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Critiques de Malika Mokeddem (52)
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Mes hommes

Malika Mokkadem est à la fois une femme de lettres et un médecin algérienne .Dans son roman Mes hommes".elle va

évoquer tout au long de quinze chapitres sa rencontre avec les hommes qui ont influencé sa vie .Pour cette femme native du Sud-ouest Oranais qui a vécu dans un milieu phallocrate .elle a dû avoir une force de caractère pour face à la gent masculine .Avec détermination et courage .elle a su s 'imposer à ses camarades de lycée et à la faculté de médecine . Elle a rencontré des proches et des amis .Elle a beaucoup souffert de l 'attitude de son père qui ne lui a accordé aucune importance à elle ni à ses sœurs .Elle quitte l ' Algérie pour Montpellier en France .Elle se marie avec un Français . un "Roumi". Son père ne lui pardonnera jamais d 'avoir épouser un mécréant .Le père n ' éprouve que du ressentiment pour sa fille à qu 'il ne lui adressera pas de

parole durant vingt-quatre ans .

Avec le temps .cette dynamique femme volontaire et déterminée a pu s 'imposer et à vivre comme elle le voulait et de mener une vie autonome et libre .

Un livre qui se laisse lire avec aisance et son écriture est simple .
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L'Interdite

Roman choral, L'interdite se déroule en Algérie. Sultana revient au pays à l'annonce de la mort de son amour de jeunesse ; elle le remplacera en tant que médecin. Cela ravivera les tensions dans son village natal autour de sa personne. Vincent est venu en Algérie pour découvrir le pays de sa donneuse de rein. Commence une amitié dans un pays qui n'est vraiment pas pour la liberté des femmes...

Un roman sous le sceau du secret puisqu'on découvre à la toute fin l'histoire de Sultana, lourd de la misogynie et des tensions religieuses de l’Algérie, où la grande liberté promise par l'indépendance s'est perdue entre les intérêts personnels, l'ingérence politique et l'extrême violence des guerres civiles.

Mais les femmes entrent en résistance contre la domination masculine, du moins dans ce coin perdu du désert. Même si cela ne suffira pas à faire rester Sultana, trop victime de la violence des hommes, de la vindicte populaire. Elle repartira cependant apaisée.

Un roman poignant, mais non larmoyant ou gnangnan, inspirée par le vécu de l'auteur, elle-même médecin et émigrée. Seuls parfois les dialogues m'ont semblé peu naturels et un peu grandiloquents par moment, mais cela n'étend pas la lecture. Le portrait d'un pays qui se détruit à petit feu, où plus personne n'à la force ou l'envie de se rebeller contre les politiques iniques qui sont menées.
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L'Interdite

« A force de partir, vous vous déshabituez de vous-même, vous vous déshabitez. Vous n'êtes plus qu'un étranger partout. »



Sultana vit à Montpellier. Médecin, cette femme originaire d'Algérie vit seule, des livres entourent son lit, « des âmes d'encre encloses dans leurs rêves de papier. » Elle retourne en Algérie pour enterrer Yacine, un amour, qui était resté dans le village où elle était née et avait grandi. « Village natal, pèlerinage fatal ».



Elle eût une jeunesse emplie de douleur, sa mère et sa sœur mortes alors qu'elle avait cinq ans et son père la laissant seule face à la bêtise des gens qui la disent « maudite ». Elle sera aidée par le médecin du village, un ''roumi'' (veut dire romain et par extension chrétien) ce qui ne fera que renforcée la hargne des habitants. Il organisera son départ et lui fera poursuivre des études dans une grande ville. De ses douleurs et déracinements elle gardera des fêlures. « Partir ou rester, qu'importe. Je n'ai pour véritable communauté que celle des idées. Je n'ai jamais eu d'affection que pour les bâtards, les paumés, les tourmentés et les juifs errants comme moi. Et ceux-ci n'ont jamais eu pour patrie qu'un rêve introuvable ou tôt perdu ».



Vincent vient de recevoir une greffe de rein, un « presque rien ». Cet organe qui lui sauve la vie provient du corps d'une jeune femme algérienne, morte récemment. « Le hasard est un ange barbare. J'étais un receveur potentiel, préférentiel, sur son échiquier ». Il n'en sait pas plus, mais éprouve un besoin de communion avec cette partie de lui, ce rein qui le métisse de l'intérieur. « Nous sommes un homme et une femme, un Français et une Algérienne, une survie et une mort siamoise ».



Le voilà découvrant le ciel algérien : « il est si grand, si enveloppant » « on se croit grain de poussière dans une mousse de lumière, poussière de soleil ivre de miroitements ». Il doit comprendre ce pays et cette vie qui filtre en lui. Elle, « elle est si loin dans l'insolite et le différent, si seule dans le manque. Elle est un défi. »



Leurs chemins vont se croiser.



