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Critiques de Julien Blondel (135)
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Elric, tome 1 : Le trône de rubis (BD)

Elric, empereur malade et albinos règne sur Melniboné. Il est marié à sa cousine Cymoril, donc le frère Yyrkoon veut s’emparer du trône.



Je l’avoue, la fantasy n’est pas du tout mon domaine de prédilection. J’ai choisi de lire Michael Moorcock dans cette adaptation en bande dessinée par Julien blondel et les illustrateurs Didier Poli, Robin Recht et Jean Bastide, première adaptation française.

Eh bien, j’ai aimé. Les dessins sont très beaux même si violents, mais c’est l’histoire.

En fin d’album, une genèse de cette adaptation bien utile. J’ai d’ailleurs relu l’album après avoir lu cette partie.

A suivre...



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Elric, tome 3 : Le loup blanc (BD)

Cette fois je me suis perdue dans l'histoire. je n'ai pas bien compris cette fin un peu étrange. Soit. C'était une expérience de lecture.

Ca occupe le temps sans que je trouve ça formidable.

Je vais pouvoir enfin rendre cette série à la médiathèque
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Elric, tome 4 : La cité qui rêve (BD)

Fin du premier cycle d’Elric adapté en BD .On y mêle dans le scénario l’un des premiers tomes de la saga avec un épisode de « Le navigateur sur la mer des destins » . Elric s’allie aux hommes contre sa propre race et vient détruire Ymrrir « la cité qui rêve » maintenant gouverné par son ex. Cymoril qui l’a renié (à mon avis son personnage n'est pas assez exploité) . Très grosse baston en perspective et comme il y a des dragons , des images superbes .
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Elric, tome 3 : Le loup blanc (BD)

Ayant relu récemment "Le navigateur sur les mers du destin" de Moorcock j'ai voulu en découvrir l'adaptation en BD . Mon opinion est globalement positive : l'esprit de la saga est respecté , le dessin est épique (j'y retrouve des aspects de celui de Druillet de 1969 qui m'avait ébloui. ) et la couleur de bon aloi. Cependant le scénario est très elliptique peu clair pour qui ne connaîtrait pas la saga originelle et j'aime moyennement le look d'Elric ,un peu trop glamour. Je préfère la version dans le cahier graphique où il ressemble à Iggy Pop .
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Elric, tome 4 : La cité qui rêve (BD)

du sang et des larmes



[Résumé] Préfacé par Jean-Pierre Dionnet, cofondateur de Metal Hurlant et des Humanoïdes Associés (excusez du peu !), ce quatrième tome d’Elric apporte referme un premier cycle somptueux…



Scénarisé par Julien Blondel et Jean-Luc Cano, La Cité qui Rêve a pour point d’orgue le mythique sac d’Imrryr, pierre angulaire de la saga d’Elric, empereur frêle et chétif ayant renoncé à son trône et qui deviendra le fossoyeur de son peuple et causera la mort de Cymoril, son seul amour… Amante jalouse et cruelle, la maléfique Stormbringer se révèle peu à peu, faisant frissonner le lecteur de plaisir et d’horreur…



Sublime et tragique, ce final est à la hauteur de nos espérances, même si le dessin semble avoir perdu un peu de sa force et de sa puissance évocatrice avec ce passage de relais…



On ne peut qu’espérer qu’un nouveau cycle s’ouvrira bientôt tant cette ambitieuse adaptation de ce monument de l’heroic-fantasy s’avère à hauteur de nos espérance… Ce n’est pas pour rien que Michael Moorcock lui-même a adoubé ses auteurs !
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Elric, tome 1 : Le trône de rubis (BD)

Un premier tome très réussi qui a ravivé de nombreux souvenirs de ma lecture des livres, et m'a donné envie de replonger dans le cycle d'Elric. Pour ceux qui ne sont pas encore familier de l'oeuvre de Moorcock, cette adaptation permet de découvrir l'univers de cette saga et le personnage d'Elric, empereur déchu et tourmenté par les faiblesses de son corps d'albinos et par la malédiction de son épée Stormbringer. Les dessins sont superbes et retranscrivent parfaitement l'ambiance sombre et décadente de Melniboné. Seul petit bémol, ce premier tome fait office d'introduction et pourra en frustrer quelques uns. Et oui, une fois fini, on en veut encore !
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Elric, tome 3 : Le loup blanc (BD)

L’éditeur a fait un joli travail avec un cahier graphique décrivant le processus de création en fin d’album, une galerie d’illustrations d’Elric par différents auteurs et une préface désormais rituelle d’un des papes de la littérature geek (Neil Gaiman ce coup-ci). La couverture est bien plus réussie que sur le tome 2. L’indication du nombre de volumes sur le premier cycle (en quatrième de couverture) est louable.



