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Critiques de Lolita Pille (203)
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Bubble gum

L'enfer doré d'une provinciale montée à Paris, qui traversera un océan de boue pailletée pour aller à la rencontre d'elle-même.

Il semblerait qu'il y ait des destinés qui ne peuvent faire autrement que de s'attirer, pour finir par se coller aux basques sans possibilité de rémission. Ainsi des deux protagonistes. Mais qui en sortira lavé des souillures d'une existence cramée sous les projecteurs de la notoriété ?

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Bubble gum

Lolita pille écrit bien mais dans ce roman, pas désagréable au demeurant, j’ai eu l’impression de lire une resucée de Hell, son premier roman, mais aussi des jolies choses de Virginie Despentes, le tout saupoudré d’une bonne dose de

Bret Easton Ellis (Glamorama pour le côté paranoïa et American psycho pour les listes de marques et de références musicales et pour l’antipathie que provoquent les personnages). Et je ne parle pas du pompage du concept de Truman show...

Bref, roman qui manque d’originalité et d’une réelle identité même si l’écriture de Lolita pille reste prenante et de qualité.
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Hell

Un roman dévoré et adoré ! Hell (Ella) est une jeune ado de 17 ans entièrement désabusée de l'upper west side... Oups, pardon, de l'upper western parisien ! Bon, on reprend :

Hell. Bienvenue dans l'enfer parisien des pauvres petites filles riches : de la coke en veux-tu en voilà, des journées qui commencent à 17h pour se finir à 8h du mat', de l'alcool aussi en veux-tu en voilà, des tas de garçons qui ne sont décrits que par leur voiture (plus elle vaut cher, mieux tu es auprès des gonzesses) car c'est la seule chose qu'ils valent, des gamines qui dévalisent Louis Vuitton et les boutiques D&G parce qu'elles ont décidé de ne plus aller à l'école... (bin, oui, le bac c'est fatiguant quoi ._.)

Dans tout ce chaos règne Ella, alias Hell, une jeune délurée bourrée de noirceur et de cynisme. Elle rencontre l'homme de sa vie, Andréa, cynique comme elle, mais en un peu moins pire quand même, et va entreprendre de l'attirer dans la spirale autodestructrice qui la caractérise...

Un roman hallucinant, tant le monde qu'il dépeint est caricatural (mais, en même temps, si réaliste !), et qui t'explique bien pourquoi les riches sont les riches, et resteront à jamais cloitré dans leur caste. Hallucinant, tant la classe sociale décrite est déshumanisée (Hell, 17 ans, ne semble pas avoir de parents tellement ils sont absents). Hallucinant, tant les personnages décrits sont dénués de talent, de but, de motivation dans la vie. Tant leurs vies sont creuses, vides, et ne se résument qu'à des solitudes qui s'entrechoquent sur un mauvais morceau de David Guetta.

J'ultra-recommande ce livre.
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Hell

Lecture courte mais intense. J'ai beaucoup apprécié, que ce soit les longues phrases saccadées, entrecoupées de virgule qui donne le sentiment de suffoquer au bout et qui correspondent bien à l'état d'esprit de Hell, que la manière dont elle décrit le spleen de la jeunesse dorée, leur quête d'autodestruction, cet amour pour Andrea, "un ange" qui n'est autre que son double, aussi cynique et désabusé. Et puis cette fin dramatique, sans concession, qui n'a le goût que de la perte et de la décadence. Deux êtres qui se sont manqués et qui n'ont pas su se dire les choses au bon moment.
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Eléna et les joueuses

Lolita Pille n’a pas fini d’énerver: avec Eléna et les joueuses, elle prouve que son succès n’avait rien d’un accident.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Hell

je n'ai pas accroché à cette histoire pourtant une histoire d'amour, mais qui se déroule dans un monde que j'abhorre
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Hell

On a déjà établi précédemment que **Bret Easton Ellis** était le meilleur dans sa catégorie. Tous ses bouquins (ou presque, parce que oui, je n'aime pas tout, de BEE, je blasphème, je souffre, argh...) sont des chefs-d'oeuvre instantanés et justement, ne cessent de poursuivre un unique objectif: le laisser en haut de sa catégorie, c'est-à-dire, toujours décrire avec plus de justesse une génération perdue, choisissant toujours le chemin conduisant au cul-de-sac et préférant sempiternellement la fuite, une solution de facilité comme une autre à laquelle on peut accéder par la drogue (par exemple).

