Michel Plessix

Je suis sorti assez déçu de ma lecture, qui semblait pourtant prometteuse au premier abord.



Tout semblait bien parti avec ce côté animalier sympathique, une mise en image impeccable, des intérieurs qui font typiques cottage anglais et donnent envie d'aller savourer un brandy au coin du feu, le tout dans un ton bon enfant et gentillet, aux petites aventures avec des personnages hauts en couleur et très typés. C'est classique du genre, ça reste tranquille dans le rythme qui est lent pour magnifier la nature environnante et sublimer une vie plus proche de la nature.



Maintenant, je dois bien dire que le scénario est franchement léger, même trop je dirais. C'est un patchwork d'historiettes qui suit progressivement une logique dans les derniers tomes, alors que les premiers ne sont qu'une compilation de découvertes par Taupe des aspects de la vie qui l'entoure (et qu'elle n'a jamais vu auparavant, ce qui reste curieux). C'est fait pour enfant, mais je dirais que c'est trop simple. Le seul personnage ayant réellement de l'épaisseur semble être Crapaud, avec ses lubies et manies, vantard et arrogant. Il est moteur d'humour (notamment à la fin) et j'ai apprécié qu'il reste autant vantard même après toute ses péripéties.

Le problème que j'ai eu aussi, c'est que plusieurs détails m'ont fait tiquer : ils ne travaillent jamais mais ont tous des provisions abondantes, ils sont loin des humains qui sont bien plus grand que eux puis les croisent et ils font la même taille, on se bat pour le manoir de crapaud et le lendemain on est copain … C'est des petits détails, mais ça m'a interpellé dans ma lecture. Comme si l'auteur voulait rester trop "simple" dans son histoire pour enfant, par peur de les perdre.



C'est dommage, j'aurais voulu plus aimer cette série qui a quelques beaux atouts et reste assez sympathique dans la contemplation de la nature anglaise (parfois idéalisée). On sent le côté bourgeois campagnard de l'auteur original, et l'histoire de la recherche du petit loutre est même très poétique. C'est une belle percée de ce que l'histoire aurait pu être, dommage qu'elle reste plus en surface dans les autres épisodes. Après lecture, je me dis que l'auteur est du siècle passé et que ça se sent, y compris dans l'adaptation BD. C'est du moyen, pour ma part. Et au regard d'autres commentaires, je ne suis pas certain que les enfants d'aujourd'hui soient aussi attirés par l'œuvre qu'ils ont pu l'être.

Je suis sorti assez déçu de ma lecture, qui semblait pourtant prometteuse au premier abord.



Tout semblait bien parti avec ce côté animalier sympathique, une mise en image impeccable, des intérieurs qui font typiques cottage anglais et donnent envie d'aller savourer un brandy au coin du feu, le tout dans un ton bon enfant et gentillet, aux petites aventures avec des personnages hauts en couleur et très typés. C'est classique du genre, ça reste tranquille dans le rythme qui est lent pour magnifier la nature environnante et sublimer une vie plus proche de la nature.



Maintenant, je dois bien dire que le scénario est franchement léger, même trop je dirais. C'est un patchwork d'historiettes qui suit progressivement une logique dans les derniers tomes, alors que les premiers ne sont qu'une compilation de découvertes par Taupe des aspects de la vie qui l'entoure (et qu'elle n'a jamais vu auparavant, ce qui reste curieux). C'est fait pour enfant, mais je dirais que c'est trop simple. Le seul personnage ayant réellement de l'épaisseur semble être Crapaud, avec ses lubies et manies, vantard et arrogant. Il est moteur d'humour (notamment à la fin) et j'ai apprécié qu'il reste autant vantard même après toute ses péripéties.

Le problème que j'ai eu aussi, c'est que plusieurs détails m'ont fait tiquer : ils ne travaillent jamais mais ont tous des provisions abondantes, ils sont loin des humains qui sont bien plus grand que eux puis les croisent et ils font la même taille, on se bat pour le manoir de crapaud et le lendemain on est copain … C'est des petits détails, mais ça m'a interpellé dans ma lecture. Comme si l'auteur voulait rester trop "simple" dans son histoire pour enfant, par peur de les perdre.



