Matt Wesolowski

Six versions

La tuerie MaCLeoad

Matt Wesolowski

Les arènes-Equinox



"Une famille massacrée

Une meurtrière délurée

Six témoins

Six versions

Laquelle est vraie?"



Après les Orphelins Scarclow, j'ai continué avec la tuerie Macleod

Le premier fut un coup de cœur, et le second un coup de cœur fracassant !!



Alors au delà de l'originalité de la narration, avec le premier, on était avec un cold case, pour ce second volume la meurtrière à été internée dans un hôpital psychiatrique alors quel intérêt me direz vous?



Justement l'affaire est plus complexe que l'on croit, on est ici pour comprendre pourquoi un soir Arla Macleod une gamine de 20 ans apparemment sans histoire est passée du côté obscur. Comprendre pourquoi cette jeune femme a soudainement eu un moment de psychose intense , d'une violence extrême. On revient sur cet esprit dérangé, son adolescence, son parcours scolaire, sa famille, jusqu'au jour fatal.



"Bienvenue dans six versions, je suis Scott King. Durant six semaines nous reviendrons sur le drame qui a frappé la famille Macleod en 2014..."



Le génie de l'auteur est de tenir son lectorat en misant sur le côté psychologique des personnages. Une analyse fine et juste où les jeux interdits se font dans le dos des parents, où une gamine saine de corps et d'esprit se met à voir " des enfants aux yeux noirs" qui l'aspirent dans un gouffre obscur, abyssal ou la toile peut être destructrice...

Se faire une idée de la société en écoutant les protagonistes présents 20 ans plus tôt.



L'angoisse, la pression, la tension se font crescendo jusqu'à un retournement de situation qui rabat les cartes.



L'auteur m'a littéralement tenue en haleine par le déroulé de son histoire, par les questions qui se posent.



Scott King discute, interroge, scrute, fouille les circonstances qui vont faire basculer. Il remue la fange, déterre le traumatisme, les manquements de la société face à la souffrance. L'atmosphère est pesante.



"Je dépoussière les tombes"



Tout comme dans le premier , on parle d'adolescents torturés, de leur morgue, leur appartenance à un groupe, les moqueries, les abus, la manipulation. Des adolescents pas tendres entre eux dès que l'on est différent. Mais on parle aussi du côté néfaste des réseaux sociaux, du harcèlement, des menaces, des trolls...Tout le monde est accessible sur le Web.



Pas de sang, pas d'actions juste un retour systématique sur six versions construites ingénieusement.

Une écriture fouillée, une histoire aboutie .

A la fois captivant et déstabilisant.



Si tu veux quelque chose de nouveau et magnifiquement réussi, lis Matt Wesolowski



" cette affaire m'a secoué, changé...j'ignore si l'émission renaîtra de ses cendres...

Pour l'instant je suis encore Scott King.

Vous avez écouté notre dernier épisode."

À travers un personnage qui crée des podcasts autour de cold cases, le jeune auteur britannique, ancien éducateur, dépoussière brillamment le roman à suspense.


Lien : https://www.telerama.fr/livr..

Après un début où j'ai été un peu "perturbée " par la narration, j'ai vraiment été happée par l'histoire. Ce roman est pour moi une pure merveille narrative et j'ai adoré son principe. Je me suis laissée prendre au jeu et j'ai beaucoup apprécié. Ce fut une très belle découverte . J'ai hâte de découvrir le tome 2.

Les Orphelins du Mont Scarclaw est le premier opus d'une série, Six Versions, que l'on doit au britannique Matt Wesolowski. Le roman est traduit par Antoine Chainas pour les éditions Les Arènes.



Belle surprise en ce qui me concerne. La présentation de chaque épisode du podcast permet de découvrir à la fois les différents acteurs de ce faits divers. Et nous offre à chaque fois un morceau de l'intrigue.



Le changement de narrateur peut parfois être un peu perturbant mais j'ai pris grand plaisir à tenter de percer ce premier mystère. Pas difficile d'avoir rapidement un suspect en ligne de mire. Mais les révélations finales sont assez intrigantes pour la suite.



Suites d'ailleurs qui seront rapidement publiées puisque le tome 2 est déjà annoncé pour le 2 mars prochain.



