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Critiques de Mitch Albom (310)
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

malgré une intrigue très intéressante et qu'il se lise facilement je n'ai malheureusement pas accroché à l'histoire. Un livre très décevant pour moi. je pense pas lire d'autres livres de cet auteur. heureusement que j'ai pu le livre très rapidement. ennuyeux
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Très belle histoire qui m'a procuré beaucoup d'émotions. Le thème de la vie après la mort est très souvent traité dans les livres mais j'ai trouvé celle-ci originale et pleine d'enseignement. Tout au long de ma lecture je me demandais si moi je mourrais aujourd'hui qui je serais susceptible de rencontrer là-haut, de qui bouleversons nous la vie sans le savoir et qui sont les personnes qui bouleversent la nôtre en retour ? Vraiment c'est une belle découverte. Alors pourquoi pas un coup de coeur, simplement parce que les chapitres anniversaires ont cassé le rythme de ma lecture même s'ils étaient nécessaires à une meilleure compréhension, ça nuisait à l'enchaînement des rencontres. Mais c'est un livre que je relirais très probablement.
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

J'aime beaucoup Mitch Albom. Ces livres sont toujours empreints de spiritualité, de réflexions... Et celui là ne faut pas exception.



C'est l'histoire d'Eddie qui suite à sa mort se retrouve au ciel et rencontre 5 personnes... qui ont fait partie de son existence de plus ou éloigné.

Chacune d'elle vont apprendre à Eddie à pardonner, se pardonner, à comprendre le sens du mot sacrifice, bonheur... tout ce qu'il forgeait même s'il ne le comprenait pas à prime abord.



Comme toujours on se questionne, on réfléchit et on essaie de se montrer sous un meilleur jour avec ce genre de livre. Et quoiqu'on en pense... on se demande ce qu'il y a après la vie.
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La dernière leçon : Comment un vieil homme face..

Comme tous mes livres de Mitch Albom, j ai adoré celui ci. C'est une ode à l'amour, à la bienveillance et au questionnement de soi.

L'histoire touchante de Morrie et de son combat contre cette terrible maladie apporte la touche de sensibilité de ce livre.

Je recommande cet auteur les yeux fermés.
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La dernière leçon : Comment un vieil homme face..

La première chose que j'ai pensée en fermant ce livre, c'est : wow, quel beau livre!

Je crois bien que c'est l'histoire la plus touchante que j'ai lue jusqu'à maintenant. Le texte était émouvant mais sobre et sans fla-fla. Tout y était si bien décrit que je pouvais facilement comprendre ce que ressentait l'auteur.

Merci pour ce merveilleux récit, véritable inspiration à profiter pleinement de la vie. Il y a de belles réflexions sur le sens de la vie et la mort. J'ai adoré chaque page mais je redoutais la fin qui m'a pourtant bercée d'émotions très belles.

À lire une fois dans sa vie.
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Le vieil homme qui m'a appris la vie

Voici un livre qui fait du bien.

au départ je me suis dis... dans quoi je m'embarque... et partant ce livre est plein de sagesse et de questionnement sur la vie, sur Dieu dans toutes ses religions.

C'est le mélange parfait entre un rabbin, un journaliste sportif juif et un mécréant qui finit par trouver la Voie.

et Dans tour cela, on en.ressort... grandit, on se questionne aussi mine de rien. Car ce livre est en fait pour moi une ode au questionnement sur notre moi intérieur au travers le dialogue entre autre des protagonistes.

je ne suis pas pratiquante... mais ce livre a réveillé quelques choses en moi.

un livre dont je me souviendrais a coup sur!
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La guitare magique de Frankie Presto

Ça commence en Espagne, en 1936. Si tu as un minimum suivi tes cours d’histoire au collège, tu sais que, comme destination pour les premiers congés payés, l’Espagne n’était pas le meilleur endroit.



