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Critiques de Matthew Stover (41)
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Aube de fer

Quand « Le Bon, la Brute et le Truand » rencontre Glen Cook et Christian Jacq



Ce petit livre de Fantasy Historique pas franchement connu nous projette dans l’Antiquité, à la fin du long règne de Ramsès II, quelques années après la fin du siège de Troie. Nous y suivons un trio de mercenaires, sorte de « Le Bon, la Brute et le Truand » antique mené par une princesse guerrière Picte particulièrement féroce, maniant la hache avec une mortelle dextérité. L’intrigue, qui cherche à déterminer pour qui travaille le vil sorcier qui essaye de couler les cinq Maisons Marchandes possédant le vrai pouvoir dans la grande cité de Tyr, se balade entre polar, complot à ramifications politiques, magie et action. Les protagonistes sont fort sympathiques, l’aspect enquête rondement mené, les combats très explicites, le rythme impeccable, bref cet improbable mélange entre Sergio leone, Glen Cook et Christian Jacq fait passer un moment franchement agréable, sans prise de tête. Voilà qui achève de convaincre que le cadre antique, négligé dans les romans de Fantasy modernes (à part dans quelques cas, le plus évident étant celui de David Gemmell), est largement plus intéressant que le sempiternel médiéval-fantastique qu’on nous ressert à toutes les sauces depuis… oh, plus que ça.



Retrouvez une version beaucoup plus détaillée de cette critique sur mon blog.
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Aube de fer

Dans les rues étroites de la cité-Etat de Tyr au XIIe siècle avant la naissance du Christ, Barra Coll Eigg Rhum nous présente une population cosmopolite : Phéniciens, Égyptiens, Hittites, Amorites, Indusiens, Grecs, Celtes et Pictes… A 29 ans, Barra est devenue une guerrière accomplie, mais complètement fauchée au presque, qui rentre dans sa bonne vieille ville Tyr, accompagnée de Leucas Déodakaidès d’Athènes, un redoutable vétéran de la Guerre de Troie rencontré en Sicile, et de Khépéru de Thèbes, un roublard sehperankh banni d’Egypte.

Mais entre bateaux coulés, caravanes pillés, entrepôts brûlés, meurtres en série et une mystérieuse histoire de malédiction lancée par un non moins mystérieux sorcier, la tension monte entre les 5 Grandes Maison dirigeant la cité : la Maison Penthédès dirigée par l’achéen Agapenthès, la Maison Meinéidès dirigée par le Sémite Idonosteus, la Maison Mursuwalli dirigée par le Hittite Xuxusimilli, la Maison Tomitri dirigé par l Égyptien Nephrol et la Maison Jephunah dirigée par l’Amorite du même nom.

L’Aube de Fer forme un joli diptyque qui fait le choix de l’originalité en traitant du Proche-Orient à l’Âge du Bronze final :

* La 1ère partie intitulée "le recrutement" prend d’un côté la forme d’un polar antique, dans une ambiance finalement assez proche de séries comme "Garrett P.I." ou "Vlad Taltos", et nous apprenons à découvrir les personnages et le fonctionnement du trio (« Leucas combat, Khépéru calcule et Barra… est Barra » dixit Leucas). Dans le même temps nous redécouvrons l’univers de l’Âge du Bronze finissant avec Barra nous contant un Extrême-Occident divisé en Vieilles tribus (les Pictes) et Nouvelles Tribus (les Celtes), avec Leucas nous contant les exploits des héros achéens et troyens, et avec Khépéru nous contant les us et coutumes de l’Empire des Horus Vivants.

* La 2e partie intitulée "la reculade ulate" est nettement plus violente, sombre sinon désespérée : les calamités s’abattent sur notre trio qui doit lutter seul contre tous et les nerfs des personnages et des lecteurs sont mis à l’épreuve. Mais Barra est une Picte et les Pictes ne capitulent jamais !!!

Les 3 personnages principaux sont sympathiques et attachants : bien décrits et bien campés, ils n’ont toutefois pas livré tous leurs secrets malgré tout ce qu’on apprend d’eux en 500 pages.

