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Critiques de Mireille Gagné (136)
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Le lièvre d'Amérique

Il est difficile de mettre des mots sur cette fable qui m’a pourtant captivée et que j’ai savourée même après lecture pour réunir tous les éléments et continuer à les apprécier. Le tout est envoûteur grâce à une plume très délicate qui dégage une  atmosphère apaisante du livre.



Un récit également  captivant par les contrastes entre l’histoire, le personnage principal Diane et le rythme. 



Diane est pressée, Diane veut être la plus performante allant jusqu’à tenir rancune aux personnes plus performantes qu’elle au travaille. Pour améliorer son rendement au travail et diminuer ses besoins notamment en sommeil, elle est passée par une opération chirurgicale. Mais la convalescence ne se passe pas comme prévu et s'apparente à une métamorphose.



Il y a trois récits, trois temps :



*Celui de Diane à la troisième personne après son opération chirurgicale.



*Celui de Diane à la première personne qui parle de la disparition de son ami d’enfance.



*Enfin, la description des caractéristiques du lièvre d’Amérique.



Ces trois récits donnent un rythme saccadé et contrasté. Il y a un contraste entre la course à la performance de Diane et l’atmosphère posée, calme des récits et la beauté de la plume sur laquelle on s'attarde pour savourer. 



Enfin, la légende décrite dans l’épilogue est juste magnifique et tout cela pour moi grâce à cette sublime plume. Oui, je me répète mais c’est magnifique.



Et c’est au cour d’une rencontre @vleel que j’ai eu la chance de découvrir cette maison d’édition et que j’ai flashé sur ce titre. 



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Le lièvre d'Amérique

Mélangeant les formes littéraires, Mireille Gagné nous interroge sur le surinvestissement professionnel et la pression de la perfection, sur notre mode de vie néolibéral qui nous asservit, nous éloigne de la nature et de nos instincts.



Diane se surinvestit dans son travail mais ce n’est jamais assez. Pour gagner en performance elle n’hésite pas à subir une intervention qui modifie sa génétique. A l’image du lièvre d’Amérique, dorénavant elle aura toujours les sens en éveil, elle aura besoin de moins en moins de sommeil. Les effets secondaires ne vont pas tarder à apparaître... Et si ce surinvestissement n’était qu’une façon de combler un vide, de maquiller des cicatrices ?



Alors que le récit glisse de nos névroses modernes vers l’universalité des légendes algonquiennes, Le lièvre d’Amérique tente de rattraper « celles et ceux qui se sont égarés ».

C’est bref, c’est tranchant, c’est malin, c’est à lire.
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Le lièvre d'Amérique

Texte envoûtant, inclassable et emprunt de magie, Le lièvre d'Amérique est un livre très surprenant comme les éditions La peuplade savent si bien nous en proposer. C'est un premier roman rythmé qui traite de l'aliénation par le travail, du lien à la terre natale et de la nature.



Diane a voué son existence à son travail. Elle a tout réglé dans sa vie pour être productive et pour être tout le temps en forme. Mais elle reste humaine et doit parfois dormir. Quand une nouvelle employée plus efficace et plus dynamique qu'elle arrive, Diane en souffre. Mais il y a peut-être une solution, une solution qui va transformer son métabolisme et la rendre encore plus productive. Quinze ans plus tôt, alors que Diane vivait avec ses parents sur sur l'Isle-aux-Grues, elle passe un été marquant auprès d'un ami énigmatique. Le roman avance par fragment en alternant le passé, le présent et des passages documentaires sur le lièvre d'Amérique.



Plus Diane avance dans sa transformation plus les souvenirs de son adolescence remontent. Sa quête abrutissante d'exemplarité salariale l'avait détournée de ses racines. Au fur et à mesure que son corps change, ses préoccupations évoluent. Elle repense à ce premier amour qui libérait les lièvres pris au piège et observait les aigles royaux. Son côté animal, son expérience passée de la nature remonte. Une forme d'instinct enfoui s’éveille et devient la clef de sa libération. Cette terre natale détestée à l'adolescence est finalement celle qui l’appelle, celle vers laquelle elle revient.



A la manière d'une parabole, le roman nous invite à penser notre société hyper productive et déshumanisée. Diane est un archétype, une figure presque magique qui pointe un dysfonctionnement. Face à cela l'autrice n'offre pas de solution ou de voie toute tracée. La forme fragmentaire du livre laisse le soin au lecteur de trouver ses propres clefs de compréhension. Le roman s’achève sur une légende, sur un sens possible à l'ensemble.



Le livre est court, rythmé et se lit d'une traite. On en sort un peu hagard, un peu perdu face à l’étrangeté de l'ensemble.Il fait partie de ses textes qui marquent, qui laisse une trace en nous et nous habite bien après la lecture. L'écriture est poétique, changeante et percutante. Elle s'adapte aux temps du récit et aux états d'esprit de l’héroïne. Suivant les parties le pronom employé change également, symbolisant ainsi les différents états d'esprit de Diane.