Pour lui : « On retombe en amour, comme en enfance, avec une mémoire et une conscience expurgées de leurs défenses devenues caduques et encombrantes. »

Pour elle : « J'en ai bu des amours et pourtant j'ai toujours perdu mes amants sur des chemins sans retours. Il ne me reste jamais qu'un désir béant, inassouvi. »



Deux visions compatibles ?



Ils feront la connaissance de Dalila, une petite fille perchée sur une dune. Un être étrange qui leur expliquera bien des choses, à mi chemin entre le Petit Prince et Le Tambour.



Au travers de ces chemins, l'auteur montre l'imbécilité du racisme de part et d'autre de la Méditerranée (« En France, je ne suis ni algérienne, ni même maghrébine. Je suis une Arabe. Autant dire, rien. » et parle de l'exil, « aire de l'insaisissable, de l'indifférence réfractaire, du regard en déshérence ».



Elle pourfend « les faussaires de la foi », pointe du doigt l'attitude des hommes à l'égard des femmes, des hommes qui ne regardent pas mais qui « zyeutent » les femmes, et celle des garçons qui « agressent, faute d'avoir appris à aimer ». Elle ne décolère pas quand elle diagnostique des ''koulchites'', « pathologies féminines très répandue, symptôme des séismes et de la détresse au féminin. »



Elle décrit aussi l'erg, ses dunes qui avancent au gré du vent et le sable « tombé du soleil » qui « fait de la lumière et des étincelles » et qui peut être violent loin de l'image touristique, elle évoque « des lieux où la vie n'est jamais qu'une mort vicieuse qui se délecte et prend son temps .»



« Il n'y a de vrai que le mélange. Tout le reste n'est qu'hypocrisie ou ignorance. »



Un livre d'une justesse incroyable qui recèle mille et une nuits. J'ai apprécié la poésie de Malika Mokeddem et la profondeur des personnages.
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L'Interdite

Un livre que j’ai trouvé superbe. Les sujets abordés, l’exil, le face à face avec une culture d’où on est originaire et où on ne se retrouve pas, l’extrémisme religieux islamiste en Algérie, la condition féminine et le combat quotidien des femmes pour résister aux pressions masculines… Mais par-dessus tout, le style de l’auteur est riche, en émotions, en images, en révolte aussi. UNE EXCELLENTE DECOUVERTE ET UN VRAI COUP DE CŒUR.
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Des rêves et des assassins

Kenza est née dans le désert algérien au moment de l'indépendance du pays. Elle n'a jamais connu sa mère et pour toute famille, elle a un père hyper violent et une nuée de frères et soeurs. Seule, sans affection, elle trouve dans les livres et l'école une planche de salut. Le savoir la libère mais la sépare aussi des siens.

Quelques figures émergent l'enfant poète Alilou qui va disparaître dans le désert et plus tard Lamine, un de ses frères.

Kenza quitte l'Algérie pour Montpellier à la recherche du passé de sa mère.

Un très beau roman inspiré de la vie de l'auteur, poétique quand il évoque le désert, âpre, violent quand il évoque la situation des femmes, des intellectuels, la violence, la montée de l'intégrisme, la trahison, le manque d'amour qui mènent au désespoir ou permettent de se munir d'une carapace comme Kenza.

Une écriture magnifique.
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La transe des insoumis

Autobiographie de l'auteur née dans le désert algérien dans la grande pauvreté et devenue par son intelligence, sa ténacité, sa force de caractère et son amour de la vie médecin et écrivain.

L'insomnie est le fil conducteur de ce récit qui n'est pas construit sur une schéma chronologique mais qui alterne entre ici (Montpellier où elle a suivi des études de médecine, s'est installée et a commencé à écrire) et là-bas, le désert algérien où elle est née et que l'exil lui a appris à aimer.

L'insomnie lui a permis d'échapper à la promiscuité des siens et à la salle où dormait entassée sa famille, de découvrir la lecture et de mieux connaître sa grand mère ancienne nomade elle aussi insomniaque. La nuit elle plonge dans les livres "premier espace inviolable".

Elle fuit sa famille, un mariage forcé mais à Montpellier où elle de vient néphrologue, les intégristes la poursuivent et lui font payer cher son indépendance. Elle raconte la lutte de nombreuses femmes en quête d'indépendance mais qui n'ont pas toutes sa force et qu'elle se garde bien de juger. Combien seraient prêtes à risquer leur vie et à payer leur indépendance de solitude et du déchirement provoqués par la rupture avec sa famille.

Combien de destins de femmes (et d'hommes) brisés par l'obscurantisme religieux ?