Avec Remmie, son acolyte, ses sbires, ses marionnettes et ses dupes, nous avons vilain flamboyant dont les apparitions constituent autant d’interludes qui nous racontent l’histoire du point de vue du méchant. C’est assez réjouissant finalement car dans cette optique, le qui et le pourquoi importent moins que le comment. Et là, les choses se corsent car c’est rapidement mission impossible pour Barra et ses amis.

Les autres personnages sont beaucoup moins fouillés, mais contrairement à beaucoup d’autres séries on a pas du tout une impression de vide : le séduisant mais psychopathe Chrysios, les chefs des Grandes Maison et leurs seconds tantôt fidèles tantôt fourbes, les légendaires Myrmidons de Kamadès de Phtia, Lidios le tenancier d’auberge grande gueule, l’alchimiste Tekrop-nekt, le gouverneur Akhu-shabt, le roi de Chypre Démétor et sa suite, Péliarchus et sa maisonnée… sans oublier le fidèle canidé Graegduz !

Le scénario mêle mystification et démystification en alternant low fantasy et high fantasy pour aboutir à un récit de Sword & Sorcery classique dans ses enjeux mais assez dynamique dans son déroulement.

Entre la trilogie Troie de David Gemmell et le diptyque des Immortels de Michel Pagel, j’ai été particulièrement séduit par cette "Aube de Fer" car l’auteur a trouvé une formule équilibrée et harmonieuse : un traitement à la fois réaliste et fantastique, qui fourmille de détails historiques et mythologiques (que nécessite plusieurs lectures pour les apprécier à leur juste valeur) qui mêle à la fois action, émotion et aventure, moments lumineux et moments sombres avec des dialogues bien ficelés remplis d’humour ou de rage à l’image de Barra.

Bref tous les ingrédients sont là, et il y avait matière à de nombreuses suites : malheureusement il n’y eut qu’une seule et celle-ci est non traduite, mais ceci est une autre histoire… ("Jericho Moon" est un démontage en bonnes et dues formes de l’Ancien Testament avec des Palestiniens résistant désespérément contre les Israéliens et leur Sombre Seigneur)
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Aube de fer

Mouahahaha !!!

J'ai adoré !

Je ne dis pas que c'est le meilleur roman de fantasy historique que j'ai lu, mais j'ai adoré. Ce sont surtout nos "pieds nickelés"/mercenaires Barra, Leucas et Khépéru qui font tout le charme de ce bouquin, et les personnages secondaires ne sont pas en reste...



Le style est ultra-moderne, l'auteur ne cherche absolument pas à nous mettre dans une pseudo-ambiance antiquisante, et pourtant le vocabulaire et la mythologie sont riches, les détails historiques également, les noms en grec, le fait que la femme mène la petite troupe passe plutôt mal auprès du reste des mâles, ce qui est cohérent avec l'époque, bref, c'est plutôt un parti pris qu'une absence de culture. Et même si ça surprend au début, ça fonctionne vraiment très bien sur la durée.



Barra/Red Sonja, la guerrière picte, est complètement barrée, à foncer dans le tas tête baissée, je me demande si l'auteur sait que son prénom est plutôt bien trouvé en français ! Mdr ! Ses acolytes sont non moins barrés, l'humour est omniprésent (Khépéru y étant pour beaucoup), et pourtant l'ambiance est plutôt glauque et noire, c'est un mélange explosif et très bien fait !



Les méchants sont des vrais gros méchants, dont on découvre les buts au fur et à mesure que nos pieds nickelés font leur enquête, les pages se tournent toutes seules, les rebondissements incessants, tout le monde en prend plein la tronche et c'est juste un divertissement du plus haut niveau ! Ne cherchez pas de "sérieux" dans tout ça (hors le contexte historique), l'auteur s'est amusé, on le sent bien, et c'est comme un divertissement qu'il faut le lire.



Le fantastique est intriqué à la réalité d'une excellente façon, et monte en puissance au fur et à mesure qu'on avance dans le livre.