C'est une curiosité littéraire profonde et envoûtante que je vous invite à découvrir car on en ressort pas complétement indemne.
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Le lièvre d'Amérique

Diane se réveille d'une opération qui n'a jamais été encore exercée sur un être humain. Elle sent alors des déreglements énormes et ses sens se voient surmutiplies , son endurance physique et professionnelle. Mais quelle est donc cette mystérieuse intervention qu'elle a subi?



Qu'est ce qui vous donne envie d'ouvrir un livre 📙 dont vous ne connaissez pas l'auteur ? Pour le lièvre d'Amérique, j'ai été attirée par la couverture, par l'étrangeté de l'histoire (une employée qui subit une intervention pour être encore plus productive au travail), par la maison d'édition, la Peuplade, indépendante mais à la programmation très étonnante .



Je ne suis pas une adepte de fables (je suis même passée à côté de plusieurs livres unanimement salués et présentés comme contes) mais je me suis laissée totalement embarquer sans résistance dans la vie de Diane : dans son présent, après l'intervention; dans son adolescence (qui éclaire ce qu'elle est devenue); dans son passé proche avant l'opération.



J'ai été frappée par les longues phrases de Mireille Gagné, romancière québécoise dont c'est le premier roman.



Des phrases sans point ni ponctuation, qui traduisent si bien que Diane ne veut pas s'accorder une miette de temps pour elle, comme si elle était en apnée permanente, obsédée par le culte de la performance, et en quête d'une forcément illusoire perfection absolu de sa vie



"Pour calmer son anxiété de performance et économiser des secondes Diane compte perpétuellement le nombre de pas séparant son appartement de son travail de marches entre chacun des étages de secondes entre son bureau et celui de la femme qu'elle déteste le temps que ça lui prend pour remplir une bouteille d'eau d'attendre chez le médecin que le photocopieur finisse sa phase de réchauffage elle compte les aliments absorbés par chaque aliment et dépensées sur le vélo stationnaire les murs qui l'entourent les lumières dans son appartement son bureau les craques sur les trottoirs les lettres dans chaque mot qu'elle écrit ...."



Un livre court et puissant sur les dérives du tranhumanisme qui fait forcément penser aux Truismes de Marie Darrieusecq, avec une toile de fond plus contemporaine, car l'auteure réussit aussi une critique subtile mais efficace du tout- libéralisme.



Un récit empreint de poésie où les sensations liées au corps sont omniprésentes, comme si cet éveil sensuel lié à la nature, nous l'avions étouffé, dans notre course au toujours plus.



A lire si vous cherchez un roman atypique et surprenant !
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Le lièvre d'Amérique

Mireille Gagné, Le lièvre d’Amérique - 2020 - Roman québécois - ⭐️⭐️⭐️



Quel étrange roman ! Mireille Gagné, sur un mode légèrement poétique, nous présente quatre moments de la vie de Diane, tourmentée par sa relation avec Eugène et son île et sa propre transformation. Pour ponctuer le récit, des informations sur la vie du lièvre et un épilogue qui nous laisse songeur. J’ai aimé l’écriture nerveuse de Mireille Gagné, le mystère qui entoure les personnages et qui continuera de résonner en moi. J’hésite entre trois ou quatre étoiles, mais j’ai aimé et lu avec plaisir.
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Le lièvre d'Amérique