Frankie Presto – Francisco de son petit prénom –, lui, n’a carrément pas de chance, parce qu’il naît, précisément dans une église incendiée alors que Franco commence à s’enjailler comme jamais dans le rôle d’apprenti dictateur à la noix de coco.



Sauf que le bébé, un an après sa naissance, il est abandonné dans la flotte façon Moïse, et recueilli par un certain Baffa, quarantenaire célibataire chauve et moustachu – important, la moustache… -, maître d’un chien sans poil.



Une histoire bien banale, me diras-tu. Sauf que le gamin, il se trouve qu’il est super doué à la guitare. Genre vraiment. Si bien que lorsqu’il atteint cinq ans, son père (adoptif, mais on va dire que c’est son père, fais pas chier), son père, donc, décide de lui faire prendre des cours chez un vieux guitariste acariâtre et aveugle par-dessus le marché.



Et puis un jour, alors que Francisco atteint ses dix ans, il tombe amoureux d’une petite fille, avec une peau rose et des cheveux jaunes, comme nous dirait le Petit Nicolas. Sauf que c’est aussi ce jour-là que son padre se fait arrêter par les pandores.



Apparemment, il était socialiste.



Ouais, le padre, c’est El Famoso Philou Martinez.



A une époque, en Espagne, si tu voulais faire chier quelqu’un, tu n’avais qu’à dire qu’il était socialiste (« Mais si, l’autre jour je l’ai entendu siffler un air qui ressemblait beaucoup à l’Internationale, je vous jure… »), et là, tu étais certain que tu ne le voyais pas avant un petit bout de temps. Un peu à l’image des Juifs en zone occupée, aux temps vert-de-gris.



Bref, le gamin, devenu orphelin, part pour les Etats-Unis afin de retrouver la sœur de Baffa-le-moustachu-socialiste.



Sur son chemin, il va rencontrer des gens sympa, genre Darlene Love, Duke Ellington, ou Django-notre-dieu-à-tous. Il va aussi tomber de désillusions en désillusions. Parce que la vie est injuste, mais ça tu le sais déjà.



- Mais alors, est-ce un bon livre ? me demandes-tu tout de go.



Eh bien, contre toute attente, c’est pas mal.



Oui, je suis en train d’écrire un billet élogieux à l’égard d’un bouquin dont l’auteur n’est toujours pas mort. Profite, ça n’arrive pas souvent.



C’est vrai que de moi-même, je n’aurais jamais eu l’idée de l’ouvrir. Voire d’y toucher. C’est ma mère-grand qui a eu pitié de moi, vu que je me suis fracturé le poignet et que je ne peux plus me gratter le ventre.



- Allez, lis-ça, plutôt que de déprimer en lisant Astérix. Au moins, tu auras l’impression de renouer un peu avec la musique.



Je ne sais pas si j’ai vraiment renoué avec la musique, mais ce que je sais, c’est que j’ai bien aimé. Quelques passages larmichouille-au-coin-de-l’œil, un peu de bons sentiments, un peu de cruauté envers les personnages. Et un peu d’amour-guimauve, aussi. Mais quand c’est avec des vieillards, ça m’attendrit.



J’ajouterai que j’ai beaucoup aimé l’ambiance décrite, notamment celle des petites rues espagnoles, qu’on rencontre en surtout au début du livre, quand Franco commence à faire chier mais que ça passe encore. L’Espagne étant une contrée dont je ne connais rien, hormis Porque te vas, El Risitas et El documento que vamos à estudiar, ça m’a permis de me souvenir que j’ai éventuellement des épreuves de bac l’année prochaine portant sur l’espagnol, et que je vais me foirer si je continue à faire mes exercices sur GoogleTranslate et d’écrire des critiques impertinentes sur ce merveilleux-site-de-partage-et-d’information-à-caractère-livresque-totalement-bienveillant.



- Est-ce un livre à mettre entre les mains de tous ?



Bien sûr. Que tu aies une oreille musicale aussi désastreuse que celle de ma tante Odile ou que tu sois polyglotte instrumentalistiquement parlant, que tu écoutes Mötorhead ou Mireille Mathieu, que tu lises Gérard de Villiers ou Caroline à la ferme, ça devrait te plaire.