C'est dommage, j'aurais voulu plus aimer cette série qui a quelques beaux atouts et reste assez sympathique dans la contemplation de la nature anglaise (parfois idéalisée). On sent le côté bourgeois campagnard de l'auteur original, et l'histoire de la recherche du petit loutre est même très poétique. C'est une belle percée de ce que l'histoire aurait pu être, dommage qu'elle reste plus en surface dans les autres épisodes. Après lecture, je me dis que l'auteur est du siècle passé et que ça se sent, y compris dans l'adaptation BD. C'est du moyen, pour ma part. Et au regard d'autres commentaires, je ne suis pas certain que les enfants d'aujourd'hui soient aussi attirés par l'œuvre qu'ils ont pu l'être.

Je suis sorti assez déçu de ma lecture, qui semblait pourtant prometteuse au premier abord.



Tout semblait bien parti avec ce côté animalier sympathique, une mise en image impeccable, des intérieurs qui font typiques cottage anglais et donnent envie d'aller savourer un brandy au coin du feu, le tout dans un ton bon enfant et gentillet, aux petites aventures avec des personnages hauts en couleur et très typés. C'est classique du genre, ça reste tranquille dans le rythme qui est lent pour magnifier la nature environnante et sublimer une vie plus proche de la nature.



Maintenant, je dois bien dire que le scénario est franchement léger, même trop je dirais. C'est un patchwork d'historiettes qui suit progressivement une logique dans les derniers tomes, alors que les premiers ne sont qu'une compilation de découvertes par Taupe des aspects de la vie qui l'entoure (et qu'elle n'a jamais vu auparavant, ce qui reste curieux). C'est fait pour enfant, mais je dirais que c'est trop simple. Le seul personnage ayant réellement de l'épaisseur semble être Crapaud, avec ses lubies et manies, vantard et arrogant. Il est moteur d'humour (notamment à la fin) et j'ai apprécié qu'il reste autant vantard même après toute ses péripéties.

Le problème que j'ai eu aussi, c'est que plusieurs détails m'ont fait tiquer : ils ne travaillent jamais mais ont tous des provisions abondantes, ils sont loin des humains qui sont bien plus grand que eux puis les croisent et ils font la même taille, on se bat pour le manoir de crapaud et le lendemain on est copain … C'est des petits détails, mais ça m'a interpellé dans ma lecture. Comme si l'auteur voulait rester trop "simple" dans son histoire pour enfant, par peur de les perdre.



C'est dommage, j'aurais voulu plus aimer cette série qui a quelques beaux atouts et reste assez sympathique dans la contemplation de la nature anglaise (parfois idéalisée). On sent le côté bourgeois campagnard de l'auteur original, et l'histoire de la recherche du petit loutre est même très poétique. C'est une belle percée de ce que l'histoire aurait pu être, dommage qu'elle reste plus en surface dans les autres épisodes. Après lecture, je me dis que l'auteur est du siècle passé et que ça se sent, y compris dans l'adaptation BD. C'est du moyen, pour ma part. Et au regard d'autres commentaires, je ne suis pas certain que les enfants d'aujourd'hui soient aussi attirés par l'œuvre qu'ils ont pu l'être.

Je suis sorti assez déçu de ma lecture, qui semblait pourtant prometteuse au premier abord.



Tout semblait bien parti avec ce côté animalier sympathique, une mise en image impeccable, des intérieurs qui font typiques cottage anglais et donnent envie d'aller savourer un brandy au coin du feu, le tout dans un ton bon enfant et gentillet, aux petites aventures avec des personnages hauts en couleur et très typés. C'est classique du genre, ça reste tranquille dans le rythme qui est lent pour magnifier la nature environnante et sublimer une vie plus proche de la nature.



Maintenant, je dois bien dire que le scénario est franchement léger, même trop je dirais. C'est un patchwork d'historiettes qui suit progressivement une logique dans les derniers tomes, alors que les premiers ne sont qu'une compilation de découvertes par Taupe des aspects de la vie qui l'entoure (et qu'elle n'a jamais vu auparavant, ce qui reste curieux). C'est fait pour enfant, mais je dirais que c'est trop simple. Le seul personnage ayant réellement de l'épaisseur semble être Crapaud, avec ses lubies et manies, vantard et arrogant. Il est moteur d'humour (notamment à la fin) et j'ai apprécié qu'il reste autant vantard même après toute ses péripéties.

Le problème que j'ai eu aussi, c'est que plusieurs détails m'ont fait tiquer : ils ne travaillent jamais mais ont tous des provisions abondantes, ils sont loin des humains qui sont bien plus grand que eux puis les croisent et ils font la même taille, on se bat pour le manoir de crapaud et le lendemain on est copain … C'est des petits détails, mais ça m'a interpellé dans ma lecture. Comme si l'auteur voulait rester trop "simple" dans son histoire pour enfant, par peur de les perdre.