J'ai aimé la manière dont l'auteur utilise la technologie de sa décennie pour proposer une autre manière d'enquêter : ici le podcast. Un peu à la manière de Janice Hallett avec son Code Twyford, dont le narrateur utilisait son iphone comme dictaphone.



Intéressant parce que ces nouvelles manières de raconter une histoire dans l'histoire, permettent aux auteurs et autrices, de jouer avec d'autres cadres, d'utiliser d'autres tiroirs pour leurs intrigues, etc.



Du coup, ça apporte un nouveau vent de fraicheur dans le genre whodunit.



Le livre est aussi un bel objet, avec une édition soignée des Arènes, et une traduction 4 étoiles par Antoine Chainas.



Foncez !



Frédéric Fontès, www.4decouv.com
Lien : http://www.4decouv.com/2023/..

Cela fait maintenant quelques années que le True Crime a le vent en poupe. On observe une multiplication des programmes dédiés à ce genre sur tous les supports : presse écrite, émissions radio, séries tv documentaires et donc, Podcasts. Le public, toujours plus jeune, se passionne pour ces histoires qui traitent de faits divers plus ou moins sordides. Matt Wesolowski tente avec Six versions d’attirer cette jeunesse vers la littérature policière.

Six versions présente une trame narrative pour le moins originale et qui pourrait se résumer ainsi : un meurtre, six histoires. Ou six versions d’un même événement. Ou encore, un seul meurtrier, mais six possibilités.

Véritable thriller psychologique, Six versions se démarque par son audacieux concept: chacune des six versions est présentée dans une série de podcasts. Le journaliste Scott King y interroge les personnages ayant un lien avec le meurtre en question. Toute la force de ce schéma narratif tient au fait que l’on se concentre davantage sur les personnages que sur l’intrigue principale. Il s’agit avant tout de mettre en exergue les liens et la dynamique qui ont animé le groupe au moment du meurtre.

Ce qui rend la lecture si addictive, c’est justement cette déclinaison romancée du concept de podcast. On y découvre progressivement chaque personnage durant leurs conversations avec Scott King. Leur version est agrémentée de celles des autres personnages à leur sujet. On découvre alors de vieilles rancunes, des préjugés, de la loyauté également. Tout est mis en œuvre pour permettre au lecteur de décider qui il souhaite croire.

Matt Wesolowski dépeint par la même une galerie de personnages issus de la jeunesse anglaise. Les problèmes liées à l’adolescence y sont détaillés de façon très crédible tant cela « sonne » juste.

Six versions est un livre qui se lit d’une traite. Son intrigue imprévisible vous tiendra en haleine jusqu’au dénouement final. A cela s’ajoutent une étude authentique de l’adolescence et un concept inédit jusqu’alors dans la littérature policière. Une lecture recommandable. Et bonne nouvelle, on devrait retrouver Scott King au mois de mars dans un nouvel épisode de Six versions.


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Belle surprise avec Six Versions que j'ai trouvé très original 😊 il surfe sur la vague des podcasts style truecrime et on alterne les chapitres de récit avec ceux du fameux "Six Versions". L'oralité du podcast est bien transmise et rend la lecture plutôt facile. Seul petit bémol, j'ai trouvé que certains éléments des chapitres "récits" ont été un peu laissés de côté et le livre se termine sans qu'on comprenne vraiment si c'est volontaire ou non, je pense notamment à l'histoire de Harry. J'ai vu qu'il y avait une suite qui répondra peut-être à ces questions et que je lirais en tout cas avec plaisir !

On dirait un écrit d’adolescent dans un atelier d’écriture. C’est vu, archi vu, prévisible. Sans intérêt. Le sujet du harcèlement et de la cruauté mérite mieux que cela. Et le roman policier aussi. J’ai perdu mon temps et le regrette.

Comment un texte aussi plat et convenu arrive à publication ? Je m’interroge.

Six versions est une saga thriller unique en son genre



Inspirée des podcasts True Crime, cette saga nous offre dans chaque tome une intrigue captivante avec une enquête irrésolue exhumée par l'énigmatique journaliste Scott King. Six témoignages, six versions de la même histoire, pour nous amener à démêler le vrai du faux.



