Marie Lenne-Fouquet

Un petit roman très sympathique, dans le quotidien des enfants, cela leur parlera. Un roman où l'empathie est reine, où les différences sont la norme. Pas de héros mais la vraie vie. On adore !



Et puis, je ne sais pas pour le ressenti des enfants mais en tant qu'enseignante, ce récit relate assez bien ce que nous vivions au quotidien, en particulier lors d'une séance de piscine ! Merci !



~ Challenge ABC 2021-2022 : L

Cette histoire pleine d'humour est idéale pour parler des mensonges et des problèmes qu'ils peuvent provoquer. Nino notre héros, d'un petit mensonge, va finir par en accumuler beaucoup car il ne veut pas avouer à ses copains qu'il ne sait pas nager. Il a trop honte mais il finira par se rendre compte que d'autres sont dans son cas et que chacun peut avoir peur de quelque chose.



On parle également de différence car chaque enfant à une particularité. C'est ce qui fait qu'ils sont plutôt attachants. Il y a un beau message de tolérance. En revanche, la pauvre maitresse a bien du courage et son craquage est très drôle. J'imaginais bien les maitresses de mes enfants faire la même chose.



Le style de l'autrice est très agréable. C'est fluide et facile à lire même pour des lecteurs débutants (fin de CP - CE1). Les illustrations de Pauline Duhamel qui ponctuent l'ouvrage, nous mettent parfaitement dans l'ambiance moite de la piscine. Elles ajoutent aussi au côté drôle de certaines situations.



Un petit roman vraiment très sympa que je vous invite à découvrir !

Pour être avec ses copains, Nino a menti : il ne devrait pas être dans le groupe des Dauphins, mais dans celui des Grenouilles. Nino ne sait pas nager ; il a même peur de l’eau. Pourtant, il se retrouve dans le groupe des nageurs, avec Alix et Paulin. Et un mensonge en entrainant un autre, Nino invente des histoires de plus en plus grosses pour retarder le moment fatidique.

Une histoire courte et simple pour dédramatiser la peur de l’eau. L’autrice décrit avec réalisme le débarquement d’une classe de CE1 à la piscine (souvenirs, souvenirs…) : les vestiaires pour les filles et pour les garçons, la gêne de se déshabiller devant les autres, le pédiluve, les affreux bonnets de bain, la pagaille autour du bassin et la maitresse qui tente de regrouper tout le monde… Mais surtout, l’autrice décrit la peur du regard de l’autre, à l’âge où l’on commence à remarquer ces petits défauts qui paraissent immenses et ces peurs qui semblent insurmontables. Et tout ça, avec beaucoup d’humour.

Nino a peur de l'eau mais il doit aller à la piscine avec sa classe. Ses amis Alix et Paulin sont dans le groupe des dauphins, Nino a menti à ses amis pour faire partie du même groupe, alors qu'il ne sait pas nager. Comment va-t-il s'en sortir ?

J'ai beaucoup aimé cette histoire, mais il ne faut pas trop s'enfoncer dans le mensonge, car on ne peut plus en ressortir après !

Lu dans le cadre du prix des incorruptibles avec ma progéniture.

Beaucoup d’humour dans ce livre qui parle des complexes de petits élèves qui vont à la piscine, certains se trouvent gros, d’autres ne veulent pas aller dans le grand bain avec des chaussons « anti verrues » et d’autres encore ne savent pas nager. C’est une histoire de petits mensonges et de grandes frayeurs qui permet à l’enfant de se rendre compte que finalement, c’est en communiquant que l’on partage ses peines et ses peurs, que l’on résout ses problèmes et que l’on se rend compte que les autres ne sont pas meilleurs que soi.

Et pour les adultes, petit clin d’œil au ras-le-bol de ces comportements avec cette maitresse qui n’en peut plus. Cela sent le vécu.

Très bon moment de lectures avec de jolies illustrations.

Première séance de piscine pour Nino. Lui qui a peur de l'eau et ne sait pas nager s'est placé dans le groupe des dauphins pour ne pas être ridicule aux yeux de ses amis. La suite? Nino va tout faire pour ne pas avoir à se retrouver dans l'eau. Pas facile pour l'institutrice, et Rose la maîtresse-nageuse (sic) de réguler tout ce petit monde car c'est un véritable bazar dans cette piscine.