Bref, coup de coeur ! Merci BazaR pour l'avoir mis "sur mon chemin", celui-là ! Je vais peut-être craquer pour la suite en anglais... Il faudrait d'abord que j'arrive à finir la série des manteaux de gloire, en anglais, en fait. Mais après, qui sait ?
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Aube de fer

Avec « Aube de fer », Matteuw Woodring Stover nous propose de suivre les aventures d'un petit groupe de mercenaires offrant leurs services dans la partie orientale de la Méditerranée peu après la fin de la mythique guerre de Troie. Le choix de situer l'action au cœur de la période antique et après les évènements bien connus relatés dans l'Iliade apporte une indéniable originalité au roman, de même que celui de restreindre l'action à la seule ville de Tyr et à son bazar dans lesquels se cachent bon nombre de mystères et de dangers qui n'ont pas fini d'en faire baver à nos héros. L'intrigue n'est certes pas d'une très grande complexité mais est parfaitement maîtrisée par l'auteur qui nous embarque finalement assez aisément dans cette histoire de magie noire, de farouches guerriers et de complots politiques machiavéliques.



Les personnages pour leur part sont tous très attachants, qu'il s'agisse de Barra, téméraire guerrière picte à l'esprit vif et à la langue bien pendue, de Leucas, placide guerrier athénien et vétéran de la guerre de Troie, ou encore de Khépéru, égyptien opportuniste et adepte de sorcellerie. L'action se déroule sans temps mort et c'est avec plaisir que l'on suit l'enquête menée par ces aventuriers au sein de la ville de Tyr ainsi que leurs efforts pour ne pas se laisser engluer dans les multiples intrigues politiques animant les différentes grandes maisons de la cité. Une très bonne découverte qui donne envie de retrouver Barra et ses compagnons dans d'autres aventures. Une suite est d'ailleurs bel et bien parue même si elle n'a malheureusement, à ce jour, pas encore été traduite en français.
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Aube de fer

Incroyable pêle-mêle mais très divertissant ! On pense un peu à Assassin's Creed Odyssey mais en version littéraire. On se laisse emporter. Juste les personnages auraient gagnés à avoir un peu plus de "substance" et de psychologie, qui est assez sommaire.
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Aube de fer

Le 26 février cela fera 4 ans que je suis inscrite sur Babelio et c’est incroyable le nombre de bons bouquins que j’ai découvert au détour de critiques et d’échanges avec ses membres. Ici c’est le billet de BazaR qui a ajouté un nouveau coup de coeur à ma liste. Merci ;)



L’histoire se passe à Tyr après la guerre de Troie – que je ne verrai plus jamais du même œil à cause de cette réplique qui restera dans mes annales : « - Ramsès le Grand a pillé Qadesh en trois jours, poursuivit Khépéru, Les Habiru eux-mêmes - une meute de pillards sauvages - ont pris Jéricho en une semaine. Mais chaque fois qu'on évoque Troie, les yeux de tous les Achéens de cette fichue salle s'embuent de larmes au souvenir de leurs grands héros qui ont passé dix ans à jouer à touche-pipi sur la côte de Thrace. »



Barra une princesse picte revient pour une petite visite à ses parents adoptifs. Elle est accompagnée de deux hommes : Khépéru l’Egyptien et Leucas l’Athénien. Ils forment un trio de mercenaires détonnant qui fonctionne comme une montre suisse. J’ai adoré l’humour présent dans leurs échanges, cela donne le ton.



Ils sont engagés par un certain Idonosteus pour découvrir l’identité d’un sorcier qui terrorise la ville. Cette enquête va les mener à vivre des aventures horrifiques et épiques.



Un roman à dévorer.







Challenge mauvais genres 2020

Challenge livre historique 2020
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Aube de fer

Un bon mélange de sword & sorcery sur un arrière-plan historique original, la fin de l'âge de bronze.

La première partie met en place les personnages et le décor, l'enquête commence pour trouver le "méchant" ultime, la seconde partie accélère le rythme pendant la lutte contre le sorcier où nos 3 héros se trouvent en très mauvaise posture avant de l'emporter. Les trois personnages principaux sont fouillés et les autres bien individualisés.