C'est dommage, j'aurais voulu plus aimer cette série qui a quelques beaux atouts et reste assez sympathique dans la contemplation de la nature anglaise (parfois idéalisée). On sent le côté bourgeois campagnard de l'auteur original, et l'histoire de la recherche du petit loutre est même très poétique. C'est une belle percée de ce que l'histoire aurait pu être, dommage qu'elle reste plus en surface dans les autres épisodes. Après lecture, je me dis que l'auteur est du siècle passé et que ça se sent, y compris dans l'adaptation BD. C'est du moyen, pour ma part. Et au regard d'autres commentaires, je ne suis pas certain que les enfants d'aujourd'hui soient aussi attirés par l'œuvre qu'ils ont pu l'être.

Quatrième et dernier tome de cette série qu’il est impératif de lire dans l’ordre.



Deux petits hérissons qui font l’école buissonnière repêchent Crapaud et vont prévenir Loutre et Rat qui prenaient le thé. Avec Taupe et Blaireau, ils vont mettre tous les cinq à exécution un plan pour reprendre le château de Crapaud qui a été envahi en son absence par les nuisibles, hermines et furets.



L’amitié a encore une très belle place dans ce tome qui donne cependant aussi une grande importance à la propriété avec une certaine vision de la lutte des classes à travers un aristocrate qui devient populaire.



Cette série donne envie de découvrir le roman jeunesse de Kenneth Graham dont il est adapté et bien qu’elle date de plus de vingt ans, elle ne me paraît pas avoir vieilli, dès lors qu’elle est basée sur un monde animalier de la fin du dix-neuvième ou du début du vingtième siècle avec les premières voitures, avions et trains.

Le fils de Loutre a disparu et il est très inquiet. Rat et Taupe vont partir à sa recherche.



La première partie met à nouveau en avant des valeurs d’entraide, dans un décor de pleine lune et des bruits de la nuit, si différents de ceux du jour.



Puis, on enchaîne avec Crapaud et ses turpitudes. Après son emprisonnement, il décide de s’évader, ce qui donne le titre de l’album, L’échappée belle.



Un savoureux mélange de réflexion et d’aventure avec toujours de beaux dessins et des textes travaillés. Une série jeunesse difficile à lâcher !

Le deuxième tome débute par la visite de la maison de Blaireau, une grotte qui mène à une ancienne cité humaine abandonnée. Ce moment fait comprendre à Taupe l’importance d’un logis, d’un refuge où on se sent chez soi, même si on n’y habite pas au quotidien, un lieu où l’on puisse inviter et partager pour vivre heureux.



Cette première partie du deuxième tome est donc assez philosophique, même si c’est toujours un conte animalier pour une lecture jeunesse.



La deuxième partie est en revanche pleine d’actions avec Crapaud qui va même être condamné à vingt ans de réclusion criminelle à l’issue de ses péripéties.



La diversité de ce deuxième tome donne un rythme nouveau !

Le vent dans les Saules, bande dessinée jeunesse en quatre tomes de Michel Plessix est une adaptation du livre de Kenneth Grahame.



Je n’ai pas lu le roman qui semble être un classique de la littérature jeunesse anglosaxonne, et ne peux donc pas faire de comparaison. Cependant, l’œuvre de Michel Plessix est très poétique dans ses textes et dessins et enchante le lecteur qui part à la découverte de l’étang près du bois sauvage et à la rencontre des animaux qui le peuplent.



Dans le premier tome, Taupe termine son grand ménage de printemps, va se promener, fait connaissance avec Rat qui l’emmène pique-niquer, avant de l’inviter à s’installer chez lui. Il lui présente ensuite ses amis, Loutre, bon père de famille, Crapaud, passionné de vitesse et un peu sûr de lui et Blaireau, un sage taiseux.



Ce tome introductif est consacré au décor et à la présentation des personnages. Même s’il n’y a pas encore beaucoup d’actions, l’ambiance donne envie de poursuivre !

J'avoue que j'ai pris cette BD uniquement pour valider un item du challenge et autant le faire avec une BD qui donne envie. Vous ne trouvez pas ces lapinou trop mignons ? C'est comme sur la couverture, aussi mignon dedans que dehors. Les Passiflore, suite à un conte type Père Castor, vont vivre une folle aventure du haut de leurs petites pattes pour chasser un trésor perdu de leur ancêtre ... est-ce vraiment celui de leur ancêtre ? C'est adorable, ce n'est pas inoubliable, cela reste un petit moment de lecture agréable avec un graphisme doux tout en rondeur et bien poilu !

