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Citations de Makoto Shinkai (161)


- Est-ce que tu aurais peur de mourir ?
- Non. C'est comme dormir. Tous les soirs, on s'entraîne à mourir, quelque part.
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J'ai vécu ma vie d'étudiant et quand il s'est agi de décrocher un emploi, je n'ai rien trouvé. A priori, la société n'avait pas besoin de moi, comme je le comprenais pour la première fois.
Qu'est-ce qui n'allait pas ? Je l'ignore. J'ai juste fait comme tout le monde.
C'était comme si on avait ôté l'échelle de sous mes pieds et que je me retrouvais en suspens.
Ce que je m'imaginais être une vie normale semblait réservé aux prodiges, aux personnes bourrées de talent.
Ai-je eu tort de penser qu'il suffisait de faire comme tout le monde pour devenir un adulte à part entière ? C'est une question de génération ; c'est la crise ; quand on est jeune il faut accepter n'importe quel travail... un tas de gens m'ont dit un tas de choses. Reporter la faute sur le système, ça soulage mais ça ne résout rien.
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Un endroit où l'on peut se nourrir sans avoir à travailler, en paix, sans lutter contre quiconque, heureux à tout jamais : c'est ça le paradis.
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La solitude a disparu.
Parce que maintenant, j'ai compris.
Parce que je suis amoureuse. Nous sommes amoureux, plutôt.
Alors, c'est bien simple.
On se retrouvera.
C'est sûr.
Alors, pas de problème. Je vivrai.
Je survivrai.
Quoi qu'il arrive. 
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On ne verse pas des larmes que lorsqu'on est triste. Et quand la pluie tombe sous le soleil, elle est bénéfique. Ne perdez jamais de vue les choses importantes... même si vous êtes aveuglés par la détresse.
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Les sentiments sont invisibles à l’œil nu, on n’y peut rien.
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Un endroit où l’on peut se nourrir sans avoir à travailler, en paix, sans lutter contre quiconque, heureux à tout jamais : c’est ça, le paradis.
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Si ce qui pénétre dans le corps... Si le cours du temps... Si tout est "Musubi"... Fais en sorte que nos corps s'échangent une dernière fois !
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"Musubi", c'est lier les fils, lier les êtres et même le fil du temps.
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On ne verse pas des larmes que lorsqu'on est triste... Et quand la pluie tombe sous le soleil, elle est bénéfique. Ne perdez jamais de vue les choses importantes... Même si vous êtes aveuglés par la détresse.
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Dis-toi que quand on vieillit, on ne peut plus changer l'ordre de ses priorités.
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Musubi, ça se mêle, s'enchevêtre, se démêle, puis se renoue
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"Musubi", ça se mêle, s'enchevêtre, se démêle, puis se renoue
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Interdictions absolues
Ne pas prendre de bain
Ne pas regarder ni toucher mon corps !
Ne pas écarter les jambes !
Ne pas toucher les garçons !
Ne pas toucher les filles

D’accord tu le jures ?
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Ceux qui savent bien se débrouiller dans la vie… arrivent à effacer… ce qu’ils veulent… aussi bien les regrets que que les souvenirs.
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Dans cet endroit qui m'est inconnu, à quoi penses-tu ?

Nous deux? ne sommes nous plus qu'un souvenir ?
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Apparaîtra la comète qui revient tous les 1200 ans. Dans moins d’un mois la comète des vœux.
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"Dieu, transforme moi en un mec cool de Tokyo"
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A mon réveil, le matin... Je suis en larmes.
Je ne me souviens plus de rien...
mais je sens qu’il me manque quelque chose...
que je cherche sans cesse. Cette sensation m’obsède probablement depuis ce fameux jour.
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"Si j'arrive sans prévenir, seras-tu gêné? Est-ce que tu seras surpris? Ou bien seras-tu heureux? Ce qui est certain, c'est que si nous nous retrouvons, nous saurons immédiatement que c'est lui qui était moi,, et que c'est moi qui était lui." # Mitsuha
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