Poignant, magistral, « Le lièvre d’Amérique » est un cri dans la nuit. Un livre claquant, inoubliable, d’une beauté d’écriture inouïe. Une nage éperdue dans l’eau glacée, rebelle de l’Isle-aux-Grues, terre natale de Mireille Gagné. La trame est liant, mouvement et vérité. Papier calque de cette nature rebelle, sauvage et dissidente. Diane est ici. L’enfance habillée de ressacs, de grondements. Grandissante dans cet été des quinze ans avec Eugène, son ami, si énigmatique et imprévisible. On ressent l’envergure sentimentale, d’approches, de regards, de découvertes des lieux secrets, cherchant des yeux les traces du lièvre d’Amérique. Métaphore de ce qui ne se prononce pas. Il est ici ; le lièvre mythique. On le voit, le sent, l’interpelle. Dans ces forêts sombres, le profond des pages ; décrit à merveille, cycle de cette fable parabolique. Que ce livre est majestueux ! Ecoutez ces enfants écueils. Diane perdue dans les émois d’un premier amour. « Diane se réveille ». La voici, adulte, solitaire, travaillant jusqu’au creux de la nuit. Noyée dans l’opératif, déchirée, perdue. Ombre d’Eugène, gouffre abyssal. Automate, perdue dans les profondeurs intestines d’un plus, toujours mieux, plus longtemps. « Pour calmer son anxiété de performance et économiser des secondes Diane compte perpétuellement le nombre de pas séparant son appartement de son travail de marches entre chacun des étages, de secondes entre son bureau et celui de la femme qu’elle déteste. » Cette satire des temps modernes, ce choc de contemporanéité est une parabole. Crissures sur la glace, miroir déformé, l’hédonisme refoulé. Un quotidien étranglé d’angoisses. Le lièvre d’Amérique court de plus en plus vite. S’échappe des mailles des diktats sociétaux. Diane, «… compte pour combler le vide mais le malheur ne se dénombre pas. » Diane est égarée dans son propre labyrinthe. Ne trouve plus sa voie. Ces questionnements, ce trop-plein d’activités sont une armure à briser. Va-t-elle trouver la croisée des chemins ? Suivre les empreintes du lièvre d’Amérique ? Diane va-t-elle renaître de ses cendres tel Le Phénix ? Eugène est-il le double de ce lièvre ? Ce récit est une merveille à l’aube née. Mireille Gagné est douée, très. Cette fable emporte les vents contraires. Assigne au passage des possibilités. On est pris de vertige au sommet des falaises. Les vagues frappent, mais les larmes sont rédemptrices. Ici, dans cette île bat le cœur d’une femme qu’on aime de toutes nos forces. Pelage de lièvre, mythe écarquillé, Eugène-Nanabozo. Dualité et retrouvailles. « Le lièvre d’Amérique » est initiatique, culte. Publié par les majeures Editions « La Peuplade ».
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Le lièvre d'Amérique

Que nous raconte ce Lièvre d'Amérique ?

Spontanément, je répondrais : une transformation.

Mais ce récit est autre chose. Il est un condensé de 138 pages dans lequel Mireille Gagné imbrique harmonieusement les quatre points cardinaux de cette histoire : la nature, l'amitié, la métamorphose, le travail. Le lien entre eux se fait de façon fluide, sans accroc.

Le tout est auréolé de mystère, d'une pointe de futurisme.

L'auteur adapte son écriture au point cardinal qu'elle convoque : l'écriture est tantôt normative, tantôt libérée de toute ponctuation.

Enfin, il est savamment concocté donc habilement dosé.



Je ne peux que vous recommander d'aller vite attraper chez votre libraire "Le lièvre d'Amérique".







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Le lièvre d'Amérique

lternant les souvenirs d'adolescence de Diane et de son ami Eugène dans une nature sauvage où ils évoluent en parfaite harmonie, descriptions naturalistes de l'animal qui donne son titre au roman et récit d'une Diane adulte se remettant d'une mystérieuse intervention destinée à la rendre encore plus performante, le texte de Mireille Gagné alterne les tonalités et les temporalités sans jamais perdre son lecteur.

L'écriture est étonnante de véracité et de poésie , tant dans les sentiments que dans les descriptions de la nature et c'est par petites touches que se découvre une transformation qui pourrait aussi bien appartenir à l’univers du conte qu'à un futur très proche, tant les manipulations génétiques deviennent monnaie courante.

On suit de l’intérieur la métamorphose de Diane ,accro au boulot, qui s'est coupée de tout et de tous ( surtout de la nature, en fait)qui est devenue une proie et agit en tant que telle. On l'accompagne dans cette transformation, le souffle court, le cœur battant, espérant que la jeune femme s'en sorte.

A noter que l'autrice fait la part belle au vocabulaire maritime et au parler rural de l'île aux grues, île située sur le fleuve Saint-Laurent, donnant ainsi plus de véracité à son texte, mais aussi de précision et de charme.

S'inscrivant dans la lignée de La femme changée en renard de David Garnett , ou plus acide et violent de Truismes de Marie Darrieussecq, Le lièvre d’Amérique renouvelle le genre , par sa poésie et son amour de la nature, et se prête comme ses prédécesseurs à de multiples interprétations. Un grand coup de cœur pour ce récit envoûtant !

Et zou, sur l'étagère des indispensables.
Lien : http://www.cathulu.com/archi..
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Le lièvre d'Amérique

Le souvenir, et ses mythes, comme ultime résistance à la croissance contemporaine, son accélération et ses insomniaques infaillibilités. Prisonnière de la quête de la performance, une femme subie une mystérieuse mutation, la vacuité de son désir de performance la renvoie à son enfance, sa magie et ses disparitions. Le lièvre d'Amérique enchaîne description clinique des vertiges de l'aboulie du capitalisme et lyrisme, tout en délicatesse, dans l'évocation de l'île enfantine. Mireille Gagné signe une allégorie délicieusement irrésolue, une poursuite animale des sensations retrouvées.
Lien : https://viduite.wordpress.co..
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Le lièvre d'Amérique

Encore une réussite aux éditions La Peuplade. L'aspect documentaire sur le lièvre, très intéressant, ajoute au récit des transformations de l'héroïne une note à la fois réaliste et magique. Coup de cœur particulier pour les chapitres concernant l'adolescence, la nature. C'est beau!
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Le lièvre d'Amérique

Aaaah La Peuplade.

