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Critiques de Karen Traviss (50)
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Gears of War : Coalition's End

Amateur de SF militaire ..

je suis tenté d'explorer les novélisations de jeux vidéo .

Là encore , je n'ai pas été déçu ( comme souvent ) .



De la dimension et de l'ampleur , des personnages réalistes , même s'ils sont principalement basics et fonctionnels .

Des gens impliqués dans des actions logiques , cohérentes et crédibles ..



Avec des combats de militaires et de civils sous le feu d'ennemis , divers et non moins fonctionnels .

Une situation complexe au niveau , tactique et aussi complexe humainement parlant ( drame et affects liés au drame ) .



Bien vraiment ! et même redoutable …

Des images suggestives , des visuels qui s'imposent de fait , bref : efficace ...



Plus que dans les autres tomes l'univers se déchaine ( il y a un véritable renouvellement de l'univers ) .



Cette apothéose de l'horreur , l'effroi ultime , je dirais , se déchaine après un effondrement absolu de l'humanité sur ce monde lointain ,

Une nouvelle invasion spectaculaire se manifeste dans ce volume .



C'est plus que dans les autres tomes ( deux seulement disponibles en français ) , une guerre de position , avec des développements sur des réflexions stratégiques , accomplies sur les cendres d'un désastre absolu qui semble irrémédiable , pour l'humanité sur ce monde défiguré puis transfiguré .

Ce roman possède une puissance immersive assez spectaculaire , et puis une intensité dramatique crédible .



C'est un désastre pour notre espèce qui se fait copieusement botter le popotin

Un mot pour résumer : intensité ..

De la bonne littérature populaire .



Les romans dans cet univers de SF militaire :



Aspho Fiels ( roman ) : dispo en français ( milady )



Jacinto's Remnant ( roman ) : dipo en français ( Milady )



Anvil Gate ( novel )



Coalition's End ( novel)



The Slab ( novel )

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Gears of War, tome 1 : Aspho Fields

Lorsque j'étais plus jeune je cherchais des romans inspirer des films tout genre confondus pour dire que je lisais. Maintenant je suis plus vieux, j'ai moins besoin de ce prétexte pour pouvoir lire étant donné que je lis n'importe quoi. Mon approche au romans inspirer des jeux vidéos que je ne connaît pas quand je pense à Halo de William C. Dietz que j'ai trouvé moyen. Ce roman est dans cette veine. Un jeux ou livre ou les aliens (insectoïde tout comme dans Starship troopers de Robert E. Heinlein) ont envahit la terre. Et des hommes comme Marcus Fenix, Dominic et Carlos Santiago essais des les éléminer. L'auteure Karen Traviss ne nous met pas en contexte; on ne sait ni comment ils ont arrivé ici, ni pourquoi, ni d'où ont-ils pu bien venir ? Seul un fan peut connaître une partie des réponses ou toutes les réponses. Le fait aussi qu'on part dans le temps alourdie l'histoire et brisant le rythme de celle-ci.
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Gears of War, tome 1 : Aspho Fields

J'aime beaucoup lire des romans adaptés de jeux vidéos, car ils me permettent de replonger dans les jeux et d'éveiller mes souvenirs ou, au contraire, apportent plus d'informations sur les personnages ou l'univers. Avec ce premier tome de Gears of War, on découvre un contenu inconnu. C'est une sorte de prélude au jeu.



Ce fut une lecture très intéressante, car elle m'a permis d'apprendre beaucoup de choses comme la création du rayon de l'aube, mais surtout le passé de Dom', Marcus Fenix et Carlos Santiago. Je savais ce qu'il s'était passé pour ce dernier, mais je ne pensais pas découvrir un tel passé. Ce que j'ai lu m'a fait comprendre pourquoi les protagonistes sont si proches... Par ailleurs, j'ai apprécié leur début dans l'armée et leur évolution. Quand on pense à ce qu'ils sont devenus dans le jeu, on constate qu'ils ont parcouru un sacré chemin ! Pour ceux qui craignent de ne rien comprendre au jargon militaire, rassurez-vous : c'est assez compréhensible.



