AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Leta Blake (36)


Chapitre 2 :
« …
— C’est juste que j’ai peur… commença Leith avant de s’arrêter.
— Peur de quoi.
— J’ai peur de ne jamais me rappeler.
— Et qu’y a-t-il de mal à ça ? Demande le docteur Thakur.
Pensant inexplicablement au visage de Zach lorsqu’il s’était détourné la veille, Leith combattit ses larmes.
— Je ne veux décevoir personne, dit-il.
—Qui avez-vous peur de décevoir ?
Leith haussa les épaules
— Les gens. Mes amis.
— Comme l’ami que vous avez rencontré hier ? Zachariah Stéphens ? ...»
Commenter  J’apprécie          20
LA MÉMOIRE, COMME CELA S’AVÉRA être le cas, était à la fois tout et rien. Elle n’avait pas de fond, pas de forme, pas de poids et aucune couleur. Elle était décrite, en termes techniques, comme des dépôts de protéines dans les cellules du cerveau. Toutefois, c’étaient des mots qui, dans leur cœur, étaient aussi mystérieux et ultimement magiques que toute autre métaphore utilisée pour tenter de comprendre le concept: la mémoire comme un entrepôt ou un ensemble de livres—une façon de garder la trace de l’équilibre des pouvoirs de la vie; ou la mémoire en tant que telle—un mode de vie, et une façon d’être.
Commenter  J’apprécie          20
Chapitre 3 :

«… — Triomphe ! hurla Alec. Le triomphe du cœur humain !

Grant se cogna la tête contre la porte en signe de protestation, puis s’effondra sur le sol. Dehors, Alec chantait la chanson du « baiser dans un arbre » et d’autres hymnes enfantins à l’amour.

Grant enfouit son visage dans ses genoux, inspirant et expirant lentement tandis que les minutes s’écoulaient. Il sut que Dennis était arrivé parce qu’Alec cria :

— Chéri ! Devine qui est un vrai connard quand il est amoureux ?

Une chose était sûre : Grant devait se trouver un meilleur meilleur ami. …»
Commenter  J’apprécie          10
— j’ai commencé à sortir avec toi, et nous avions une alchimie folle.
— C’est peu dire.
Leo déglutit et ferma les yeux.
— Et c’était effrayant pour moi.
— C’est vrai ?
Grant fronça les sourcils, inquiet.
— Je pensais que tu…
Les yeux gris de Leo s’ouvrirent avec ferveur.
— Oui ! J’avais tellement envie de toi. Je n’avais jamais senti quelqu’un vouloir de moi auparavant. C’était beaucoup.
— Je… d’accord.
— Alors quand Curtis s’est pointé en disant toutes les choses que je voulais entendre, j’ai fui.
— J’étais là.
— Je sais. Je dois tout te dire pour que tu sois sûr de vouloir être avec moi.
— Bébé, je suis sûr maintenant. J’en suis sûr depuis longtemps.
Commenter  J’apprécie          10
« Il n’y a rien dans ce monde, ni mon travail, ni les nanites, ni un seul être humain, qui soit ce que tu es pour moi. Tu es la raison de mon existence. Joshua, tu es tout pour moi. Je te retrouverai dans n’importe quelle vie. N’oublie jamais ça. »
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 1 :

« … Arthur brossa les vêtements de Leith comme s’il le dépoussiérait, puis il dit :

— Leith, écoute. Il y a quelqu’un qui est venu te voir, et tu dois être incroyablement gentil avec lui.

— D’accord. Pourquoi ? Qu’est-ce qui ne va pas chez lui ?

— Tout va bien chez lui. Il est seulement inquiet à ton sujet. Nous parlerons des spécificités plus tard, mais pour l’instant… laisse-le t’étreindre et te toucher, d’accord ? Laisse-le se rassurer. Il en a besoin.

Leith fronça les sourcils.

— Est-ce un de mes amis ?

— Oui. C’est ton meilleur ami. Son nom est Zachariah Stephens. Cela semble-t-il familier ? Tu l’appelles Zach.

— Zach ?...»
Commenter  J’apprécie          10
— Bon, laisse-moi mettre les choses à plat, bien que je suppose que ce ne soit pas le bon mot à utiliser. Tu t’es prostitué avec des hommes et maintenant tu as une relation avec une femme que je n’ai pas encore rencontrée—dont je n’ai même jamais entendu parler—mais vous avez pu tout régler?

— Exactement.

— Pourquoi n’ai-je pas encore rencontré cette… comment as-tu dit qu’elle s’appelait? Miyoko?

— Ce n’était pas sérieux jusqu’à récemment, et tu n’étais pas vraiment en position de rencontrer de nouvelles têtes parce que tu étais occupé à rencontrer les anciennes.