J'ai découvert cette maison d'édition québécoise il y a quelques mois et depuis j'en suis accro. Charte graphique identifiable à ce trapèze horizontal, couverture et papiers qui semblent fragiles, noms d'auteurs presque exotiques, petit phare bicolore, en somme grosse qualité éditoriale, romans comme poésies.



Après l'émerveillement provoqué par cette si belle couverture, on a tendance a se créer d'énormes attentes sur une œuvre. L'objet-livre en lui-même est ici épuré, mystique, et il active de nombreuses zones du cerveau : excitation, imagination.



Dans ce roman court où le réalisme magique n'est jamais très loin, l'émotion infuse en douceur dès les premières lignes, comme une verveine un soir d'hiver. C'est vraiment remarquable comme on est rapidement envoûté par ces personnages. La Diane adulte au bord du burn-out, celle plus jeune éperdument amoureuse. Eugène mystérieux. Les chapitres sont relativement brefs, pourtant les séquences tapissent votre mémoire durablement, les alternances de temporalité et de style apportent beaucoup de fraîcheur, d'imprévisible. Tout comme les descriptions zoologiques finement dispersées dans l'œuvre, éclairant les comportements humains.



C'est aussi un beau texte sur l'appartenance à une terre. Ici, à une culture insulaire, un lieu hors de tout, difficile à quitter ou bien enraciné pour toujours.



J'ai trouvé le passage où Eugène et Diane traquent l'aigle royal dans le ciel, jusqu'à la mort tragique du lièvre, d'une beauté exceptionnelle. L'auteure aura réussi à m'arracher une larme tant son écriture est pure, juste et équilibrée.



Mireille Gagné, bravo, car cestcvraiment un très beau roman!
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Le syndrome de takotsubo

Le syndrome de takotsubo, aussi nommé syndrome des cœurs brisés, est une maladie cardiaque provoquée par un stress émotionnel important. Dans ses nouvelles, Mireille Gagné capture ces fulgurances; ces moments d'émotion intense qui bousculent la vie de ses personnages; ces éclairs de vérité crue qui, en l'espace d'un battement de cœur, changent tout. Des récits épiphaniques courts, habiles et touchants, où les mots palpitent et la poésie agit comme un défibrillateur pour l'âme!



On a tous droit à une seconde chance...
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Noirceur et autres couleurs

Ce court recueil de nouvelles surréalistes s'adresse aux adolescents. Je crois, cependant, qu'une certaine maturité et un certain niveau de lecture sont nécessaires pour pouvoir en apprécier toutes les subtilités. C'est peut-être un peu trop "littéraire" pour le lecteur adolescent moyen. Moi, par contre, j'ai adoré!



Les nouvelles mettent en scène de jeunes personnages plongés dans des situations familiales difficiles, comme le divorce, la violence conjugale, l'inceste ou le deuil, mais tous ces sujets délicats sont abordés de façon très métaphorique. La narration poétique et un peu naïve adoucit la dureté des réalités racontées et apporte un peu de couleur à toute cette noirceur.



Ce sont vraiment de très beaux textes, chargés d'émotions et débordants d'imagination. Que ce soit pour sourire d'attendrissement et pleurer en même temps à toutes les deux pages, pour faire découvrir la littérature avec un grand "L" aux jeunes lecteurs ou simplement pour replonger dans la magie de l'enfance, ce petit livre est un must read!
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Le syndrome de takotsubo

Ces courts récits originaux font penser, oui, à de fines estampes japonaises. Éthérées et touchantes à la fois.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..
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Le syndrome de takotsubo

Magnifique recueil de nouvelles, au nombre de dix-sept, qui mettent en scène des histoires dans lesquelles le coeur ne flanche pas au moment attendu. Certains héros, rencontrés en début de recueil, se retrouvent dans d'autres textes, au fil du volume. Une façon originale de figurer la filiation.



Je vous conseille donc vivement ce livre, qui vous permettra de découvrir des destins peu communs dans des nouvelles de longueurs variables.
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Minuit moins deux avant la fin du monde

J'ai découvert cette auteure récemment lors d'une lecture publique. Ses poèmes prennent la forme de petites histoires habilement tournées et très évocatrices. L'ensemble crée un genre de conte bizarre peuplé de personnages en mal de vivre. C'est créatif, touchant et facile à lire. J'ai adoré!
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