D'un ton vif et enjoué l'auteure nous raconte une histoire où la bienveillance est de mise. Chacun a son défaut, et il faut savoir admettre ses capacités.

Sans leçon de moral, cette histoire est sympathique et drôle. Il y règne une joyeuse pagaille qui devrait plaire aux lecteurs et les rassurer ou les faire réfléchir.

illustration au top, qui s'accorde bien avec ces pages.

Avis masse critique Babelio. Je remercie la maison d’édition pour l’envoi de ce livre.



Ma fille de 10 ans l’a lu (un peu plus âgée que l’âge recommandé). Je l’ai moi aussi lu, en me positionnant dans la peau d’une « enfant ».



C’est une histoire très sympa, ludique, amusante, avec de l’humour, qui parlera à beaucoup de petites filles. Une mise en avant de « clichés », du lien « parent / enfant ». Un bon moment de lecture, sans aucun doute. J’ai apprécié les mots mis en gras pour attirer l’attention du jeune lecteur. Les dessins sont doux, aux couleurs pastels. Le livre a une couverture épaisse, et est au format BD.



Ce livre est une belle découverte.

Le jour de la robe

Hortense a plutôt l’habitude de porter des pantalons mais pour son anniversaire, sa maman lui offre une robe. Une robe , c’est même pas un vrai cadeau d’anniversaire !! Et puis celle-ci lui prédit bien des tracas ! Déchirée, trouée, tachée, un bouton envolé, elle en verra de toutes les couleurs avant la fin de la journée… pas facile d’être élégante dans ces conditions…

Pour les jeunes lecteurs de 6 à 8 ans.

Cet album destiné aux enfants lecteurs de milieu d'école primaire (CE) propose de raconter les aventures "ordinaires" d'une petite fille, bien dans sa peau qui porte pour la première fois à l'école une robe offerte à l'occasion de son anniversaire.

Un enchaînement de circonstances malheureuses gâche le cadeau et abîme irrémédiablement LA robe ! Alors qu'Hortense redoute le retour à la maison et la réaction de sa maman, celle-ci se montre compréhensive et pardonne tout, signant par là même une happy-end convenue mais qui n'est pas la vraie fin, plus humoristique...

Les illustrations d'Eloïse MINGOT développent, en pleines pages, un graphisme sympathique malgré une palette colorée (sépia, kaki, beige, ocres...) assez sombre pour un album destinée à la jeunesse.

Le texte de Marie-Lenne FOUQUET se veut amusant pour aborder, sans doute, la question du genre comme dans ses textes précédents édités avec succès chez Talents Hauts ("La bonne culotte", "Corps de fille"...).

Ici, il est question de vêtements attribués aux filles qui peuvent entraver les jeux de cour et peu compatibles avec les activités de l'école.

Hortense, la petite héroïne, se montre plutôt indépendante et peu soucieuse de sa robe jusqu'à ce que du découpage avec des ciseaux, aux tâches de nourriture en passant par une déchirure plus sérieuse ne lui fassent craindre les représailles familiales. Finalement, elle est heureuse de s'en débarrasser et revient vite vers son pantalon favori...

Certains mots sont mis en relief dans le texte grâce à la couleur et l'épaisseur des polices de caractères diverses qui, au début de l'album, martèlent dans le sens du récit mais vite se perdent et n'apportent pas grand chose à la compréhension.

Des coquilles orthographiques subsistent dans l'ouvrage ce qui nuit à la fluidité de lecture.

Cet album me semble manquer d'épaisseur et pas assez abouti quant à la thématique (peut-être) défendue.

Le propos est à mon avis peu clair : une robe alors, c'est bien pour Hortense ou une sinécure ? Elle avait envie de la porter ou c'était la volonté de sa maman ? Les petits drames qui surviennent sont intentionnels ou fortuits ?

Pour toutes ces raisons, cet album ne figurera pas dans ma liste de coups de cœur...

Je remercie néanmoins de tout cœur Babelio pour la découverte de cet ouvrage, dans le cadre de l'opération masse critique, de même que son envoi par "La Pimpante", petite maison d'édition régionale, soutenue par la Région Bretagne.

