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Critiques de Marc Omeyer (39)
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L'art du crime, tome 5 : Le rêve de Curtis Lo..

En 1938, les frères Blumenfeld tournent un western qui leur apportera la gloire : un film réalisé en plein territoire Navajo. Malheureusement le tournage va devoir brutalement prendre fin.



Ce 5eme opus de l'Art du crime s'intéresse donc au cinéma.

Ambiance western où encore une fois les divergences entre blancs, qui se sentent supérieurs, et amérindiens proche de la nature, va faire des dégâts.

Ce tome à un rapport direct avec le tome 1, où l'on peut enfin connaitre le passé de Curtis Lowell, le fameux écrivain de la BD inachevée. Et comprendre pourtant les dernières pages de celle-ci sont manquantes.

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, je l'ai même trouvé un peu décousue avec quelques ellipses. Certains détails de l'histoire me semble laissé de côté.

Niveau dessin c'est très moyen aussi, assez fade et figé.

Rien de bien transcendant pour moi mais ça se laisse lire malgré tout. Sans grande passion, et probablement que ça ne marquera guère ma mémoire...
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L'art du crime, tome 1 : Planches de sang

♫ Ne vous demandez pas si c’est du lard ou du cochon ! Si vous avez faim, croquez tout cru mon compagnon ! A la file indienne, chères petites hyènes, venez faire ripaille à l’hawaïenne ! ♪



Oui, je cite du Timon dans le texte.



Parce que en ce qui concerne l’art, je me demande souvent si c’est de l’art ou du cochon, tant ça me semble ne correspondre à rien, comme si on avait galvaudé ce mot, l’attribuant à des trucs que je ne voudrais même pas coller sur la porte du frigo.



Anybref, j’ai apprécié les dessins de cette bédé et les tons sombres qui lui allaient bien.



Cette bédé commence en nous faisant sauter les époques, passant de 1939 à 1950 avant de se poser en Floride, en 1972 pour sauter sur New-York. À peine entamée cette lecture que me voilà déjà souffrant du syndrome du jet-lag, aussi bien dans le temps que dans l’espace.



En tout cas, avec ce côté décousu, ma curiosité était piquée, ce qui était l’essentiel !



La bédé est considérée comme le 9ème art, même si, pour certains, ce ne sont que des gribouillis et juste bon à lire lorsqu’on est enfant.



Vous n’imaginez pas le nombre de personnes qui m’ont déjà demandé, avec un air horrifié, si je n’avais pas envie de lire quelque chose de plus intelligent que des bédés et des comics (et lorsque j’ajoute que je lis aussi volontiers des mangas, je ne vous raconte même pas les réactions!!!). « Vos gueules, les mouettes », je lis ce que je veux et n’en déplaise à certains esprits, il existe des bédés très intelligentes.



Mais revenons à nos moutons ou plutôt, à une bédé qui rend les collectionneurs fous, car éditée en peu d’exemplaires et sans la fin, puisque l’auteur était mort avant d’avoir dessinés ses 5 dernières planches.



Un classique dans les enquêtes, ce sont les accusés injustement, ceux ou celles qui se trouvaient au mauvais endroit, au mauvais moment. L’horreur ! Comment prouver que vous êtes innocent/e ?



Tout le monde n’a pas la chance d’avoir John Stoner, dit Snail, un flic atypique qui croit en votre innocence et qui a un peu plus de jugeote que les autres… L’enquête était bien menée, le suspense était présent et c’est jusqu’au bout que j’ai été fébrile durant ma lecture.



Mon seul bémol est qu’il n’y avait que 48 pages et même si le final n’est pas trop précipité, quelques pages en plus auraient permis de développer un peu plus certains personnages, de leur donner un peu plus d’épaisseur, de nous expliquer pourquoi Rudi se retrouve en prison (même si on s’en doute un peu) et le pourquoi de cette obsession des 5 dernières planches.



D’accord, on s’en doute aussi, mais j’aurais apprécié que l’on étoffe un peu le côté psychologique de ce personnage, au lieu de nous balancer le tout et que l’on fasse le job dans notre tête.



