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Critiques de Mayalen Goust (322)
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Lisa et Mohamed

Témoignage honnête d'un harki, cette BD réussit à dévoiler la complexité d'un pays colonisé, embourbé dans les questions identitaires. Le rôle qu'a joué la France n'est pas caché que ce soit du côté des tortures visant le FLN ou de l'abandon total des harkis une fois l'indépendance prononcée. On comprend l'isolement totalement d'une partie du peuple algérien qui n'avait qu'un seul souhait : préserver un village natal des violences de la guerre et qui au sortir de cette guerre s'est vu abandonné des français et des algériens. Que faire quand on se retrouve loin de sa patrie, rejeté des siens et forcé à vivre aux côtés de ceux qui ont tout entraîné et qui ne vous voient que comme des moins que rien ? Ce livre est à la fois juste et doux pour traiter un thème si violent qu'aujourd'hui on le cache encore.
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Alicia : Prima ballerina assoluta

Ce roman graphique nous dresse un portrait croisé de différentes femmes, de générations différentes, qui évoluent à Cuba et partagent un point commun : leur passion de la danse. Eileen Hofer avait déjà réalisé un documentaire sur la ballerine Alicia Alonso. Cette fois-ci elle s'associe à la talentueuse dessinatrice Mayalen Goust pour nous proposer un récit mêlant fiction et réalité, et revenant sur cette figure emblématique de Cuba. L'occasion de découvrir une autre culture, et une période historique. Les illustrations douces et pastel nous plongent dans des ambiances graphiques incroyables ! Un ouvrage qui n'est pas réservé uniquement aux amateurs de ballet, au contraire ! C'est un roman graphique qui nous fait voyager. Une très jolie réussite ! 



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Alicia : Prima ballerina assoluta

L'histoire commence à La Havane en 1931 lorsque la jeune Alicia débute les cours de danse. Puis elle continue dans la même ville, quelques années plus tard, lorsqu'elle remplace au pied levé une autre danseuse et qu'elle devient une véritable icône du ballet : Alicia Prima Ballerina Assoluta. Elle dansera avec les plus grands chorégraphes malgré une perte progressive de la vue et sera une fervente de la révolution cubaine en 1959.



Son histoire croise celle d'Amanda, en 2011 qui rêve d'être une grande danseuse et qui, dans un pays fatigué et pauvre, tente de se faire un nom.



Je ne suis pas connaisseur du monde de la danse et c'est même un art que je ne comprends pas, mais j'aime beaucoup les dessins de Mayalen Goust, ses choix de couleurs douces, son trait. Et sur ce point, je ne suis pas déçu du tout, bien au contraire. C'est doux, très beau, coloré, cela évoque sans marteler la difficulté de vivre à Cuba entre marché noir, débrouille et misère. Et la joie de vivre malgré tout, l'envie de s'en sortir.



Le scénario d'Eileen Hofer présente Alicia Alonso (1920-2019), la vraie danseuse, celle qui a existé, avec d'autres personnages fictifs. Il brosse le portrait d'une femme volontaire et motivée, ambitieuse au point parfois d'oublier la misère des Cubains, qui frayait avec les chefs de la révolution cubaine, Fidel Castro notamment. Mais aussi bien sûr la grande danseuse qu'elle fut, qui surmonta sa cécité pour continuer à danser sur les plus grandes scènes, qui fit preuve d'une volonté sans égale et qui est pour la jeune Amanda et pour toutes les jeunes danseuse du pays, un modèle.



Très bel album, grâcieux et fin qui me permet de faire la connaissance d'Alicia Alonso.
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Les Colombes du Roi-Soleil, tome 1 : Les co..

J'ai adoré cette BD, l'histoire est géniale, ça nous donne envie de lire la suite .Tout est bien dessiné. Ça se passe à Saint Cyr c'est à dire dans la Maison Royale de Saint Louis vers Versailles. En plus , les personnages ont de vrais caractères ,ils ne sont pas décrits mais c'est si bien expliqué qu'on les connaît. En tout cas, on est emporté dans le monde de 1870 dans les temps à la cour .
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Les Colombes du Roi-Soleil, Tome 2 : Le sec..

