Mary Balogh

Nous retrouvons dans ce tome le Duc Bewcastle, aîné de la famille Bedwyn.

Plus seul que jamais, maintenant que ses frères et sœurs sont tous mariés, il se retrouve invité malgré lui à passer quinze jours à la campagne. Parmi la foule des invités, avec lesquels il n'a aucune affinité, il va faire la rencontre de Christine Derrick, une jeune veuve pétillante. Leurs deux caractères diamétralement opposés vont à coup sûr faire des étincelles !



J'ai trouvé que ce tome 6 clôturait La saga des Bedwyn en beauté.

Nous en apprenons enfin davantage sur ce Duc si froid et qui ne semble pas vouloir sortir de son rôle, mais dont la carapace se fissure du fait de sa romance avec Christine.

C'est en outre avec plaisir que nous retrouvons chaque membre de cette famille si particulière.

Si vous n'avez pas encore découvert cette saga, n'hésitez pas ! Je vous la conseille !

Un tome 5 décevant par rapport aux autres, j'espère que le dernier sur le Duc, celui que j'attends avec impatience sera à la hauteur de mes espérances.
Lien : http://hooked-on-the-book.bl..

Encore un très bon tome ou les personnages passent de l'amitié à l'amour en passant par la vengeance. Une saga à lire.
Lien : http://hooked-on-the-book.bl..

Encore un tome que j'ai adorée et qui se lit très vite, avec une famille très particulière, mais plus j'avance plus j'ai hâte d'arriver au Duc.
Lien : http://hooked-on-the-book.bl..

Un bon second tome et qui donne très envie d'enchaîner avec la suite, ce que je ne vais pas tarder à faire. Des personnages que j'ai beaucoup aimés avec une Judith très touchante même s'il manquait un peu de tension entre eux.
Lien : http://hooked-on-the-book.bl..

: Une bonne histoire que j'ai bien appréciée et qui se lit très vite.
Lien : http://hooked-on-the-book.bl..

Voilà un tome que j’attendais avec impatience, celui sur Vincent Hunt, vicomte Darleigh, qui m’avait tapé dans l’œil (humour pourri bonjour :D) dans Une demande en mariage. Et comme pour le précédent, je suis partagée. Une première partie que j’ai trouvée plutôt longue, une deuxième partie doudou que j’ai adoré. Le schéma habituel avec un roman de Mary Balogh dont j’aime l’écriture toute douce par moment mais qui m’ennuie à d’autres.



J’ai eu du mal au début, je trouvais l’histoire un peu longue, un peu trop plate, les personnages trop indécis, qui manquaient d’un brin de caractère. Puis le mariage a eu lieu, suivi d’un déménagement de l’intrigue et alors tout a changé. J’ai beaucoup plus aimé l’histoire, j’ai vraiment commencé à m’attacher aux personnages qui se sont doucement mais surement révéler à eux-mêmes. (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/free..

Voilà un roman bien écrit, bien documenté sur les us et coutumes des différentes « castes » de la société anglaise de la fin du 19è , sans lourdeurs ni niaiseries trop communes et qui pose de vrais questions sur des sujets plutôt graves comme le viol et l'handicap.

Bon, ça reste néanmoins un roman rouge où la romance garde bien sûr la part du lion ;-)

Petit bémol quand même pour moi qui découvre la série, il y a une telle profusion de familles et de personnages nommés dès les premières pages du roman qu'il est difficile de s'y retrouver sans faire un dessin généalogique de l'ensemble ! Cela gâche un peu la fluidité de l'histoire.

Voilà une auteure que je ne connaissais pas mais qui pourtant était sur ma Pal et surprise, dans ma bibliothèque également. Je vais donc directement voir si mon impression plutôt positive se confirme ;-)

Angleterre, début du XIXe siècle. Neville, comte de Kilbourne, va épouser sa cousine Lauren. Le jour du mariage, une jeune femme surgit dans l’église : Lily, que Neville a épousée au Portugal 18 mois plus tôt. Lily, qu’il a vu mourir dans un guet-apens le lendemain de leur mariage…



L’histoire d’Une nuit pour s’aimer, plutôt bien construite, est divisée en deux parties : les retrouvailles des héros puis l’éducation de Lily. Elle fait penser par certains côtés au conte de Cendrillon. Elle met en scène un comte, ex-commandant, et une jeune roturière qu’il a rencontrée et épousée en campagne, dans un contexte très différent de celui dans lequel il va devoir évoluer le reste de sa vie. Ces deux personnages, qui manquent d’atomes crochus, ne suscitent guère l’empathie.