— Arthur, à quoi joues-tu?

— Elle est plus jeune que moi. Majeure, cependant. Elle est majeure!

Leith fixa son frère.

— Majeure comment?

— Elle a vingt ans. Le mois prochain. De toute façon, ça n’a pas d’importance pour moi. Les seules personnes que ça ennuie sont ses parents.

Il renifla et dégagea les cheveux de son visage.

— J’ai dix ans de plus qu’elle et je possède un bar. Dans lequel elle travaille. Je ne suis pas l’idéal pour ses parents, ça c’est certain.

— Tu fréquentes une employée de dix-neuf ans. Tu es son patron.
Commenter  J’apprécie          10
Je me souviens comment c’était la première fois qu’il s’est senti attiré par moi; comment il avait d’abord été cruel dans son refus d’accepter sa nouvelle vision de lui-même. Je ne peux pas supporter qu’il soit cruel en ce moment. Je suis prêt à risquer de passer cela sous silence un autre jour ou une autre année—tout ce qu’il faudra pour rester dans sa vie. C’est tout ce que je veux.
Commenter  J’apprécie          10
« — Et si c’était un bon souvenir, je te dirais de l’amener avec toi. Mais ce sont des conneries, tu n’as pas besoin d’avoir honte de toi pour devenir quelqu’un de bien. Tu es quelqu’un de bien. Potelé ou pas.
Patrick entend ses mots et se sent un peu irrité. Qu’est-ce qu’il y a avec Will Patterson pour qu’il l’inspire à donner de tels discours ?
— Je t’aurais baisé, ajoute-t-il, simplement pour détendre l’atmosphère.
Will secoue la tête et se détourne de lui.
— D’accord, peu importe.
Il jette un déodorant et un tube de gel coiffant dans la valise. Après un moment, il s’immobilise, puis lève les yeux vers Patrick, les yeux hagards.
— Tu le penses vraiment ?
— Quoi ?
— Ce que tu viens de dire.
Will semble à la fois légèrement agacé, mais aussi plein d’espoir.
— J’aurais baisé le Will, petit ange ado tellement fort qu’il n’aurait pas pu marcher droit pendant une semaine.
Will rougit.
— Je voulais dire par rapport au fait que je suis quelqu’un de bien.
Patrick hausse les épaules.
— Oui, probablement. Qu’est-ce que j’en sais ?
Will baisse le regard et Patrick se sent mal en voyant que la lueur d’espoir dans ses yeux disparait.
— Bien sûr que je le pensais, crétin. Tu es un putain d’ange de lumière pour les enfants atteints d’un cancer, les jeunes LGBTQ et les animaux maltraités. Tu es tellement bien que c’en est un peu dégoûtant. »
Commenter  J’apprécie          10
Son cerveau tourbillonnait et cherchait désespérément à mémoriser le moindre détail de ce moment – et surtout la façon dont leurs doigts s’entrelaçaient – pour pouvoir y repenser plus tard, dans son lit, pâmé d’émotion comme un ado.
Commenter  J’apprécie          10
— Tu n’as rien compris. Rien du tout. Tu devrais pourtant savoir que je suis amoureux de toi !
Rob le regarda fixement, avant de refermer les bras sur lui pour l’empêcher de s’écarter davantage. D’ailleurs, Matty se débattait sans beaucoup de conviction.
— Je t’aime aussi, chuchota Rob. Et pourtant, qu’est-ce que ça change ?
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 2 :

«… Que faisait-il ici ? N’avait-il pas une vie ? En Californie ? La dernière fois que Grant avait vérifié, c’était le cas.

— Grant ! appela Leo alors qu’il essayait de passer le poste, le visage enfoui dans un dossier, espérant éviter toute interaction.

Grant s’arrêta, se retourna lentement et dit :

— Dr Anderson pour toi, Leo. Et quelle désagréable surprise de te voir ici en cette belle journée d’automne ! Que nous vaut cet honneur ?

L’infirmière baissa les yeux sur ses formulaires, mal à l’aise, et Leo se mit à rire.

— Tu n’as pas changé du tout, n’est-ce pas, Docteur Anderson ? Tu es toujours aussi charmant.

Leo sourit comme s’il était heureux de voir Grant et inclina la tête d’une manière que Grant était réticent à admettre attrayante.

— Je ne vois pas du tout ce que tu veux dire.

— Je veux juste dire que c’est bon de te voir

Le sourire de Leo devint doux, ce qui serra la poitrine de Grant.

— Sérieusement, poursuivit Leo en lui touchant le bras, les doigts agrippant la blouse blanche de Grant. Tu as l’air en pleine forme. Comment la vie te traite-t-elle ?

Les yeux de Grant se rétrécirent.