Pas très fan des trucs de métalleux et gothiques je n’ai jamais lu leur bible, la saga de Michael Moorcock sur l’albinos et son épée buveuse d’âmes Stormbringer, même si la réputation de cette œuvre m’intriguait, notamment dans le milieu rôliste (Julien Blondel a commencé comme auteur de jeux de rôle, comme le scénariste de Servitude…). En revanche la dark fantasy me plaît par son côté graphique, via l’univers de Frazetta principalement (qu’on retrouve chez Esad Ribic), Conan et le travail graphique d‘Alberto Varanda sur le jeu de rôle Bloodlust que je pratiquais quand j’étais plus jeune. En voyant arriver cette adaptation auréolée de la préface de l’auteur original et d’Alan Moore (sur le t2), étant grand admirateur du travail de Robin Recht et Jean Bastide je me suis laissé tenter.



Premier constat: c’est sombre, gothique, violent, barbare. Les trois volumes (sur les 4 du premier cycle) sont relativement différents. Le premier est clairement le plus impressionnant, par la puissance des planches portées par Bastide (qui n’officie malheureusement que comme coloriste sur les suivants), par la radicalité des scènes de sexe, de torture, de combat, par les pleines pages, le découpage, les décors, bref, on en prend plein la vue. L’œuvre et l’univers de Moorcock sont assumés sans aucune autocensure et c’est ce qui plait. Un univers païen, mélange du fruste minéral et de la flamboyance des architectures et des costumes orientaux. On retrouve le côté épique, foisonnant, gigantesque qu’Olivier Ledroit avait apporté aux premiers Chroniques de la Lune noire. Le second tome est en deçà, tant au niveau graphique que scénaristique. La quête d’Elric assisté d’élémentaires pour retrouver son impératrice Cymoril est assez linéaire. La violence reste présente (la scène du village est assez trash) ainsi que les démons. Mais le changement de dessinateur principal se ressent et le tout manque quelque peu d’inspiration.



Le Loup blanc marque une certains pause dans la virulence de la série. Elric est exilé dans les jeunes royaumes avec sa seule arme-dieu. Il va entamer une amitié avec un prince-marchand et accepter la mission d’une princesse souhaitant se rendre dans un autre plan de réalité lié à Elric et à sa généalogie. Les explications sur le passé de Melniboné alimentent la narration générale mais le tout reste assez sage. Les décors hivernaux sont très beaux et maîtrisés, les rues et plans larges de la cité sont très détaillés et inspirant. Les costumes sont toujours aussi travaillés et l’on sent que l’équipe s’est régalée visuellement sur ces éléments de décors. Niveau graphique on reste dans l’école Lauffray et c’est plus qu’honnête, avec quelques fulgurances sur certaines pages. La perte de Bastide est indéniable mais le niveau est maintenu par une méthode de travail collectif expliqué dans les annexes très intéressantes. Elric fait partie des quelques rares séries à parvenir à maintenir une homogénéité graphique malgré la multiplication des dessinateurs (comme Avant la Quête) et c’est louable. Niveau intrigue on revient à de l’assez classique en héroïc-fantasy, l’ambiguïté du personnage, de son épée et de sa relation avec le démon Arioch ne survenant que sur les toutes dernières cases de ce troisième tome. On reste dans de la très bonne fantasy mais j’espère que le quatrième opus renouera avec la radicalité et la grandiloquence du premier.
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Elric, tome 2 : Stormbringer (BD)

Un deuxième volet qui appuie la force de cette adaptation.



Le deuxième tome de la saga reprends dans le sang. Elric est plus puissant que jamais, si bien que la violence dans ce tome est exacerbé. Les graphismes et leurs dynamiques ne font que renforcer la brutalité du récit. Une pure merveille.



L'intrigue est posé, la quête lancée et ni les dieux, ni les démons intérieurs d'Elric ne parviendront à le raisonner. Cette fois les révélations se précisent, ouvrant la voie au troisième tome.



En bref, une deuxième tome qui assoit la position de cette saga, et m'invite à plonger sans concession dans le troisième !



Bonne lecture à tous.
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Nova, Tome 1 : Le Châtiment de l'aurore

La thématique de la domination des machines sur les humains est assez classique. Ce qui m’a le plus attiré est l’adaptation du mythe d’Antigone que l’on retrouve dans un cadre de Grèce antique avec des machines. Malheureusement je pensais qu’en utilisant un thème aussi fort il y aurait plus de tension dramatique, que la fille du prêtre aurait plus d’épaisseur.