Dans Le disparu de Wentshire nous plongeons dans la disparition d'un petit garçon dans la forêt hantée du même nom. L'enfant n'a jamais été retrouvé et est présumé mort. Le père, refusant de l'oublier, organise chaque année un pèlerinage à l'endroit où il l'a vu pour la dernière fois. Sa mère, quant à elle, brille par son absence.



Que s'est-il passé ce fameux soir où le père, alerté par des sons étranges provenant de son véhicule, s'est finalement arrêté au bord de cette fameuse forêt avec le petit endormi à l'arrière juste avant de se volatiliser ? La forêt est-elle seule responsable de cette disparition ?



Ce qui fait le succès de cette saga, c'est l'habileté de l'auteur à tisser des récits teintés de paranormal sur fond de légendes urbaines. Mais derrière le mystère, il y a toujours une réalité bien plus terrifiante : la capacité de l'homme à commettre des actes horribles.



Le premier tome explore les dérives d'une dynamique de groupe, tandis que le second se concentre sur le cyberharcèlement et ce dernier met en lumière les ravages du contrôle coercitif au sein d'un couple et cela m'a profondément marqué.



Je ne peux que vous conseiller cette saga pour ces thématiques abordées si justement et pour son côté novateur qui s'inscrit véritablement dans son époque. C'est à chaque fois un régal.
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Quel format original que celui du podcast retranscrit ! Même si au début, j’ai eu du mal à rentrer dedans (titre), le format « interview » a pris tout son sens au fur et à mesure de l’enquête et je me suis surprise à poser les mêmes questions que Scott King pour tenter de démêler le vrai du faux.



Le but de Scott King, ancien journaliste ? Déterrer des affaires non-résolues et enfouies afin de faire parler les différents intervenants et tenter de donner l’opportunité à l’auditeur de se faire sa propre opinion.



À Scarclaw, en 1996, Tom Jeffries, âgé de 15 ans, disparaît lors d’un banal campement avec ses amis et leurs deux superviseurs. L’été suivant, son corps est retrouvé par le fils du propriétaire du domaine. Le coupable, s’il y en a un, n’a jamais été confronté. 20 ans plus tard, Scott King rouvre les dossiers poussiéreux et grâce à ses recherches, prend contact avec les différents témoins afin de corroborer leurs versions.



Il m’a fallu une cinquantaine de pages pour vraiment m’immerger dans ce récit et pouvoir identifier « qui » parlait (ce n’est pas toujours clairement énoncé).

Chacun remonte alors le fil de ses souvenirs (intacts ou arrangés ?), et dresse un portrait de l’adolescent tout autre que celui qui avait été dépeint à l’époque.



Ici, très peu d’action ou de retournements de situation à répétition: les révélations sont subtilement dosées, jusqu’à un final auquel personne ne s’attendait (que quelqu’un ose se lever pour me dire le contraire). Le fait de glaner les témoignages des uns et des autres nous montre que sous les apparences, se cachent des vérités pas toujours faciles à admettre ou à assumer.



Une petite pépite dans sa construction !

« Un corps gelé



Une ville hantée



Un défi mortel



Six histoires



Où est la vérité «





Le défi MDSJ : Morte dans six jour



» créature de la nuit



Écoute ma prière



Mon but est ton défi



Luttons pour ma chair »



Si tu me suis tu sais que j’ai eu un gros coup de cœur pour cette série novatrice, dans l’air du temps, réaliste et rudement bien menée. Dans ce quatrième tome, Scott King est devenu plus accessible. Il affronte la réalité au grand jour, il mène tous les entretiens à visage découvert.



Son podcast l’a révélé, il revient sur les faits d’un cold case tels qu’ils se sont produits.



Un podcast exhumant d’anciens dossiers de meurtres, des disparitions non résolus, derrière chaque crime il dépoussière les tombes. Aujourd’hui c’est une affaire classée qu’il va décortiquer. Et j’ai aimé cette tournure nouvelle aux trois précédentes.



Ici il remet à la une, le meurtre de Lyzzie Barton, un meurtre sauvage, incompréhensible, d’une barbarie extrême dans cette petite ville. Les meurtriers ont été arrêtés, pourquoi ouvrir à nouveau cette enquête ?