Le secret de Louise se devine dès le tome 1 puisque les jeunes filles sous-entendent que Louise est la fille du Roi. Dans cet épisode, Louise se met en quête de sa mère, autrefois amante du Roi qui est aujourd'hui emprisonnée pour avoir été complice d'un complot. Par sa bonté & sa grâce, Louise parvient à se faire aider & trouver l'amour, ainsi qu'à attendrir le Roi et obtenir la libération de sa mère. Une jolie histoire servie par de jolis dessins, avec plus d'expression & d'émotions que dans le premier tome, ce qui améliore la qualité de la lecture.
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Kamarades, tome 1 : La fin des Romanov

Je trouve que cette BD et vraiment bien, l'histoire est très bien écrite, l'amour de Anastasia Romanov ( la fille du Tsar ) et Volodia ( un soldat bolchevik ) est très crédible. J'aime aussi beaucoup comment l'auteur montre les deux vision de la révolution.

Pour les passionnés des la Russie ou des Romanov ( comme moi ) c'est génial. Et en plus il y a des paroles et des phrases qui se sont vraiment dit dans l'histoire.

Apres je trouve que ce livre ce lis trop vite et je vais surement acheter le tome 2
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Les Colombes du Roi-Soleil, tome 1 : Les co..

Pour les férus d’Histoire de France !



Résumé : On pénètre dans l’univers de Saint Cyr, pensionnat dirigé par Mme de Maintenon où elle donne l’éducation nécessaire à des jeunes filles nobles pour les préparer à entrer dans le monde ou rejoindre un couvent lorsqu’elles auront 20 ans.

Dans cet épisode, elles doivent jouer une pièce écrite par Racine à l’intention du Roi Soleil et sa cour.



Genre : historique

Thématique : Vie quotidienne



Décor : En 1688. Le pensionnat de saint Cyr est un lieu assez peu accueillant, froid, austère. Ambiance totalement opposée à celle de Versailles : lieu lumineux, coloré, festif.



Personnages : Toutes les jeunes filles pensionnaires sont vêtus de la même façon, une longue robe brune et deux rubans.

Quatre d’entre elles se distinguent :

Charlotte (brune) qu’on oblige à devenir catholique pour oublier ses origines huguenotes et qui aime un jeune homme et s’impatiente de le retrouver,

Louise (blonde) très discrète et pourtant toujours remarquée par le Roi lui-même,

Isabeau (châtain) qui a la vocation à enseigner et s’occuper des jeunes,

et Hortense (rousse) qui pense devenir nonne.



Avis personnel : Le dessin est soigné, au trait délicat. Cependant j’ai eu beaucoup de difficultés à distinguer les jeunes filles les unes des autres et cela a contrarié et quelque peu gâché ma lecture. Si ce n’est leur nom (qu’il faut retenir) rien ne permet de les caractériser vraiment au départ. Je n’ai pas lu le roman et je pense que l’adaptation pêche en cela : difficile de lire cette BD sans connaître déjà l’intrigue. Il aurait fallu une présentation plus claire, sorte d’introduction, des personnages. En effet, même les personnages historiques n’ont pas de portraits spécifiques et c’est dommage. Les jeunes lecteurs ne savent pas forcément qui sont Mme de Maintenon, Monsieur Racine, Mme de Caylus ect… Et les lecteurs plus âgés ont parfois un peu oublié aussi…si l’on n’est pas féru d’Histoire de cette période ! Or la BD ne permet pas vraiment de compléter ces lacunes.



Côté théâtre, ayant joué et mis en scène, j’attendais plus d’illustrations de cette activité : comment répétaient-elles ? qui faisait le choix des décors ? quelle part prenait véritablement Racine dans les répétitions hormis le choix des comédiennes ? comment amenait-on une jeune fille à jouer un rôle masculin ? ect… Là non plus, mes attentes n’ont pas trouvé de réponse.