Karen Traviss met très bien en scène les combats. C'est dynamique, efficace et distrait le lecteur. Par contre, je dois avouer que je m'attendais à plus de combats avec les locustes. Au final, il y en a peu : ce sera plus des batailles entre humains. Cela m'a surprise, toutefois j'ai tout de même savouré chaque bataille. Par ailleurs, certaines scènes sont assez émouvantes et d'autres amusantes. Parmi les scènes de guerre rythmées, l'auteure a su judicieusement placer l'humour et le ton de la saga.



J'ai donc été conquise par ma lecture qui m'a appris des choses que j'ignorais. Par contre, peut-être est-il préférable de jouer au jeu pour vraiment apprécier les personnages, l'ambiance et l'univers ? E. C.

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Gears of War, tome 1 : Aspho Fields

Etant fan de la série, je dois avouer avoir retrouvé le ton, l'humour et la désolation qui ressortent du jeu,

Un bon moment, un ton en accord avec le monde et son inexorable destinée
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Gears of War, tome 1 : Aspho Fields

Vaut pour les deux épisodes :



Ne connaissant le jeu que de nom, j'ai pris ce livre, non comme une novellisation du jeu, mais comme un roman à part entière.



Il manque quelques explications sur les locustres leur origine et leurs buts et un passage par wiki a été nécessaire.

La narration est un peu froide et présente quelques longueurs.



Néanmoins on suit avec intérêt le combat pour la vie de Marcus, sa puissance, ses faiblesses et ses états d'âme.



De la bonne sf militaire, réaliste pour le monde dans laquelle elle évolue.
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Gears of War, tome 1 : Aspho Fields

GTEARS OF WAR TRAVISS

Une bonne novélisation ...



J'ai passé un très bon moment à la re- lecture de ce roman aux objectifs assez modestes .

Les personnages sont biens construits et l'univers et l'intrigue sont également bien posés.

Je n'ai pas été pénalisé par mon ignorance du jeu vidéo éponyme .



L'auteur démontre clairement son habilitée à mettre en scène des univers de soldats dans une perspective intimiste , car le ton est juste .

L'auteur met en place soigneusement les personnages et l'univers est approché en rapport intime avec eux .

Les nombreuses scènes de combats avec des ennemis variés sont impeccables et cette apocalypse guerrière aux allures de survie , impacte efficacement le lecteur .

Un excellent moment de distraction , dont l'intérêt va bien au-delà de l'intérêt éventuel ou non du lecteur , pour le jeu vidéo .



Sans prétention mais efficace , distrayant et agréable ...

Un bon moment de science-fiction militaire tout de même ..

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Gears of War, tome 2 : Les Vestiges de Jaci..

Vaut pour les deux épisodes :



Ne connaissant le jeu que de nom, j'ai pris ce livre, non comme une novellisation du jeu, mais comme un roman à part entière.



Il manque quelques explications sur les locustres leur origine et leurs buts et un passage par wiki a été nécessaire.

La narration est un peu froide et présente quelques longueurs.



Néanmoins on suit avec intérêt le combat pour la vie de Marcus, sa puissance, ses faiblesses et ses états d'âme.



De la bonne sf militaire, réaliste pour le monde dans laquelle elle évolue.
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Gears of War, tome 2 : Les Vestiges de Jaci..

Du rythme ... de l'ampleur .. un bon moment de SF.... Un bon moment de SF militaire ...



Et pour les personnages : de l’audace , encore de l’audace , toujours de l’audace .



Amateur de SF militaire ..

je suis tenté d'explorer les novélisations de jeux vidéo ..

Là je n'aie pas été déçu ( comme souvent )...



C'est un très bon moment ..

De la dimension et de l'ampleur ..

Des personnages réalistes impliqués dans des actions logiques , cohérentes et crédibles ..

Un exode de militaires et de civils sous le feu d'ennemis .. ( très divers )

Une situation complexe au niveau stratégique .. tactique et humainement parlant ..



Bien vraiment ... et même ASSEZ redoutable .. !



Des images suggestives .. des visuels qui s'imposent de fait .. : efficace car très scénique ...