Bref une histoire à rivaliser avec la prise de Troie - du moins si l'on en croit notre héroïne, Barra, dont le grand regret est d'avoir été trop jeune pour y participer.
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Aube de fer

Voici un livre épatant et beau (qualité L'Atalante, déjà différent au touché) passé à peu près inaperçu dans le monde de la fantasy, et c'est très dommage!



Nous sommes à la fin de l'âge du Bronze, les secrets du Fer sont jalousement gardés par les Hittites et seules quelques armes de ce métal circulent. La bataille de Qadesh a eu lieu il y a 50 ans, la Thèbes des Labdacides est tombée il y a quinze ans et Troie il y a dix ans seulement, à peu près à la même époque où les Hébreux rasaient Jéricho. Voilà pour le contexte mythico-historique.



Un trio de mercenaires hétéroclites et désargentés arrive à Tyr, ville dominée par de puissantes familles de marchands (rappelez-vous d'Epidemais dans Astérix): il s'agit de Barra la svelte Picte aux haches de pierre qui a passé son adolescence à Tyr (il semble que les navires phéniciens voguaient jusqu'en Grande Bretagne donc), du géant Achéen Leucas, placide en temps de paix et passionné au combat, qui a participé à la chute de Thèbes et à celle de Troie, et du "sorcier" égyptien banni Khépéru, roublard et nauséabond (au sens propre, les chiens s'écartent de lui en couinant quand même!). Désargentés, donc en recherche d'emploi ils trouvent à utiliser leurs talent auprès d'une des Familles: en effet on compte nombre de crimes inexpliqués, d'incendies, d'attaques de caravanes, de tavernes ensorcelées. Toutes les familles sont touchées. Chacun soupçonne tout le monde et cela menace de partir en vrille. L'objectif du trio: trouver le coupable.



A partir de là on part dans une aventure de type enquête policière (mais à l'âge du Bronze) dont le ton me rappelle un peu les comédies d'action américaines comme Bad Boys ou Independence Day; car les rapports de notre trio, surtout Barra et Khépéru, sont émaillés de dialogues savoureux lestés de piques. On se vanne en permanence, et Barra termine souvent la discussion en tapant sur Khépéru (c'est son côté Joe Dalton). L'enquête est aussi parsemée de combats dantesques dont un dans une taverne fait penser à un bon vieux western, et de sorcellerie et malédictions... et même de morts-vivants.



Le coupable sera trouvé à la moitié du livre. La suite montre la lutte acharnée et désespérée de Barra et ses amis contre ce méchant sans limite morale qui ordonne les pires ignominies le sourire aux lèvres ou une plaisanterie en bouche (extrêmement bien travaillé, haïssable à souhait, j'aurais bien vu Gene Hackman jeune dans ce rôle) et pousse nos héros dans leurs retranchements.



On n'est pas dans la tragédie grecque ici, et nos héros s'en sortiront (de n'est pas un spoil car on sait qu'ils auront une autre aventure dans Jericho Moon, resté inédit en France) non sans en avoir beaucoup appris sur eux-mêmes et les uns sur les autres. Leur aventure est du genre que l'on n'oublie pas et qui laisse pour toujours un agréable souvenir en tête. Elle prouve qu'il n'est pas nécessaire d'écrire des cycles en trois ou vingt volumes pour accrocher le lecteur. En revanche un peu de publicité ne peut pas faire de mal et l'oubli de Aube de Fer montre qu'il en a manqué.



Je lancerais bien un "Aube-de-Fer"-thon sur Babelio.
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Blade of Tyshalle

Matthew Stover réussit [...] haut la main le pari de la suite à un roman au concept fort en ayant l’intelligence de ne pas nous resservir la même chose, en proposant un récit plus sombre, plus ambitieux et plus profond, quitte à perdre au passage le fun et le rythme qui faisait la force du premier tome.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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Caine's Law

La série des Acts of Caine est une curiosité à ne pas manquer pour tous les amateurs de dark fantasy façon Joe Abercrombie.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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Caine's Law

Very good conclusion for a stunning series. I really wonder how it comes that Matthew Stover isn't better known and read.
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God of War