Néanmoins, si tu es un adepte de S.A.S., et que tu veux quand même lire ce livre, je te mets en garde : il n’y a pas la moindre évocation libertine dans ces lignes. Désolée de briser tes rêves. Tu devrais plutôt lire T’choupi enterre son papy, ça devrait te remettre dans le droit chemin.



Bon, sur ces paroles empreintes d’humanité et de tolérance, je te laisse. J’ai ma guitare à douze cordes à réaccorder.

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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Voici un livre que je n’aurais certainement jamais lu … Mais voilà, des amis me l’on conseillé et prêté en me faisant l’éloge du roman et de l’auteur. Bien leur en a pris, j’ai passé d’excellents moments en compagnie d’Eddie et des cinq personnes qu’il a rencontrées là-haut.



Bon ce n’est pas le roman du siècle autant vous le dire tout de suite, mais c’est une très jolie histoire qui contrairement à ce que l’on pourrait penser au premier abord ne traite pas de la mort mais plutôt de la vie. Et si nous laissions tous une trace indélébile sur terre et dans la vie de plein de personne lors de notre passage sur terre ? Voilà à quelle question ce joli roman essaye de répondre.



Alors oui, les mots sont simples et parfois on peut regretter que l’auteur n’ai pas été plus loin dans ses idées et qu’il ne nous ai pas emmené encore beaucoup plus loin dans la vie d’Eddie et de Ruby Pier, mais quand on y réfléchit bien, tout y est, c’est simple comme une fête foraine, comme une grande roue ou comme les montagnes russes. Effectivement, Eddie « Entretien » travaille comme technicien dans une fête foraine sur le bord de l’océan et il y a travaillé toute sa vie. J’ai adoré la parabole entre la fête foraine et la vie, j’ai trouvé la comparaison totalement adéquat. En effet, une fête foraine est en perpétuelle évolution pour rester au goût du jour, elle se cherche, teste de nouvelles attractions, de temps en temps se loupe et … Et bien c’est un peu comme la vie quand on regarde bien…



Donc voilà, ce roman n’est pas un coup de coeur, mais fait parti de ces lectures qui me font du bien au moral et qui laisse leur emprunte au fond de moi. Je vais du coup essayer de découvrir un peu plus cet auteur que je ne connaissais absolument pas.
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

273 pages lues très lentement... jamais bon signe quand je ne me rue pas sur un livre pour continuer ma lecture.

Pourtant c’était prometteur: livre plébiscité en Grande Bretagne, le parcours d’un vieil homme juste décédé et ses rencontres avec 5 personnes dont le sort est lié au sien... pourquoi pas?

La lecture de la 4ème de couverture aurait pu m’alerter : «  au fil des rencontres qui lui sont destinées , il découvrira les clés de la vérité pour plonger enfin dans une bienfaisante éternité ».

En effet, selon moi, le récit de ces rencontres dans l’au delà est complètement raté, on n’y croit pas , c’est trop attendu, les regrets, le pardon, la rédemption ... ç’aurait pu être onirique, un peu féerique, mais moi ça ne m’a pas fait rêver ! Trop moralisateur aussi.

Par contre, les temps de vie du vieil Eddie m’ont davantage plu, on s’attache à cet homme courageux et assez solitaire ; et puis la description de la fête foraine et de la vie qui va autour est assez intéressante.Mais ça ne suffit pas pour donner un résultat attrayant.