Le dessin des personnages manquent parfois de réalisme, certaines proportions ne sont plus trop respectées lors de scène de combats. Mais le tout reste assez dynamique.



Ce premier album se finit avec l’arrivée d’étranges visiteurs qui va entrainer le récit vers un versant plutôt inattendu.
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Elric, tome 2 : Stormbringer (BD)

Dessins sompteux, représentations magnifiques de la décadente et sanglante Melniboné, créatures maléfiques et dieux surpuissants peuplent les pages de ce second tome réussi, qui poursuit de brillante façon la saga d’Elric en BD.
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Elric, tome 2 : Stormbringer (BD)

Ce récit est formidablement bien rythmé ! Il y a une ambiance, une tension qui ressort de ces cases qui arrivent à nous tenir en haleine, à nous donner le frisson même !
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Elric, tome 2 : Stormbringer (BD)

Les choix réalisés par les auteurs sont cohérents et aboutissent à une saga épique resserrée autour de l’albinos, de sa quête et de l’arrivée de l’épée noire. La narration est toujours aussi justement équilibrée entre l’action et le développement du contexte.
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Elric, tome 1 : Le trône de rubis (BD)

La meilleur adaptation de l'univers d'Elric, bon c'est pas moi qui le dit c'est Michael Moorcock lui meme dans la préface de cette BD. Je ne pourrait pas donner mon avis sur ce point vu que je n'ai pas reussir a finir un roman de cet auteur, par contre etant un (ancien) roliste, je connais forcement l'oeuvre ainsi que l'univers de Moorcock en général et d'Elric en particulier et je doit dire de ce qui j'en sait la bd colle parfaitement a l'univers, sombre, violent, et un peu gore. Les dessins sont magnifiques a base de grande planches éclaté qui m'ont tout de suite fait penser aux chroniques de la lune noir, ce qui est finalement logique puisque les auteurs indique dans leur références ... olivier Ledroit. Au niveau de l'histoire c'est une mise en place et on attend le deuxième tome impatiemment.

Un mot pour l'édition en elle même, elle est magnifique, agrémenté d'interview de croquis et de dessins hommage d'autre artiste.
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Elric, tome 1 : Le trône de rubis (BD)

Elric fait partie de ces héros quasi mythique de la littérature fantasy, je ne m'étais pas encore attaqué à Moorcock malgré la récente réédition préférant terminer mes gros cycles en cours (Drizzt la légende de Salvatore notamment).

C'est donc avec plaisir que j'ai fait connaissance en mode graphique avec ce héros intriguant !



Qu'en dire au final ?

L'album en soi déjà est un très bel objet, et quand on parle bédé ce n'est pas rien. On sent le travail respectueux et de qualité, le sens du détail, l'hommage rendu.

La bédé offre donc de belles pages, aux dimensions imposantes. On est au large dans les cases qui laissent place aux détails et aux plans larges avec un bon rendu.



Ajoutons que cette première édition se referme sur un portfolio en supplément, les auteurs nous livrent leurs essais et travaux de recherche autour des personnages et décors ; très enrichissant !



Au niveau de l'intrigue, ce premier tome est plus une mise en bouche. On découvre l'univers et les personnages, leurs interactions. Elric au centre bien sûr mais aussi sa femme (soutien dans l'ombre et personnage fort que j'ai beaucoup apprécié) et le méchant cousin (uhuh).

J'ai souvent pensé à Drizzt au cours de cette lecture : le peuple d'Elric et ses coutumes sont rudes, décadentes sans aucune place pour la pitié ou les faibles, et pour le côté anti-héros du personnage principal qui colle peu avec l'univers et est en dehors de la norme.

L'intrigue n'a toutefois pas grand chose en commun mais si vous avez aimé le personnage de Salvatore je vous le conseille d'autant plus.



L'aspect fantastique s'amorce arrivé en fin de volume avec l'entrée en scène d'un démon, on a certes eu un léger aperçu de la magie d'Elric en milieu de tome mais là c'est plus spectaculaire et donne envie de connaître la suite !



En résumé c'est un très bel objet que cette adaptation française d'Elric, ce premier tome est impeccable d'un point de vue graphisme.

C'est un peu plus léger au niveau du contenu, on arrive vite au bout sans avoir eu grand chose à se mettre sous la dent, j'aurai apprécié un peu plus de fond ou alors quelques pages de plus ? On reste un peu trop dans l'introduction à mon goût, dommage !

