saura exprimer mieux que quiconque les liens entre la danse et les mythes grecs…
C'est Holmes l'assassin de Whitechapel, c'est lui le monstre. Jack l'éventreur. Je l'ai vu de mes yeux, vu, saigner, découper jusqu'à l'os la dernière victime, prélever ses organes. Y prendre plaisir. Je l'ai vu. Et ma raison refuse de l'accepter. Comprenez, je n'ai que vous à qui me confier. (...) Je l'ai toujours considéré comme le champion des lois, mais il a le profil type de l'assassin.
- Dites-moi Docteur, pourquoi n'avez-vous jamais informé la police que Holmes était l'éventreur ?
- Mais parce que... malgré tout, c'était un être d'exception... et parce que c'était mon ami.