Citations de Kei Sanbe (148)
Même les enfants sont couverts par toutes sortes d'assurances... accident maladie, hospitalisation... et aussi... décès! Les organismes versent une grosse somme d'argent dans ce cas-là...
Croire que ce qui arrive est de ta faute, c'est de l'arrogance !
- Comment arrives-tu à me faire confiance ?
- Ne le prends pas mal mais ce n'est pas que j'y arrive... c'est plutôt que je le veux !
Après m'être cassé la tête à propos du passé me voilà obligé d'essayer de prévoir l'avenir !
Pour être honnête, j'ai peur de me mettre en avant. Peur de découvrir que je suis vide... que je suis quelqu'un sans intérêt.
Si les raisons d'un adulte...se cachaient derrière mes mots...les siens étaient simples et directs. Quand elle s'est retournée pour me répondre... elle m'a regardée en face pour la première fois... Vraiment ?
Alors...Est-ce que tu pourrais tuer quelqu'un pour moi?
écoute-moi bien, Kokoro... Et ce que je vais te dire, rentre-le-toi dans le crâne... Les profs nous cachent quelque chose... sur cette île... si tu ne veux pas mourir... ne crois pas ce qu'ils racontent...
On dit : qui dit deux lièvres chasse, l'un perd et l'autre laisse. Mais moi qui n'en chassait qu'un, j'en ai attrapé deux, hé hé.
"Enan... Tu n'iras pas à l'école aujourd'hui..."
Elle me l'a annoncé comme ça, recroquevillée sur elle-même. Je crois bien qu'elle n'avait pas dormi de la nuit. Je n'ai plus remis les pieds au jardin d'enfants ! Après quelques jours à l'hôpital, on est rentrées chez nous. Ma mère a cessé de travailler, elle restait cloîtrée dans notre appartement. Des gens appelaient sans arrêt, et à chaque fois qu'elle répondait, c'était pour s'excuser. Puis un jour, elle a coupé le fil du téléphone. Et il n'a plus jamais sonné.
-Dis Senri, pourquoi tu ne souris pas ?
-J'ai l'impression que si je le faisais, je finirais par oublier Kazuto ! Et puis, tout le monde ici croit que je suis un menteur ! Je ne vois pas pourquoi j'irais rigoler avec eux !
Je ne vois que cinq issues possibles ! Un, je le tue. Deux, Senri le descend. Trois, il se fait coffrer. Quatre, il meurt avant qu'on lui ait mis la main dessus. Et cinq, il survit après nous avoir tous éliminés ! Chacune de ces fins est envisageable, non ?
- J'aurais dû agir avant que ça dégénère de cette façon ! Je ne mérite pas mon insigne...
La réalité se moque bien de nos espoirs ! Rien ne dit que demain sera comme on l'imagine, et que ce à quoi on tient sera toujours là, mais il faut quand même continuer à avancer !
Le fait que je me souvienne de ce qu'il m'inspire mais pas de l'individu lui-même.
Les seuls moments où je me sens vivre... c'est quand je regarde le jour se lever...
Si le futur est comme une page blanche sur laquelle ma résolution laisse son empreinte...Alors je suis certaine que celui de Kayo s'annonce radieux !
Je leur donne l'exemple d'une vie... Dont je n'ai pas à rougir ! Et toi, Senri ? Tu voudrais faire voir à quelqu'un ce que tu deviens ? Ou est-ce que tu as trop honte de toi ?
Dans un cas comme ça, il n'y a que les idiots qui se contenteront de suivre les ordres.
Si j'écris ces lignes, c'est peut-être beaucoup pour moi-même. Je risque de te perturber inutilement alors que tu t'es déjà suffisamment battu... Ton corps et ton esprit ont besoin de guérir. Mais tu peux être sûr d'une chose. J'ai été vraiment très heureux quand tu t'es réveillé après ces 15 longues années. J'en ai pleuré de joie... Te savoir à nouveau parmi les vivants m'a comblé de bonheur. Alors bon retour parmi nous, Satoru !
Ton ami, Kenya Kobayashi.
-Tu sais quoi ? Tu as un problème de malnutrition !
-Qu'est-ce que tu racontes ?
-Je ne parle pas de ton estomac, mais de ton cœur ! J'ai l'impression qu'il crie famine ! N'oublie jamais que tu es bourrée de qualité !
-Ah bon ? Lesquelles par exemple ?
-Eh bien... Tu es souriante !