Citations de Makoto Shinkai (161)
Nos pouls, à elle et moi, mais aussi celui du monde, battaient à l'unisson.
La société n'est faite que de mots, ou presque.
Les mots pouvaient changer le monde, ce qui avait quelque chose d'un peu effrayant, aussi.
Avoir un amoureux, ça peut rendre encore plus triste que d'être seule.
Moi qui avait failli être effacé de l'univers, je ma sentais entrer en phase avec lui.
J'étais de retour en ce bas monde.
C'est toujours pareil. Je n'arrive jamais à comprendre ce que les autres saisissent du premier coup, à lire entre les lignes ; je ne faisait que flotter à la surface de cet océan de mots.
Avec le recul, le moindre de ses mots m'est apparu superficiel, impossible à croire. L'océan de ses paroles, qui m'avait semblé si magnifique, ne valait pas grand chose.
Elle est toujours plus gentille et plus belle que quiconque, et elle met plus d'application à vivre que n'importe qui d'autre.
Lorsqu'elle m'a effleuré du bout des doigts, son chagrin m'a traversé le corps, comme une décharge électrique.
Le monde à continuer de tourner dans des ténèbres sans fin, avec nous à bord.
Être heureux ou malheureux, c'est une question de point de vue, à mon avis.
En l'écoutant, je me suis fait une réflexion. Les chats, ils ont chacun leur territoire. Petit ou grand, ça dépend, mais ils y règnent seuls. Les humains, eux, se pressent à plusieurs sur le même territoire. Ils ont l'air d'entretenir des relations sympas, mais ça n'est qu'une façade, en réalité, chaque secteur est sous la coupe d'une seule personne.
Un endroit où l'on peut se nourrir sans avoir à travailler, en paix, sans lutter contre quiconque, heureux à tout jamais : c'est ça, le paradis.
Je suis plus à l'aise avec les papiers qu'avec les humains. Parler ce n'est pas mon fort. Très vite, je ne sais plus quoi dire.
Ce que j’aime, ce sont les échanges de documents. Parce que le papier reste, il est tangible.
Les plus faibles disparaissent les premiers. C’est naturel, je trouve.
Ce que j’aime, ce sont les échanges de documents. Parce que le papier reste, il est tangible. Comme je me propose volontiers pour traiter la paperasse, au bureau, on m’apprécie – les autres trouvent ça pénible.
Les plus faibles disparaissent les premiers. C’est naturel, je trouve.
Je dois m'accepter tel que je suis.
Le moment est venu de se dire au revoir...