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Halo : les Mondes de Verre

Comme la couverture l'indique, nous avons le premier tome d'une nouvelle trilogie sur l'univers Halo qui suit l'équipe Kilo-5. Pour les fans des jeux vidéo, l'action se situe entre Halo 3 et Halo 4 et arrive immédiatement après le tome 4 de la série principale : Les fantômes d'Onyx.



La guerre contre les Covenant est terminée, leur alliance ayant explosé. Les sanghelies notamment, ont fait sécession. Mais pour que cela dure, il va falloir les déstabiliser encore plus et encourager la guerre civile. L'ONI pour ce faire, fait appel à Kilo-Five. Une petite équipe de Helljumpers, d'une Spartan II, d'une IA bien informée, d'un scientifique roublard et d'une barbouze à l'avenir prometteur faisant office de chef. Ils sont chargés d'armer les rebelles. Une OP digne des meilleures Black-op de la CIA (qui pour certaines leur ont bien pété à la gueule).

Pendant ce temps, Le Dr Halsey, qu'on avait laissée en plan dans avec une petite équipe de Spartan II et III sur Onyx, tente de comprendre les trésors du monde bouclier forerunner dans laquelle elle s'est retrouvée enfermée.



K. Traviss n'est pas une novice en matière de novélisation. Star Wars, Gears of War et, plutôt bien réussi, sa série originale phare, les guerres Wessh'ar. Mais si j'avais trouvé son style un peu froid dans Gears of War, il s'est nettement amélioré ici. Alors qu'il n'y a absolument aucun des combats qui ont fait le succès de la série originale livresque, elle arrive à nous produire une œuvre très prenante où les trois fils rouges (Halsey, Kilo-5 et les Shangellies, avec néanmoins un peu trop d'anthropomorphisme) sont soignés et captivants.

N'ayant pas été particulièrement tendre avec les deux derniers épisodes (Le protocole Cole et Contact Harvest), Traviss a su renouveler mon intérêt pour la licence Halo.



Le tome 2 : Le baptême du feu est prévu pour novembre 2015. Et vu le clifhanger final, il va bien falloir s'y atteler.
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Halo : les Mondes de Verre

Phylliss
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Halo : les Mondes de Verre

Un univers toujours solide et attractif , même si son envergure et sa somptuosité aurait pu été plus marquée et plus approfondie ..

C’est un indéniable plaisir cependant de l’arpenter en compagnie de personnages embarqués dans des problématiques d’envergures et dans des cadres souvent spectaculaires .



L’auteur est ici assez bavarde , les personnages s’épanchent et se questionnent et ce n’est pas très réussi , ça pleure , ça quémande , au point que l’on en vient à espérer que leur vie intérieure nous échappe le plus possible .

Traviss à un mauvais penchant , elle s’oublie souvent et les personnages devienne de pauvres filles ou de pauvres types moralement sanguinolent qui se rependent en gémissements plus ou moins perceptibles . . .

Ce travers est ici atténué par un cadre éloquent pour ce qui est des drames et tragédies qui percutent les destins et les mondes , animés par l’auteur avec une certaine dimension et une certaine fulgurance éloquente .

Par ailleurs l’auteur possède une vision assez psychorigide de sa moralité et de ses propres oignons en général ( pardon opinions ) . Elle les inflige au lecteur , le plus souvent sans ménagement , un peu comme le gavage des oies .



Les spartans par contre sont considérablement déshumanisés , un peu ( beaucoup ) en » panne « . Cela fait drôle je trouve , et du coup l’univers est un peu trop « machinisé » «, simplifié , bon , pourquoi pas ?

Effectivement pourquoi pas … ? Sauf que ce n’est pas cohérent avec la nature des spartants .



Bon sinon , ça swingue un peu . Il y un peu d’action et les problématiques de l’univers sont traitées de manières avenantes et réfléchies avec une exigence qui est effective et au niveau du minimum syndical .

l’univers est assez grandiose . Il y a des extraterrestres avec qui prendre le thé ...



Les descriptions sont le plus souvent avenantes et très immersives .

Mais c’est dommage car les dialogues sont aussi réussis que rarement consistants .



