AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Larry Correia (127)


Tout le monde désire quelque chose et, d’ordinaire, dissimule le véritable objet de ses désirs. Une fois qu’on a compris ce qu’il veut vraiment, on du pouvoir sur lui.
Commenter  J’apprécie          160
Les plus grands épéistes doivent tous faire preuve d'humilité, car c'est elle qui mène à la conscience, et la conscience à la victoire.
Commenter  J’apprécie          150
[à propos du prototype du radar]
- Comment nous sommes-nous passés si longtemps de ce merveilleux appareil, je ne le comprendrai jamais. Dieu bénisse les crânes d’œuf des engrenages du CBF. Faire rebondir des ondes radio sur les objets solides pour déterminer leur distance… C’est de la magie.
- Dans la bouche d’un type capable de créer des ouragans à la force de l’esprit… (Barns s’agrippait aux commandes.) Le gadget du CBF, c’est rien que de la science.
- Une science que l’Imperium n’a pas encore développée, et j’en suis bien content : ça nous simplifie de boulot.
- Le jour où l’Imperium se procure un de ces radars, j’arrête la piraterie pour un métier moins dangereux, souffla Barns à Sullivan. Avaleur de sabres de dompteur de fauves.
Commenter  J’apprécie          130
[le Docteur Wells] Notre ami si obstiné essayait de faire croire que ses observation étaient personnelles, mais il m’apparaît que beaucoup avaient en fait été formulées par Hatori. Comme si Toru avait une seconde identité nichée dans le cerveau, avec les souvenirs de feu l’ambassadeur lui a transmis. Une situation fascinante ; si j’avais plus de temps, et un sujet plus conciliant ou moins violent, j’aimerais beaucoup m’y intéresser de près… Oh, si j’avais l’occasion d’absorber ainsi les expériences de quelqu’un d’autre, je crois que je choisirais John Keats… Ou bien Jack l’Éventreur.
Commenter  J’apprécie          120
Dieu oublié, si tu existes, entends ma voix. Je n'ai pas demandé que tu épargnes ma vie. Je ne désire rien de tout ceci. Je ne cherche aucune faveur, aucun bénédiction, aucune gloire. Je ferai ce que je crois juste et rien de plus. Si tel n'est pas ce que tu cherches, alors embrase cet éclat en mon sein et laisse-moi mourir dès maintenant, car toujours je servirai la justice. J'ai prêté serment de protéger ton prophète, aussi m’exécuterai-je, même si cela coûte ma vie. Mais je t'avertis, si ta cause va à l'encontre de la justice, prends garde. Car je suis Ashok Vandal et je veillerai à ce que même les dieux regrettent d'avoir un jour croisé mon chemin.
Commenter  J’apprécie          102
Puisqu'il n'existe rien ai-delà de la mort, pourquoi nous faut-il rendre hommage aux dépouilles de nos défunts ?
Commenter  J’apprécie          100
Vous ne comprenez pas la science fondamentale sur laquelle on s’appuie pour prédire les comportements, j’en ai peur. Chacun n’est que la somme des expériences. La psychologie, ce n’est pas de l’algèbre, je ne trouverai pas x à l’aide d’une poignée de variables. C’est un art.
Commenter  J’apprécie          100
[Jake Sullivan à l’aliéniste Wells]
- Il y a une machine à écrire à bord ?
- Oui. Les employés du CBF sont bien équipés. Je ne sais pas ce qu’ils comptaient faire de toutes ces fournitures de bureau dans une zone de guerre, mais c’est une chance : vous n’auriez sans doute pas déchiffré mon écriture. Une écriture lisible révèle un esprit borné.
Commenter  J’apprécie          101
D’autres dessins étaient accrochées. Beaucoup d’autres. Surtout des gens, mais aussi des paysages, des objets, des machines, des batailles, des démons et même des formes qu’elle n’identifiait pas. Des centaines. Elle fit quelques pas : les autres murs, du sol au plafond, disparaissait sous le papier.
Elle poussa un sifflement. « Impressionnant ».
Elle était souvent représentée, sans doute plus que les autres, mais elle vit ses amis : Francis, M. Sullivan, M. Garrett, Lance, Delilah, Black Jack Pershing. Heinrich abattant une pioche sur un démon ; M. Browning avec un nouveau fusil. Ses ennemis aussi : le président, fou de rage, exigeait qu’on lui rende ses mains, Isaiah Rawls et M. Harkeness complotaient, Corbeau en homme et en démon, M. Madi en plein combat à bord du Tokuga. Et des gens qui étaient un peu amis et un peu ennemis : Toru faisait éclater un crâne de sa massue à pointes, J. Edgar Hoover et son air de petit chef.
Tous ses visages… Toutes ses scènes qu’elle avait vécues. Certaines feuilles étaient jaunies par le temps, sûrement dessinées des années plus tôt, mais représentaient des événements récents : M. Bolander faisant tomber la foudre dans l’Oklahoma, ou Faye et Toshiko, la ninja, en train de se battre, ou Murmure juste avant sa mort à Washington.
Elle se figea en découvrant celle où Madi, devant son grand-père allongé, pointait sur lui un énorme revolver pour l’achever ; sur une autre, une gamine terrifiée se planquait sous un abreuvoir et tentait d’extirper un scarabée incrustée dans son talon.
Commenter  J’apprécie          100
Faye gémit. La retraite, c’était une toquade européenne : une fois vieux, on arrêtait de travailler. Drôle d’idée ! Grand-père était plus vieux que Jacques, et il avait trait les vaches jusqu’à son dernier jour. Et, si Madi ne l’avait pas assassiné, il serait encore en train de traire les vaches, Faye en était certaine.
- La retraite… En France, les gens sont bizarres.
Commenter  J’apprécie          101
- Que pensez-vous de notre ville ?
Je pense que, si Dieu ne brûle pas Shanghai, il devra des excuses à Sodome et Gomorrhe. Mais Sullivan n’osa pas s’exprimer ouvertement et se contenta d’imiter la majorité des Occidentaux qui se retrouvaient là.
- Ç’a l’air très beau. J’ai tellement entendu parler de la perle de l’Orient, et je ne suis pas du tout déçu.
Le flic hochait la tête. « Perle de l’Orient » était la formule polie. D’ordinaire, on disait plutôt « Pute de l’Orient ».
Commenter  J’apprécie          90
"Dès qu'apparut l'idée selon laquelle tous les hommes étaient égaux devant Dieu, le monde était condamné à l'effondrement. Songez aux États-Unis, pays lamentable dont la culture se nourrit de fumier, où la magie est ouvertement employée dans les rues, sans le moindre contrôle, et permise même à ces infâmes Juifs."

