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Critiques de Julie Otsuka (930)
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Ce sera un livre qui ne se perdra pas dans les limbes de la mémoire.

Le style adopté par l'auteur est vertigineux, envoûtant. Il frappe aux tripes et sans jamais tomber dans un larmoiement qui eut été trop lourd, Julie Otsuka réussit un tour de force avec ses énumérations qui, comme une litanie, résument tant de vies bafouées.



Une page de l'histoire de l'immigration de femmes japonaises au début du 20e vers les États-Unis, venues rejoindre volontairement ou non des maris (un leurre à tous points de vue pour la plupart) jusqu'au moment de la seconde guerre mondiale où le pays d'accueil entre en guerre avec le pays d'origine.



Julie Otsuka, dans un souffle d'une puissance fabuleuse, détaille toutes ces existences depuis le voyage vers un espoir minable, le mariage brutal, le travail avilissant, les enfants (trop), les humiliations des autochtones, le départ et le non-retour. Combien de vies dont on se dit qu'elles n'auraient pas dû être ?



Peut-on être heureux quand tant d'hommes et de femmes sont à ce point ignorés ?

L'auteure nous montre subtilement en fin de livre que l'homme possède en lui une capacité d'oubli lui permettant de continuer sa vie.



Outre une partie quelque peu ignorée chez nous de cette horrible période, une leçon est à tirer de ce livre-roman-témoignage : la vigilance.



La page de garde reprend des paroles impressionnantes de « L'Ecclésiaste », Julie Otsuka a permis, dans un « nous » d'une grande délicatesse, à toutes ces femmes d'exister enfin.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Le “Nous” collectif annihile l’être, le “Nous” de « Certaines n'avaient jamais vu la mer » nous entraîne inexorablement vers la brusque et prévisible disparition de tout un peuple.

Les destinées de milliers de femmes convergent et nous sommes partagé entre toutes.

Les migrants sont sur le point d'être assimilés (leurs enfants même leurs échappent au profit de la Nation) quant ils sont sommés de disparaître. Les Femmes de Julie Otsuka sont à nouveau contrainte de tout abandonner.

Et puis comment ne pas se représenter Hiroshima, comment ne pas songer aux trains de l'holocauste.

« Certaines n'avaient jamais vu la mer » bouscule parce que le passé n'est jamais loin, il brûle encore en nous, et qu'un Peuple est toujours aussi fragile face aux crises économiques et à la guerre.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Sujet original et instructif sur l'émigration de Japonaises vers la côte Ouest des USA.

J'aurais aimé en apprendre plus sur cette "épopée", souvent tragique, quelquefois mais rarement heureuse.

Les phrases très courtes et le style fragmenté, "incantatoire" selon la 4e de couverture donnent une impression de chaos, de dispersion. Pas très agréable à suivre mais symboliquement efficace.

Manque de clarté sur les nouveaux maris : sont-ils Américains ou Japonais en majorité? Ce qui est sûr c'est que ces femmes ont été trompées, flouées dans leurs attentes et les promesses annoncées.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Beaucoup de sensibilité, d'injustices, de partages, de soumission...



Pas de formules accrocheuses mais plutôt un état des lieux qui fait partie du passé...Qu'on a oublié et qu'on ne connaissait peut-être même pas...



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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Un livre choral où comment traiter l'individuel à travers le collectif. Une écriture belle tout simplement, limpide pour traiter d'un sujet et d'une page d'histoire méconnue...
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Très prenant dès le début alors que l'auteure se sert du nous. Ce livre amène une réflexion sur le sort de ces milliers de japonaises arrivées en Amérique au début du 20e siècle mais ne donne aucune réponse sur leur sort laissant ainsi un arrière-goût de 'je veux savoir'.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je me suis arrêtée a la page 75 !

trop triste, lourd, brouillon, ..... cette façon de narrer a plusieurs voix, et surtout toujours de plus en plus de tragédies ! je n'en pouvais plus !

au début , une pensée "tiens ça me rappelle le livre de Jim Fergus "milles et une femme blanche", j'ai compatis pour ces pauvres femmes....mais après j'ai trouvé le récit étouffant. je pense que j’aurais pu m’y intéresser si la façon décrire par ce "nous" c'était transformé par un "je" tout simple !

désolé mais je n'ai pas aimé du tout !
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

J’avais très envie de lire cette histoire … Il faisait parti de mes attentes de la rentrée littéraire et je n’ai pas été déçue !