Par contre, de nombreux personnages secondaires intéressants apparaissent en toile de fond. C’est très frustrant de ne pas voir leurs histoires (notamment celles d’Elizabeth et du comte de Portfrey) davantage développées. L’intrigue principale est au contraire un peu longue malgré les rebondissements qui ravivent par moments l’attention.



Ce premier tome de La Saga des Bedwyn est une romance historique à l’intérêt mitigé, qui a cependant l'intérêt d'introduire de nombreux personnages (comme Lauren, la cousine de Neville) dont on a très envie de découvrir la destinée.

Christine est une jeune femme maladroite et gaffeuse de naissance roturière. Veuve depuis deux ans, elle était mariée au frère d’un vicomte, Oscar, un homme peu sûr de lui et extrêmement jaloux qui a transformé un mariage d’amour en une prison dorée où la jeune femme, accusée de flirter avec tous les hommes, en était réduite à ne plus avoir le droit de parler ou danser avec une personne de sexe masculin. Après la mort d’Oscar, Christine a préféré revenir vivre avec sa mère et sa soeur dans le cottage familial, reprenant une vie simple où sa conduite ne serait pas constament blamée.



Invitée par une amie à passer quelques jours avec quelques autres personnes de la bonne société, elle fait la rencontre du duc de Bewcastle. Solitaire, taciturne et plein de cette arrogance aristocratique qui le caractérise, Wilfric Bedwyn la prend tout d’abord pour une domestique et lorsqu’il découvre qui elle est vraiment, ne peut s’empêcher d’être surpris par son manque de convenance et son caractère enjouée et libre. Malgré tout son intérêt pour la dame ne fait que s’accroitre et il lui fait alors une proposition plutôt indécente qu’elle refuse, le blamant de se montrer si froid et sans coeur…



Un final très réussi pour la saga des Bedwyn! On découvre enfin l’ainé de la famille, le mystérieux duc de Bewcastle. L’histoire n’est pas des plus originale et j’ai rarement vu un couple aussi mal assorti mais il faut reconnaître que Christine et Wilfric sont des extrêmes intéressants qui se rapprochent par leurs différences et leur caractère. Petit coup de coeur pour ce volume qui nous permet de lever le voile et de découvrir que Wilfric est un homme aussi tendre et affectueux qu’un autre sous le roc des apparences. Un véritable plaisir!
Lien : https://sirthisandladythat.w..

Un duo improbable…



Prenez un homme qui ne sourit jamais, qui déteste tout ce qui ne rentre pas dans une case bien définie, qui abhorre tout ce qui dépasse. Et de l’autre côté, prenez une jeune femme pétillante, pleine de vie, qui accumule les gaffes et les maladresses. Mettez-les dans un même lieu, et attendez de voir ce que ça va donner…



Christine Derrick n’a pas eu une vie facile. Tombée amoureuse très jeune, elle se marie avec l’homme de sa vie. Mais celui-ci décède dans d’obscures circonstances, la laissant complètement démunie. Sa belle-famille lui tourne le dos, et elle se trouve contrainte de retourner vivre chez sa mère, Mme Thompson, auprès de sa sœur aînée Eleanor. Tante débordante d’affection pour les enfants de son autre sœur, elle se retrouve régulièrement les joues très rouges, les cheveux en bataille et les vêtements dans un triste état ! À l’opposé de sa catégorie sociale donc, qui voudrait qu’elle reste bien sagement assise… [...]
Lien : http://songedunenuitdete.com..

Judith, fille d’un gentleman pauvre, se rend chez son riche oncle, où elle tiendra compagnie à sa grand-mère. Mais sa diligence s’embourbe et verse dans un fossé. Un mystérieux chevalier, passant par hasard par ce chemin, propose alors

de l’accompagner jusqu’à l’auberge la plus proche.



