Citations de Leila Meacham (61)
– Ryan, je…
– Quoi ma belle ? demanda-t-il d’une voix douce.
– Ryan, je tiens beaucoup à toi, tu sais.
– Je sais, répondit-il en l’enlaçant. Et je tiens à toi, moi aussi.
bonjour
c'est la même histoire que les orphelins de kersey, deux titres pour la même histoire
Il était venu dire la vérité et, peut-être, réparer une partie des dégâts. Il quitterait cette terre détesté de
deux êtres qu'il aimait et qui l'avaient aimé. Toutefois, il refusait de mourir avec ces mensonges sur sa conscience.
Ce changement remontait à presque quatre ans. John n'avait jamais été aussi heureux, aussi épanoui. Si
l'ombre de son péché d'autrefois planait encore, il ne la sentait presque plus. Certains jours, il se disait qu'il était presque trop heureux. TD Hall était-il revenu chambouler son existence ?
Pour l'heure, ma seule certitude est que je n'ai jamais été aussi sûr d'avoir pris la bonne décision. Et je n'ai jamais été aussi heureux. Que je sois digne des Jésuites ou pas… qui vivra verra.
– Il ne faudra en parler à personne, surtout pas à Cathy, d'accord ? Ce sera notre secret à jamais. Sinon, nous aurons de gros ennuis.
En vérité, il n'imaginait pas non plus vivre sans Trey et Cathy, qui étaient sa famille, les seules personnes au monde qui l'aimaient est qu'il aimait.
– Le garçon que vous avez choisi… Dommage que ce soit celui-là. Prenez garde, il pourrait vous briser le cœur.
Orphelins… Ce mot la transperça comme une flèche, faisant voler en éclats son jardin secret. La douleur
envahit ce lieu où ses parents étaient en vie et l'obligea à voir clair.
Quand ce cheval sentira une selle sur son dos, un mors sur sa langue, il ne sera plus le même. Vous allez le marquer au fer rouge, mais… C’est son cœur que vous allez marquer. Même si vous le libérez à l’issue du rassemblement, il ne sera plus jamais libre. Si vous ne pouvez pas l’aimer, ne l’apprivoisez pas.
L’un des avantages de la richesse est qu’elle permet de se renseigner sur ses ennemis.
Elle savait qu’il y avait d’autres femmes dans sa vie, des créatures superbes qui fréquentaient des établissements huppés où il ne proposait jamais de l’emmener. Cara avait d’abord redouté qu’il ait honte de ses vêtements démodés et usés, puis elle avait compris que Ryan n’était pas homme à avoir honte d’une amie.
L’arrogance va souvent de pair avec la puissance, tu sais. Il n’a jamais pu être autre chose que ce qu’il est : un homme puissant.
Tout ce qui est sauvage et domestiqué par l’homme doit être aimé ou remis en liberté.
Ce qu’il lui faut, c’est une femme spéciale et non parfaite. Il faut qu’elle aime la terre autant que lui, qu’elle accepte ses exigences, ses défauts, qu’elle supporte la chaleur, les tempêtes de sable, l’isolement et qu’elle respecte les gens quelles que soient leurs origines ou leurs activités.
Ce que Cara se gardait d’avouer à Ryan, c’était qu’à première vue, son frère ne lui plaisait guère. Il incarnait l’éleveur à l’ancienne, vivant sur ses terres isolées de l’ouest du Texas où il régnait en maître. Il devait être de ces hommes au cœur dur qui ne témoignaient que du dédain envers la famille de la jeune femme et leurs semblables.
Si seulement il pouvait la prendre dans ses bras, la serrer contre lui jusqu’à ce que la douleur qui le rongeait disparaisse à jamais. Voilà ce dont il avait besoin.
Hélas, elle ne pouvait pas traîner. Samantha avait appris que la vérité, qu'elle soit agréable ou non, était le meilleur remède à l'inquiétude.
C'était le moment qu'elle préférait, lorsqu'elle rentrait au ranch. Celui où elle arrivait au sommet d'une colline offrant une vue sur les terres et les bâtiments de Las Tres Lomas de la Trinidad.