— Elle me traite comme elle me traite toujours. Comme un chirurgien occupé. Maintenant, si tu veux bien m’excuser, il faut que j’aille faire le chirurgien.

Grant tapota sa montre.

— Le temps est compté. …»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 2 :

«… Ashton fixa l’écran de son ordinateur.

Et lui qui pensait que cette journée ne pouvait pas être pire…

Oh.

Oh non.

Est-ce que Walker venait véritablement de lui proposer de l’héberger ? Walker Ronson ? Quelqu’un avait dû l’y pousser. Casey. Probablement. Pile au moment où Ashton commençait à oublier sa dure matinée, et à s’amuser de son propre trolling.

Il relut le commentaire de Walker.

Tu peux rester chez moi le temps qu’ils s’occupent de ton immeuble. Inutile de partir dans des extrêmes. Pas besoin de jouer les faux petits amis.

— Top. Mortel, grogna Ashton. …»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 2 :

«… Ho ho ! Joyeux Noël ! Ashton est dans la place ! Comme vous le savez, il y a trois ans, j’ai fait imploser ma famille d’homophobes en ramenant un de mes coups d’un soir de Grindr à moitié nu à un repas de fête ! Il n’y a pas meilleure façon de se faire déshériter ! Satisfaction garantie ! Je vous le recommande !

Cette année, et dans l’idée de disperser de la joie, je vous propose une offre généreuse. Pour une petite place où dormir à moindre coût (le temps que mon immeuble soit désinfecté), je vous aiderai à transformer vos réunions de famille saisonnières en un énorme merdier ! Vous avez des parents homophobes, des tantes envahissantes, des oncles moches ou encore des cousins terriblement insensibles ? Vous aussi, découvrez quel bonheur c’est de gâcher leurs vacances !

Engagez-moi comme faux petit ami et votre insupportable tante Karen ne vous parlera plus de mariage ni de bébé. Non, elle sera bien trop occupée à se demander pourquoi vous sortez avec un gay (si vous êtes une femme) ou quand vous êtes devenu queer (si vous êtes un homme). Vous serez leur sujet de discussion pendant des mois !

Avec mes deux ans de cours de théâtre pris à l’université, je peux faire sembler d’aimer n’importe qui. Eh oui ! Même vous. Et, je peux aller aussi loin qu’il le faudra pour que votre famille implose/explose/se décompose. Alors vous préférez la jouer sérieux et engagé ou libre et dévergondé ? Je peux vous proposer le mode bûcheron viril ou reine glorieuse à paillettes. Appelez-moi juste M. Jingle Bells ! En échange d’un endroit où dormir (sérieusement, ce serait juste pour trois nuits ! Promis ! je serais à votre service !

Contactez-moi pour plus d’informations !

(Non, mais vraiment, j’ai besoin d’aide ! Les hôtels près de mon bureau sont TROP CHERS ! Qui a demandé à Knoxville de jouer les villes luxueuses comme ça ? Qui est le génie du marketing qui a rendu cet endroit super chic ? Oh, c’est moi. Enfin. Pitié. Trois nuits. Sauvez mon portefeuille.) …»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 2 :



« … Cela hérissa légèrement RJ, malgré l’excitation.

— Quoi ?

— Rien.

— Grossier, M. Danvers.

Il avait sorti sa voix dominante. Celle que son pervers d’ami allemand, Pieter, lui avait appris à utiliser lors de leurs stages D/s à Berlin. Se penchant en avant et établissant un contact visuel, il demanda :

— Expliquez-moi.

M. Danvers céda comme un délicieux bébé soumis, et RJ déglutit difficilement, prenant note de ce fait.

Bon sang, M. Danvers.

— Très bien.

M. Danvers se pencha en avant, chuchotant.

— En vérité, j’avais peur de toi à l’époque. Quand tu étais dans ma classe, je veux dire. Tu étais toujours si intense. Tu me regardais comme si tu avais envie de me frapper ou une chose comme ça, et, eh bien, je…

Il s’interrompit, riant encore.

— C’est ridicule, non ? Tellement ridicule.

— Pourquoi aurais-je voulu vous frapper ?

RJ ne comprenait pas comment M. Danvers avait pu interpréter son regard lascif, inspiré par le fait de voir ce fantastique cul se trémousser chaque fois que M. Danvers écrivait sur le tableau noir, comme violent.

— Ça n’a pas d’importance. Peu importe.

M. Danvers se mordit la lèvre inférieure, et ses yeux retombèrent sur la bouche de RJ.

— Tu es plus accessible maintenant. J’aime ça.

