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Citations de Julia Latynina (63)


[...] un homme prêt à mourir en valait dix prêts à tuer.
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Un jour qu'on lui demandait s'il ne trouvait pas humiliant de faire des courbettes à n'importe qui, [Zaour] répondit :
- Ce qui est humiliant, c'est de faire des courbettes aux juges. Être libre, c'est faire la révérence à ses clients.
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C'était cela la pérennité du pouvoir : être trahi par les siens.
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[...] la démocratie, ce n'est pas quand la majorité gagne mais quand les droits des perdants sont respectés.
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Toutes les dictatures du monde, depuis l'invention de la télévision, s'imaginent qu'il n'existe aucune bêtise sur terre qu'on ne puisse enfoncer dans le crâne du peuple dès lors qu'on la martèle obstinément sur les ondes.
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La première loi du système, désormais bien assimilée par Christophe Mao, était toute simple. Fais ce que tu veux. Même si tu commets une erreur, le système prendra ta défense, et plus terrible sera ta faute, plus le système volera à ton secours.
Plus simple encore était la deuxième loi.
Ce sont les forts qui gagnent.
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Le Caucase, ce n'est joli que sur les photos.
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Qui fraternise avec le scorpion sera piqué par le scorpion.
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Or chacun sait qu'il y a aussi loin de la vérité au mensonge que des yeux à l'oreille.
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- Le paradis, ça se mérite, sourit Djamaluddin.
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J'ai hâte de lire la suite
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9a me rappelle Liouba de Pierre Rey.... j'adore
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Ils attaquent parfois des chars russes et ils essuient des tirs d'artillerie, mais pour fumer et boire, ça non.
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Ces mômes, dès l'âge de huit ans, n'avaient pas connu l'école mais la guerre. Pour remplacer l'école, on leur contait les batailles et les héros. Ils avaient grandi avec mille ans de retard sur l'Amérique ou même sur Moscou. Ils n'avaient rien vu d'autre que la guerre et ne pensaient à rien d'autre qu'à tuer chacun son flic, à venger chacun son père.
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Bien sûr qu'il y a quelque chose. Là-bas, derrière un pont de corde, il y a Allah avec sa barbe noire et son turban. Tous les crétins comme moi qui ont passé leur vie à s'occuper de banques ou de raffineries tombent du pont dans la fournaise de la Géhenne tandis que les gentils garçons qui tiraient dans les nuques des filles et observaient le jeûne trois mois d'affilée passent gaillardement le pont et se retrouvent aussitôt chez les houris.
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La paranoïa est la maladie professionnelle des bandits et des dictateurs.
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- Et vous, qu'est-ce que vous faites ? lui demande-t-elle au moment où la SAAB passe le dernier tournant du chemin.
- Je suis dans le métal, répond Izvolski.
- Commerçant ?
- Je suis le directeur du Combinat métallurgique d'Akhtarsk.
A voir le regard d'Irina, Isvolski comprend qu'elle serait bien incapable de dire la différence entre AMK et une fabrique de bas et chaussettes au bord de l'asphyxie, de la même manière que lui, Izvolski, ne saurait dire en quoi les Médicis se distinguent des Cerci ou des Donati. Et, contre toute attente, il s'en amuse au lieu de s'en indigner.
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Pourquoi, mais pourquoi toutes les révolutions du monde commencent elles par des vécés qui fuient ?
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Quand la route était encore jeune fille, on pouvait la dire goudronnée. Mais, maintenant, elle ressemble à un terrain de lune criblé de météorites.
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Hé! vous qui aimez tant dire que « le monde ne vaut pas un sourire d'Allah », l'avez-vous vu , ce monde? Savez-vous qu'il ne se limite pas à la boue, au sang, aux blanches pierres sur lesquelles vont mourir les gosses de quinze ans?
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