Un petit roman jeunesse qui s'adresse aux premiers lecteurs. 41 pages avec des illustrations couleurs au fil du texte. Une police adaptée pour les dyslexiques. (Andika) pour un thème très actuel. Livio est un enfant turbulent qui ne tient pas en place, que ce soit dans la famille ou à l'école, un enfant qui ne connaît pas ses limites et qui souffre de TDAH. Il est hyperactif et l'école pour lui n'est pas l'endroit idéal. Il bénéficie d'une AESH (auxilaire de vie scolaire) pour l'aider à canaliser son attention. Pas facile tous les jours pour lui et sa famille. Mais Livio, hyper actif va devenir Livio super héros à l'occasion d'un anniversaire.



Ce roman parle simplement du quotidien d'un enfant hyperactif, et avec des mots simples, on comprend ce que cela implique aussi pour ses parents, sa soeur et ses amis d'école. Ce petit livre pourra redonner le sourire à ceux qui sont souvent malmenés du fait de leur côté "remuant" et permettra aux autres enfants de comprendre, à travers une histoire courte et simple, pourquoi certains copains sont parfois difficiles à supporter en classe ou dans la cour de récréation.




Lien : http://citajourdesyldia.cana..

L’histoire a l’avantage de mettre en lumière un trouble neurodéveloppemental que l’on rencontre de plus en plus fréquemment dans les écoles de nos jours et qui reste assez incompris.



Livio est un personnage attachant malgré toutes ses « maladresses ». Il est plein de vie et de bonne volonté, a un grand cœur, tout ceci étant en partie caché par son handicap qui a malheureusement tendance à le rendre plutôt pénible et fatigant aux yeux de tous. Ses qualités vont peu à peu être révélées par l’intermédiaire de sa sœur, narratrice du texte, qui nous explique ses difficultés et relate son exploit final.



L’histoire en elle-même est pleine de bons sentiments mais elle reste pour moi une « excuse » à des explications spécifiques sur le TDAH, permettant ainsi une meilleure compréhension et donc acceptation de ce trouble. A trop vouloir être convaincant, on frôle parfois l'effet inverse.

Je remercie l'opération masse-critique de Babelio et les éditions Kilowatt qui m'ont permis la découverte de ce petit roman jeunesse.

J'ai apprécié le texte de Marie Lenne-Fouquet et les illustrations de Lisa Blumen, ainsi que le thème qui évoque l'intégration d'un enfant pas tout à fait comme les autres, un enfant qui souffre d'un handicap léger qui n'ose dire son nom et qui est qualifié d'hyperactivité...

Un ouvrage qui peut aider les jeunes lecteurs confrontés au quotidien à des enfants hyperactifs ou différents.

Le seul bémol concernant ce petit livre concerne son impression et donc l'éditeur. Je trouve que les espaces entre les mots ne sont pas assez importants, ou peut-être sont-ce les caractères d'imprimerie. Cela peut nuire à la fluidité de la lecture et gêner les jeunes lecteurs puisque ce livre est conseillé dès l'âge de 7 ans.

C'est un roman sur la différence. La jumelle de Livio raconte son quotidien auprès de lui. On part de la constatation d'un problème, en passant par le diagnostic et les conséquences sur le quotidien. Il explique bien le comportement des personnes atteintes par ce trouble.



En revanche, ce qui se passe lors de l'anniversaire est peu vraisemblable. On peut comprendre l'envie de mettre Livio en avant par son courage, mais ça cadre mal avec son problème d'attention. De plus, le jeune Milo qui a l'habitude de monter dans sa cabane connait forcément mieux les risques. L'idée de base est néanmoins intéressante.



Les illustrations qui ponctuent le livre ne m'ont pas plu. Les traits des personnages sont assez grossiers et la colo est terne et triste. C'est dommage surtout pour illustrer une fête d'anniversaire.



Une bonne idée de départ qui ne m'a malheureusement pas séduite.

Masse critique Babélio



J'ai sélectionné ce livre avec un œil critique. J'avais besoin de voir ce qu'on pouvait écrire sur nos hypers/supers. Je pensais trouver des clichés qui manquent cruellement de vérité.



QUE NENNI!! PAS DU TOUT!!



Je n'ai rien lu de cliché. Au contraire, j'ai été frappée par le réalisme des personnages. J'ai plongé dans mon quotidien ou plutôt celui de mon fils.



Livio est émouvant. J'ai cru lire l'histoire de mon fils. Je le retrouvais à chaque page. J'ai d'ailleurs tourné la dernière avec une larme sur la joue. Ces enfants sont bouleversants. Ils nous tiraillent d'émotion, la peur, la colère, la fierté, l'amour.



