Miki Yoshikawa

Second tome de Yamada-kun to 7 Nin no Majo.





Après un premier tome qui posait tranquillement les bases, sans rien dévoiler sur les 7 sorcières, ce tome-ci se révèle bien plus intéressant sans toutefois tomber dans la surenchère de pouvoir, qui aurait eu un effet néfaste sur le manga.





L'intrigue se complexifie et nous révèle de nouveaux personnages, qui constituent une vraie bande diversifié, ce qui apporte de nouveaux ressorts scénaristique. On conserve bien évidemment les deux personnages de départ, car les intrigues passent encore souvent par le pouvoir de Yamada.





Dans la lignée du premier tome, on prend beaucoup de plaisir à suivre les diverses aventures qui prennent la forme d'enquêtes fort bien menées et s'étendent à présent sur plus d'un chapitre.





Un manga qui ne déçoit pas et devient de plus en plus intéressant !

Les choses deviennent de plus en plus compliqué pour Yamada et les siens. De nouveaux personnages se dévoilent, et on en sait à présent un peu plus sur les pouvoirs et notamment sur les 7 sorcières.



Je n’en dirais pas plus mais ce que l’on pensais comme acquis, ne l’est plus vraiment. Nul doute que nous découvriront d’autres sorcières au fil des tomes, et que le mélange de pouvoirs apportera de nouvelles intrigues.



L’auteure maitrise vraiment bien son sujet, elle n’en fait jamais trop et ne tombe pas dans les clichés. Il n’est pas étonnant que ce manga fonctionne aussi bien (24 tomes au japon, toujours en cours de parution tout de même). La maison d’édition Delcourt a fait une très bonne acquisition, il ne leur reste plus qu’a rattraper le retard sur la parution japonaise.

Miki Yoshikawa, l’auteure de "Drôles de racailles" signe ici sa seconde série. Pour info, la mangaka n’est pas n’importe qui puisqu’elle a été l’assistante de Hiro Mashima (auteur de Fairy Tail et Rave) ce qu’on ne manque pas de remarquer par son style graphique. Les choses commencent donc plutôt bien car le style graphique sans être révolutionnaire, se contente de faire son travail pour nous offrir une lecture en toute simplicité.





L'histoire est également fort sympathique puisque nous faisons la connaissance de Ryu Yamada un mauvais gars (un peu à la GTO) qui ne s’attire pas vraiment la sympathie de ses camarades. L'autre personnage, la belle, Urara Shiraishi est par contre l’une des meilleures élèves de l’établissement et bien qu’elle soit solitaire, elle fait partie des demoiselles les plus appréciées.





Ces deux êtres que tout oppose, vont un jour, se rencontrer au détour d'une chute dans un escalier. AU cours de leur chute et leur roulé-boulé les deux ados vont s'embrasser (sans le vouloir) et se réveiller dans le corps de l'autre !





Vous vous doutez bien qu'avec des caractères si différents, les situations cocasses vont êtres monnaies courantes. En s’embrassant, Yamada et Urara peuvent donc changer de corps, un pouvoir très pratique, mais qui peut également apporter son lot de problème.





Et c'est là que vous me demandez qui sont les sept sorcières mentionnées par le titre ? Hé bien pour le moment, nous n'en savons rien, et honnêtement, nous n'avons pas le temps d'y penser, tant ce premier tome est rythmé et nous présente les deux personnages majeurs.



J'ai lu actuellement les trois premiers tomes, et je peux vous confirmer que les sorcières se montrent peu à peu, donc pas d'inquiétude sur le titre. Le tome 5 devrait sortir le mois prochain en France. Au Japon, ils en sont au tome 21, donc si la série vous plait, vous êtes partis pour un long moment.



Le seul petit bémol, est le titre, mi-japonais, mi-anglais. Je ne sais pas qui ce sont les éditeurs français qui choisissent les titres ou s'il s'agit des japonais, mais j'en ai un peu marre de trouver des titres japonais, traduit en anglais alors que nous sommes en France. J'aurais préféré qu'ils le laissent tout simplement en japonais.



Après Shokugeki no Soma qui devient Food Wars, Akame Ga Kill qui devient Red Eyes Sword, nous avons donc Yamada-kun to 7 Nin no Majo qui devient Yamada-kun & the 7 Witches. Je fait peut-être mon râleur, mais soit on traduit dans la langue du pays, soit on conserve le titre original, on ne fait pas un titre batard, qui la plupart du temps n'a rien à voir avec le titre original soit-dit en passant.



Hormis ce bémol sur le titre (qui n'exaspère sans doute que moi (^-^) ) j'ai beaucoup aimé ce premier tome qui propose de belles choses, sans tomber dans la facilité. Une très bonne découverte !

Les traits du dessinateur sont fins.

Les personnages sont caractéristiques des mangas avec des grands yeux et des physiques assez similaires.

Le manga est en noir et blanc.

Comme tous les mangas il se lit à l'envers, mais les cases ne sont pas toutes bien rangées, on s'y perd un peu au début.