Enfin le scénario manque de rythme car il est basé sur la chronologie et cela devient vite répétitif et monotone. Il en ressort l’impression qu’il ne se passe pas grand-chose…



Cette Bd reste toutefois agréable à parcourir, une certaine atmosphère s’en dégage, une harmonie du coup de crayon et des couleurs.

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Kamarades, tome 1 : La fin des Romanov

J’ai flashé sur cette couverture lors de la réception du programme de parution des éditions Rue de Sèvres. De plus le titre m’intriguait car les Romanov sont une famille qui m’intéresse fortement. Je remercie ainsi Rue de Sèvres pour leur confiance et leur envoi.



Nous suivons plusieurs personnages qui nous sont plus ou moins connus. Tout d’abord on découvre un Staline prêt à tout, qui nous reste parfois mystérieux, dont on se méfie ; un Volodia attachant, attendrissant, courageux (on voit que je l’ai apprécié oui) et une Ania rebelle, volontaire, sûre de ses choix. Comme on peut le constater, les personnages historiques réels sont mêlés avec des personnages fictifs mais tout est très bien fait et on se retrouve à la recherche d’un Volodia qui semble tellement intéressant qu’on aurait aimé trouver sa biographie. On découvre l’histoire de la révolution russe et on est immergé dans l’atmosphère révolutionnaire de l’histoire. En effet, ici vous ne trouverez pas réellement de quoi combler vos lacunes sur l’histoire russe, car si vous êtes immergés dedans, nous suivons davantage les destins d’hommes grâce à des intrigues, des drames mais aussi une histoire d’amour.



D’un côté l’évolution de Staline, on voit vite qu’il deviendra un homme d’importance (bon certes, les cours d’histoire nous avait permis de le savoir bien avant), mais on suit également le destin des simples soldats grâce à Volodia. On peut ainsi suivre les combats, qui sont en accélérés grâce à de nombreuses ellipses. Enfin, nous avons le point de vue sur le Tsar Nicolas II et sa famille grâce à Anastasia. On suit leur année 1917 et leur destin. Les nombreuses ellipses permettent d’avancer rapidement dans le temps et mettre en valeur les points-clés de l’Histoire, cela donne un certain rythme à l’histoire et permet d’avancer rapidement dans les histoires d’hommes. Ce qui aurait pu être gênant dans une bande dessinée historique perd ce léger défaut si on la prend comme une bande dessinée au prétexte historique.



Les dessins et la mise en couleur est magnifique. Tout est très fin, très fantasmagorique, le rouge est important et permet de mettre en valeur la symbolique. Les planches sont vraiment magnifiques et on pourrait passer un moment à observer chaque nouvelle page, sous le charme de l’art de Mayalen Goust.



Une chose est sûre avec une fin pareille, on n’a qu’une hâte, c’est découvrir le prochain tome en janvier 2016. Un très bon premier tome, j’attends désormais les deux prochains volumes pour retrouver nos héros.
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Kamarades, tome 1 : La fin des Romanov

En s'appuyant sur l'histoire de la Révolution Russe, les auteurs développent une intrigue romantique entre Volodia, simple soldat et Anastasia Romanova, fille du Tsar Nicolas II. Le côté historique de cette période est présent, mais mis en scène avec une certaine liberté : personnages fictifs se mêlent aux personnages réels.



Plus que les faits, cette BD s'attache aux hommes et à leurs comportements...

[...]

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Lien : http://www.aupresdeslivres.f..
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Kamarades, tome 1 : La fin des Romanov

Magnifique dessin et couleur. Le scénario est lui un peu en dessous.