Rêve éveillé est un roman qui démarre (quasi littéralement) sur les chapeaux de roue. L’intrigue en elle-même n’est pas très originale. Mais, malgré les clichés et les facilités qu’elle utilise, Mary Balogh parvient à nous faire vivre l’histoire avec ses héros comme si c’était la première fois. Elle réussit à donner chair à ses personnages, glissant dans ses descriptions des détails a priori anodins mais qui rendent leurs aventures très vivantes, souvent drôles. Cela devient presque un roman d’apprentissage (même s’il est, il faut bien l’avouer, assez peu crédible) : on voit Judith et son prince charmant s’affirmer peu à peu comme des adultes, des êtres responsables et indépendants qui refusent de se contenter de répondre aux attentes des autres. Bref, ce tome de La Saga des Bedwyn, pioché par hasard, est une jolie découverte. Une série à poursuivre ?

J'avais entendu beaucoup de bien de la saga des Bedwyn, c'est pourquoi je me suis finalement décidée pour cette dernière parution, le quatrième tome.



Gervase Ashford a été banni de l'Angleterre par son père neuf ans plus tôt à cause d'une histoire sordide. Alors que Napoléon regroupe de nouvelles troupes et s'approche de Bruxelles, l'aristocratie anglaise s'y prélasse à coup de fêtes et de bals. Gervase y rencontre Morgan, la soeur de l'homme à cause de qui il a tout perdu. Il décide de l'utiliser pour se venger en lui faisant perdre sa réputation et son honneur. Il n'imaginait pas un seul instant que sous sa magnifique enveloppe, la jeune fille cache bien d'autres qualités. Gervase risque d'y perdre, quant à lui, son coeur..



Je sors finalement assez désappointée de ce roman.. Autant j'ai adoré la première partie, autant je me suis ennuyée à mourir dans la deuxième. La première est riche en séduction, bien évidement, mais a aussi un contexte passionnant. Toute l'aristocratie anglaise est à Bruxelles, à deux pas des combats entre français et troupes ennemies. Napoléon se rapproche peu à peu, on entend les canons, les soldats partent se battre, tout se bouscule. J'ai vraiment apprécié voir une romance qui se démarquait un peu et qui se situait dans une période tellement intéressante! C'était en fond, bien sûr, mais ça a suffit pour être original. Les héros se tournent autour en tout bien tout honneur, c'est attendrissant, mais la guerre passe au-dessus de ça, on les voit se démener près des champs de bataille et faire l'aller-retour pour soigner les blessés.



Et puis ensuite.. Ensuite ils retournent en Angleterre et ça devient follement long et répétitif. On a droit aux même réflexions sans fin, des allers-retours, on tourne vraiment en rond. La jeune fille est blessée, le héros est follement amoureux, elle est méchante et lui se met à genoux pour tenter de la reconquérir. On n'avance pas vraiment, on s'embête très rapidement à force de voir les personnages avancer puis reculer sans cesse. C'est mignon trois minutes, ça l'est beaucoup moins après une centaine de pages.



Néanmoins, c'est un peu sauvé par lesdits personnages, surtout la demoiselle qui a un caractère très particulier. Elle est très forte, très intelligente et partage la vision de la vie de sa famille. Peu importe l'argent, seul l'amour vrai compte. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et ne recule devant rien pour que tout se passe comme elle le souhaite. Malgré cela, elle n'est pas énervante, pas fatiguante.. Elle est juste honnête et franche, à un tel point que c'en est raffraîchissant.



Une lecture en demi-teinte malheureusement. J'ai quand même beaucoup apprécié plonger dans la famille Bedwyn qui elle, m'a beaucoup séduite. C'est vraiment leur manière de voir les choses qui me donne malgré tout envie de lire les prochains tomes.. ou les précédents?
Lien : http://mamantitou.blogspot.b..

Inutile de vous dire que ce tome sur Freyja, je l'attendais avec impatience ! C'est qu'elle m'avait fait une sacrée impression cette demoiselle dans les tomes précédents et elle ne m'a pas déçue ! Un troisième tome délicieux et qui, à peine fini, m'a donné envie de crier : « la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !! ».