Si la forme de roman choral m’a surprise au début, la narration en « nous » étant assez peu courante malgré tout, elle a cependant contribué à mon coup de cœur. Ce « nous » renforce l’histoire, les émotions, on comprend qu’elles étaient vraiment nombreuses, on aborde de nombreuses histoires ainsi. On ne sait pas vraiment ce qui arrive à qui, mais on s’en moque à vrai dire. On est touché par ces femmes, par ces couples, par ces moments de vie …



Décomposé en chapitres plus ou moins longs qui abordent leur vie aux Etats-Unis, on découvre la vie de beaucoup de ces japonaises, leur difficulté à s’adapter, leur surprise, leur vie de tous les jours … On retrouve ou on apprend le racisme anti-japonais, on vit surtout l’époque de la seconde guerre mondiale où tous ces japonais sont considérés comme des traitres (un long chapitre évoque la question).



Le style de Julie Otsuka est vraiment très simple, très beau, très fluide. On lit d’une traite cette histoire qui nous permet d’aborder un pan de la seconde guerre mondiale dont on entend peu parler.



On évoque également la culture japonaise, le voyage du Japon vers les Etats-Unis et ses conditions misérables, mais aussi la découverte, la déception de la rencontre avec ce mari qu’on ne connaît pas. Puis la naissance des enfants, l’éducation à l’américaine … Bref beaucoup de scènes de vie de tous les jours, qui nous font passer les années sans que l’on s’en rende compte … On passe de 1919 à 1945 sans s’en apercevoir !



Un coup de cœur, à faire découvrir !
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Malgré son titre romantico-neuneu, ce livre est une description sombre de destins de femmes japonaises émigrées dans les années 1920 aux Etats-Unis.



Elles avaient entre douze et trente-sept ans, elles ont quitté le Japon pour un avenir doré (ou moins gris), poussées par leurs parents espérant pour leur fille une vie moins dure, ou une dot pour eux-mêmes.



Hélas ! Si l'Amérique faisait rêver de loin, elle était beaucoup moins accueillante vis à vis des étrangers, au début du XXe siècle, qu'on ne peut l'imaginer. Sitôt leur arrivée, les jeunes filles déchantèrent sur le mari qui les attendait, et se retrouvèrent à trimer dans les champs à leur côté. Leur sort et leur mise à l'écart étaient le lot "des gens de couleur" et ressemblaient fortement à ceux des Noirs.



La forme du récit peut dérouter : la narratrice s'exprime à la première ou à la troisième personne du pluriel, égrenant ainsi les différents sorts (interchangeables) que ces femmes ont connus dans les étapes de leur vie : traversée, première nuit nuptiale, travail, maternité, etc. Ce style rend parfois la lecture lassante, des coupures s'imposent pour ne pas avoir l'impression de dérouler une liste. Mais cela donne un excellent aperçu en concentré de l'accueil reçu par les Japonais aux USA et de leur difficile intégration.



Encore une fois, je déplore ce titre gentillet qui ne rend pas du tout justice au contenu édifiant et révoltant de l'ouvrage...
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Suite aux bonnes appréciations des " babéliophiles", j'ai eu très envie de lire "Certaines n'avaient jamais vu la mer" et je l'ai trouvé superbe!!

Ce livre est écrit par Julie Otsuka d'une manière très belle.

Les répétitions de la narratrice et cette manière de parler pour toutes les femmes , en racontant la vie de ces japonaises du début du XXème siècles, venues épouser aux Etats-Unis , des hommes qu'elles ne connaissaient pas, sont très puissantes et originales. Une manière extraordinaire de raconter tant de choses sur cette Histoire dont je n'avais jamais entendue parler.

Ce livre fait désormais partie de ceux que je garde précieusement!
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

"Nous voilà en Amérique nous dirions nous,il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Et nous aurions tort."

Ces deux phrases clefs du roman (basé sur des faits historiques véridiques) Certaines n'avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka, ouvrent grand les portes du cruel désenchantement ressenti par des immigrées japonaises de 12 à 37 ans, vierges pour la plupart, vendues en tant qu'épouses à des inconnus américains qui leur ont promis la lune et en font leurs esclaves.

XX° siècle. Port de San-Francisco. Le "nous" japonais de Julie Otsuka s'élève pour dénoncer les viols subis par ces "jeunes filles accomplies", l'irrespect,les coups,le rejet,le travail harrassant dans les champs, la prostitution....Le "nous" japonais pleure,s'enlise dans la folie, meurt de maladie,a honte ou se suicide mais ne se révolte pas car la politesse,la patience,l'endurance font partie de son caractère.