Bref je dirais que ça distrait , que ça agace , et que ce n’est pas véritablement flamboyant .

Dommage que ça gémisse autant , ….. De façons aussi discrètes que incontournables .

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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Les Guerres de Wees’har est une série explorant un registre susceptible de diviser les critiques : la « guerre » et ses soldats. L’éternelle question (tout comme la guerre) tournera autour de la qualification du récit: SF militariste (traduire par bas du front) ou SF militaire (lecture acceptable). Sans y plonger le nez, le thème et le quatrième de couverture le classent dans la lignée d’un Honor Harrington à la réputation « peu enviable »…



En effet, dès qu’un auteur s’attaque à ce vaste et délicat sujet, une partie de la critique a tendance à descendre le livre s’il ne dénonce pas avec force la guerre et les belligérants. Finalement, c’est un point de vue assez négatif qui m’a donnée envie de le lire car j’étais très agacée par les poncifs contenus. Bien m’en a pris.



Au premier rang des reproches, un génocide planétaire au nom de l’écologie. Effectivement, Karen Traviss a pris un parti assez tranché et visiblement osé. Sur la planète Cavanagh, Aras est un guerrier Wess’har redoutable en charge de la surveillance des colons humains survivants. Aras fait partie d’un race extra-terrestre très à cheval sur la préservation de l’environnement au point de régler le problème de façon radicale. Très radicale : élimination de toute la population d’une planète! Cela peut donc choquer ou agacer quelques sensibilités. Le lecteur choisira d’y voir une attaque en règle mesquine, ou un danger potentiel liè à l’écoterrorisme. Personnellement, je ne considère pas Karen Traviss comme une visionnaire, et cependant, le fondamentalisme peut prendre de nombreuses formes. Par conséquence, les colons de la planète doivent être irréprochables sur ce point.C’est une problématique cruciale car ils sont pris entre les nécessités de la survie dans un environnement peu hospitalier, et les exigences intransigeantes des Wess’har. D’où l’envoi d’un officier environnemental, Shan Frakland.



Évidemment, l’écueil central dans la SF militaire/militariste est le traitement des conflits et des combattants. Il faut préciser que La cité de perle ne relate pas une guerre de grande envergure. Les personnages principaux, militaires de leur état, peuvent d’office parquer le roman dans la SF militariste, un sort potentiellement conforté par les scènes de violence. Karen Traviss connaît bien ces sujets et nous décrit des protagonistes qui sonnent justes, explorant leurs motivations, leurs valeurs et leur quotidien. Les personnalités sont complexes, avec parfois une touche d’ambivalence, surtout quand les situations se tendent. Frakland et Aras sont plutôt très réussis. Les interactions sont franches et viriles – ce qui peut chatouiller une fois encore quelques sensibilités – et pourtant très réalistes dans ce cadre martial. Le stress subi par les divers personnages est bien rendu et l’ambiance souvent tendue même pour nous, simple lecteur. Nous apprenons comment les jeux politiques, la propagande et les inconséquences enclenchèrent cette crise, et la perte totale du contrôle des événements…



La description de cette civilisation extra-terrestre est intéressante et crédible. Karen Traviss nous la présente comme la première rencontre alien, avec toutes les hésitations, les incompréhensions, les maladresses auxquelles nous pouvons nous attendre. L’énergumène qui représente les Wess’har fait son effet ( Aras me fait penser au Predator…) et participe pleinement à notre découverte de cette culture « jusqu’au boutiste » dont la philosophie est plus élaborée que le simple anéantissement. S’agissant d’un premier tome, nous en poursuivrons la découverte dans les prochains romans.



L’intrigue est tout à fait prenante, et une fois les premières pages lues, il est difficile de ne pas aller jusqu’au bout. L’écriture est claire, le style agréable. Ce premier tome manque un peu de rythme sans que cela soit rédhibitoire. L’univers intéressant de Karen Traviss ne demande qu’à s’enrichir.