Ce livre est une belle représentation de nos petits TDAH, débordant autant d'énergie que d'affection.

Je le recommande aux familles qui souhaitent aborder le sujet avec leurs enfants.



Le + : Aborder le TDAH à travers les yeux de sa jumelle, un regard en même temps extérieur et intérieur.

Nous retrouvons ici toute la verve de Marie Lenne-Fouquet, qui avait déjà "sévi" dans Kidnapping confiture, dans un registre très différent mais avec des personnages tout aussi attachants.



Mardy, c’est le grand frère, toujours une idée d'avance, toujours en train de réfléchir.

Ozgo, c'est le petit frère, "un enfant différent", jamais sans son déguisement, mais ce n'est pas lui qui le choisit, c'est le déguisement qui le choisit !! Pas forcément adapté à l'activité du jour !

Petite, c'est la petite soeur, adorable, à l'âge où rien n’inquiète, ou pas grand chose. Mais quand ça l'inquiète, attention à la crise, si violente que tout le monde la guette et essaie de l'éviter.

Et puis il y a Benjamin, le chat... le seul qui ait un "prénom" classique !

Mais le chat a disparu. Et ce n'est pas le seul.

Décidément, c'est l’automne des disparitions de chats, après ma lecture de "Même les araignées ont une maman" dont je vous parlerai bientôt (il ne parait qu'en octobre).

Mais en cherchant le chat, c'est Petite qui disparaît ... dans un trou. Pas d'autre solution que de descendre la chercher. Et les voilà au royaume des ploozes, doux, dangereux, et ronronnant.

Il va falloir arracher Petite aux griffes d'un poireau (ah ah !) et pas uniquement.



Une histoire qui fait rire et frissonner, même en surface, entre le voisin Drôle de Type et la nounou qui semble cacher quelque chose.



J'ai beaucoup apprécié, en plus du plaisir de cette lecture de façon générale :

- un monde de fantasy extrêmement bien construit et cohérent, tel qu'on en trouve plus souvent dans les lectures ado ou young adult, mais rarement dans les romans pour enfants.

- Une fratrie attachante, très attachés les uns aux autres. Ils s’aiment, ils s'aident, ils gardent le bébé et s'en occupent volontiers, ça réchauffe le coeur.

- Du fantastique, mais des sujets qu'on transpose volontiers dans la vie de tous les jours, entraide, liberté ou dictature, amitié,... et aussi les dégâts occasionnés par l'homme à la nature. De quoi faire réfléchir après avoir ri.



La fin semble appeler une suite ? J'en serais ravie. Même si le roman a une vraie fin et se suffit à lui-même. Mais je retrouverais volontiers ces personnages, et Madame Takeda m'intrigue !



Je ne suis pas fan des dessins des personnages, mais le reste des illustrations est hilarant, j'adore ces petits ploozes en noir comme en couleurs, je ne regarderais certainement plus une framboise du même oeil. On pourrait s'attarder longtemps à regarder certaines illustrations tant il y a de détails drôles à voir.

Et le poireau, le poireau ...

Comme j'accorde toujours beaucoup plus de temps au texte qu'aux illustrations, surtout en première lecture, je remercie l'autrice d’avoir attiré mon attention sur les fesses du poireau de la page 126... sans commentaires !



Illustré par Marie Morelle, j'avais déjà lu Catch, tournevis et lutins-robots, aux dessins tout aussi drôles et imaginatifs.



J'ai bien aimé ici les titres de chapitres, toujours un seul mot, bien descriptif. Chef-d'ouvre de concision !

On a aussi des phrases en caractères différents, notamment quand le poireau s'exprime fort !
Lien : http://livresjeunessejangeli..

C'est l'histoire d'un garçon aux cheveux verts qui adore élaborer des plans - Mardy ; de son frère fantasque et malicieux - Ozgo - qui voue une passion aux déguisements ; de leur petite soeur baveuse - Petite - spécialiste de la crise qui détruit les tympans et de la couche sale, malencontreusement tombée dans un trou étrange ; d'un bouledogue tout aussi baveux, roi des ronrons ; d'une nounou japonaise un peu magique ; de boules d'herbe - les Ploozes - tyrannisées par un poireau géant drôlement méchant et kidnappeur de chats - Harold.



