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Citations de Melissa de La Cruz (250)


Nat était le Darkon, elle était son coeur et son âme, elle était sa maîtresse et sa cavalière.
...
Et il portrait la marque de la flamme sur son poitrail, la même que flamme que Nat avait sur la peau.
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Ils ne vivaient donc pas forcément heureux, mais avaient beaucoup d'enfants.
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Tout tenait à un équilibre précaire : le passé, le futur, sa vie et celle de ceux qu'il aimait. Il n'avait pas droit à l'erreur. il repensa aux images mouvantes de la carte postale, l'enlèvement qui devient meurtre. L'histoire subissait des modifications sous ses yeux, et c'était son devoir de s'assurer que le cours du temps reste intact. Il était un loup, un gardien des Abysses.
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C'était exaspérant de voir comme votre meilleur ami pouvait appuyer pile là où ça faisait mal.
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Parce qu'il n'y avait pas d'attraction, pas de tension, ils pouvaient rire, se taquiner, blaguer. Au milieu de toute cette folie, elle s'était fait un ami.
-Non, l'avertit Oliver.
-Non quoi?
Il sourit
-Ne deviens pas sentimentale. Je ne t'aime toujours pas beaucoup.
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Comme vous le savez tous, nous sommes engagés depuis longtemps dans une bataille pour conserver le contrôle des sept portes qui gardent les chemins des Morts et confinent les démons et leurs frères en enfer. Les sang-d'argent ont reçu la mission de les détruire une à une afin que Lucifer puisse remonter des Abîmes.
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"-Tu m'as manqué.
Les lèvres d'Oliver étaient tièdes et douces contre sa joue, et la profondeur de son affection provoqua une douleur aiguë dans le ventre de Theodora.
-Toi aussi tu m'as manqué, lui chuchota-t-elle en retour.
Et c'était plutôt vrai.
Il y avait quinze jours qu'ils ne s'étaient pas retrouvés ainsi tous les deux.
Et alors qu'elle avait envie d'appuyer ses lèvres contre son cou et de faire ce qui venait tout naturellement, elle se retint. Elle n'en avait pas besoin tout de suite, et elle hésitait beaucoup à cause de l'effet que cela lui faisait.
La caerimonia osculor était une drogue : tentante et irrésistible"
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"Mais Theodora ne termina pas, car Oliver posait une main chaude sur son menton et l'attirait à lui, et bientôt ils s'embrassaient. Des baisers doux et hésitants qui se firent plus vigoureux lorsqu'ils ouvrirent la bouche l'un pour l'autre.
-Mmm...soupira-t-elle
Alors c'était ça, l'effet que ça faisait. D'embrasser Oliver. Ca ne ressemblait à rien de ce qu'elle avait imaginé. C'était mieux. C'était comme s'ils étaient fait l'un pour l'autre. Theodora se colla contre lui, et Oliver passa la main dans ses cheveux. C'était nouveau. C'était un tournant. Puis, elle se mit à l'embrasser sur le menton et dans le cou."
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A présent, il allait la punir en la privant de son amitié. Une amitié dont elle dépendait comme du soleil.
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« Il s'apprêtait à lui avouer à quel point il la trouvait ravissante, quand son téléphone se mit à sonner.
—Oh , je suis désolée, dit elle d'un ton nerveux, manquant de renverser son verre en ouvrant son portable. Allo? Jim! Salut! Comment ça va?
Ryan fut coupé dans son élan. Jim? C'est qui, ce fichu Jim?


— C'est qui, Jim? demanda Ryan, comme malgré lui.