On savait que **Beigbeder** était un grand fan. Tentant de reproduire son oeuvre à l'écrit comme dans sa vie mondaine, Frédo a brillé par son échec mais a, au détour d'une défaite, découvert que son semblant de style pouvait être drôle et avoir un échantillon de succès. C'est pour ça qu'il reste, à mes yeux, un bonhomme assez sympathique. En revanche, on a avec **Lolita Pille** un numéro bien différent. J'avais de vagues souvenirs d'adolescence du film *Hell*, qui m'avait je crois un peu chamboulé. En voyant donc le bouquin sur un rayon caché d'une librairie non moins cachée, je me suis dit qu'il serait criminel envers moi-même de ne pas tenter l'expérience... Surtout que depuis, il y a eu **Ellis**.

Je m'étais déjà préparé à vous faire l'éloge de ce bouquin, en y glissant quelque phrase-choc, mais il n'en sera rien. Car *Hell* est à mon sens une bouillie infecte, un calvaire gréco-tragique que je me suis imposé pour simple vérification de mon courage, de mon abnégation et mon dévouement envers le genre humain sous toutes ses coutures. Franchement, quelle horreur. Déjà, partons sde la constatation la moins élaborée mais pourtant la plus frappante: on se fait chier comme un rat mort avec ce bouquin qui est pourtant relativement court (150 pages tout au plus). C'est assez impressionnant, et cela défie même la logique: comment compiler autant de baillements, de soupirs d'ennui, de paupières lourdes dans une centaine de pages? J'ai quelques éléments de réponse. Ce bouquin est tout d'abord aussi fin qu'une poutre. Hell est une connasse, comme elle se plait à nous le rappeler toutes les deux pages, vit dans la superficialité la plus totale, etc... Ceci est en soi déjà très agaçant. C'est peut-être fait exprès, mais cela parait si vain et si futile que même le propos final du bouquin ne vous fera ni chaud ni froid. On se branle de ce qui arrive à Hell et Andrea. On est complètement indifférent face à leurs péripérties destinées à finir mal. Et du coup, l'espèce de prise de conscience par flash, ces éclairs de lucidité dont Hell est victime sont juste à mourir de rire. Ce procédé est si grossier, si peu nuancé que c'est réellement rageant de lire **Lolita Pille**.

En gros, les personnages ne sont pas attachants. On se branle des personnages. L'intrigue est inexistante et futile. On se branle de l'intrigue. Le propos est grossier et agaçant. On se branle du propos. Le style de l'auteur est pompeux et tout le bouquin est écrit avec des moufles, même si l'on peut relever ici ou là quelques jolies phrases. Mais globalement, on s'en branle aussi.

Alors je n'aime pas descendre gratuitement un livre que je n'ai pas apprécié, mais là, je ne vois pas vraiment ce qu'il y a à sauver, même si, comme je le répète à chaque fois, je peux concevoir que certains apprécient, je n'imagine simplement pas les raisons derrière un geste aussi sacrificiel.

Vous l'aurez compris, je vous recommande chaudement de ne pas toucher à *Hell*, parce que ce n'est pas cool, mais alors vraiment pas cool. **Lolita Pille**, je suis navré de te livrer une critique aussi définitive, tu as peut-être fait de belles choses depuis! Mais là, nan, nan et nan. Donc lecteurs, si vous ne connaissez pas **Bret Easton Ellis**, jetez-vous sur *Les Lois de l'Attraction*, par exemple. Et débarrassez-vous de *Hell*. Ceux qui ont déjà lu **Ellis**, eh bien contentez-vous de vous débarrasser de *Hell*.
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Hell

Voici un livre que j’ai pioché dans ma PAL et que j’ai choisi parce qu’il était court. Heureusement, parce que je n’aurais pas pu le finir autrement. Non pas qu’il soit mauvais, j’ai bien peu à lui reprocher en terme de qualité, mais il ne me correspond pas et je n’y ai pas été plus sensible que ça. En quelques mots, il m’a laissée indifférente, et pourtant j’aurais pu aisément me retrouver en Hell.



