Citations de Mary Pope Osborne (153)
Dans un coin on aperçoit un piano. Les touches s'enfoncent et se relèvent au rythme de la musique, mais... il n'y a personne ! (p.29)
Une haute silhouette blanche ondule au sommet de la colline ! EN la voyant, les bandits tournent bride et s'enfuient dans l'autre sens, épouvantés. (p.56)
L'ours nous a même appris à voler, ajoute le chasseur.
A voler ? s’esclaffe Léa.
Tom éclate de rire : Ça, ce n'est pas possible !
Le chasseur se contente de sourire, et retourne à sa cuisine.
Voilà pourquoi il n'a pas été surpris en découvrant la cabane magique, se dit Tom. S'il croit que les ours peuvent voler, il peut croire n'importe quoi !
Un jour, peut-être, les femmes auront le droit d'écrire, tout comme les hommes. (p.33)
Je suis vraiment désolé. Mon pays est une démocratie. Cela signifie que tous les citoyens y ont les mêmes droits. Seulement... les femmes ne sont pas considérées comme des citoyens. (p.35)
Un homme qui cherche la sagesse, on peut lui faire confiance. (p.26)
Tom sent soudain l'embarcation filer sur l'eau, comme propulsée par un puissant moteur. (p.65)
Le bateau monte de nouveau au sommet d'une vague, et Tom découvre tout autour d'eux une mer déchaînée. Alors il se met à hurler d'épouvante: un monstre vient de surgir des profondeurs ! C'est un serpent gigantesque aux écailles noires et aux yeux flamboyants. (p.62)
La tête du serpent s'élève majestueusement au-dessus des vagues déchaînées. (p.63)
Les voilà égarés au fond d'une tombe, parmi des milliers de guerriers aussi rigides et silencieux que des morts ! (p.62)
Il y a même des chariots de bois tirés par des chevaux d'argile grandeur nature ! (p.61)
La rue est jonchée de jarres brisées, de paniers renversés, de fruits et de légumes piétinés qui, peu à peu, se couvrent de cendres. Plus Tom et Léa se rapprochent du volcan, plus le sol tremble, plus l'air est chargé de poussières brûlantes. (p.63)
L'air est brûlant, presque irrespirable. Au loin, le Vésuve flambe comme l'enfer. Tom et Léa foncent droit devant eux, essayant d'éviter les gens affolés, hommes, femmes, enfants, marchands, soldats, qui fuient dans toutes les directions. (p.61)
On a bien failli rester prisonnier des cendres, souffle Tom. Heureusement, grâce au parchemin, un guerrier fort comme un géant nous a tirés de là. (p.71)
A l'horizon, une silhouette blanche se détache sur le ciel noir. On dirait un géant vêtu d'une combinaison spatiale ! (p.48)
La vieille femme répond d une voix très basse :
- Parce que la fin est proche. Savez-vous qu'aujourd'hui est le vingt-quatrième jour du mois d'août, en l'an 79 ?
Tom s'approche. Des animaux sont peints sur la paroi, en gros traits rouges, noirs et jaunes. On reconnaît un ours des cavernes, des lions, un élan et un cerf, un bison et des mammouths. A la lumière tremblante des lampes, ces bêtes de la préhistoire ont l'air presque vivants ! (p.38)
Tom pousse un hurlement et se laisse retomber dans l'embarcation. La liane est vivante ! C'est un mince et long serpent vert, qui glisse du haut d'une branche, plonge dans l'eau et s'enfuit sans bruit. (p.43)
Ce n'est plus un oiseau, c'est une femme. Une très belle vieille femme, avec de longs cheveux blancs. Elle porte une large cape de plumes vertes et scintillantes. (p.66)
Grâce à ma cabane magique, je voyage de pays en pays et de siècle en siècle. (p.68)