L'histoire est belle : Volodia, brave militaire, tombe amoureux d'une inconnue qui n'est autre qu'Anastasia Romanov. Mais voila que Staline petit despote naissant, se mèle de ses amours et surtout de la popularité conquise par un fait d'arme. Blang, Anastasia retourne chez elle et le jeune Volodia est expédié sur le front. Jusqu'au jour où...la c'est un peu poussé dans le genre mélo. J'attends le second tome pour me faire une idée précise de cette BD : superbe histoire d'amour et de politique, ou bête mélo. Mais attention superbement mise en images.
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Le roi maladroit

Contrairement à ce que l’on peut penser au premier abord, le Roi maladroit n’est pas un conte traditionnel.



Avec des pastels et des personnages stylisés aux bouilles rondelettes, l’auteur nous raconte l’histoire d’un roi vraiment très maladroit, si maladroit que ça en devient gênant puisque tout le monde se moque de lui. Même le lecteur !



Personne n’a réussi à le guérir, pas même Berlin, le grand mage toujours enrhumé, jusqu’au jour au vient au Palais un petit homme qui l’air de rien trouve la solution : une paire de lunettes !



L’enfant ne s’en rendra pas toujours compte, mais il est du devoir de l’adulte de lui montrer tous les petits détails qui font le charme de ce volume. En effet, Malayen Goust joue à détourner de célèbres œuvres d’art et à ajouter des éléments totalement incongrus par-ci par-là.



Une histoire originale pour convaincre nos petits bouts que les lunettes, c’est classe, puisque même les rois en portent. ;)
Lien : https://belykhalilcriticizes..
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Arlequin ou les oreilles de Venise

Une très belle bande dessinée, avec des dessins fins, de belles couleurs et surtout une histoire douce, riche en poésie et harmonie.

Un album que j'ai découvert au hasard et qui fait le bonheur de mes enfants!
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Arlequin ou les oreilles de Venise

Très jolies illustrations
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Je ne trouve pas le sommeil

Une maman se plaint devant sa fille de ne pas avoir trouvé le sommeil. La nuit suivante, cette dernière décide d’aller le chercher pour aider sa maman. Elle explore toute la maison et finit par le trouver (à moins que ça ne soit lui qui la trouve). Elle a tout juste le temps de se traîner dans la chambre de ses parents pour apporter le sommeil à sa mère.

J’ai beaucoup aimé l’histoire de cette petite fille qui part à la recherche du sommeil pour rendre service à sa mère. L’histoire est très simple mais j’ai pris plaisir à suivre cette fillette dans son exploration.

L’intérêt de cet album réside surtout dans ses illustrations. Dès que j’ai vu la couverture de cet album, j’ai eu envie de le lire. Les dessins tout en rondeur et les couleurs très douces, m’ont rappelés les livres de mon enfance. L’illustratrice a beaucoup d’imagination et chaque pièce visitée par la petite fille devient un univers différents, soit onirique, soit effrayant.

Je pense que je vais essayer de me procurer d’autres livres de cette illustratrice.
Lien : http://hellody.canalblog.com/
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Mes géants mes parents

Pour une toute petite fille les adultes se transforment immanquablement en géants, qu'ils soient dans la rue où dans la maison ! Sa préférence se porte bien sur vers ses parents, dont elle apprécie les grands bras qui lui font des câlins et les grandes bouches qui l'embrasse. Au travers d'un texte poétique l'enfant nous fait partager tout l'amour qu'elle éprouve pour ses parents, ceux qui prennent soin d'elle. L'émotion est vive et le bonheur palpable, le tout associé à des illustrations féeriques qui donnent à penser à l'enfant qu'elle peut avancer dans la vie avec confiance car les géants de parents veillent à son bien-être. Un album qui fait honneur aux parents et qu'il faut partager pour donner et recevoir !
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Vies volées : Buenos Aires, Place de Mai (BD)

Pendant la dictature en Argentine, entre 1976 et 1983, des événements tragiques ont marqué l'histoire.



Cette bande dessinée aborde de manière captivante le vol de 500 bébés enlevés à des opposants assassinés.



Les grands-mères, mobilisées pour retrouver ces enfants disparus, ont réussi à en ramener plus de 120 dans leur famille.