Elle incarne le modèle à suivre…la fille adorable, la fille irrésistible.



Six versions



Six points de vue



Scott va redessiner les contours de l’histoire d’Élisabeth pour essayer de comprendre cette mort, cette décapitation…



Une enquête qui ouvre à nouveau les blessures du passé à peine refermées, un meurtre sordide mettant en cause les réseaux, ce que l’on est prêt à faire pour la notoriété, se façonner une image au détriment de chacun. L’histoire d’une jeune femme belle et gentille, ambitieuse mais souvent les apparences sont trompeuses et quand le vernis s’écaille, la réalité est bien plus glauque.



De nos jours l’essentiel se passe sur le Net. Gommer les aspérités de sa vie pour se confirmer à un idéal inaccessible…on ne sait jamais qui vous observe.



On tend vers un appauvrissement relationnel. Au règne des apparences et d’un narcissisme sans limite.



Élisabeth était elle une jeune femme belle et célèbre tuée par trois sinistres voyous, ou bien ces derniers ont ils suivi la trajectoire d’une créature égoïste et superficielle qui a récolté ce qu’elle avait semé.



Six versions c’est aussi un roman d’atmosphère, Tankerville est sans âme, un endroit sinistre ou le vent s’engouffre dans les pics rocheux, ou les cris fantomatiques des mouettes accentuent la tension. Les éléments et la faune se sont donnés rendez vous pour créer un lieu de désolation, de peur.



La tour est un endroit déplaisant. Falaise offerte aux éléments, les flots ne s’apaisent jamais. Le vent est encore plus froid, plus Incisif.



Le malaise est croisant, l’impression d’être épié, d’une présence maléfique, cela fait froid dans le dos. Un lieu où les croyances vont bien au delà de de la fiction, des suppositions, le vampire d’Ergath pour des jeunes psychologiquement fragiles devient une entité à éradiquer, cela devient une obsession.



La grande ruine noire de Tankerville qui distingue Ergarth des autres villes, les habitants la surnomment la tour du vampire, maudite, vent glacial venant de l’oural, une ville sans âme.



Une excellente lecture pour moi j’ai beaucoup apprécié retrouver Scott King. Une histoire totalement indépendante des autres mais je dirai malgré tout de lire dans l’ordre, vous pourrez découvrir, Scott, sa psychologie qui évolue au fil des podcasts.



Envoyez des 👍, abonnez vous, j’en ai besoin, les likes sont des preuves d’amour, et je ferai n’importe quoi pour qu’on m’aime…



J’ai un trou noir à la place du coeur, un vide qui se remplira de n’importe quoi, de n’importe qui…. parce que c’est ce que tout le monde veut. Aimer et être aimé.



Ce que tout le monde veut.



Pas vrai les amours?



Matt Wesolowski dépeint admirablement notre société, la consommation excessive des réseaux, la fascination que ceux ci peuvent avoir, les célébrités que l’on porte, et que l’on détruit du jour au lendemain, la jalousie, la haine, la manipulation des « singes volants « . Une recherche, une analyse pointue, ainsi qu’une psychologie fine des protagonistes.



En deux m(o)aux (ts)



Douloureux et dérangeant



Vous avez déjà lu « six versions »?



Si c’est le cas qu’en avez vous pensé ?
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Pour ne pas rester sur une déception, on embraye sur le deuxième podcast. Même procédé (logique), un poil mieux construit, on sent venir le coupable… eh bien non, pas de bol, il sort encore du chapeau, même si… Une fois encore, ça aurait pu être vraiment bien. Ça aurait pu. On en vient à se demander si le concept, original s’il en est, ne conduit pas l’auteur à se pendre les pieds dans le tapis. Point positif : uniquement fait de dialogues, et d’aparté, ça se lit… facilement.

On retrouve le podcast « Six Versions », qui propose d’explorer une affaire judiciaire pour mieux la comprendre (voire pour retrouver le meurtrier), à travers six interventions de témoins ayant un lien avec l’affaire. Dans ce deuxième opus, on se concentre sur l’affaire de la Tuerie des Macleod : en novembre 2014 et alors âgée de 21 ans, Arla tue toute sa famille à coups de marteau. Pour ce crime, la jeune femme écope d’une obligation de soins à vie, dans la clinique spécialisée d’Elmtree, car jugée irresponsable du fait de troubles mentaux altérant son discernement. Sauf que rien n’est simple dans ce drame.