Le "nous" japonais accouche de fils qui rejettent leurs mères. Ce "nous" là souffre.

Le "nous" japonais peu à peu devient, bonnes,cuisinières,blanchisseuses...s'américanise et à ce moment là il disparait dans des camps, est déporté car il est traitre ou ennemi des Etats Unis en guerre.

Alors, Julie Otsuka passe à un autre "nous" qui n'est plus japonais car sa culture a été effacée.

D'où le talent de l'auteur pour parler d'un sujet poignant qui lui tient à coeur, celui de ses ancêtres japonais exilés aux Etats-Unis, puisqu'elle même est née en Californie.

Ce roman, à lécriture sensible, bouleverse.Il a obtenu le PEN/ Faulkner Award for fiction. Je ne peux qu'en recommander l'achat dans le cadre du comité de lecture de la Médiathèque de Bandol où je l'ai lu et la lecture pour les membres de Babélio.

Ce livre aurait pu précéder Quand l'empereur était un Dieu quidénonce la déportation des Japonais dans des camps de détention américains au lendemain de Pearl Harbor.

A lire aussi car l'homme est un loup pour l'homme.....et pour la femme ! Ce fut, c'est et ce sera, mais ça ne devrait pas être!
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Un livre qui a le mérite d'aborder un thème et un angle d'attaque peu fréquents dans la littérature. Sans oublier une écriture enveloppante aux répétitions poétiques. L'auteure, si elle écrit son roman au nom de "nous" parvient de manière magique a donné une individualité et des sentiments à chacune de ces femmes. Ce livre est sans contexte une petite merveille.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

je m''incline devant ces japonaises qui ont assumé de tels destins, c'est tellement émouvant et que le style d'écriture est léger et fort à la fois
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

L'auteur a choisi des phrases courtes et percutantes pour retranscrire le destin brutal de ces femmes japonaises qui ont quitté leur pays au début du XXe siècle. Les voix de ces femmes résonnent en nous pour raconter leurs quotidiens et leurs difficultés à leur arrivée aux Etats-Unis pour épouser des hommes qu'elles ne connaissent pas.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Cela commence sur un bateau, où des dizaines et des dizaines de femmes, jeunes ou très jeunes, s'entassent dans des cabines pour traverser le Pacifique. Elles viennent du Japon pour épouser, par correspondance, de jeunes japonais vivant aux Etats-Unis, fermiers ou patrons de petites entreprises... Hélas, l'arrivée réserve bien des surprises, l'homme de la photo est le même, mais beaucoup plus vieux, ou c'était la photo de son voisin ou meilleur ami, les maisons avec joli jardin sont des cabanes, des tentes ou des chambres miteuses.

la suite...
Lien : http://lettresexpres.wordpre..
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Ce livre est petit mais très dense. Julie Otsuka a une manière très personnelle de raconter le parcours de ces femmes, arrivées aux États-Unis dans les années d'après la première guerre. Elle s'intéresse à elles jusqu'aux années de la guerre suivante, celle que leur pays d'adoption mène contre leur pays natal.

Plutôt que de nous parler d'une seule héroïne qui serait un peu toutes ces femmes, l'auteure écrit sur toutes en même temps. Dans un même paragraphe, elle dit toutes les possibilités, reprenant ses débuts de phrases telle une litanie

Le procédé est répété durant tout le livre et ce qui pourrait lasser voire agacer produit le phénomène inverse : le rythme est là, évident, même lorsque les phrases sont longues, on a l'impression du contraire, de phrases très courtes, accolées qui pourraient être ces femmes obligées de vivre ensemble, malgré leurs différences sociales ou culturelles. Elles vivent la même douleur de la séparation, de l'angoisse, de la peur de l'inconnu, tant l'homme qu'elles vont épouser que le pays dans lequel elles vivront désormais. L'écriture de Julie Otsuka est comme une musique répétitive de Steve Reich, par exemple, ou plus connu, le Boléro de Maurice Ravel : on se demande pourquoi, ça nous plaît, mais on est fasciné et on en redemande.