Non pas que je sois fainéante ou que je manque d’imagination, juste que quelques pages auraient été un petit plus pour la profondeur des personnages.



Le petit plus, c’est qu’alors que l’on pense que tout est fini, cela commence vraiment ! Aurais-je des réponses dans les albums suivants ?


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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L'art du crime, tome 2 : Le Paradis de la t..

Hippolyte est un jeune peintre qui débarque à Paris. Malheureusement ses toiles n'ont pas l'effet escomptées jusqu'au soir où il se fait attaquer par des malfrats, lui et son meilleur ami. Pour la première fois il sera suffisamment en colère pour tuer quelqu'un et de cette émotion si forte et si noire il va faire un chef-d'oeuvre qui fera de lui un peintre en vogue. Malheureusement il y a un prix à payer pour continuer à peindre des émotions aussi puissantes.



2e tome et autre art : la peinture, autrement dit le 3e art.

Dans ce tome on parle surtout de cette folie créatrice et de ce qui inspire les artistes. La peinture est un monde d'émotion et s'il veut créer l'artiste doit les ressentir pour les transmettre à travers la toile.

Malgré ses crimes Hippolyte est un jeune homme torturé mais attachant.



Les dessins de Stalner sont supers, comme d'habitude. Un trait élégant et pointu.
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L'art du crime, tome 1 : Planches de sang

Glénat inaugure avec ce tome 1 l'art du crime une nouvelle série concept, l'art du crime mettant en parallèle le crime et les arts. Chaque album promet une intrigue criminelle liée à un des neuf arts majeurs communément répertoriés.



Et un des instgiateurs du projet excitant sur le papier, n'est autre qu'Olivier Berlion qu'on défend des qu'on peut sur baz'art depuis qu'on sait qu'il est lyonnais et qu'on a eu la chance de l'interviewer.



.À travers une série de 9 albums qui explorent la fièvre créatrice quand elle devient vertige et engendre la folie meurtrière, L'Art du Crime va devenir le projet fou de cet homme, Rudi Boyd Fletcher.



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Chaque album nous décrit une intrigue criminelle liée à l’un des 9 arts majeurs : peinture, littérature, sculpture, cinéma, musique, architecture, théâtre, audiovisuel et, bien entendu, bande dessinée. et à tou seigneur tout honneur ce tome 1 parle de BD avec l'histoire d'un tueur new yorkais obnubilié par l'absence de 5 pages qui lui fait défaut dans une BD mythique.



C'est parti pour 48 pages- le format obligatoire de la série pour un scénario d’apparence complexe qui multiplie dès le début du récit non seulement les sauts dans le temps, de 1939 à 1972, donc i lfaut bien s'accrocher pour suivre mais ca vaut le coup à la fin!



Les couleurs optent pour une tonalité de sombre qui sied bien à l'ambiance des bas-fonds de New York et on note une belle cohésion dessin/couleurs/scénario. . Une histoire originale et qui se laisse suivre, du suspens, des rebondissements et ambiance glauque à souhaits. Et Berlion, toujours d'attaque opte pour un dessin sans doute un poil plus crayonné qu'à l'ordinaire, histoire de mieux coller à l'ambiance...belle réussite et on attend les autres tomes, et notamment le 5 qui s'attaquera au cinoche..
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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L'art du crime, tome 1 : Planches de sang

La série L’art du crime met en exergue un concept prometteur : neuf arts/neuf crimes/une vie.

Ce premier tome est consacré au 9eme art, et tourne autour d’une BD mythique parue en 1939, la piste de Mésa verde, dont les 5 dernières pages ne sont jamais parues. Un tueur semble prêt à tout pour se les procurer.

Au début l’histoire est un peu confuse car on jongle entre les personnages et les époques, mais quand les choses finissent par se mettre en place, elle est passionnante.

J’ai surtout beaucoup apprécié les dessins d’Olivier Berlion qui sont vraiment à la hauteur de cet album rendant hommage au neuvième art.

