Citations de Larry Correia (127)
On ne peut pas changer le monde. Au mieux, il faut espérer lire les courants pour ne pas finir fracassé contre les rochers.
Selon mon héritage, je suis juif ; selon ma citoyenneté, je suis suisse ; selon mon don magique, je suis engrenage ; selon mon humanité, je suis un être humain et rien qu'un être humain, sans lien particulier à quelque état ni quelque entité nationale que ce soit.
Albert Einstein.
On peut aller loin avec un sourire. On peut aller encore plus loin avec un sourire et un flingue. Avec un sourire, un flingue et une brute, on tient la clé de la ville.
Al « Scarface » Capone.
Les forts ne prêchaient pas la pitié, la paix, le pardon, aucune de ces conneries. C'étaient de belles paroles qui servaient aux faibles à se convaincre qu'ils comptaient pour quelque chose.
Vous avez des ennemis ? Bien. Cela veut dire qu'une fois au moins dans votre vie vous avez défendu vos convictions.
Winston Churchill, 1933.
Sullivan avait mal à la tête. Il avait la bouche pâteuse, comme s'il avait mâché du coton parfumé à la souris moisie.
On peut aller loin avec un sourire. On peut aller encore plus loin avec un sourire et un flingue. Avec un sourire, un flingue et une brute, on tient la clé de la ville.
Al "Scarface" Capone. Interview, 1930
J'ai souvent observé, et je ne suis pas le seul à le penser, que ce qu'on prend pour du courage est souvent la peur de l'opinion des gens. En d'autres termes, la bravoure est un mélange de respect de soi, d'égoïsme et de crainte du qu'en-dira-t-on.
- Donc le costaud avec le gros revolver a été touché à plusieurs reprises mais a continué de bouger. Il y avait énormément de sang: j'ai d'abord cru qu'il était mort et qu'on en avait fait un de ces zombies de merde.
Heinrich fronça les sourcils. "Vous avez vraiment une dent contre les zombies, vous, non ?
- Les gens, je veux n'avoir besoin de les tuer qu'une seule fois. Deux fois ça devient du travail. "
Il y a des actifs puissants qui veulent conquérir le monde. Ils pensent incarner la conclusion logique des arguments eugénistes, la réponse à la théorie darwinienne. Et puis il y a des normaux à qui la magie fait si peur qu'ils rêvent de l'anéantir.
- On vous a déjà dit que vous êtes le meilleur comptable au monde ?
- Ma mère, autrefois, mais je pense qu'elle cherchait à me remonter le moral.
Après avoir demandé à sa secrétaire de filtrer tous les appels, il s'était barré en douce par le service courrier du CBF. En moins de cinq minutes, il était passé de millionnaire à fugitif. Naguère, il avait mis le même temps à passer de rien-du-tout à millionaire.
Les savants de l'université m'ont demandé si je me suis servi de la théorie de la relativité générale d'Einstein ou, plus simplement, des règles newtoniennes de la gravitation universelle, le soir où j'ai accidentellement tué le shérif Johnson. Merde. J'en sais rien. Je me suis mis en colère et je l'ai écrabouillé. Mais j'ai fait des progrès, et je promets de plus le faire.
Jake Sullivan. Audience de libération conditionnelle, pénitencier d'État de Rockville, 1928.
L'embargo imposé par le gouvernement interdisait la vente de superscience à l'Imperium, mais les lois, aux yeux de Cornelius Gould Stuyvesant, ne servaient qu'à forcer les pauvres à rester dans le rang. Lui, il agissait à sa guise, mais en secret, de manière à s'épargner les pinaillages des crétins.
Maggie terrifiante. - Les pompiers municipaux n'ont pas réussi à maîtriser le FEU qui a ravagé une propriété de Mar Pacifica, dimanche soir. La propriété du célèbre chasseur L.S. Talon à été réduite en cendres. Une fois les flammes éteintes, on a pu faire une terrible découverte. On a retrouvé jusqu'ici sept corps humains. Les habitants des environs parlent d'un grand vacarme et de coups de feu avant le début de l'incendie. Selon la rumeur, M. Talon était un partisan de la magie, lui-même Actif. On ne l'a pas revu depuis dimanche. On suppose qu'il est du nombre des cadavres.
Article du San Fransisco examiner, 1929.
Je jure devant mon Dieu et ces témoins que je resterai fidèle à la justice et au bien, que ma magie servira à potéger, jamais à asservir, que ma force et ma sagesse seront le bouclier des innocents. Je jure de me battre pour la liberté même au prix de ma vie. La société deviendra mon sang et les chevaliers mes frères, et je respecterai la sagesse du conseil des anciens. Je consacre librement ma magie, mon savoir, mes ressources et ma vie à ces idéaux.
Serment de la société du Grimnoir.
- Et ce défi ce serait... ?
- De sauver le monde. Encore un rire
- Vous me prenez pour un idéaliste, monsieur Sullivan. Le sort du monde, je m'en fiche. Le monde est peuplé d'imbéciles.
Francis, sans bouger, savourait la solitude et les lumières de la ville. « La journée a été longue…
- Tu peux le dire ! s’écria Faye en apparaissant devant lui.
- Argh ! » Il renversa son vin sur son pantalon. « Arrête de faire ça ! »
Faye eut un claquement de langue désapprobateur et mit ses mains sur ses hanches. « C’est pas de ma faute, si tu n’as pas de carte mentale. Jésus. Regarde-moi ça, tu as des taches partout. »
Ce sont les épreuves de la vie qui démontrent le véritable tempérament d'un homme.
- Merveilleux. L'armée de notre dieu sera donc guidée par des non-croyants. Et nous allons maintenant aller sauver un prophète qui n'a pas la foi. Magnifique.
- J'aime bien tes dieux. Ils m'ont l'air amusant...