C'est aussi et surtout plein de surprises et d'aventures, drôle, frais, avec un message écologique glissé sous la fantaisie, sur ces humain.e.s qui taillent, coupent, rasent, tondent, élaguent, et qui s'installent comme s'ils étaient chez eux. Comme si tout leur appartenait.

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Coup de coeur pour le personnage d'Ozgo et ses déguisements improbables (une olive ?!), qu'il assume jusqu'au bout des froufrous de sa robe de princesse. Ozgo et son univers bien à lui, son regard vif et bienveillant, son inépuisable imagination. Évidemment, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à l'inénarrable Princesse Kévin de Michael Escoffier et Roland Garrigue ♥



Merci aux éditions Sarbacane pour ce roman qui ravira sans nul doute les jeunes lecteurs et lectrices féru.e.s d'aventures un peu folles, où la différence et le complémentarité sont une force incroyable !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Par un bel après-midi de jeu, les frères Mardy et Ozgo perdent leur petite soeur Petite, le drame ! Où la chercher et où la trouver? Dans cette souche d'arbre qui a l'air extrêmement creuse ? Mais que s'y cache-t-il la dessous? Un récit d'aventure avec des protagonistes drôles et atypiques, qui nous plonge dans un monde magique détonnant pour une épopée chouette et ludique. On va y découvrir d'étranges créatures parfois bonnes, parfois mauvaises mais surtout, la solidarité d'une fratrie pour sauver les leurs et rentrer tous ensemble à la maison. Enjolivé par de belles illustrations pour nous immerger encore plus dans l'histoire, les auteurs au style drôle et accessible dès 8 ans, nous conte une aventure qui vous donnera le sourire aux lèvres ! Bref n'hésitez plus, accompagné Mardy et Ozgo dans leur cheminement pour retrouver Petite, même si les épreuves à surmonter sont surprenantes !
Lien : https://booksetboom.blogspot..

Comme toujours, les éditions Talents hauts proposent un nouveau titre dans l'air du temps. Ici, l'auteure aborde le thème de la différence ainsi que de l'exclusion à l'école. J'ai apprécié la façon dont l'auteure nuance ses personnages, les fait s'interroger sur leurs actes et surtout, les fait évoluer positivement. De manière générale, j'aime beaucoup cette collection qui se met à hauteur d'enfants en proposant des héros et situations auxquels ils peuvent s'identifier. La taille de la police est elle aussi adaptée et rend la lecture plus facile. La présence d'illustrations rend également le roman moins impressionnant pour de jeunes lecteurs.

Je viens de découvrir les Kapoches de chez Kilowatt, de courts romans - 40 pages - et avec quelques illustrations couleurs.

Des histoires d'enfants, des thèmes d'actualités et des faits de société pour les quelques uns que j'ai lus.

Tom est surpris que son quartier se mobilise pour l'arrivée d'une nouvelle famille dans la quartier. Même à l'école on en parle.

C'est certain ce nouveau arrive de la jungle mais tout de même!

Pour Tom la jungle c'est l’exotisme. Il se rendra vite compte que Nadim arrive d'une jungle beaucoup plus noire.

D'une plume sensible l'auteur raconte l'arrivée de Nadim, ses maladresses et sa gentillesse, l'accueil des gens du coin de l'institutrice et des enfants.

Nadim a beaucoup a donné lui aussi. Peu à peu il s’intègre.

Un roman généreux et au ton juste. Facile à lire il donne une jolie idée de ce qu'est l'humanité.

Facile et agréable à lire. Dès 8 ans et un peu plus. Pour réfléchir.....

Je ne vous direz ni que j'ai aimé, ni que je n'ai pas aimé car c'est juste l'histoire de ce naufrage racontée aux enfants, mais aussi bien le graphisme que le contenu, ne m'a pas plus emballé que ça.



Cependant je trouve ça vraiment positif d'aborder ce type de naufrage avec les enfants, et je trouve quand même que la plume de l'auteur est vraiment explicite et directe tout en gardant une certaines douceur pour donner cette impression de sécurité.

Et puis la morale est pas mal quand même.



La solidarité lorsque ce type de catastrophe arrive est importante.



Je vous souhaite une bonne nuit et je vous dis à plus plus. Ciao Ciao


Lien : https://lenvolelivresquedune..