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Citations de Justin Cronin (160)


Elle voyait le chagrin comme un endroit où on se rendait tout seul. C'était comme une pièce sans porte et ce qui survenait dans cette pièce, toute la colère et la souffrance qu'on ressentait, était fait pour rester dedans, ce n'était l'affaire de personne, que de soi - seul.
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Ce que tout le pense, mais ne dit pas, c'est qu'il n'y a plus de vraie sécurité à partir de maintenant. Le plus drôle c'est que ça ne m'inquiète pas beaucoup. Pas vraiment. J'espère qu'on ne va pas tous mourir ici, bien sûr, mais de toute façon je préfère être ici, avec ces gens, que n'importe où ailleurs. C'est autre chose d'avoir peur quand on a l'espoir que ce soit pour quelque chose.
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Il portait les chaînes qu'il avait forgées pendant sa vie. C'était une si triste histoire .
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Le courage, c'est facile, quand l'autre option c'est de se faire tuer.
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L'expéditionnaire était toute ma vie et il me manque, mais j'ai fait ce que je croyais être bien sur le moment. En fin de compte, c'est tout ce qui reste à un homme pour apprécier la valeur de sa vie, et c'est beaucoup.
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Il était face à une porte ouverte. Il inspira profondément et fit un pas en avant.
Il entra dans les étoiles.
L'air s'échappa de ses poumons avec force, comme s'il avait pris un coup en pleine poitrine. Un sentiment physique, de pure panique, l'impression d'être entré dans le néant, dans le vide même du ciel nocturne. [...] Le ciel au-dessus de sa tête, était un monde de ténèbres - et partout, les étoiles !
- Respire, Peter, lui dit Alicia.
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Depuis la passerelle d'observation de l'Empire State Building - l'un des derniers bâtiments restés debout entre Grand Central et la mer -, Alicia regarda le Nautilus descendre l'Hudson.
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- Mon mari, veux-tu faire quelque chose pour moi ?
- Bien sûr.
Elle le fixa droit dans les yeux.
- Tue-les tous jusqu'au dernier, ces salauds.
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Après trois années de quasi-solitude, le bourdonnement de toute cette humanité entassée lui donnait l'impression qu'on lui ponçait la peau au papier de verre.
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Le pistolet était son secret, le secret de son identité, comme si elle transportait là, dans son sac, les dernières brides de celle qu'elle était.
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Elton était aveugle de naissance, ce dont Michael n'était pas vraiment navré pour lui. Sa cécité faisait partie de son identité. [...]
Il en savait plus sur les accus que n'importe qui, Michael mis à part - ce qui tenait du miracle ou au moins de l'exploit, compte tenu du fait qu'il ne les avait jamais vus en réalité mais d'après lui, c'était plutôt un avantage, parce qu'il ne se laissait pas abuser par l'apparence des choses.
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Quelque chose tomba sur le capot.
Une espèce d'animal. Non, une espèce de créature monstrueuse, vert pâle fluorescent. Et puis il vit ses yeux, vit ce qu'il y avait dedans, et il sut que l'étrange nouvel être qui s'était posé sur le capot était Anthony Carter.
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Dieu a inventé l'Iowa pour que les gens puissent le quitter et ne jamais y revenir.
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Le courage, c'est facile, quand l'autre option c'est de se faire tuer.
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Tout n'était que ruine, et pourtant le monde n'avait pas l'air de le savoir, ou de s'en soucier.
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Amy, figée dans le temps, et sans nom, et rendant le monde oublié, à jamais plongé dans les ténèbres, seule et sans voix, rien que ces mots : ce que je suis, ce que je suis, ce que je suis.
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Elle le ferait. Elle allait le faire. Parce qu'il y avait trop longtemps qu'elle était seule, pas d'autre moi que moi, et qu'elle était pleine de chagrin et d'un grand désir d'autres comme elle, pour ne plus être seule.
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C'est alors qu'il la sentit. Dans un terrible et clair jaillissement, Babcock la sentit. L'ombre derrière l'ombre, la déchirure dans le tissu de la nuit. Celle qui portait la graine de l'éternité mais n'était pas de son sang, n'était ni des Douze ni du Zéro.
Celle qui s'appelait Amy.
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Elle arriva à la porte et continua à courir, dans le couloir aux lumières bourdonnantes, dans la pièce avec le chariot, les béchers et les batteries, toutes les petites choses de l’ancien monde et ses terribles rêves de sang.
Elle s'arrêta, se retourna vers la porte. Il était là.
"Je suis Babcock. L'un des Douze."
Moi aussi, pensa Lacey alors que, derrière elle, le décompte de la bombe arrivait à zéro zéro zéro, que les atomes de son cœur s'effondraient sur eux-mêmes et que son esprit s’emplissait pour toujours de la pure lumière blanche du ciel.
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Le carnage avait commencé.
Sortis de leur cachette, les viruls se répandirent dans la ville.
Ils grouillaient sur les remparts, projetant les hommes dans le vide.
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