J’ai hâte de savoir ce que nous réserve le second tome.
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L'art du crime, tome 1 : Planches de sang

Une superbe idée que de faire une série de 9 albums, chacun avec des dessinateurs différents traitant de périodes différentes et surtout et c'est là que réside The Idée c'est que chaque album nous décrit une intrigue criminelle liée à l un des 9 arts majeurs : peinture, littérature, sculpture, cinéma, musique, architecture, théâtre, audiovisuel et, bien entendu, bande dessinée. C'est la bande dessinée le premier de cette série et il traite de la BD.



J'avoue que j'ai eu du mal au début car cela semblait décousu, j'ai eu de la peine à entrer pleinement dans l'histoire mais au bout de quelques pages j'ai pu apprécié le scénario bien alambiqué et du coup constater la qualité du scénario et des planches magnifiques. Les couleurs sont sombres pour la plupart et cela sied bien à l'ambiance des bas-fonds new-yorkais. Une histoire originale et qui se laisse suivre, du suspens, des rebondissements et ambiance glauque à souhaits.



J'adhère totalement et attend avec impatience le second tome qui sort le 27 avril.



VERDICT



Un super compromis entre le polar et la BD... à offrir, se faire offrir ...
Lien : https://revezlivres.wordpres..
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L'art du crime, tome 2 : Le Paradis de la t..

Dans ce deuxième tome, un jeune peintre se rend compte qu’après avoir tué, les toiles qu’il peint, se vendent comme des petits pains. Il devient quelqu’un, enfin !



Alors, se transformant en Jack l’Éventreur, notre jeune Hippolyte Beauchamp, s’en va massacrer des voleurs, des gueux, à coup de canne épée, augmentant son succès en peignant de plus en plus de toiles qui s’arrachent. Il connaît le succès, mais a vendu son âme au diable, le prix à payer étant de plus en plus fort, notre jeune homme commence à tuer des personnes qu’il côtoie.



Le policier qui enquête sur ces meurtres, commence à comprendre. Mais comment le prouver ?



Les dessins de Paris sont très beaux, ils donnent envie de se balader dans les rues, même à cette époque (sauf de nuit, bien entendu, notre tueur en série rôdant dans les ruelles).



Par contre, le scénario est un peu faiblard, conventionnel, déjà trop souvent vu et l’auteur ne l’a pas cuisiné autrement.



Dommage, l’art de la peinture méritait mieux qu’un scénario sans surprises, sans émotions, trop plat...



Je continuerai néanmoins cette série consacrée aux crimes et aux arts.



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L'art du crime, tome 2 : Le Paradis de la t..

Ce deuxième tome de la série l’art du crime est consacré à la peinture.

Le scénario est beaucoup plus convenu que celui du premier tome et ne présente pas trop de surprises. Un jeune peintre Hippolyte Beauchamp assiste au meurtre de son meilleur ami et peint pour la première fois une toile remarquable. Grisé par le succès, il se transforme alors en tueur en série.

Le dessin est également très classique, avec néanmoins de jolies vues de Paris et des bords de Marne au XIXe .

J’ai trouvé que ce tome n’était pas aussi original que le premier, mais la série reste de qualité.
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L'art du crime, tome 7 : La mélodie d'Ostelinda

1973 à Philadelphie, un professeur de musique n'en reviens pas en écoutant une jeune femme jouer du violon. Cela lui rappelle une vieille histoire qui date du règne de Louis XIV. Celle d'un stradivarius et de la mélodie d'une jeune tsigane.



Ce tome 7 de la série Art du crime porte donc sur le 4e art : La musique. Et pour cela nous est conté une jolie histoire d'amour : amour entre deux jeunes gens malgré leur différence de caste sociale, amour de la musique et d'un violon en particulier. Pas n'importe quel violon, un célèbre Stradivarius. A cette époque on est capable de tuer pour obtenir le privilège de jouer de ce noble instrument.

Le dessin est une ligne claire et classique, simple mais efficace.

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L'art du crime, tome 6 : Par-dessus les nua..

Jonathan Ridges est envoyé à Moscou par son patron qui souhaite éditer des poèmes russes. Il doit y rencontrer Dimitri Alechinsky, hélas la période est mauvaise. La police du tsar tente par tout les moyens d'amener le calme dans les groupes qui grondent.