Oui. C’était une réponse qu’il prendrait sans se plaindre. …»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 7 :
«… Casey haussa un sourcil.
— Ma plus grande peur à l’époque était que tu me détestes si tu savais la vérité.
Joel grimaça. Il ouvrit la bouche pour s’excuser, et au lieu de cela, il sortit :
— Qu’est-ce que j’étais censé dire ? « Tu me manques déjà» ? À quel point ça aurait été gay ?
Les yeux de Casey brillèrent de mille feux, un soupçon de colère rare.
— Peux-tu ne pas utiliser ce mot ainsi ? Tu parles à un gay.
— C’est drôle. Toi aussi.
Casey toussa, s’étouffant avec sa propre salive...»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 4 :
«… Casey sourit. Une question de ce qu’il voulait ? Il voulait que Joel parle un peu plus. Il voulait s’imposer à lui et redevenir son ami. La longueur des aiguilles était un bon point de départ.
— Qu’est-ce que tu aimes ?
Joel le regarda fixement, ses joues pâles rougissant avant qu’il rompe le contact visuel.
— Peu importe ce que j’aime. Tu devrais demander à ta mère ce qu’elle veut.
Il commença à se détourner.
— Hé !
Le mot explosa avant que Casey puisse le retenir.
Joel se retourna, les sourcils haussés de surprise.
— Tu veux traîner pendant que je suis en ville ?
Joel incline la tête.
— Excuse-moi ?
— Tu m’as entendu.
L’expression de Joel passa à travers une douzaine de nuances différentes d’un choc irrité à d’une surprise sidérée. Rien de tout cela ne correspondait à l’incrédulité de Casey, qui avait du mal à croire qu’il se tenait là devant Joel pour lui demander de sortir avec lui – d’une certaine façon – et qu’il n’allait pas le laisser partir sans une réponse...»
Commenter  J’apprécie          00
La voix off de la vidéo pédagogique résonnait dans toute la classe. Jason était avachi au fond, son meilleur ami, Xan, à ses côtés. Comme tous les autres alphas de la pièce, ils étaient assis dans un calme total, leurs érections douloureuses se pressant contre le devant de leur pantalon.
Le film montrait un oméga nu déjà profondément en chaleur. Il était magnifique avec des cheveux noirs, une peau pâle et des muscles déliés. Le film n’était pas d’assez bonne qualité pour déterminer la couleur des yeux de l’oméga, mais ils étaient pâles, peut-être bleus ou verts. C’était exactement le genre de garçons qui attirait l’attention de Jason. Le contempler, exposé dans le film, enthousiaste et vulnérable, rendait Jason essoufflé d’excitation.
Commenter  J’apprécie          00
Durant ce cours, des films pédagogiques d’omégas à tous les stades de la chaleur, de la grossesse et de l’accouchement leur seraient présentés. Il avait entendu dire par des amis alphas plus âgés, d’un niveau scolaire supérieur au sien à l’université, que les films d’omégas aux Stades 2 et 3 étaient si intenses que les élèves alphas éjaculaient régulièrement en classe. Selon la rumeur, ils fournissaient des mouchoirs en papier pour le nettoyage et conseillaient aux alphas d’apporter des sous-vêtements supplémentaires de rechange.
Commenter  J’apprécie          00
Les autres alphas étaient distants avec lui maintenant, c’était vrai, mais il avait cru que c’était quelque chose qui allait passer tôt ou tard, comme tout dans la vie. Mais Xan avait peut-être raison. Peut-être que s’il contractait avec Vale… Non… Peut-être que quand il contractera avec Vale, il sera évincé de la bonne société pour toujours.
C’était douloureux, et quand bien même ? Il aurait plus de temps pour le jardinage, les lames de microscope et les revues scientifiques. Plus de temps pour ses recherches planifiées sur les gènes loup qui ont créé les genres alpha, bêta et oméga. Plus de temps à passer avec Vale et la famille qu’ils allaient créer ensemble.
Au diable la bonne société. De toute façon, il n’en était pas un grand fan, et ses parents non plus, même s’ils patinaient en périphérie, allant toujours aux bons événements et aux bonnes fêtes pour ne pas être considérés comme des parias. Il en était arrivé à les éviter naturellement.
— Nous sommes pareils, toi et moi, dit Xan. Pour différentes raisons, peut-être, mais ça n’a pas d’importance. Ce que nous voulons instinctivement n’est pas à la hauteur de notre culture, et à cause de qui nous sommes, nous sommes foutus.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Leta Blake (86)Voir plus

Quiz Voir plus

Voyage au Centre de la Terre

Comment se nomme le neveu du professeur Lidenbrock ?

Hans
Robert
Axel
Julien

10 questions
461 lecteurs ont répondu
Thème : Voyage au centre de la Terre de Jules VerneCréer un quiz sur cet auteur

{* *}