A l’annonce du roman God of War, et de son histoire reprenant directement celle du jeu sortit en 2005, la plupart des gens se sont demandés ce que ça pourrait donner sans trop y croire. En effet, comment retranscrire la violence parfois extrême du jeu vidéo et de son charismatique personnage principal dans un livre ? Si on ne peut pas dire que le pari soit réussit à 100%, ce roman n’en demeure pas moins digne d’intérêt : Explications :

Pour commencer, il faut savoir que, plutôt que d’adapter bêtement le titre comme on pouvait le reprocher à un Assassin’s Creed : Renaissance, les auteurs se sont réellement posé la question de savoir ce qu’il était nécessaire de conserver et ce qui pouvait être ajouté ou retirer. prenant conscience que les combats auraient moins d’impacts dans un roman, ils sont écourtés tout en maintenant la violence de Kratos. L’ouvrage s’attarde donc plus sur la progression menant le héros jusqu’à son objectif plutôt que sur le reste, tout en ajoutant quelques dialogues entre les Dieux. Malheureusement, de ce point de vue, on note quelques incohérences avec le reste de la saga, notamment le 3éme opus.

On peut également remarquer que Kratos semble plus « humains » car les auteurs s’attarde plus sur les blessures du personnages après chaque batailles. Un choix qui peut sembler des plus étranges mais qui, finalement, ne fonctionne pas mal du tout.

Bien sur, les fans du jeu ne trouveront que peu d’intérêt au livre mais il s’avérera être un bon petit livre pour ceux souhaitant se pencher sur cet univers et qui n’auraient jamais touché aux jeux. En espérant que les suites aient droit à une adaptation également dans ce cas.
Lien : http://www.jeuxvideo-live.co..
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God of War

J'ai toujours été très intéressée par les jeux God of War et son histoire, mais je n'ai pas crocher du tout au jeu alors je me suis tournée vers ce livre, et j'ai bien fait.

Je trouve que retranscrire un jeu-vidéo en livre est rude, mais quand on se lance dans sa lecture, on est absorbé! Ce livre est bien écrit et fluide, je l'ai dévorée! Je me suis même pris d'affection à ce si sombre personnage qui est Kratos. J’espère qu’ils retranscriront également les autres volumes!



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God of War

On suit avec intérêt la gigantesque partie d'échec sanglante des dieux grecs et l'odyssée guerrière de Kratos, même si certains passages auraient gagnés à être, sans mauvais jeux de mots, coupés. Les fans du jeu doivent y retrouver l'esprit du jeu, peut-être même des indices de jeu, les autres font ou complètent leur connaissance de la mythologie grecque.
Lien : http://passiondelecteur.over..
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God of War

Mon avis sur ce livre est très mitgé. Je ne dirais pas qu'il est mauvais car je deteste dire d'un livre ou d'une oeuvre d'art que cela est nul. Je prefère dire qu'il ne m'a pas plu, mais peut être pourra t il plaire à d'autres, Tous les gouts sont dans la nature. Je ne suis peut être simplement pas le bon public pour ce livre.Je peux dire que je me suis forcée au moins jusqu'à la moitié du livre. Il m'était offert dans le cadre de masse critique, je ne pouvais donc pas abandonner.Et puis je me suis laissée prendre par l'intrigue pas si mal menée, j'était curieuse de savoir ce qu'allait devenir Kratos le héros du livre, rester le monstre faconné par Ares le dieu de la guerre ou redevenir un ëtre humain avec ses faiblesses et sa sensibilité. Lisez le et vous le saurez! !!! Ne chercher surtout pas de moral dans ce livre ! Ames sensibles s'abstenir.
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God of War

A y ai !! Livre tant attendu , dans le cadre de Masse Critique (que je remercie au passage ainsi que la maison d'edition , on se croirait presque aux Cesar...) arrivé a bon port , lu et , hélas , vite oublié..



Je m'explique . N'ayant absolument aucune reference dans le domaine du jeu video , c'est vierge de tout a-priori que j'attaquais ce roman . De plus , au vu de l'editeur (Milady , maison d'edition de Gemmell , Feist..) , je m'attendais a du lourd , du tres lourd et effectivement , ça l'a été a la limite de l'indigeste!!