Mary Balogh sait comment nous régaler une nouvelle fois avec son clan Bedwyn hors du commun - et dont je rêve de faire partie à chaque lecture ! Ce n'est pas pour autant que les autres personnages sont négligés, bien au contraire, puisque ce mystérieux marquis de Hallmere par exemple m'a totalement conquise. Il est merveilleusement assorti à notre Freyja et ils forment un couple plein de fougue, de sensualité, d'humour, de personnalité, de force et même de fragilité.



Car oui, si depuis le début de cette saga, Freyja nous était présentée comme une femme forte, indépendante, et fière ; c'est une femme finalement sensible, fragile et seule que nous découvrons dans ce tome. Et cela m'a beaucoup touchée de faire la connaissance de cette nouvelle facette de la grande sœur Bedwyn. Une vraie surprise pour le coup. Et c'est la raison pour laquelle, elle s'associe parfaitement avec le marquis.



Ils sont très joueurs tous les deux, leurs fausses fiançailles en sont la preuve et lorsque leur relation prend malgré eux un tour plus sérieux, Freyja et Joshua deviennent pétillants, magiques ensemble. Ils m'ont fait rêver plus d'une fois par leurs paroles, leurs gestes et leurs sentiments.



Une série qui va donc crescendo - ce tome est pour le moment mon préféré - et qui nous promet de très belles émotions et aventures encore (Aaaah, j'attends avec im-pa-tience le tome sur WULFRIC !!!).



Je ne peux que vous le conseiller, et même si je ne le fais quasiment jamais, là je ne résiste pas à vous offrir un petit extrait qui m'a beaucoup fait rire – comme la plupart des échanges entre Freyja et Joshua, je le reconnais !



« Le marquis regarda Freyja.



•Seigneur ! s'exclama-t-il.





•Enfer et damnation.





Il éclata de rire.



•Eh bien, nous allons pouvoir encore nous embrasser, dit-il en lui offrant le bras.





L'ignorant, elle passa devant lui.



•Nous embrasser ? Moi vivante, plus jamais ! lança-t-elle.





•J'espère que vous ne parlez pas sérieusement. Je ne veux pas attendre votre mort pour vous enlacer. Je serais incapable de profiter d'un tel baiser – et vous, encore moins. »





Chronique réalisée pour Place To Be
Lien : http://place-to-be.net/index..

Voilà une relecture qui a le goût d'une première lecture. Ce texte se laisse (re)découvrir, apprécier, savourer, comme une terre vierge, mouvant, vivant, ouvert et ravissant.

Seducing an Angel, c'est son titre en VO. Evidemment, Mary Balogh va jouer de son titre et de son thème, tout au long du roman.

Ce devrait être la chose la plus facile du monde, et non la plus difficile, insista-t-elle.

- Quoi donc? (...)

- De séduire un ange.

Ce que Stephen est, en réalité, bien qu'il s'en dédise.

Il croit en l'amour.

Il veut, un jour, épouser une femme qu'il aimera et dont il sera aimé.

Enfant chéri de la famille Huxtable, cet idéal jeune homme affable, souriant, et honorable, irradie de bonheur, rayonnant comme un soleil, tout en blondeur lumineuse. Ce bel Apollon croit "aux causes. Et aux effets" et dispense autour de lui clarté et joie. Car il sait guérir les âmes meurtries.

Dans l'ombre du scandale, sa Cassandre le guette : elle en fait sa proie, elle tisse sa toile pour mieux l'attirer dans son antre que quelques chiches chandelles éclairent d'une faible lumière. Cassandre, c'est l'ombre qui le séduit, le pouvoir de la chair qui l'abuse. Celle qui veut prendre le contrôle, ou plutôt le reprendre, sur sa vie, sur ces hommes qui l'ont fait souffrir, et sur tout ce qui lui manque. Cassandre, celle qu'on ne croit pas, celle qui porte le masque.

Mais elle souffre d'avoir à noircir les ailes de cet ange.