Hell c’est une jeune femme qui s’appelle Elle, mais qui préfère s’inspirer de l’enfer pour se renommer, parce que c’est une rebelle, elle déteste le monde entier, elle pisse sur les lois et crache sur les pauvres. Et le pire dans tout ça, c’est qu’elle n’est pas la seule. Elle a un double masculin et il s’appelle Andrea. Au final ils se sont bien trouvés, mais les choses ne se passeront pas forcément comme ils le voudront et d’une certaine manière, c’est un juste retour des choses.



On sent à mon résumé tous le dégoût que provoque l’héroïne en moi. Pourtant, comme je l’ai dit plus haut, je me suis retrouvée dans la plupart des ses actes désespérés, dans son dégoût des autres et dans sa haine du monde entier. Je peux parfaitement comprendre cet état d’esprit et je ne suis pas loin de l’époque où je me mettais à l’envers pour oublier que j’étais misérable, jusqu’à ce que les effets retombent et que je me sente encore plus pitoyable, alors c’était reparti pour un tour… Bref, la décadence et l’auto-destruction ça me connaît et je n’ai aucun mal à en parler puisqu’il s’agit d’une époque de ma vie qui est révolue. Mais ici l’auteure a oublié de décrire quelque chose d’important, l’humanité de son personnage. Si j’ai réussi à la trouver en Andrea, je ne l’ai pas bien perçue en Hell, et c’est ce qui m’a dérangée. C’est une gamine méprisable et aussi flagrant soit son mal-être, je ne parviens pas à compatir parce que je ne trouve rien de bon en elle qui mériterait ma compassion. Même si elle dit être lucide (ce qui la rendrait sûrement plus humaine à mon sens) elle ne l’est pas, à la différence de son double masculin.



« Je n’aime personne et je ne fous rien, je ne veux pas tenter de me distraire, ou de m’occulter la vérité, la vie est une saloperie, et chaque seconde de lucidité est un supplice. »



« Je suis un artiste, et mon oeuvre, c’est Moi. »



Si Hell est une connasse, comme elle le dit elle-meme, Andrea est un vrai con. Mais j’ai réussi, en un chapitre où la narration lui est offerte, à lui trouver des côtés attachants, une part d’humanité qui a su me séduire et m’a permis de lui pardonner. C’est ce que je n’ai pas trouvée en Hell, et qui m’a très probablement empêchée d’avoir de la compassion pour elle, en dépit de sa souffrance presque palpable. Cela n’aurait pas été un problème si l’histoire n’était pas entièrement racontée par ses soins, à l’exception d’un chapitre.



Aussi, les stéréotypes présents concernant les personnes de classe moyenne sont assez décevants car trop cliché. On pardonnera cependant à Lolita Pille cet écart, car elle n’avait que dix-neuf ans lorsqu’elle a écrit ce récit, et si son personnage lui ressemble, ne serait-ce qu’un peu, on peut comprendre que sa rage ait pris le dessus sur la réalité. Il y a néanmoins bien trop de sentiments négatifs dans le roman pour que je puisse m’y retrouver. Je n’ai rien contre la souffrance émotionnelle, décrite sous n’importe quelle forme, mais lorsqu’elle n’a aucun sens, comme c’est le cas ici, pour moi, je ne parviens pas à apprécier.



