Dans notre dialogue aujourd'hui, il y a du suspense, de l'émotion et des morts, le souffle de la grande Histoire. Il n'y a pas de cul, ça se vendra moins bien, forcément. Les parents et les enfants ne parlent pas de sexe ensemble, c'est tabou. Il n'y a pas de cul mais c'est tout de même une histoire d'amour. Et en plus, le personnage principal meurt à la fin. Un livre qui finit mal fait plus sérieux, surtout en période de crise.
Dans le sable on n’a plus de point de repère.
Pratiquer la médecine implique la réussite, arracher quelqu’un à la mort donne son sens à la vie.
Dans le désert, vivre c’est avancer sans cesse.
On ne côtoie pas impunément l’indicible, on y laisse des plumes.
On est toujours triste pour la victime, on ne trouve pas les mots, peut-être qu’ils n’existent pas
C’était dans l’ordre naturel des choses. Il y a un certain contentement à voir punir la méchante de l’histoire et à assister, impassible, à sa défaite.
L'amour n'est ni un luxe ni un privilège, c'est une nécessité, une évidence, et une souffrance. Aimer, c'est tenir son bonheur dans sa main comme une coupe de champagne, et être conscient qu'il peut à tout moment se briser et vous briser.