Adolf Hitler. Munich, ultime discours avant son arrestation et son passage devant le peloton d'exécution, 1929.
Commenter  J’apprécie          80
L'ignorance de la Loi n'était pas une excuse pour la violer.
Commenter  J’apprécie          81
[Okubo Tokugawa] Je ne crains pas la mort, mais je ne tolérerai pas l’échec.
Commenter  J’apprécie          82
Le domestique qui vint lui parler était de statut inférieur au sien. Il ne prit donc pas la peine de le saluer avant de lui faire son rapport.
Commenter  J’apprécie          80
Ensuite, des myriades de gens qu’elle ne connaissait pas, des lieux qu’elle n’avait jamais vus. Par milliers. Et sans la moindre organisation. Un ami à elle se retrouvait sur un mur entouré de dizaine d’anonymes. Si elle absorbait tout si vite, c’était parce que ses yeux gris enregistraient les images que sa carte mentale trait instantanément. Elle vit un inconnu faire apparaître un néant noir qui absorberait le monde, comme celui qui avait englouti Mason Island, et un homme mécanique qu’on aurait cru vivant, et un vieux samouraï avec une ombre dans la tête.
Tout cela s’était-il réellement produit ? Non… Il y avait Francis et elle, main dans la main sur un pont, mais ça ne lui disait rien. Un magnifique dirigeable du CBF en proie en flammes au-dessus d’une ville étrangère, avec le capitaine Southunder toujours aux commandes, courageux. Un rayon de paix qui tirait sur une ville – New York – et la réduisait en cendres. Jake Sullivan et Toru prêts à se battre à mort sur une plage de galets. Un petit garçon en larmes qu’un monstre sans peau emportait, avec à l’arrière-plan une cité entière dont les habitants étaient cueillis un par un.
Commenter  J’apprécie          70
Le vrai secret pour monter une arnaque, vous savez ce que c’est ? Dites au pigeon ce qu’il a envie d’entendre. Les naïfs, ce n’est pas ce qui manque.
Joseph Lewis, dit Hungry Joe, interviewer à la prison d’Etat de Sing Sing, 1888
Commenter  J’apprécie          70
Au début, les travaux de Sivaram étaient rationnels, cohérents. C’était un grand épistolier. Ses lettres sont très nombreuses. J’en ai tant que j’ai fini par le considérer comme un vieux compagnon. Je pense sincèrement qu’il était bon, généreux et doux, mais que les mystères du pouvoir l’ont peu à peu métamorphosé. Quand il en est venu à créer le sortilège dont vous avez ensuite hérité, sa personnalité a changé du tout au tout. Il croyait que le pouvoir lui parlait, lui communiquait ses désirs. Il déraillait et devenait fébrile. A la fin, les pulsions homicides l’ont fait basculer dans la folie.
Commenter  J’apprécie          70
On accorde son respect à ceux qui le méritent par leurs capacités, même si on les méprise pour l’usage qu’ils en font.
Commenter  J’apprécie          70
Ses grands projets ? Sullivan renifla. Les grands projets de Carr, comme ceux de l'Imperium, du Kaiser et des Soviets, consistaient en un groupe de salauds décidés à manipuler le reste de l'humanité. Sullivan en avait plein le dos, des grands projets.
Commenter  J’apprécie          70



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Larry Correia (287)Voir plus

Quiz Voir plus

Blackwater tome 1/2/3/4/5/6

Qui sont les deux premiers personnages à apparaître au début du tome 1?

Sister et Mary-Love
Bray et Oscar
James et Grace
Queenie et Carl

15 questions
112 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}