Masaaki Ninomiya

Si vous vous croyez humain, ne pensez pas à vous. Dirigez vote attention sur le bien-être de la famille. Ceux dont l’égo met la famille en danger ne méritent rien. Si ce n’est de mourir. Tirer un trait sur son ego. C’est la règle pour tous ceux né au sein du clan Gotô.

La fête que vous aimiez tant va changer de visage. Ou plutôt, elle va retrouver sa forme initiale !

Ceci est l’histoire d’un péché. Celui d’un garçon, d’une fille et d’une misérable famille.

Vous êtes toujours le cul entre deux chaises quand faut choisir qui doit vivre ou qui doit mourir ! Résultat des courses, ça fait qu’empirer la situation !

Tous, ils errent à la recherche d’un endroit qui leur offrira une vie meilleure.

Le courroux des fous. Tu as peut-être entendu parler de cette maladie qui frappe le clan Gotô depuis la nuit des temps. On ne sait toujours pas comment elle se transmet on isolait donc ceux qui en souffraient.

Non, il a raison si je ne fuis pas tout de suite ils me tueront c’est sûr. Mais malgré ça, je ne sais pas ce qui m’arrive. J’éprouve une sensation bizarre qui me vient au plus profond des entrailles.

Toi et moi allons construire un nouveau monde. Dépourvu de toutes ces règles et ces contraintes.

Je ne savais pas qu’il n’était habité que par des lâches. Toujours prêts à chercher quelqu’un à brimer. Pour mieux oublier leurs propres incapacités.

Le monde est fou. Mais si nous voulons transformer le village, il faut d’abord transformer les consciences de ceux qui y vivent.

Les Gotô agressent souvent les villageois. Ils instillent la peur dans les esprits de tout le monde. Quand ils se seront accaparés toutes les terres, plus personne ne pourra leur tenir tête.

Notre vie sur Terre n’aura donc eu aucun sens ?

- Putain. Ils sont vraiment tarés. Dans ce cas, la seule solution, c'est de l'être autant qu'eux. (p. 13)

Le climat est rude ici…Comme ce village.

Mais c’est parce que vous essayez de trouver un sens à tout ça que vous êtes faibles.

Nous sommes nés et nous mourrons ici. Aucun des nôtres ne quitte ce village.

Dites d’abord, vous vous ramenez avec des troupes d’assaut. Puis vous faites ce que vous voulez chez nous. Être flic donne pas tous les droits. C’est quoi vos véritables intentions ?

- Agent Agawa… Libérez-nous des chaînes de ce village. (p. 180)

Mais c’est pas justement ce brin de folie qui en fait bon flic ?

Et elle avait le sourire figé. Ça semblait maladif.