Elle lui montrait les ténèbres, alors qu'il n'était que lumière.

L'ombre et la lumière. Un éternel combat.

"Je ne vous ferai pas de mal", lui dit Stephen.

Apollon l'emportera, bien sûr, comme dans la légende. Mais, loin de la condamner, il entraînera sa Cassandre vers un monde de lumière. Dans la clarté de la vérité, de la réhabilitation et de l'amour.

Mary Balogh renverse complètement la donne dans cette romance. Elle oppose, dans toute la première partie, un personnage féminin froid, cynique et brutale, que j'ai trouvé douloureusement antipathique, à un héros tendrement protecteur, mais bousculé. La femme prédatrice et l'homme proie.

Ensuite, imperceptiblement, la relation change entre eux, pour s'apaiser. Avec quel talent ! L'histoire d'amour prend de l'ampleur, et se met en place, en moelleux, en douceur, entre cette femme qui rêve de liberté et cet homme conquis. Le tout avec l'aide incessante de tout le clan Huxtable que j'ai retrouvé avec un grand bonheur.

Magnifique, je n'en reviens toujours pas de cette parfaite maîtrise dramatique !

Mais Balogh, décidément, n'en finira jamais de me bluffer !

C'est sûr, je le relirai une troisième fois, mais cette fois-ci, en VO...
Lien : http://leslecturesdeveralice..

Après avoir lu le premier préquel de la Saga des Bedwyn, Une nuit pour s'aimer, je ne pouvais pas passer à côté du second qui a pour héroïne Lauren, la fiancée malheureuse de Neville.



Dans le tome consacré à Neville et Lily, je ne savais pas trop quoi penser de Lauren. D'un côté, elle semblait bien prendre la chose, un peu trop bien même, et d'un autre côté, elle cachait un profond ressentiment envers Lily alors qu'elle n'était pas la seule responsable et j'avoue avoir craint qu'elle ne se transforme en harpie. Finalement, rien de tout ça n'est arrivé mais je n'arrivais toujours pas à la cerner.



Ici, en plus de Lauren que je connaissais du tome précédent, le personnage masculin ne m'était pas totalement inconnu puisqu'il s'agit de Kit, le frère de Sydnam rencontré dans le tome 2 de la saga Ces demoiselles de Bath pour lequel j'avais eu un coup de cœur. On se place d'ailleurs juste avant ce tome.

L'histoire entre les deux frères est d'ailleurs reprise puisque Kit et Sydman étaient ensemble avant que Syd ne se fasse capturer puis torturer, Kit se considérant comme l'unique responsable des horreurs subies par son jeune frère.

Les relations entre les deux frères sont plutôt tendues mais heureusement elles vont évoluer dans le bon sens et c'est quelque chose que j'ai apprécié car ce tome fait le lien avec la saga des demoiselles de Bath (oui je sais, je ne lis pas les sagas dans l'ordre mais j'assume!).



Au niveau de l'histoire, je l'ai bien aimé mais moins que les autres livres de Mary Balogh. J'apprécie de plus en plus l'auteur mais cette romance n'est pas ma préférée. Lauren est un personnage féminin très froid, distant et même si Kit fait tout pour la dérider, cela s'avère très difficile et j'ai eu du mal à m'attacher à elle. Elle vit aussi beaucoup trop dans le passé. Certes, se faire abandonner au pied de l’hôtel par Neville n'a pas du être très plaisant mais on ne peut pas dire non plus que c'était le grand amour donc je n'ai pas trop compris pourquoi elle n'arrivait pas à se détacher de tout ça et à aller de l'avant.

Le début était pourtant prometteur et certains moments sont quand même réussi grâce à un Kit qui n'a pas froid aux yeux et qui au-delà de son apparente légèreté, cache une souffrance profonde. Il est souvent à l'origine des scènes les plus intéressantes et heureusement.



En résumé, j'ai apprécié ce tome mais beaucoup moins que les autres livres de l'auteur, en grande partie à cause d'une héroïne beaucoup trop rigide à mon goût.
Lien : http://sweetsblog-homesweeth..