Quelques uns des plus talentueux dessinateurs de l'époque rendent hommage à Renaud, lui-même passionné par le 9ème art. Uderzo signe la couverture avec une parodie du festin de la fin de chaque album d'Astérix, clin d'œil avec Renaud dans le rôle du barde écarté à cause de sa voix de crécelle. Les auteurs reprennent certaines chansons de Renaud ou illustrent certains de ses propos.



Il est très intéressant de voie le monde du chanteur et ses personnages prendre forme. Chaque dessinateur amène sa touche et son univers ce qui fait un ouvrage pas toujours homogène mais permet une découverte sympathique.



Album collector pour le chanteur au foulard rouge et aux santiags.

Il s’agit donc d’une adaptation graphique du roman « Le vent dans les saules « de Kenneth Grahame. 🐸



Nous allons suivre les aventures des habitats du Bois Sauvage . Et il va en arriver des aventures à Taupe, Rat, Loutre, Blaireau et surtout à Crapaud!



J’ai particulièrement aimé le personnage de Blaireau que j’ai trouvé vraiment attachant.



En bref un fort joli album à glisser entre toutes les mains de 7 à 107 ans ☺️ car chacun en aura une lecture selon son âge.

Quel plaisir de découvrir cette Bande dessinée directement adaptée du roman de Kenneth Grahame!

Je n'ai pas eu l'occasion de lire le roman mais c'est prévu !



Coup de ❤️ ! J'ai vraiment adoré cette lecture tout douce, bienveillante et réconfortante !

Une lecture idéale pour la saison je trouve !

Et Les illustrations sont très belles !



Taupe et Rat, tout récemment amis, organisent un pique nique au bord de la rivière.

Un lieu idyllique en cette belle journée de printemps..mais le calme va être de courte durée avec l'arrivée de Monsieur Crapaud, un personnage haut en couleurs aux humeurs changeantes..et aux lubies farfelues!

Les péripéties vont alors s'enchaîner...



Une histoire d'animaux...mais bien plus profonde que cela...l'amitié est mis en lumière ici mais pas seulement..😉

Le thème de cette jolie fable orientale dessinée par Michel Plessix, mis en scène par Franck Le Gall et éditée par les éditions Casterman, nous vient de la tradition, mais il est ici revu largement. L’envie de grandir et de trouver sa place dans ce vaste monde où des prodiges sont encore capables d’arriver est peint avec poésie et délicatesse. Pour le reste, ça suffit de suivre les fourmis…!

Tous ceux qui ont aimé l'adaptation assez fidèle du "Vent dans les saules" de Kenneth Grahame, devraient trouver leur bonheur dans la suite librement inspirée : "Le vent dans les sables".



1er chapitre

Nous retrouvons les personnages de Crapaud, Rat, Taupe, Blaireau...au pays de Bois Sauvage.



Rat fait l'apologie du "Home Sweet Home" dans cette campagne apaisante et accueillante (où l'on s'allongerait volontiers à l'ombre d'un saule).



Mais sa belle certitude vacille quand il croise un congénère marin qui lui raconte sa vie de voyages qui l'a conduit de Malte à l'Irlande à la recherche des ses origines (oui, Plessis adresse un gros clin d'œil à Hugo Pratt et son Corto Maltese !).



Ce récit trouble Rat dont l'imagination gambade elle aussi, vers ces pays lointains : et si la vie était ailleurs ?



2ème chapitre

Ses amis à qui il rapporte cette discussion, ne partagent pas cet esprit d’aventure : "Nous sommes pareils à des graines. Certaines sont emportées par le vent, d’autres tombent là où elles sont nées. Mais toutes germent".

Fin de l'aventure ?



C’est compter sans un Crapaud toujours aussi imprévisible, imprudent et impétueux. Il décide d'aller explorer le monde et va entraîner ses amis à sa poursuite, jusqu'au port le plus proche. Là, ils vont se retrouver pris au piège d’un bateau qui les emporte dans sa cale.



On pourrait penser à ce moment, que ce 1er tome s'arrête là. Or, le récit se poursuit.



3ème chapitre : le voyage démarre vraiment, avec le proche orient en ligne d'émir et les délices d’un trajet en tant que passagers clandestins.