Une fin magnifique avec des retrouvailles avec un père violent mais sans qui sans qu'il l'ait jamais dit aime et admire la persévérance de sa fille.

Une écriture travaillée, poétique, parfois proche du poème en prose, et vivante qui traduit beauté, violence et hymne à la vie.
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L'Interdite

Autre roman classé "Algérie" et "condition féminine"dans mes lectures de découverte du Maghreb par sa littérature : ne m'avait pas laissée indifférente car il interroge les relations humaines, l'amour et la liberté.
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Mes hommes

« Tu disais « mes fils » quand tu parlais de mes frères. « Tes filles » lorsque la conversation nous concernait, mes sœurs et moi. Tu prononçais « mes fils » avec orgueil. Tu avais une pointe d'impatience, d'ironie, de ressentiment, de colère, parfois, en formulant « tes filles ».

Dans l'Algérie où est née Malika Mokeddem, les femmes ne comptent donc pour rien. Mais elle, qui fréquente l'école, qui est bonne élève, réfléchit et ne veut pas accepter cet état de fait comme une fatalité. Elle sera obligée d'acheter sa liberté pour pouvoir vivre à sa guise.

Malika Mokeddem nous fait voyager à travers sa vie, ses souvenirs, nous emmenant ici ou là, au fil de sa plume, sans souci de chronologie. Amour, tendresse, amitié se taillent une belle part. Mais il y a aussi tristesse, perte, désespoir, mort. Ce récit, c'est celui de la force et de la révolte d'une battante qui n'accepte pas la condition de paria, d'être inférieur qui est dévolue aux femmes dans son pays, et qui, au prix de l'exil, deviendra à la fois médecin et écrivain.

L'écriture est très belle, très poétique, avec quelques fulgurances: « Ma vie est ma première œuvre Et l'écriture, son souffle sans cesse délivré. » « L'obscurité se referme, comme une paupière, sur des azurs hallucinés. »

J'aime beaucoup le fait que, pour elle comme pour moi, la littérature soit essentielle: « il me suffit d'un livre pour que surgissent des mers, des océans, toutes les rumeurs de l'eau. Des règnes de verdure. »

J'ai donc beaucoup aimé ce beau roman.
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Les hommes qui marchent



Malika Mokaddem est une excellente conteuse, elle a hérité de cette qualité de ces ancêtres. D'eux aussi elle a hérité de l'instinct de liberté comme les hommes bleus, elle part au loin continuer sa vie... autrement mais conserve ce souffle du grand désert.

Il y a quelques années que j'ai lu ce livre... et il m'a enchanté, peut être un peu "estomaquée" par ce style trop recherché... Ces autres livres seront différents. Plus personnel. Un bon livre tout de même
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Mes hommes

Malika Mokeddem, née en Algérie, nous retrace sa vie avec une passion extraordinaire. Elevée dans un pays où les filles étaient vraiment considérées comme inférieures aux garçons (une femme à qui on demandait combien elle avait d'enfants répondait : deux, et quatre filles), elle ressentira intensément cette injustice et cherchera toute sa vie à la réparer.





Dans cet environnement régi par l'ordre masculin, les femmes sont résignées. Elle sera révoltée. Avec l'Indépendance, les filles peuvent accéder aux études secondaires. Elle sera la seule fille de la classe de 5è à la classe de Terminale. Puis la seule pionne d'internat à côté de surveillants masculins. Les études médecine à Oran contribueront à l'émanciper face à des amoureux encore réticents face à autant d'audace.





Mais tous ses amours seront difficiles à vivre car par eux elle cherche à soigner une blessure d'enfance : être aimée pour elle-même et garder sa liberté. Un homme saura lui offrir cela et elle vivra 18 ans avec lui. Puis son succès comme écrivain de nouveau la mettra "à part". Pourtant plusieurs hommes, dont elle fait des magnifiques portraits, compteront pour elle. Elle n'est pas "contre" les hommes. Elle veut être à leurs côtés et veut qu'eux aussi soit à ses côtés.





Ce besoin d'écriture, vital chez elle, est vraiment ce qui l'aide à exprimer toute cette violence, toutes ces blessures et toute cette passion. Comment pourra-t-on l'oublier après avoir lu un tel livre !