En tout cas maintenant que 'est fait j'attendrai davantage du prochain tom
Lien : http://www.perdreuneplume.co..
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Elric, tome 1 : Le trône de rubis (BD)

Voilà donc qui s'annonce bien : de l'amour, du sang, du mystère...

Ce premier tome d'Elric nous en met pleins les yeux dès le début. Une couverture sublime, des décors époustouflants, des personnages très travaillés...On tourne les pages une à une et l'on commence chaque fois par admirer la beauté des images, bien loin d'un simple Lanfeust auquel on aurait pu s'attendre.

Et avec pas moins de trois dessinateurs pour cette oeuvre, on en attendait pas moins!

En effet, tandis que Julien Blondel s'occupait de son script à la fois osé et validé par Moorcock, Didier Poli fournissait une première version crayonnée, revue et corrigée à l'encre par Robin Recht, avant d'être révisée et colorisée par Jean Bastide.

Ce sont donc des images sublimes, aux émotions fortes, qui nous donnent envie de plonger dans les pages pour intégrer l'univers qui se met en place.



Car c'est tout de même ce que reste ce premier tome : de la mise en place. Présentation succinte des personnages (et encore, pas tous) et de leurs ambitions ou fléau.

Le tout reste encore assez vague, les scènes s'enchaînent très (trop?) vite, et l'on referme l'album avec un franc "déjà?!" exprimé haut et fort. Les éditeurs devaient le sentir cependant, car il nous offre en contrepartie pour cette première édition 16 pages d'illustrations inédites, de planches de travail ou d'homages. On les scrute donc tranquillement, en repensant à la lecture.

Et le même constat revient sans cesse, nous hante : c'était trop court. Je veux en savoir plus. Je veux savoir comment ce monde fonctionne, quelles sont les règles, qui sont ces gens, qui tire les ficelles, quelle est cette magie?

Deux solutions alors : attendre patiemment la suite des albums (3autres sont actuellement prévu pour un premier cycle, mais une suite y est déjà envisagée)

ou bien se jeter sur l'oeuvre originale, pour faire plus ample connaissance avec Elric, son monde, et l'oeuvre apparemment monumentale et incontournable de Moorcock.

Mon choix est fait : et vous?
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Elric, tome 1 : Le trône de rubis (BD)

Tout au long de ma lecture, j’ai été incapable de savoir si j’aimais ou non. Je trouve les dessins vraiment beaux mais sombres et même les couleurs les plus claires conservent une sensation un peu sinistre. Ce n’est pas désagréable, bien au contraire et ça renforce cette impression de cité décadente. J’ai beaucoup apprécié que tout du long, cette atmosphère un peu glauque soit maintenue. Le fait que plusieurs dessinateurs travaillent dessus se voit peu. Seules quelques planches diffèrent de la majorité des dessins mais ça m’a quand même un peu interloqué, sans que je puisse dire immédiatement en quoi; je n’ai compris qu’à la fin, lors de l’explication du travail commun des dessinateurs. Si j’y ai fait attention, c’est uniquement parce que lorsque je lis une BD, je m’attache beaucoup aux détails, je prends énormément de temps à la lire et surtout à la contempler. J’essaie toujours d’y trouver LA touche de l’artiste. Pour celle-ci, j’ai eu du mal à mettre le doigt sur cette touche mais quand j’ai réussi, j’ai été perturbée par les quelques changements de style. Cette lecture m’a pris l’après-midi: lisant la page, revenant sur chaque image afin de m’imprégner au maximum de l’œuvre.

Ne chipotons pas, en définitive, j’ai beaucoup aimé les dessins.



Pour l’histoire, ça reprend une bonne partie du premier livre de Michael Moorcock: Elric des Dragons. En lisant le début, je me suis demandée si ce n’était pas les préquelles du personnage avec sa montée sur le trône de rubis… Ben finalement, non. En avançant dans l’histoire, j’ai été frappée par certains passages où j’avais vraiment l’impression d’être replongée dans le livre; j’ai retrouvé avec plaisir un certain nombre de dialogues que j’aimais beaucoup et qui en disait long sur le personnage, son entourage et son univers.



Le seul point négatif pour moi, c’est que ma vision de Melniboné est très loin de celle du Trône de Rubis. Dans les livres, la décadence de La Cité Qui Rêve n’est pas très explicite, elle est sous-entendue sans pour autant entrer dans les détails. Donc je m’étais un peu imaginée l’univers de la sorte, mais le côté sanglant chez moi était beaucoup moins présent, voire à la limite absent. Et cette grosse différence m’a un peu dérangé.