— Mon petit ami, répondit Mara en se détournant, le téléphone collé à l'oreille. »
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Le mal était séduisant, c'était la facilité; tandis que la vertu était aussi difficile que mal récompensée.
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- Alors... bonne chance ? dit-elle en tâchant de prendre un air nonchalant bien qu'elle eût une boule énorme dans la gorge.
Elle s'éloigna vers la porte.
- Nat, attends...
Avant d'avoir pu faire un pas de plus , elle sentit la main de Wes attraper la sienne. Il la fit pivoter vers lui. Son regard noir était brûlant.
Sans un mot, il se pencha pour l'embrasser.
Nat en fut surprise, mais elle leva la tête pour accueillir sa bouche, et lorsque les lèvres chaudes du garçon se pressèrent contre les siennes, elle sentit son bras lui enlacer la taille, l'attirant contre lui, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde, comme s'ils allaient parfaitement ensemble depuis toujours. Elle sentait le coeur du garçon battre dans sa poitrine, la chaleur irradier entre eux - et le désespoir aussi. Elle passa les doigts dans ses cheveux, un geste qu'elle avait envie de faire depuis qu'elle le connaissait. Ses baisers devinrent plus ardents, passionnés, et tout en inhalant son odeur, pressée de tout son long contre son corps, elle ressentit la force qui était en lui. Elle aurait pu ne jamais s'arrêter de l'embrasser, pensa-t-elle.
Pourquoi avaient-ils dû attendre si longtemps ? Elle avait tant de choses à lui dire, et il lui restait si peu de temps... Elle rouvrit les yeux en battant des paupières.
Wes avait une main sur sa joue, et la regardait intensément.
- Nat... parvint-il à articuler.
- Tout va bien, souffla-t-elle. Quoi qu'il arrive, je sais me défendre.
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La situation n’était pas tout à fait sans espoir, mais c’était comme être attiré par une star de cinéma : la possibilité que le sentiment soit réciproque était très proche de zéro.
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Freya se souvenait de son nom, mais ne se souvenait absolument pas de son passé ni de sa famille. Peut-être avait-elle survécu à la variole et la fièvre lui avait-elle fait perdre la mémoire. Ou peut-être avait-elle été témoin du massacre de sa famille, comme Mercy, et en avait-elle occulté l’horreur. Quand Freya s’efforçait de contempler son passé, elle ne voyait rien. Elle ne savait pas d’où elle venait. Elle se doutait que la douleur sourde en son cœur était due à l’absence de sa famille : elle savait qu’elle lui manquait mais, malgré tous ses efforts, elle ne parvenait pas à se rappeler son père, sa mère, ni les moindres frère et sœur. On aurait dit que quelqu’un avait effacé son passé, le lui avait pris, qu’il s’était envolé comme des feuilles emportées par le vent.
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Elle se liquéfiait dans ses bras. Blottie contre lui, elle sentait son coeur battre sauvagement, au meme rythme que le sien. Lorqu'ils s'embrassaient, elle fermait les yeux et voyait éclater un million de couleurs, splendides et pleines de vie. Il avait une senteurterreuse et luxuriante, chaude et brutale. Cela l'avait surprise : elle se serait attendue à ce qu'il sente la glace, à ce qu'il ne sente rien, et elle appréciait qu'il ait une odeur crue et réelle. Il n'était pas un reve.
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-Viens par ici, gronda-t-il.
Et là , enfin, elle courut , bondit dans ses bras , et tous deux heurtèrent le mur dans une étreinte serrée. Il la souleva avec une aisance gracieuse , couvrant son corps de baisers.
Elle ressera les jambes autour de son torse et se baissa , lui effleurant les joues avec les vrilles de ses cheveux.
Jack.
Elle se liquéfiait dans ses bras.Blotttie contre lui , elle sentait son coeur battre sauvagement , au même rythme que le sien.
Lorsqu'ils s'embrassaient , elle fermait les yeux et voyait éclater un million de couleurs , splendides et pleines de vie.Il avait une senteur terreuse et luxuriante, chaude et brutale . Cela l'avait surprise: elle se serait attendue à ce qu'il à ce qu'il sente la glace , à ce qu'il ne sente rien, et elle appréciait qu'i; ait une odeur crue et réelle.Il n'était pas un rêve.
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"En Enfer, il n'y avait ni jour ni nuit, rien qu'un présent sans limites."
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Ils s'embarquaient pour un voyage vers les ténèbres qu'ils portaient en eux-mêmes.
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Theodora rougit
- Oh, j'aurais dû deviner
Il lui sourit gentiment
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi t'excuser ? Comment est-ce que tu aurais pu deviner? Tu lis dans les pensées, ou quoi ? demanda-t-il
- Mais peut-être bien.
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Ils chantèrent et rirent à tel point que Mal se demanda si ce n'était pas ça le bonheur. Parce que les quatre n'étaient peut-être pas amis, mais ils n'en étaient plus très loin.
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