Sur 88 pages, cette BD propose un récit émouvant et instructif, accompagné d'illustrations douces et réussies.



Je recommande vivement cette bande dessinée pour sa façon subtile de mêler ces faits réels, fiction et légèreté, tout en sensibilisant sur le tragique enlèvement des nourrissons pendant cette période sombre de l'histoire argentine.
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Lisa et Mohamed

Paris, Lisa rencontre Mohamed chez qui elle loue une chambre pour se consacrer sereinement à ses études. Elle découvre que c'est un harki, se renseigne...

.

Une bd intéressante avec un joli graphisme qui permet d'en apprendre un peu plus sur les harkis car elle évoque les éléments qui ont entraîné la formation des harkas ainsi que l'après guerre.
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Alicia : Prima ballerina assoluta

La danse implique le mouvement, la présence des corps, l’instantané, l’espace de la scène. Si la danse est un art en soi, il est difficile de le présenter dans une autre forme d’art. Voici donc une nouvelle bande dessinée sur ce sujet, et une nouvelle déception en ce qui me concerne. Comme si la danse ne pouvait être réduite qu’à l’enseignement dur et contraignant et la starification. Dans cette histoire, il y a aussi une volonté politique, puisqu’il s’agit d’une danseuse cubaine à l’époque de Fidel Castro, mais le thème politique ne semble qu’une caution d’engagement, et ça ne va pas très loin dans cette direction, alors qu’il y avait beaucoup à dire. La partie autour d’Amanda, la jeune ballerine de l’école de danse n’a pas grand intérêt et le personnage d’Alicia, l’ancienne danseuse étoile, aurait pu apporter beaucoup plus de réflexions, de polémiques, de troubles, avec ses liens avec Fidel Castro, mais elle n’est qu’effleurée, sans la moindre prise de risque. Le dessin est assez mièvre et doux, loin de ce que j’attends sur le thème de la danse et encore plus loin sur de ce qui s’accorderait au contexte politique. Bref, j’ai trouvé cette bande dessinée assez insipide, autant dans l’histoire que dans le graphisme.
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Lisa et Mohamed

Une BD parfaite pour comprendre un peu mieux l'histoire des harkis, ces Algériens qui ont collaboré avec la France durant la guerre d'Algérie. Quand ils ont gagné leur indépendance, les Algériens ont considéré les harkis comme des traîtres à leur nation. Il y a eu alors beaucoup de massacres, surtout que la France, qui avait promis d'accueillir et de protéger tous les harkis, est revenu sur cet accord en 1962. Ben oui, fallait pas faire entrer trop d'algériens en France. Imaginons que des non harkis en profitent pour s'installer en France. Une politique d'immigration que l'on connaît bien.

Aujourd'hui, certains harkis ne peuvent pas retourner en Algérie, d'autres ont pu, ainsi que leur famille, dans des conditions plus ou moins difficiles. Et les harkis qui sont restés au pays ont dû faire profil bas. Une loi de 1999 rappelle que « perdent leurs droits civiques et politiques, conformément à la loi en vigueur, les personnes dont les positions pendant la révolution de libération nationale ont été contraires aux intérêts de la patrie et ayant eu un comportement indigne. »'



Une BD qui touche, donne envie d’en apprendre plus et d’éclairer un pan de l’histoire dont on ne parle pas assez.
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Les Colombes du Roi-Soleil, tome 1 : Les co..

Immersion à l'époque du Roi Soleil, période que j'adore tout particulièrement mais qui là en l'occurrence m'a laissé perplexe. J'ai trouvé que ça manquait cruellement de profondeur et d'émotion, c'était trop long et en tournant la dernière page je suis restée sur ma faim, on suit des jeunes filles pensionnaires à Saint-Cyr qui vont jouer dans la pièce de Racine. Secret de famille, amitié et amour sont au rendez-vous mais sans vraiment avoir suscité un grand intérêt chez moi dommage.
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