Cependant, le livre n’est pas totalement déplaisant. La plume de l’auteure est unique et me donne envie de lire d’autres de ses écrits. Et si moi je n’ai pas été sensible à l’histoire, je dois lui reconnaître du charme, et je suis convaincue qu’elle a plu à un très large public. Je pense sincèrement que tout est une question de sensibilité. Et certains voient probablement quelque chose d’incroyable dans ces lignes, je peux le concevoir tant l’honnêteté de l’auteur est rare et unique. En conclusion, même si l’histoire est courte et se lit aisément, elle n’était pas pour moi.
Lien : http://plumebleuee.com/2016/..
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Bubble gum

Tout comme Hell: un livre que j'adore. Bien que la fin soit un peu(beaucoup) tirée par les cheveux, ce livre m'a transportée, on entre rapidement dans l'histoire. J'adore le style de Lolita Pille en général, la fin est géniale également mais elle en fait un peu trop, ce qui la rend peu crédible.
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Bubble gum

ubble Gum, hymne à l’auto-dafé, est à la lit­té­ra­ture ce que la pixel­li­sa­tion est l’image...
Lien : http://www.lelitteraire.com/..
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Hell

J'ai toujours adoré ce livre, à chaque lecture il y a ce petit quelque chose qui fait que l'on vit toute cette histoire à 100%.

Tout n'est que fiction, inspiré sûrement de faits plus que réels... Mais les sentiments que l'on retrouve dans cet ouvrage sont tous plus vrais les uns que les autres.

Merci Lolita Pille.
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Hell

MAUVAIS.
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Hell

J'ai beaucoup aimé ce livre car il nous ouvre les yeux sur un milieu social : la haute bourgeoisie. Il nous montre que l'argent ne fait pas le bonheur. Le livre est essentiellement basé sur l'amour, la drogue, le sexe et le malheur. C'est un peu comme si le bonheur n'était pas compatible avec ces mots-là.

Je le conseil fortement, mais il ne faut pas être sensible et ne pas avoir peur de pleurer sur une fin triste. L'histoire est très intéressante et prenante, quand on commence à la lire, on ne peut plus s'arrêter.

Si jamais, vous n'aimiez pas lire, ce livre est sortie en film. Je le conseil plus aux filles, c'est un livre sur l'amour, donc plus pour les filles.
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Hell

J'avais envie de lire ce livre depuis longtemps et j'en ai enfin eu la chance. Franchement, je ne suis pas déçue du tout. On embarque rapidement dans l'histoire de Hell, dans son monde où rien ne compte mis à part se droguer, boire et dépenser, jusqu'à ce qu'elle rencontre Andrea, son double masculin. Ils vivront alors ensemble six mois de bonheur, qui se termineront assez amèrement. La fin m'a frustrée car j'aurais voulu que ça se termine autrement ! J'ai trouvé ça vraiment triste... J'ai eu un peu de mal avec l'écriture de l'auteure au début mais après on s'y fait assez rapidement. Malgré ses airs de pétasse, comme elle le dit si bien, Hell est attachante car malgré son comportement, on voit que c'est une fille sensible qui ne demande qu'à être aimée pour ce qu'elle est. J'ai vraiment ressorti plusieurs citations du roman, qui sont d'ailleurs magnifiques. Je vous recommande ce livre si vous avez envie de lire quelque chose de cru et où on ne passe pas par quatre chemins.
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Bubble gum

Après avoir adoré Hell, j'avoue que j'ai été déçue par ce second opus de Lolita Pille. Non pas que je n'ai pas aimé le lire, mais beaucoup moins.



Déjà, l'histoire est un peu trop invraisemblable. Vous me direz, c'est un roman, et un roman, c'est de la fiction. Mis ici, j'ai trouvé le ficelage un peu trop lourd, trop facile pour être crédible. En gros, c'est une sorte de Truman Show version trash, jet-set et cocaïné. Une histoire cependant qui aurait pu être originale si elle avait été mieux pensée, plus longuement préparée.



Ensuite, son style que j'avais trouvé accrocheur, dynamique mais fluide, dans son premier ouvrage, m'a donné le sentiment ici d'être trop poussé à l'extrême, on s'essouffle en lisant, on se perd entre les virgules. Cela dit, elle garde cette facilité à faire passer les émotions, à faire parler ses personnages de l'intérieur, et sur ce point elle a du mérite, parce que c'est pas si facile.