Le propos est la clef de voûte de ce roman. Il en est l'ossature, forte et puissante. Le style en est l'ornement poétique, direct, franc. Car Julie Otsuka ne cache rien de la vie des ces femmes : leur peur sur le bateau, leur arrivée au port, leur premier contact avec leurs maris, notamment sexuel, leur vie de labeur dure et sans repos, les enfants qui naissent américains, qui se détournent de leurs parents, le racisme au quotidien au moins aussi présent que le racisme anti-noirs

J'ai pris ce roman comme un reportage écrit au milieu de ces femmes : une immersion totale dans leurs vies. L'auteure a su trouver des mots et un style étonnant, particulier et très personnel. Moi qui recherche dans mes lectures, mais aussi dans les musiques que j'écoute ou dans les films que je regarde, à être surpris voire dérouté, je dois avouer que je suis comblé. A plus d'un titre. D'abord cette écriture que j'aime beaucoup, et ensuite, ces histoires que Juie Otsuka raconte et que je ne connaissais pas vraiment : je n'avais qu'une vague idée de ce qu'avait été la vie des Japonais exilés aux États-Unis pendant les années 30 à 50.
Lien : http://www.lyvres.over-blog...
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

« Sur le bateau, nous étions dans l’ensemble des jeunes filles accomplies, persuadées que nous ferions de bonnes épouses. Nous savions coudre et cuisiner. Servir le thé, disposer des fleurs et rester assise sans bouger sur nos grands pieds pendant des heures en ne disant absolument rien d’important ».



Ces jeunes filles sont japonaises. Le bateau a quitté le pays du soleil levant pour traverser l’océan pacifique et se rendre à San Francisco. Là-bas les attendent des maris qu’elles n’ont vu qu’en photo. En ce début de XXème siècle, elles n’ont pas d’autre choix que d’abandonner leur famille et la misère pour espérer une vie meilleure.



« Sur le bateau nous ne pouvions imaginer qu’en voyant notre mari pour la première fois, nous n’aurions aucun idée de qui il était. Que ces hommes massés aux casquettes en tricot, aux manteaux noirs miteux, qui nous attendaient sur le quai, ne ressemblaient en rien aux beaux jeunes gens des photographies. Que les portraits envoyés dans les enveloppes dataient de vingt ans. Que les lettres qu’ils nous avaient adressées avaient été rédigées par d’autres, des professionnels à la belle écriture dont le métier consistait à raconter des mensonges pour ravir le cœur. [...] Nous voila en Amérique, nous dirions-nous, il n’y a pas à s’inquiéter. Et nous aurions tort. »



Quand vient la première nuit, chacune doit subir les assauts de son inconnu de mari. Difficile de parler d’une nuit de noces. Appelons plutôt cela un viol... Puis commence la dure vie de l’expatriée. Les japonais n’ont droit qu’aux corvées. Les exilées vont travailler dans les champs pour une bouchée de pain. Plus tard, quelques unes seront employées comme femme de ménage chez de riches blancs. Entre temps, beaucoup auront eu des enfants qui, en grandissant, renieront leurs origines, ne parleront plus la langue et auront honte de leurs parents. Enfin, ce sera la guerre. Pearl Harbour. L’ère du soupçon, la crainte de voir en chaque japonais un espion à la solde d’Hirohito. L’Amérique finira par les interner dans des camps disséminés dans différents États...



Julie Otsuka raconte l’histoire de ces femmes. Une douleur sourde, une violence insoutenable. Optant pour un mode narratif pluriel, elle créé une voix collective disant : « nous tous, témoins de l’horreur commune ». Cette entité qui s’exprime est une incantation, un chant, une prière chuchotée proche de l’élégie. Le « nous » rassemble des milliers de femmes aux destins similaires. De ce chœur sacré s’élève une triste mélopée. Pourtant, et c’est là que réside le talent de l’auteur, l’écriture, exempte de toute sensiblerie, reste délicate et sans complaisance. Le style épuré donne davantage de puissance au témoignage de cette entité collective. Un roman impressionnant qui vous sonne et vous laisse groggy comme un uppercut à la pointe du menton.




Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

je n'ai pas aimé , je ne l'ai pas fini
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Ce roman me laisse une impression mitigée.

J'ai découvert ces Histoires vécues par ces femmes japonaises débarquées aux Etats Unis où les attendaient des maris qu'elles n'avaient pas choisis.

Le style employé avec ce "nous" constant donne à la fois un ton emprunt de gravité mais lasse également par ses répétitions et donne un récit un peu confus.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer

Un très beau livre, une écriture envoutante et quellehistoire... quelle tristesse que ce destin de femmes. A lire absolument
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