Je recommande, c'est sans prise de tête, et l'histoire est sympa.

Les traits du dessinateur sont fins.

Les personnages sont caractéristiques des mangas avec des grands yeux.

Ce manga est en noir et blanc.

Comme tous les mangas il se lit à l'envers.

L'ordre n'est pas simple à suivre, on est vite perdu.



Je recommande même si ce tome 2 est assez semblable au tome 1, pas très original.

Un second tome dans la lignée du premier, où délires et situations débiles se succèdent pour mon plus grand plaisir.

Un manga parfait pour se vider la tête !

La découverte des sorcières continue, avec toujours autant de malice et d'humour irrévérencieux. Le mélange de fun et d'univers intelligent et cohérent est toujours aussi bluffant.

Une série extrêmement maîtrisée qui se donne des airs relax !

Un premier tome bien fun, qui m'a fait éclater de rire. C'est bien débile mais en même temps les personnages sont sympathiques !

Par contre le titre reste énigmatique, pas de sorcière en vue pour le moment... Suspense pour les prochains tomes que je vais lire avec plaisir.

Un livre sympa pour les ados, qui traite de différents sujets d'actualité : l'égalité fille- garçon, la richesse, l'échange de bébés à la naissance, les relations hommes-femmes au Japon...des sujets très intéressants mais on a la sensation que l'auteur a voulu parler de tel sujet, puis celui la, puis celui la... À tel point qu'on ne saisit plus vraiment le sens premier de l'histoire. Peut être est ce un défaut de traduction, ou que l'histoire sera plus compréhensible dans les tomes qui suivent. Néanmoins, ça a le mérite de traiter de sujets qui portent à réflexion et c'est intéressant pour les jeunes.

Le concept est toujours très bien traité, avec beaucoup de fun et d'imagination.

Le mangaka semble avoir un plan très précis, ce qui est rassurant ! D'autant plus qu'un tel concept semble facile à épuiser rapidement.

Un concept classique, mais très bien traité.

Le manga est très fun et bourré de promesses.

(par contre, pas de sorcière à l'horizon :p)

Toujours soucieuse de tenir au mieux son rôle de déléguée de classe, Hana Adachi n'en finit pas d'entraîner Shinigawa dans des aventures rocambolesques, sous prétexte de le remettre dans le droit de chemin. Le jeune homme freine des quatre fers mais finit toujours par céder devant l'insistance de sa camarade de classe.





Un deuxième tome dans la lignée du premier: une suite d'historiettes avec toujours le même schéma. Sans être follement hilarant, on finit par se prendre au jeu et on lit tout cela avec un certain plaisir. On s'attache d'autant plus aux personnages qu'on en apprend un peu plus sur eux. Le mangaka dévoile certains aspects d'Hana: son cadre de vie, sa famille et ses accointances avec de puissants personnages...A suivre donc.

Un tome tendu qui fait avancer l'histoire mais qui n'oublie pas la dose de débilité. Un équilibre qui fonctionne !

Les personnages sont de plus en plus barrés et j'adore ça !

Vivement la suite.

Adachi et Shinagawa n'ont a priori rien en commun.



Elle, c'est la déléguée de classe à l'allure d'intello, collée aux profs et sans amis.



Lui, c'est le rebelle, celui qui sème la terreur lorsqu'il prend la peine de venir en cours _ fait plutôt rare, en fin de compte : il préfère de loin s'enfermer dans les toilettes et fumer des clopes, assis sur le trône.



Voilà l'image que les deux lycéens se construisent et qu'ils projettent aux autres ; et le moins qu'on puisse dire, c'est que tout le monde y croit.



Mais en réalité, Adachi est une "racaille repentie", redoublante, complètement larguée en cours car elle est occupée H24 à refouler ses accès de violence. Shinagawa, quant à lui, n'est pas si hautain qu'il en a l'air : c'est juste une grosse feignasse parmi tant d'autres.



Lorsque Adachi voit en Shinagawa la seule personne qui puisse vraiment la comprendre, elle décide de le suivre à la trace et d'avoir son soutien coûte que coûte : à eux les séances de piscine et les "sorties culturelles".
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Cette comédie romantique à la sauce shônen et avec ses faux airs de Love Hina continue de me plaire plus que tout. J’aime le ton léger et frais de ce manga, mais également les différentes personnalités de nos protagonistes.



Les filles, dans ce nouveau tome, vont se lancer une guerre sans merci pour les beaux yeux de Nagi qui, même s’il aime Hiro, ne sait plus où donner de la tête. Sa relation avec sa petite sœur qui n’est finalement pas du même sang que lui est de plus en plus ambiguë même si pour moi, ce qu’il ressent à son égard reste de l’amour fraternel. D’ailleurs les premiers chapitres de ce neuvième tome semblent le confirmer.