En résumé, ce n'est pas un indispensable à mon goût, mais ça reste tout de même un livre assez sympa. Dommage que la fin soit si expéditive, par contre.



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Crépuscule Ville

Le soleil ne brille plus au-dessus de Crépuscule-Ville depuis des années : des micro-organismes associés à des suies ont proliféré au point d'obscurcir totalement le ciel. La société Clair-Monde, qui détient le monopole de la fabrication des bulles-soleil, est devenue omniprésente et son ordinateur central gère la vie de tous les habitants. Le bonheur est devenu obligé.

Le policier Syd Paradine appartient à la brigade Préventive-Suicide dont le rôle est d'intervenir avant que l'irrémédiable se produise, mais il est en proie au doute.
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Hell

En parcourant les premières pages, je haissais vraiment cette parisienne riche, arrogante et méprisante en plus d'être insupportable. Elle crache littéralement sur tout ce qui fait notre quotidien. Elle se place au dessus de tout le monde, mais pourtant, c'est de la pitié que l'on ressent pour elle. Hell à tout pour elle, mais est malheureuse.



On rencontre une fille instable, qui ne sait comment faire passer son message d'"au secours" autrement qu'en faisant des bêtises. Elle cotoie les boite de nuit, elle fume, se drogue, couche avec n'importe qui... Elle se tue à petit feu.



Mais lorsqu'un soir elle rencontre Andréa, un garçon qui sur bien des point lui ressemble, elle va irrémédiablement tombé amoureuse de ce garçon. "Qui se ressemble, s'assemble", un proverbe à moitié vrai, car dans ce livre, le couple "identique" se dispute souvent, mais ils s'aiment énormément. Un amour parfois vache, mais touchant.



Ce livre touche et il prend au coeur, et malgré le vocabulaire parfois vulgaire, ce livre donne de vrai émotions !



Un coctail étonnant et touchant... Une fin tragique.



Je ne le conseil pas à tous le monde, entre le vocabulaire et certains passages osés, les plus jeunes : s'abstenir.
Lien : http://evasion-secrete.onlc.fr
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Hell

Offert par un ami il y a fort longtemps, lu en 2024... Je rejoins le clan de ceux qui n'ont pas apprécié cette lecture, pourtant courte.



Ce n'est pas le ton, provocateur, brut, qui m'a déplu.

Ce n'est pas le thème non plus qui est intéressant.



Ce livre est simplement une répétition de pages en pages.

Alcool, défonce, sexe, shopping et on reprend les mêmes et on recommence.

C'est une plongée dans le vide ressenti par le personnage principal, mais c'est un vide abyssal tout court.



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Hell



Hell, jeune fille de 18 ans. Méprisante, qui boit et consomme de la coke à gogo, se fringue chez les plus grands, Porsche,etc… entre fric et débauche, voici comment ses journées et ses nuits sont rythmées… jusqu’au jour où elle rencontre Andrea, un type qui est son alter ego…



Une lecture qui change un peu de mes habitudes de lecture. C’est un peu trash, rude, percutant, dérangeant et vulgaire… mais plutôt habile et plein de cynisme. Une belle prouesse pour un premier roman !

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Hell

— Hell, 18 ans, évolue dans l’Ouest parisien, haut lieu de dépravations pour des enfants gâtés obsédés par l’apparence. Loin d’être un viatique au "désespoir hurlant" de cette jeunesse désabusée, les boîtes de nuit ne sont que des miroirs aux alouettes. Hell "dégueule sur la facticité des sentiments", et sa rencontre avec son double masculin, Andréa, la plonge davantage dans une insigne vacuité, sans rédemption possible. Mais le bruit de fond avant de se défoncer en discothèque ouvre des espaces de lucidité : Hell se demande parfois si elle ne serait pas mieux dans son lit à terminer "Belle du Seigneur".
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