Bref, dans l’ensemble, j’ai bien aimé. Je pense que lorsqu’on connait et qu’on a aimé la saga livresque d’Elric, on peut passer un bon moment nostalgie en se plongeant dans cette BD; et lorsqu’on ne connait pas l’univers, c’est une très bonne occasion de le découvrir. Smile

Personnellement, je n’ai lu que les deux premiers tomes d’Elric et je n’ai pas accroché au second volume, j’hésitais à continuer la saga, mais en me replongeant dedans sous cette forme, ça m’a vraiment donné envie de reprendre.
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Conan le Cimmérien, tome 12 : L'heure du dragon

Probablement le tome le plus abouti de ceux que j'ai lu de la série. Le scénariste Julien Blondel (Elric) adapte efficacement le scénario quant aux dessins de Valentin Sécher (Metz-Baron) ils sont sublimes. 

Une bonne histoire mixant ennemi mystique millénaire, batailles de haut rang avec au centre un Conan devenu roi. 





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Elric, tome 1 : Le trône de rubis (BD)

Premier tome (sur quatre) de la saga consacrée à Elric le héros de Moorcock. C'est une réussite! l'évocation de Melniboné la cité qui rêve, est grandiose avec souvent des traits qui rappellent Druillet. Des batailles épiques et très esthétiques.Le personnage principal est conforme à celui du romancier ,contradictoire et tourmenté , l'amour qui est sa faiblesse , la haine qui lui redonne l'impitoyable cruauté de sa race inhumaine ( seul bémol le dessin gomme l'aspect non-humain des Melnibonéens).
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Conan le Cimmérien, tome 12 : L'heure du dragon

Conan est devenu roi, roi d'Aquilonie.



Ses ennemis, de part les plaines, mers ou montagnes, il les a tous vaincu et désormais, c'est à une vie paisible qu'il aspire.



Mais en coulisses, ce qu'un homme seul a peu de chances de réussir, trois traîtres pensent pouvoir y arriver et reconquérir le royaume du Cimmérien.



Valérius, héritier "légitime" du trône d'Aquilonie, Almaric baron de Tor en Némédie et Tarascus, frère du roi de Némédie et successueur au trône ont en effet fait appel à Orastes, initié des arts noirs et renégat de l'Ordre de Mitra pour ramener à la vie Xaltotun de Python, l'empereur qui régnait avec terreur sur Acheron et adepte du Dieu Set.



La partie s'annonce plutôt mal pour Conan qui devra cette fois-ci affronter l'égal d'un Dieu sur terre, utilisant à souhait toutes les forces maléfiques de sa magie noire...



Une nouvelle histoire de la légende de Conan le Cimmérien, et à coup sûr, l'une des plus réussie et aboutie, tant tout se tient dans cet album !

Un pur régal, et un véritable bon moment de lecture qui dès le début nous emmène dans le monde, brutal, de Conan !!!
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Elric, tome 4 : La cité qui rêve (BD)

Le premier cycle qui se termine ici a mis huit ans à se réaliser, faisant rouler les dessinateurs de Recht à Telo, en solo sur cet opus, tout en parvenant à maintenir une relative homogénéité graphique sur les quatre volumes. Car comme tout gros projet tenu par un maître d’œuvre (je pense aux 5 terres) le travail de storyboard et de préparation graphique crée un liant important. J’avais un peu décroché sur les deux précédents tomes et je dois dire que j’ai apprécié le retour à Melniboné dont la démesure est un élément indéniable dans l’intérêt de cette adaptation par rapport à la ribambelle de BD de fantasy. La relation entre Elric, son épée et le dieu Arioch est particulièrement retorse et pathétique (littéralement) et crée un vrai intérêt bien que l’on reste toujours un peu sceptique devant cet empereur déchu d’un peuple ultra-violent devenu presque pacifique dans son adversité envers les dieux. En seulement cinquante pages l’histoire avance vite dans une construction dotée d’un prologue enchevêtré très originalement mis en scène par Blondel et Cano, où les morts seront bien sur nombreux, avant d’aborder une énième confrontation (sanglante) entre le dieu et l’albinos. Le thème du temps est abordé ici (sujet toujours passionnant) avant une attaque de l’île aux dragons un peu rapide bien que graphiquement flamboyante… Bref, on pourra principalement reprocher à cet album de ne faire que la taille d’un album normal au vu de la quantité de lieux et d’actions à entreprendre. On imagine qu’une pagination doublée aurait encore prolongé la production qui reste d’une très grande tenue en parvenant à vulgariser une œuvre classique dotée de sa personnalité propre.



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