Citations de Margherita Gabbiani (117)
Ainsi va le monde aujourd'hui on pardonnera à un måle ses défauts physiques s'il les compense par son intelligence, son argent, ou son pouvoir. Mais aussi belle, intelligente, puissante soit-elle, on ne pardonnera pas à une femme son IMC s'il dépasse la norme socialement acceptable. On préférera dire d'elle qu'elle s'est laissée alter, qu'elle s'est negligée, qu'elle ne fait pas d'efforts
Evie, l’amour ne nous rend pas vulnérables. Au contraire. Il nous rend plus forts que tout le reste.
Nous sommes des êtres imparfaits de nature et notre beauté réside dans notre constante recherche d’un futur meilleur.
Dans la vraie vie, il n’y a pas de super-héros ou de méchants. Il n’y a que des personnes comme nous, qui tentent tant bien que mal de s’en sortir avec les cartes qu’on leur a distribué.
Elle est coincée dans ma tête comme une mélodie, elle n’en sort pas. Mais si avant elle était une chanson pop aux notes sucrées et entraînantes, maintenant elle ressemblerait davantage à un blues déchirant.
Tu te souviens, quand tu m’as avoué que tu n’étais pas parfaite ? Je n’ai jamais voulu que tu le sois. La perfection, ça ne m’intéresse pas, ça n’existe pas d’ailleurs. Ce n’est que notre perception du monde qui nous dicte ce qui est bien ou pas.
Je ne veux pas livrer mon âme cabossée à quelqu’un d’autre, si je n’ai pas la certitude absolue que cette personne en prendra soin.
Avec le temps, j’ai l’impression que ma mémoire ressemble à une pièce de monnaie : pour chaque souvenir, je peux choisir quelle face je préfère conserver.
Laisse-moi écouter tes silences, donne-moi accès à la clé de ton âme.
En tant que femme, on attend de nous que l’on traque le moindre bourrelet, que l’on exhibe des plastiques parfaites et peu importe si pour ça, on doit s’affamer. Mais chez un homme, ces mêmes rondeurs sont à peine remarquées, ou ne sont qu’un signe de bonne santé et d’appétit pour la vie.
Ainsi va le monde aujourd’hui : on pardonnera à un mâle ses défauts physiques s’il les compense par son intelligence, son argent, ou son pouvoir. Mais aussi belle, intelligente, puissante soit-elle, on ne pardonnera pas à une femme son IMC s’il dépasse la norme socialement acceptable. On préférera dire d’elle qu’elle s’est laissée aller, qu’elle s’est négligée, qu’elle ne fait pas d’efforts.
Mon coup de foudre pour Margaux n’a été qu’un signe de plus du destin… Car je ne peux pas me voiler la face plus longtemps : je suis complètement fou de cette fille. Ma collègue.
Toute cette histoire avec Adam me laisse perplexe. Il a été comme une sucrerie longtemps convoitée. Ce genre de bonbon trop sucré qui, une fois dégusté, laisse un goût écœurant en bouche.
Avec Gabriel, c’est autre chose.
Je suis là, prête à tromper mon fiancé, à foutre en l’air mon avenir et cinq ans de relation, tout ça pour… quoi? Un frisson d’un soir, une passion éphémère?
C’est le cliché même du bad boy tombeur qui aime avoir toutes les filles à ses pieds.
Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse.
Je n’ai qu’une certitude : ce que j’ai aujourd’hui ne me suffit pas. Ne me suffit pas? Je ne saurais le dire. Mon âme tourmentée et coupable est à la recherche de plus, bien plus ce que Jean – ou même Adam – peut m’offrir.
Je suis d’accord pour être mêlé à tout ce que tu veux, et même pour souffrir un peu, tant que je peux encore te voir.
Ses beaux traits expriment une souffrance dont j’ignore tout, mais qui me prend aux tripes comme si c’était la mienne.
Je veux qu’elle en sache plus sur moi, comme je veux connaître chaque chose d’elle. Chaque parcelle de son corps, chaque nuance de sa personnalité. Je veux être celui qui lira en elle comme dans un livre ouvert.