Mais commençons par le commencement , il etait une fois un gentil barbare , Kratos , nom aussi rugueux que son proprietaire , dont la seule et unique passion dans la vie etait de tuer : que tu sois un homme , une femme , un enfant , un cochon d'inde malveillant ou tout a fait inoffensif , pas de difference et surtout pas de quartier !!! Kratos est une machine de guerre qui ne s'embarrasse pas de sentiments.

Tout etre vivant se trouvant a moins d'1 metre de son perimetre est voué aux abimes d'Hades sans autre forme de proces .

Aveuglé par cette soif de sang , cadeau d'Ares , dieu de la guerre et accessoirement patron l'ayant embauché en CDI , il en vient malencontreusement a tuer sa femme et sa fille dans un leger exces de colere (oups , la boulette , mais qui n'a jamais commis de petites maladresses , hein ?) . C'est alors qu'il decide de reprendre sa liberté pour devenir le heros heraut d'Athena , deesse de la raison , de la prudence et de la sagesse (les gouvernants

cumulaient deja les boulots a l'epoque egalement!!) , soeur d'Ares pour qui elle voue une haine sans limite et voyant en Kratos son bras vengeur capable de la debarrasser definitivement de ce frere encombrant...C'est alors que commence la quete de la boite de Pandore , objet sans lequel un humain ne peut tuer un Dieu...



J'ai aprécié deux choses : le prologue et le fait de refermer enfin ce livre mal ecrit (ou mal traduit...) , sans style , d'une platitude sans egal...God of War fait partie de ces ouvrages que l'on ouvre par obligation (dans le cadre de masse critique , je me devais de le finir , oui , je sais , je suis tres courageux..) et non par plaisir..Mon jugement

aurait pu etre tout autre si ce n'etait cette lassante repetition de combats s'enchainant sans repit et sans transition..Un ça va..(Hortefeux , sors de ce corps!!) .Bienvenue a la boucherie Sanzot eut été un titre plus approprié...

Dernier supplice infligé au lecteur , celui de la goutte d'eau.. pourquoiiiiiiiiiii infliger au lecteur ce chapelet de Kratos au fil des pages , hein pourquoiiiiiiiii ? Ce livre s'adressait-il aux personnes souffrant de perte de memoire immediate ou encore d'Alzheimer et donc incapables de se souvenir du nom du heros apres plus de deux pages ?Il m'est arrivé de comptabiliser 12 Kratos en une seule , ceci s'ajoutant a la pénibilité d'une lecture fadasse , d'ou ces deux etoiles presque trop genereuses et certainement dues a l'esprit de Noel qui m'anime...
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God of War

Un trez bon livre jai adoré !!
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God of War

La mythologie est intéressante, les scènes de combat un peu moins...
Lien : http://leslecturesdemylene.b..
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God of War

Aaah Kratos le sanguinaire ! J’ai joué, il y a bien longtemps au premier jeu « God of war » sorti sur PS2. J’avais donc hâte de retrouver cet univers.



Parlons tout de suite du mauvais point de ce roman : il n’apporte rien à l’histoire. C’est juste la retranscription en roman du scénario du premier opus. Si vous voulez acquérir cette novellisation pour en savoir plus sur Kratos, les dieux de l’Olympe et les autres, passez votre chemin. « God of war » n’est pas fait pour vous.



Mais si vous êtes intéressé par cette histoire, si vous aimez la mythologie grecque ou si vous avez envie de découvrir l’univers de « God of war » avant d’y jouer, lire ce livre pourra vous procurer pas mal de plaisir.



Le style n'est pas transcendant mais il ne gêne pas la lecture. Ce n'est donc pas un coup de coeur pour moi mais il y a de bons éléments.
Lien : http://iluze.over-blog.com/a..
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God of War

MON DIEU!!! LE SEUL ET L’UNIQUE!!!!!

Je vais pas vous le cacher, mais j’ai pris 3 ans pour le lire et pour cause. Non pas que le livre ne m’intéressait pas, non loin de là, mais je jouais au jeu du même titre!!! JE SUIS UNE FAN DE KRATOS!!!!
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