Pour être claire, j’ai aimé ce roman bien construit exposant des thèmes d’actualité, et un peu de testostérone bien distillée ne fait point de mal!
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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Pour les Wess'har, habitants indigènes du système de Cavanagh, seul comptent les actes et leurs résultats, jamais les motivations qui les ont sous-tendus. Ce n'est qu'une des multiples différences culturelles qui distinguent les colons humains de leurs "hôtes". Ces différences conduiront insensiblement à une guerre de grande ampleur opposant les êtres humains aux premières civilisations non humaines jamais rencontrées.
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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Un bon premier tome.

Le problème avec la cité de la perle, c'est qu'en lisant les différentes critiques ici et là, on ne sait pas à quoi s'attendre. Une bouse infâme ou un sympathique petit livre (j'ai déjà répondu à cette question dans mon titre). Un space opera populaire avec super-héros ou un roman plus "réaliste" (option 2 pour moi). Le mieux est de se faire sa propre opinion, et je dis que ce livre mérite d'être lu.



Une rencontre du troisième type incontestablement originale. Les humains ne sont pas cette race supérieure qu'on aime généralement retrouver dans les space op populaire, mais bien des primitifs.

Les personnages principaux : l'officier de police environnemental Shan Frankland est bien développé et très intéressant. Le gardien Wess'har Aras est également bien décrit, physiquement et psychologiquement.

Pour le bémol : Les races extra-terrestres présentes dans ce tome : Wess'har ( à l'exception donc de Aras qui est un cas à part dans sa race due à sa contamination par un parasite le rendant immortel), Berezi, Isenj et Ussimi sont bien trop inconsistantes (peut être l'auteure les garde-t-elle en réserve pour le tome 2 : Les Guerres wess'har, tome 2 : Transgression).



Le roman amène une réflexion sur l'environnement, les eco-terroristes, le génocide, les OGM et les risques commerciaux et éthiques liés, le végétalisme. La politique et diplomatie qui pourraient être mises en oeuvre entre espèces intelligentes ayant une psychologie et des buts différents.



Bref, un livre que j'ai trouvé bien écrit, bien que dans un style un peu froid, manquant de rythme mais racontant une histoire suffisamment intéressante bien qu'incomplète, pour que j'attaque le tome 2. (Et oui ce n'est que le début de la série de 6 tomes dont seulement 3 ont été traduits).
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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Une fois dedans, plus moyen de décroché. Ce tome 1 est une bonne réussite et une bonne entrée en matière. Un poil lent comme un tome 1, mais on s'en doute bien! J'ai adoré le coté écologiste et la réflexion anti-spéciste développée. Deux choses qui me touchent également beaucoup, et j'avoue que je trouve le sujet bien abordé. Gardant le coté philosophique de la chose sans pour autant en alourdir le récit. Enfin, ce n'est bien sur que ma façon de voir. Mais voilà, cela m'a beaucoup touché et je conseil donc vivement "La Cité de Perle" à toute personne tentée par le space opera.



Néanmoins, j'ai trouvé un peu dommage que le camp qui soit lucide dans l'histoire soit le camp des policiers et militaires. Voir le journaliste... Mais pas les scientifiques. Bon, cela doit être mon coté anti-autorithaire qui voit cela comme ça, parce que bon, les scientifiques de nos jours sont ceux qui ont mains liées avec le business pour privatiser tout le vivant!
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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Un bon roman qui " ne casse pas des briques», pas mal néanmoins! ..



Un texte qui contient tous les ingrédients du space opera : voyage spatial, extraterrestres (plusieurs espèces) ,un personnage principal très bien campé , quelques personnages secondaires assez solides , trouvailles technologiques, intrigue intéressante, des trouvailles exo-biologiques aussi , un récit bien construit ...



Je ne saurais dire ce qui m'empêche d'être enthousiaste , peut-être à cause des personnages légèrement casse-bonbons , et un ton moralisateur . Mais c'est quand même assez bon pour passer un bon moment de lecture .

Le personnage principal fait en grande partie l'intérêt du bouquin en fait .

La planète est très crédible et c'est un monde très dépaysant .

L'arrière-plan politique et les rapports entre les membres de l'expédition sont très bien dessinés.



En fait pas mauvais ...