J’avais ADORÉ le premier livre de la série et j’avoue avoir été surprise par la qualité de ce deuxième tome, qui m’a encore plus conquise. Alors que dans le premier opus, on prenait le temps de planter la construction narrative, par le biais d’une affaire où on cherchait à déterminer qui était le/la coupable, ici, on approche d’une dimension beaucoup plus psychologique, moins tangible et donc plus complexe. On ne cherche pas tant à savoir le coupable, que l’on connaît déjà, mais à comprendre comment les éléments ont pu conduire à un tel dénouement. Le tout permettant de nuancer considérablement l’affaire, de comprendre les influences de l’environnement d’Arla, sans pour autant amoindrir la violence de son geste. Cette dimension plus psychologique, on la retrouve aussi bien dans l’affaire qu’au niveau des témoignages, beaucoup plus chargés en émotions et qui tendent à renforcer ce côté authentique que recherche la série. Enfin, le roman se termine en apothéose ; on enchaîne les révélations et quand on pense que c’est fini, de nouvelles informations viennent tout faire basculer. L’ultime extrait est une pure pépite à mon sens, qui change d’un coup tout notre regard sur l’histoire, surtout quand on se souvient des quelques indices laissés en cours de route. Bref, une série toujours aussi addictive, plaisante à suivre. Il me tarde de découvrir les tomes 3 et 4.

L e c t u r e t e r m i n e e



Il y a quelques semaines j’ai terminé cet ouvrage assez innovant dans la construction du texte. Il se découpe en podcast !

J’ai bien aimé mais … sur certains points je suis assez mitigée. Je n’ai pas été conquise par le fond de l’intrigue. Des histoires d’ados et d’amour. Ou de haine, de jalousie. Les traits ne sont pas forcément grossis, mais tout le monde a quelque chose à cacher …

J'avais adoré les deux précédents tomes de "Six Versions", mais pour ma part, celui-ci est celui que je préfère !!

J'adore le concept.



🗣Scott King est connu pour son célèbre podcast "Six Version". Le journaliste interview 6 personnes liées à l'affaire sur laquelle il travaille.

Dans ce podcast, Scott va tenter de comprendre ce qui a pu arriver à Alfie Marsden le soir de Noël 1988.

30 ans que ce petit garçon a disparu sans laisser de trace.

Et il n'en faut pas plus pour cette affaire fasse parler à l'époque, l'enfant a disparu au cœur de la forêt de Wentshire, forêt située entre l'Angleterre et le Pays de Galles, connu pour ses créatures légendaires, son côté hanté,..

Cet enquête à fait couler beaucoup d'encre mais très peu de choses dites sur la disparition d'Alfie.

Disparition ?

Enlèvement ?

Que lui est-il arrivé ?

Le serrons-nous ?

Faut-il croire aux légendes ?



En bref, j'ai ADORÉ ! Gros coup de cœur pour ce tome3.

Il me tarde de découvrir le tome 4!!
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"Vous ne vous y retrouvez pas encore dans l'histoire, hein?". Non, c'est certain.

Entre la subjectivité des témoins, ce qu'ils passent sous silence, les informations délivrées au compte-gouttes, le lecteur/auditeur va mettre du temps à y voir clair dans ce récit de disparition d'enfant.

J'ai mis un peu plus de temps que pour les autres volets à entrer dans ce faux "true crime" qui prend aux premiers abords des airs de conte macabre avec sa forêt mystérieuse, ses bruits étranges... puis, je me suis laissée embarquer et l'histoire a pris un autre tournant. De conte macabre ne reste plus que le macabre car au fil des témoignages Scott King nous confronte à la réalité, à une violence tristement courante. Adieu le conte de fées aussi.

Le Disparu de Wentshire peut se lire indépendamment des 2 autres ouvrages de M. Wesolowski, mais pour le plaisir de lecture que procurent ces podcasts écrits je ne peux que vous encourager à tous les lire 😁
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Le disparu du Wentshire est le troisième tome à utiliser la retranscription de podcasts qui traite d'un cold case, le sortant de l'ombre.