Freyja est la sœur qui m’a le plus marquée dans la famille Bedwyn, et j’attendais donc avec impatience son tome afin de voir comment l’auteur allait amener sa romance. Je ne suis absolument pas déçue de cette lecture et notre héroïne fut à la hauteur de sa réputation : pleine de fougue !



J’ai beaucoup aimé ce tome car il me semble que dans celui-là, même si nous restons concentrés sur Freyja et Hallmere, on est vraiment plongé dans l’univers même des Bedwyn. En effet une majeure partie du roman va se dérouler à Lindsey, le château de Wulfric, et quel bonheur d’enfin appréhender la famille Bedwyn dans leur quotidien !



Lire la suite sur le site
Lien : http://moody-takeabook.com/2..

Eve est une jeune femme qui pensait que sa vie était toute tracée, qu’elle réussirait à garder sa vie et son confort. Mais quand le colonel Bedwyn vient lui annoncer une triste nouvelle elle sait que sa vie va s’en retrouver bouleverser…







Une fois de plus me voilà conquise mes amis ! Décidément plus je lis de romances historiques et plus j’aime me plonger dans cette belle époque. Les belles robes, les vieilles coutumes, l’honneur passant avant tout… Tout autant de choses qui ne sont malheureusement plus importantes de nos jours…



Lire la suite sur le site
Lien : http://moody-takeabook.com/2..

Un troisième tome très réussi qui m'attache encore un peu plus à cette famille atypique, Freyja est particulièrement cynique et croustillante. J'ai adoré cette nouvelle romance historique qui nous donne encore plus envie de faire plus ample connaissance avec le reste de ces membres dans les prochains volet de cette saga. La richesse de l'intrigue autour du duo central est franchement intéressante et donne une crédibilité appréciable à l'histoire générale.
Lien : http://unbrindelecture.blogs..

"Un mariage en blanc" a été une excellente lecture et je regrette maintenant qu’elle ne fut pas plus longue! Mais c’est toujours comme ça quand l’histoire et les personnages nous plaisent!!!



Tout commence par une promesse faite sur un lit de mort. Et celle-ci a l’air de tout ce qu’il y a de plus normale et n’aurait eu aucune conséquence sur la vie de nos héros si le charmant et Ô combien sexy Colonel ne plaçait pas l’honneur au dessus de tout. Et au demeurant, heureusement car il aurait été dommage d’arrêter le récit sitôt!



J’ai adoré l’histoire car les personnages ne tombent pas amoureux au premier regard mais au fur et à mesure où ils apprennent à se connaitre. J’aime lire les romances où les sentiments amoureux se développent petit à petit et n’arrivent pas comme un cheveux sur la soupe.



Il n’y a pas un personnage que je n’ai pas apprécié. Bon, peut-être qu’il en existe un mais il est présenté comme un goujat qui pourrait l’aimer!



Eve est vraiment une jeune femme remarquable et pour une fois ce n’est pas pour sa beauté mais pour sa bonté. Elle recueille les indésirables de la société et leur donne une seconde chance. Ils sont affectueusement appelés "Les canards boiteux" et chacun d’eux apporte un petit plus à l’histoire qui ne serait surement pas si attachante sans eux. Une petite mention particulière pour les deux orphelins, qui sont vraiment adorables.



Aidan est sombre, il a vécu la guerre et il est marqué psychologiquement mais pas au point d’être irréparable. Il pensait pouvoir se contenter d’une vie dans l’armée alors que c’est loin d’être le cas. On est amené à faire la rencontre de la fratrie Bedwyn et Mary Balogh arrive à brosser leur portrait d’une façon convaincante. Et je suis heureuse de pouvoir les retrouver prochainement dans les prochains tomes que je vais me procurer très rapidement. J’espère qu’un tome est consacré à Wulfric car ce personnage est plus complexe qu’on pourrait le penser au premier abord, et je souhaite en savoir plus sur lui.



L’auteure alterne les points de vue d’Aidan et Eve ce que m’a permis de m’attacher à ces deux personnages de la même façon. Et surtout, cela permet aux différentes scènes de se succéder naturellement, rythmées par les dialogues.
Lien : http://darcybooks.wordpress...