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La désirante

La narratrice, Shamsa, orpheline algérienne recueillie et élevée en Algérie par des religieuses françaises, part à la recherche de son compagnon, Léo (Lou), parti en mer et disparu huit mois plus tôt au large des côtes tunisiennes. Elle décide de conduire elle-même, en solitaire et pour la première fois, le catamaran à bord duquel il a disparu. Certains indices laissent à penser que sa disparition n'est pas "naturelle". Enquête et souvenirs (lointains, l'enfance, ou plus récents, l'amour au sein du couple, les beaux-parents, les amis) se mêlent dans une narration habilement construite, qui tient le lecteur en haleine du début à la fin. Un beau roman d'amour, enfin libéré des peurs qui hantaient les premiers romans de cette talentueuse écrivaine.
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L'Interdite

Sultana, une Algérienne d'origine, revient dans pays, son ami Yacine étant décédé.Elle redécouvre son village après tant d'années et les habitants ne l'acceptent plus, la jalousent, l'insultent.Pourquoi lui en veux t'on ? Elle est une femme qui est devenue médecin, elle n'a pas respecté les traditions comme les femmes ici qui ont parfois dix enfants,travaillent au ménage et n'ont rien à dire. Elle ne supporte pas cette situation et se révolte.
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Les hommes qui marchent

Zohra et sa petite fille raconte l'Algérie du XXème siècle, l'Algérie des nomades et le combat des femmes.
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L'Interdite

La critique d'aujourd'hui est un peu différente. Je voulais faire une critique de ce livre que j'aime beaucoup, et j'ai retrouvé l'exposé que j'avais fait dessus en maîtrise. Je vous le mets ici.

Bien sûr, il voit le livre sous un angle donné "L'exil, et le choc des cultures", mais je pense que ces angles d'approche en disent assez longs sur l'ouvrage. Il est plus long qu'une critique normale, étant jalonné de citations qui illustrent mon propos, j'espère donc que la longueur ne vous dissuadera pas. Je n'enlève pas les citations qui, à mon avis, montrent un aperçu de la richesse de ce roman.

[...]

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Lien : http://www.lalivrophile.net/..
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N'zid



Histoire d’une femme qui a perdu la mémoire et qui se réveille sur un voilier en méditerranée. Techniquement côté navigation : rien à redire elle s’y entend très bien. D’où vient –elle que fait-elle. Elle, un autre je et le même. Malika reste toujours dans ses belles descriptions mais ne perd pas de vue son imperturbable narcissisme. Elle, la mer, le désert, des citations : les seules, celles de ses bouquins. Un peu décevant. On a été habitué à bien mieux.

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Le siècle des sauterelles

Il s'agit du destin d'un homme et de sa fille, qui tentent de se reconstruire après le massacre de la mère de famille, tuée par des brigands lors de leur absence.

L'écriture aurait pu être intéressante si elle n'était pas si surchargée en figures de styles. L'auteure en fait trop, ce qui enlève tout le plaisir de lire. Dommage, car cela aurait pu être intéressant.
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Mes hommes

L’auteur revendique sa féminité, sa liberté d’être hors des carcans de la tradition. Elle dresse les portraits des différents hommes de sa vie d'où parfois, la sensation de lire un catalogue, ce qui gâche le plaisir de la lecture. Néanmoins, certains chapitres sont émouvants et expriment tout ce qu’elle est.
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Mes hommes

Énorme coup de coeur pour moi. Lecture de mai qui m'a émue, révoltée et brisée le coeur. Je le conseil fortement, l'histoire de Malika et ses hommes n'est pas une histoire d'amour ou du moins pas uniquement. C'est une histoire de confiance, de découverte, de déception et de deuil. Son apprentissage de la vie passera par des étapes clés et ça commence avec la deception d'un père face au sexe féminin de son enfant. Vraiment, c'est une très bonne lecture il ne faut pas hésiter à se le procurer et à la dévorer !
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Je dois tout à ton oubli

Une lecture assez agréable.

Si le début est un peu fade et déprimant, l'histoire prend de l'ampleur au gré des souvenirs et des réflexions de l'héroïne.

Selma est partie de chez elle, dans le désert algérien, pour étudier, puis travailler et envoyer comme une bonne fille son salaire à sa famille. Mais elle n'était déjà plus vraiment là avant de partir, le monde où elle est née ne lui a jamais vraiment convenu et un évènement de son enfance, que son esprit a oublié pendant 50 ans, va contribuer à creuser l'écart entre elle et sa famille, notamment sa mère.

De l'Algérie, on voit les bons et les mauvais côtés : la vie des gens dans le désert, l'évocation du monde macho-musulman, mais ce sont les mets culinaires en fin de roman qui m'ont fait rêvé et salivé (j'essaierai de faire un mkhalaa un jour, c'est obligé).

Un livre un peu lent, mais intéressant à tous points de vue :)
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Je dois tout à ton oubli

La narratrice, petite fille de touareg sédentarisé au bord du désert, rebelle, a fuit l’Algérie pour finir ses études en France. Elle est cardiologue et habite à Montpellier. A la suite du décès d’une de ses patientes, elle revit une scène de son enfance qu’elle avait oubliée. Elle emprunte la voie du roman pour explorer un pan douloureux de sa mémoire qui a trait à sa relation avec sa mère.
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