Dans ce roman, il s'agit de la disparition non élucidée d'un enfant de 7 ans un soir de Noël. Dans une forêt reconnue ensorcelée, son père va entendre des bruits dans le moteur, va sortir 5 minutes. Quand il va regagner sa voiture, son fils aura disparu.

Scott King va se pencher sur cette disparition, 30 ans après.



Le roman est construit comme les précédent, l'histoire parle d'un thème difficile entrecoupé de passage fantastique mais le réel va refaire surface lors des explications finales.



La fin, je l'avais deviné car elle était prévisible mais la lire a quand même son effet.

Si le tome 1 aborde un crime mystérieux non résolu, le tome 2 de Six Versions est très différent.



Pour contexte : Six Versions c’est l’histoire d’un (faux) podcast true-crime présenté par Scott King. Ce dernier va revenir sur des affaires non résolues et/ ou mystérieuses. Ici, nous allons nous intéresser au récit d’Arla, plus connue sous « la tuerie Macleod », qui aurait assassiné toute sa famille sans aucune raison particulière. (Oui je sais, c’est un peu creepy comme présentation)



Et je dois dire que toute l’histoire est elle aussi très flippante ! Comparé au premier, ce tome-ci aborde des sujets plus noirs et plus réels, ce qui rend le tout encore plus creepy.

On va parler de troubles mentaux, d’épisodes traumatiques - il y a beaucoup de TW dans ce roman, donc si jamais vous êtes sensibles à ces sujets, faites attention.



Nous allons donc appréhender la tuerie Macleod sous le prisme des différents personnages que Scott King va interviewer tout au long de l’histoire. Des amis, des connaissances, des professeurs et des détracteurs. Et chaque personne va dresser un portrait différent d’Arla, si bien qu’on ne sait pas vraiment qui croire. Et c’est ça qui est génial avec ces livres !



Aussi, ce livre va parler des aprioris que les personnes ont sur la musique. Par exemple, Arla était fan de la musique fictive de Skexxixx - musique grunge et dark - et arborait un style vestimentaire gothique. Et ces personnes sous-entendent que ce type de musique rend violent et que ça serait la raison de son geste.



En conclusion, c’est une histoire hyper prenante et très bien écrite qui donne froid dans le dos. C’est un récit qui ne laisse pas indemne. 👀


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« Un enfant disparu, une famille dans le déni. Six témoins, six versions, où est la vérité ? » impossible de passer à côté de ce livre. Son visuel énigmatique et ce pitch accrocheur ont tout pour harponner. Mais si vous avez déjà lu les deux premiers de la série vous êtes déjà accro.



Troisième tome de la saga « Six versions » et encore une très bonne lecture pour moi. Toujours le même concept novateur : un podcast qui revient sur une affaire louche plusieurs années après les faits. Constitué de six épisodes, il donne le point de vue à six protagonistes différents pour essayer de faire la lumière, le lecteur comme seul juge.



Je vous avais fait part de mon souhait, dans ma chronique du deuxième tome, que le personnage principal Scott King soit davantage mis en scène. Je ne vous spoile pas mais mon vœu a été exaucé ! Encore une fois j’ai été complètement surpris de la résolution du récit, je ne m’y attendais absolument pas.



Le plus du roman : une vraie leçon de vie et de morale qui fait que la réalité dépasse la fiction et nous amène à réfléchir. Au suivant !

Une de mes plus grandes déceptions. J'ai dévoré un peu plus de la moitié du livre en un temps record, captivée par l'ambiance créée par l'auteur, par cette mystérieuse forêt et ses légendes, happée par cette histoire tragique de disparition...Puis tout d'un coup, le ton du roman change complètement et se transforme en une sorte de roman de gare répétitif et ennuyeux dont on devine la fin longtemps à l'avance pour peu qu'on soit attentif. Bref, le soufflé est redescendu aussi vite qu'il était monté.

Excellent ! J'avais beaucoup aimé les deux premiers tomes, notamment pour leur forme. Pour l'histoire, j'y avais trouvé parfois quelques longueurs ou déceptions. Mais là, l'intérêt pour l'histoire se maintient tout du long, il est difficile de se décrocher du livre, tout fonctionne bien autant dans le fond que dans la forme.