Ce sixième opus de l'Art du crime va s'intéresser au 5e art : la littérature et plus précisément la poésie.

L'histoire est plutôt intéressante, elle se déroule pendant la révolution russe, lors des premières révoltes. Mais malheureusement si le contexte est intéressant j'ai eu du mal à accrocher aux personnages. Il m'a manqué plus de liens entre eux. Il y avait matière à émotions pourtant je trouve qu'elles ne sont pas exploitées ou pas bien mise en avant.



Quant aux dessins, je n'aime pas tout... Je trouve le rendu des personnages difformes, anatomiquement approximatif et franchement laid. Cela n'a surement pas aidé à me projeter et à ressentir de l'empathie pour eux. Mais en plus je trouve le trait très variable d'une case à l'autre.

Même les couleurs je les ai trouvé fades et rendant mal les reliefs.
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L'art du crime, tome 9 : Rudi

Rudi est en prison pour des crimes obsessionnels. Toute sa vie il a voué un culte à l'auteur Curtis Lowell et aujourd'hui il murit un projet qui lui tient à coeur. Saluer la mémoire de son idole en écrivant une histoire autour des 9 arts que ce dernier avait initié et lui rendre hommage à travers une émission de télévision.



Ce dernier tome parle donc un art tout récent : celui de l'audiovisuel.

Cet ultime tome de cette série boucle également l'ensemble en revenant sur les pas du tout premier. Rudi, notre tueur du tome 1, est désormais en prison. C'est lui qui écrit les différentes histoires qui compose cette saga autour des arts. Son dernier projet est de monter une émission de télévision où il pourra rendre hommage à Curtis Lowell, notre héros du tome 5, et par la même occasion dénoncer son meurtrier plus de 20 après sa mort.

Pour l'occasion et pour bien saisir les subtilité de ce tome, j'ai relu toute la série. C'est un bon dénouement, une conclusion et un liant pour l'ensemble de la série L'Art du Crime. J'ai néanmoins été moins emballé, me trouvant plus devant un épilogue que devant une histoire complète.
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L'art du crime, tome 2 : Le Paradis de la t..

Les arts majeurs qui sont, révisons donc en vue d’une prochaine partie de « Trivial Pursuit (une partie de quoi ?? dirons les plus djeunes des lecteurs de baz'art),:



1- L’Architecture, 2 La Sculpture, 3 La Peinture, 4 La musique, 5 Littérature et poésie, 6 Le théâtre et la danse, 7 Le Cinéma, 8 Les Médias, 9 La Bande-Dessinée. ...(et Baz’art en 10)



Cinq albums sont déjà sortis : dont ce tome 2 « Le paradis de la terreur » peinture et bohème à Montmartre, une fable morbide que n’aurait pas renié Oscar Wilde et Edgar Allan Poe réunis.



Belle idée et formidable architecture des récits. Chaque album crée un lien avec les autres construisant une fresque passionnante.



Les Editions Glénat ravissent le lecteur comme elles avaient su le faire il y a quelques années avec : « Le Décalogue » d’auguste mémoire. Vivement la suite.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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L'art du crime, tome 3 : Libertalia, la cit..

Ce troisième tome de la série L’art du crime est consacré à l’architecture, mais de manière assez secondaire car je dirais qu’on a plutôt affaire à une histoire de pirates.

Je n’ai pas trop vu le lien avec l’idée de départ de la série et l’album est globalement assez décevant.
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L'art du crime, tome 4 : Electra

Electra est une sculptrice corinthienne qui va un jour connaitre l'horreur lorsque les légions romaines vont piller sa ville. Son jeune apprenti va se faire assassiner sous ces yeux par un soldat alors qu'il tentait de sauver une de ses premières oeuvres. Electra n'aura alors de repos que lorsque vengeance sera assouvie!



Les sorties s'enchainent assez rapidement pour cette nouvelle série de chez Glénat. Neuf arts, neuf crimes. Pour ce tome : le deuxième art, la sculpture.

Nous sommes donc pendant la Rome antique, en 146 avant JC. Corinthe s'est faite pillée et Rome doit désormais apaiser son peuple plutôt que de soumettre les provinces voisines.