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Les Guerres Wess'har, Tome 2 : Transgression

Pour les Wess'har, habitants indigènes du système de Cavanagh, seul comptent les actes et leurs résultats, jamais les motivations qui les ont sous-tendus. Ce n'est qu'une des multiples différences culturelles qui distinguent les colons humains de leurs "hôtes". Ces différences conduiront insensiblement à une guerre de grande ampleur opposant les êtres humains aux premières civilisations non humaines jamais rencontrées.
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Les Guerres Wess'har, Tome 2 : Transgression

Avec trangression , deuxieme tome du cycle des Guerres Wesshar, on entre dans le vif du sujet. C'est vrai que la premiére partie du livre, qui s'attarde sur la culture Wess'har peut paraitre ennuyeuse, mais ca ne pas dérangé, .



Dans la deuxiéme partie, la tension monte lentement. Car la Terre veut a tout prix récuperer le fameux parasite qui offre pratiquement l'immortalité, tant pis pour les conséquences, et la, Traviss nous montre une bien piétre image de l'humanité, qui n'a pas oublié ses vieux demons colonialiste.



Un bon bouquin.
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Les Guerres Wess'har, Tome 2 : Transgression

Suite au tome 1 j'étais suffisament emballé pour m'acheter dans la foulée le deuxième tome et l'entamer directement. Bon évidemment je n'arrive jamais à lire un seul livre à la fois et d'autres sont passés à coté et même déjà chroniqués sur mon blog minable. Cependant, une fois ce deuxième tome terminé, j'ai comme un goût de trop peu. L'histoire a un coté fort politique qui me plaît bien, mais je ne sais pas. Il y'a eu un quelque chose qui a fait que j'ai décroché à un moment du livre. Pourtant, à chaque fois que je retournais dedans, après quelques pages, le plaisir revenait. J'avoue avoir beaucoup de mal à expliquer le pourquoi de tout ceci ainsi que le fond de mon idée. Peut-être est-ce dû au développement un peu scabreux de l'héroine Shan Frankland? Possible car je la trouve moins sympathique que dans le tome 1. Ou alors est-ce la basculement de plus en plus rapide vers une guerre intergalactique? Qui par ailleurs est encore la faute des humains (bah oui fallait bien un méchant dans l'histoire!). Je sais pas je trouve ce deuxième opus beaucoup moins fin, et moins développé. D'un autre coté j'ai beaucoup aimé voir l'évolution d'Eddie Michallat, reporter sans planètes. Suivre l'évolution d'un bras non-armé coincé dans la diplomatie intergalactique est intéressant et change l'angle de vue du Space Op' de base. Espérons le voir mis plus à l'avant plan du troisième tome.
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Les Guerres Wess'har, Tome 2 : Transgression

Dans le tome 1 La Cité de Perle, nous avions laissé Shan Frankland, désormais infectée par la c'naatat, parasite la rendant quasi immortelle, en réfugiée politique chez les Wess'har.

Les Terriens et les Isenj, prêts à tout pour s'emparer de la planète des Berzeri, dont les Wess'har sont les gardiens.



Moi qui reprochait un manque de consistance aux races extra-terrestres dans le tome 1, on peut dire que j'ai été servi dans ce second opus, en tout cas pour ce qui est des Wess'har; jusqu'à l'overdose d'ailleurs.

En effet, à travers la relation amoureuse qui unie Aras et Shan (et oui on abordera les relations sexuelles inter-espèces) et les relations de cette dernière avec les instances dirigeantes, les matriarches, on respire wessh'ar, on mange wess'har et on dort wess'har. et sur les 230 premières pages du roman, c'est long, trop long.



Heureusement, passé cette première partie, un peu soporifique, la tension montre brusquement entre les différentes races - due à un action humaine d'ailleurs, race ayant du mal à comprendre la psychologie wess'har pour qui tout menace est immédiate et doit être traité comme une déclaration de guerre.



Pour les personnages principaux, Aras "s'humanise", Shan se rigidifie et Eddie Michallat (le journaliste) prend de l'ampleur.



Deux étoiles pour la première partie et quatre pour la seconde de ce tome 2.
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