Quant à Erika, elle est certainement celle qui est la plus ambiguë. On ne sait pas trop ce qu’elle pense vraiment de Nagi. On a l’impression qu’elle ne voit en lui que ce frère qui est absent, pour le reste, elle le traite avec une certaine brusquerie. Pour ce qui est de Hiro là encore, c’est une autre histoire. Et puis… comme si ce n’était pas assez compliqué, une nouvelle fille fait son entrée, la meilleure amie d’enfance de Nagi qui est toujours amoureuse de lui.



Durant les festivités d’été organisées par le sanctuaire de la famille de Hiro, des révélations vont être faites et nous avons aussi droit à quelques petits rebondissements bien placés.



Dans l’ensemble, cette suite reste à la hauteur des débuts de l’histoire. Les personnages se révèlent un peu plus à chaque tome qui passe et les situations se complexifient, ce qui amène son lot de quiproquos, mais ça reste toujours aussi drôle à suivre.
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Cette lecture se fait sans peine. Le dessin est sympa, clair, lisible. On prend plaisir à suivre ces "racailles" qui nous montrent tome après tome... ne pas être tant racailles que ça !
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Après ma lecture du neuvième tome, j’ai profité d’avoir ce tome ci sous la main pour continuer ma lecture. Puis bon, la façon dont se termine le tome précédent m’a encore plus donné envie de découvrir ce qu’il peut bien se passer dans celui ci! Je n’ai pas été de cette lecture, je crois bien même que c’est un des tomes que j’ai préféré lire jusqu’ici. Déjà que d’habitude je rigole beaucoup avec ce manga, là c’était encore pire! Enfin mieux pour le coup. Vraiment un excellent tome encore une fois!



Dans ce dixième tome, n peut dire qu’Aï a mis un sacré bazar dans la vie de Nagi ! Les médias se régalent de leur relation, le pauvre ne sait plus où se mettre… Heureusement, la mère d’Erika prend les choses en main et l’enferme pour quinze jours dans une chambre d’hôtel, le temps que le scandale retombe. Sauf qu’elle a la bonne idée de le cloîtrer avec Erika. Les fiancés vont donc passer deux semaines en tête-à-tête ! Et Hiro dans tout ça ? Je ne sais pas ce que Nagi lui a dit mais elle est dans tous ses états !



Ahlala qu’est ce que j’ai pu rire pendant ma lecture! La mère d’Erika c’est vraiment une malade, elle m’a tué de rire. Elle décide d’enfermer Erika et Nagi pendant deux semaines dans une chambre d’hôtel parce qu’elle ne trouve pas ça normal qu’ils n’ont pas encore couchés ensemble. Qui fait ça franchement? En plus, elle prend un malin plaisir à les observer, limite à les torturer. Vraiment elle m’a fait mourir de rire, c’est une grande malade sérieux! Clairement on voit bien de qui elle tiens Erika, même si c’est la mère biologique de Nagi. Je ne pensais pas du tout que sa mère réagirait de cette façon, c’est tellement inattendu de la part d’une mère que ça nous prend totalement par surprise. Mais je trouve ça vraiment excellent c’est à mourir de rire. Par contre la fin! Je ne m’y attendais mais tellement pas!! J’ai le cerveau qui bouillonne et je me pose trop de questions, vivement la suite!



Je n’ai qu’une envie: avoir le prochain tome dans les mains! J’ai limite besoin de réponses le plus vite possible! C’est pas possible de nous laisser sur un suspense pareil dis donc. Comme je l’ai déjà dit, je crois que ce tome c’est celui que j’ai préféré lire depuis le début. Les autres sont vraiment très bon mais celui là est un cran au dessus pour moi tant il est drôle!
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Je suis déçue car je m'attendais à ce qu'ils cherchent Hana et donc qu'ils apprennent ce qu'elle est et qu'ils soient tous heureux de la retrouver. Là, ils avancent tous de leur côté



et malgré qu'ils sachent qu'ils ne la reverront probablement jamais, on dirait qu'ils s'en fichent...



Elle est où la belle amitié du début ? Sans Hana ce n'est pas pareil...



Et je suis trop dégoutée par la fin, elle n'a ni queue ni tête.

Première lecture de février ! ❄ (et ma première critique sur Babelio, d'une longue lignée, j'espère ! )

Ce fut un excellent moment dans l'ensemble avec en supplément une bonne partie de rire. 🤣

Ce n'est pas une surprise au vu des 6 premiers tomes très bons ! 🫠

Néanmoins, à certains moments, nous pouvons douter de qui dit quoi. Je m'explique : certaines bulles sont dessinées de telles sortes qu'on hésite entre les personnages pour savoir qui a énoncé quelle parole...

Dans tous les cas, le graphisme est très plaisant.

Si vous deviez retenir une seule chose de ma critique, ce serait allez-y : lisez A couple of Cuckoos !

Qu'en pensez-vous ?

Un manga qui porte bien son titre ! Il y a bcp d'humour et l'action se met en place rapidement. J'ai bien ri lors du passage où ils révisent ensemble, surtout lorsque Hana ne fait "que" surligner le manuel ^^, c'est débile mais ça fonctionne à merveille !