Un scénario qui va tourner autour du désir de vengeance de la jeune sculptrice et de l'intrigue politique du sénat romain. Marcus Flavius est désigné pour être le commandant de la nouvelle garnison sensé ramener l'ordre dans la ville éternelle, alors que le consul Octavius aimerait placer son fils Néréus. Un homme violent et cruel qui n'est autre que le tueur de Zacharias, l'apprenti de la sculptrice corinthienne.

Le scénario est plutôt sympathique et bien ficelé. Les héros sont vite attachants. On pourrait surement reprocher des personnages un peu trop tout blanc ou tout noir mais bon...



Le dessin est expressifs mais j'avoue avec eu parfois du mal à accrocher à ce type de trait principalement à cause du rendu charbonneux des ombres et des décors. Les arrières plans ne sont pas toujours aussi soignés qu'ils le devraient.
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L'art du crime, tome 1 : Planches de sang

A New York plusieurs crimes sont commis. L'inspecteur John Stoner chargé de l'enquête va vite comprendre le lien entre tous ces meurtres. Une BD parue dans les années 40, l'auteur est mort avant de publier les 5 dernières pages. Le criminel lui est convaincu que ces planches existent, et il fera tout pour mettre la main dessus.



C'est la grande mode chez les éditeurs de faire paraitre des séries avec des auteurs différents pour chaque tome permettant ainsi de traiter un même univers rapidement et d'enchainer les sorties. Une bonne idée marketing qui est donc reprise chez Glénat sur le titre de "L'art du crime". 9 arts, 9 crimes.

Ce premier tome ne traite pas du premier art mais du 9eme, la bande dessinée!

J'avoue qu'au départ il n'a pas été facile de se plonger dans l'histoire, ça semblait un peu décousu. J'avais même parfois l'impression qu'il y avait des retours en arrière alors que pas du tout. Et puis la magie opère et on est prit par le suspense. Je regrette quand même que certains passages soit trop courts et manque de développement, encore ce fichu manque de place du format one-shot, c'est ainsi...

Le dessin d'Olivier Berlion, comme d'habitude, marche bien. Il réalise ici des pages plus sombres et plus crayonnées que d'habitude afin de mieux coller à cette ambiance du tueur près à tout pour découvrir les dernières pages de sa BD fétiche.

On passe un bon moment de lecture et je vais ne mettre vais pas tarder à ouvrir le prochain tome déjà paru et concernant la peinture.
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L'art du crime, tome 8 : Les amants du Rialto

Venise en 1700 voit revenir une diva pour une représentation exceptionnelle au théâtre San Cassiano. Lorenzo est une jeune homme qui ne rêve que d'une chose : lui donner la réplique sur les planches.



Pour ce 8e tome, l'art au centre de l'histoire sera le théâtre.

Nous avons pour décor une Venise fastueuse qui fête le retour d'un grand nom du théâtre. Mais en coulisse se joue un drame familial et amoureux.

Une intrigue plutôt intéressante avec d'un côté le drame amoureux de Lavinia qui a préféré la gloire des planches à l'amour et qui revient dans sa ville natale où l'attend son amour de jeunesse. Et de l'autre Lorenzo, accusé à tort d'un crime qu'il n'a pas commis et qui rêve de devenir un grand comédien.

C'est un peu trop riche pour un seul tome de 48 pages, mais dans l'ensemble c'est plutôt réussie avec une fin à la fois dramatique et pleine d'espoir digne du grand théâtre!

Le dessin est également assez agréable même si le trait peine à trouver ses marques dans l'action et le mouvement.
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L'art du crime, tome 2 : Le Paradis de la t..

Une demi-déception.

Côté scénario nulle surprise. Le crime inspirant l’artiste dans un contexte dix-neuvième siècle, la folie meurtrière façon Jack the ripper, les bas-fonds de la cité versus un milieu bourgeois superficiel… Il y a là tous les oripeaux du roman horrifique victorien, Londres en moins, avantageusement remplacé par Paris.