Encore une fois, la poésie, la tendresse, la description d'un monde où règne l'équilibre et l'amitié sont toujours dominants, de même que ce discret humour qu'on retrouve tout du long (une mouche qui cherche désespérément son compagnon Raymond, englouti par une hirondelle, les récitatifs plus ou moins fantaisistes, le mal de mer de taupe…). L'histoire est également une belle réflexion sur l'attrait de l'ailleurs qui pousse les "Marius" à aller voir de l'autre côté de la mer alors que tout incite à rester au chaud, au "Bar de la Marine".



Mais bien entendu, c’est surtout l’'incroyable qualité du dessin de Michel Plessix qui retient l’attention.



Son trait est très fin, juste et précis et offre une abondance de détails proprement hallucinante. Au point que les cases s'avèrent trop petites pour rendre vraiment justice à cette qualité graphique. Du coup, j'ai trouvé que la mise en couleurs pourtant réussie, gênait parfois la lisibilité.



Mais ce ne sont que des détails.

Une grande bande dessinée pour grands et petits.

Un magnifique graphisme.



Cette BD m’a fait de l’œil à Emmaus.

Je ne regrette absolument pas.

L’histoire est issue du roman de Kenneth Grahame, Le vent dans les saules, publié dans les 30.



Cette BD est un merveilleux hommage ce roman, le travail d’illustration est incroyable, magnifique !

Est-ce que cette série est objectivement un chef d'oeuvre ? Je le pense sincèrement car elle possède beaucoup d'atouts. C'est presque de la poésie à l'état pur avec des dialogues entre les personnages assez fins et relevés.



Est-ce que cette série est agréable à lire ? De superbes dessins contribuent à un émerveillement des sens. A lire dans son fauteuil avec une tasse de thé à la main au coin du feu avec les biscuits de grand-mère. Il n'y a que de la douceur et du bonheur.



Est-ce que cette série est faite pour moi ? L'ai-je aimée ? Non, car j'aime les bd d'action, où il se passe quelque chose. Ici, il ne s'agit que de contempler comme quand on s'arrête dans un musée et qu'on passe une heure à voir tous les détails d'un tableau. Magnifique mais vide !



Ce ne sont pas les questions existentielles qui concluent chaque tome qui vont refaire pencher la balance ; des questions du style : est-ce que Crapaud finira ses jours au fond d'une geôle humide ? On se moque presque gentiment du lecteur. Je sais bien que le propos est ailleurs. Cependant, il faut adhérer à ce style de littérature bd.

Julien est parti à Guernesey se reposer . Mais un jour qu'il emmène le petit garçon, Daniel , d'un résident de la pension de famille ou il vit , celui - ci disparait .

Julien va mener l'enquête pour retrouver le petit Daniel .





Entre problème de séparation , souvenirs d'enfance , une belle BD pleine de tendresse .

Dessins et couleurs au top .

Le jeune Saïd avait une marotte : savoir où allaient les fourmis. Il se baladait ainsi dans toute la ville, les suivant pour avoir la vérité. Mais un homme, qui n’était autre que son grand-père, lui demanda de le suivre. Il l’amena dans le désert, garder des chèvres. Saïd se désespérait déjà lorsque la plus vieille des chèvres lui parla…



Ce très joli conte dépaysant nous embarque dans les légendes orientales mais également dans une certaine philosophie. C’est joliment dessiné, c’est plein d’humour et de charme… Bref, je me suis régalée à la lecture de cet album.
Lien : https://promenadesculturelle..

L'édition intégrale des aventures de Julien Boisvert qui reprend les 4 tomes de la série est plutôt agréable à feuilleter.

Julien Boisvert est un jeune homme pas très mature habitué à son petit confort, couvé par ses voisines retraitées. Pour ne pas supporter le retour de sa mère, une pianiste renommée très égoïste, Julien va accepter une mission en Afrique. Ce voyage initiatique fera de lui un homme. Puis il va continuer ainsi ses voyages dans les autres tomes et faire de nouvelles rencontres.

L'évolution de notre héros est interessante, mais j'ai quand même eu dû mal à m'attacher, je me suis plus attaché à son chien Gilbert 😋

C'est un album qui se lit facilement, mais dont je ne garderai pas un souvenir mémorable.

Une adorable BD avec de très jolis dessins (le dessinateur de la série "Du vent dans les saules" et "Du vent dans le sable". C'est joli, l'histoire est gentillette, sûrement adaptée à un humour de jeunes enfants. Mignon tout plein. En tant qu'adulte, je ne pense pas la relire forcément un jour mais c'est adorable pour la lire à un très jeune enfant. Plein de fraîcheur et de gaieté.
Lien : https://joy369.unblog.fr/