Côté dessin, chapeau bas à Eric Stalner. Ses personnages sont habités, le Paris de l’époque est magnifique, et avec une colorisation très réussie : le lecteur a même sous ses yeux quelques scènes bucoliques de bords de Seine qui sont un très bel hommage aux peintres d’alors.

Stalner méritait bien mieux que ce scénario passe partout.

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L'art du crime, tome 1 : Planches de sang

L'idée de départ est plutôt bonne : 9 arts majeurs, 9 crimes en 9 BD.

C'est alléchant.... mais force est de constater que je suis presque restée de marbre face à ce premier opus consacré à la BD.

L'intrigue m'a paru inconsistante et motivée par une dynamique plus que superficielle. Les personnages m'ont semblé manquer de profondeur et de relief. J'ai trouvé la narration parfois difficile à suivre tant elle est décousue.

Les dessins ne sont pas mauvais mais m'ont semblé froid et sans grande personnalité...

Bon, je vais continuer ma découverte de cette série en espérant que mon opinion changera au fil des arts...
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L'art du crime, tome 3 : Libertalia, la cit..

Pour le 3e tome de "l'art du crime", c'est l'architecture, le premier des arts, qui sera la centre du scénario.

Bon quand je dis le centre... En fait il ne joue pas un rôle très important et uniquement dans le fait qu'une bande de pirates décident de se construire une ville libre à Bornéo. Effectivement ceux-ci, avec à leur tête Bart Kingsley, sentent que ça va mal tourner pour eux tant les puissances du monde en ont ras le bol de se faire arraisonner. Alors pourquoi pas essayer de se mettre au vert sur une ile déserte et construire une cité idéal, pleine de liberté?



J'ai eu énormément de mal à rentrer dans l'histoire pourtant le fond du scénario n'est pas spécialement mauvais mais ça ne marche pas.

Les personnages avaient de quoi être charismatiques mais ils ne le sont pas. On sent qu'ils ont du vécu, du poids sur leur épaule, un passé mouvementé mais les auteurs n'arrivent pas à nous faire sentir proche d'eux. Au final on s'attarde peu sur eux, trop nombreux peut être pour un format unique?, et on a juste l'impression d'être des spectateurs alors qu'on aimerait vivre l'intrigue.

les émotions ne passent pas, l'action se passe trop vite...

Et à la fin je me suis demandé mais où est le crime? Cette série n'est-elle pas sensée décrire un crime tournant autour d'un des neuf arts? Ok, là, il y a la petite référence à l'architecture grâce à Aldaïr qui construit... des cabanes en bois... bon pourquoi pas même si je trouve ça un peu tiré par les cheveux. Mais le crime c'est quoi au final? Cette bataille entre l'armada de la coalition des puissances et les pirates? mouais... le fait d'avoir éradiqué cette ville naissance promesse de liberté? Je vais encore y réfléchir...



question dessin, là aussi je trouve pas que ça soit au top. le trait est un peu griffonné, après ça donne un style que certain apprécieront peut être. Mais je trouve que dès qu'on s'éloigne du plan ça manque cruellement de précision. J'aurais voulu des décors plus vivants, une nature plus sauvage. La colorisation pèche surtout avec un manque de nuances, et des ambiances pas du tout réussies.
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L'art du crime, tome 5 : Le rêve de Curtis Lo..

Pendant le dernier festival de Lyon Bd on est tombé en arret devant L’art du crime , cette série-concept qui propose en BD une rencontre entre le polar et les Arts se décline suivant leur classement académique : littérature, peinture, théâtre, sculpture, musique, architecture, cinéma, audiovisuel et bande dessinée..



Chaque album s’inscrit dans une époque bien définie et dans la recherche et la description minutieuse de la création dans un art majeur.



Le 5ème récit, on l'adore forcément car c'est celui sur le cinoche: Le rêve de Curtis Lowell....c’est très bon mais il faudrait tous les lire pour se faire une vraie idée....je ne sais pas si tu connais “le décalogue” chez Glénat mais l’œuvre prenait tout son sens au dixième titre.



« Le rêve de Curtis Lowell » vie et mort d’un dessinateur de story-board pour Hollywood, entre Monument Valley et San-Francisco.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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