1ère lecture de Mitch Albom, dommage!
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Un roman que je n'aurais pas lu s'il ne m'avait pas été offert. J'ai bien aimé sa construction à la fois de la trame mais aussi l'originalité du traitement de ce sujet qu'est le "ciel" et l'après-mort. J'ai aimé l'évolution du personnage et la compréhension de sa psychologie au fur et à mesure de l'avancée.
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Le roman débute par la mort du protagoniste. Nous assistons aux dernières minutes de vie d’Eddie, un homme de 83 ans, employé dans une fête foraine. Après sa mort, Eddie monte au ciel et va rencontrer 5 personnes ; des personnes proches, mais également des inconnus. Ces personnes ont toutes un point commun : ils ont tous joué un rôle dans la vie d’Eddie, ou inversement. Nous allons donc, durent toute la lecture, jongler entre les souvenirs d’enfance d’Eddie et ses rencontres dans l’au-delà.



C’est un roman facile à lire car l’histoire est plutôt plate. Eddie est un personnage solitaire mais très attachant. A travers ce livre, on se rend compte que nos actes peuvent avoir de bonnes ou de mauvaises répercussions, sur les vies et les destins de notre entourage, mais aussi sur des inconnus. Cela nous fait réfléchir sur la vie, la mort et sur le sens de notre existence.
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Faisant partie de la liste des 110 romans plébiscités par les anglais et donc du challenge BBC, j’ai tenu à lire ce roman. Je dirai que son seul avantage c’est qu’il se lit rapidement et qu’on peut vite passer à autre chose. Il s’agit d’un livre qui se veut plein de bons sentiments comme un guide pour être plus heureux dans sa vie.

Eddie mort, il monte au ciel et y rencontre cinq personnes qui vont lui expliquer le sens de sa vie. A chaque personne correspond alors une leçon de vie. Le récit prend la forme d’une fable qui alterne entre les souvenirs de l’homme et les explications données par ceux qui sont déjà morts. Je ne vais pas vous dévoiler les “leçons de vie” mais juste vous dire qu’on ne fait pas plus banal et simpliste.

Sinon je n’ai pas grand chose d’autre à en dire à part qu’il s’agit d’un best-seller mais pour ma part je conseillerai plutôt au lecteur de passer son chemin. Il y a de nombreux autres romans dans la liste BBC tellement plus intéressants (et ce n’est pas difficile) !
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La dernière leçon : Comment un vieil homme face..

Non, je ne suis pas fascinée par la mort, mais par cet éclairage si particulier sur l'existence qu'apporte toute personne en fin de vie.

Alors, oui, je suis intéressée, et bien plus que ça, par les livres traitant du sujet.

Et c'est tout naturellement que la lecture de LETTRES EN VIE (collectif avec les textes d'Alain Cadéo et les peintures de Michel Cadéo) aux Editions la Trace) m'a conduite à celle de « La dernière leçon » de Mitch Albom.

En effet, comment ne pas boire les paroles de Morrie Schwartz, son ancien professeur de sociologie à l'université qui, atteint d'une maladie incurable, décide de transformer sa fin de vie en un message ultime, en partageant son expérience intime face à la mort.

Semaine après semaine, Mitch Albom, l'ancien élève, sera à ses côtés pour trouver auprès de lui les réponses aux questions qu'il se pose, pour assister aussi au fil de ses visites à ses propres transformations suscitées par les paroles du maître.

Comme pour LETTRES EN VIE, je referme ce ferme avec un sentiment de joie absolue. J'éprouve le bonheur que l'on peut ressentir lorsque les mots sont dépourvus du moindre artifice, lorsqu'on les reconnaît pour leur véracité et pour leur authenticité. Oui, un bon livre a la capacité de nous montrer le juste chemin des choses : et dans « la dernière leçon », le ressenti est double puisque Morrie Schwartz a réellement existé et que les mots du livre sont le résultat d'une communication réelle.

Pour prendre un exemple du livre, Morrie Schwartz, évoquant l'amour au sein du couple, propose cette illustration édifiante : « Les amis, c'est merveilleux, mais les amis ne sont pas là la nuit où vous vous mettrez à tousser, où vous ne pourrez pas dormir, où quelqu'un devra rester assis toute la nuit près de vous, pour vous réconforter et essayer de vous aider».

Ce qui est dit ici peut paraître évident, ou banal, mais ces mots sont, pour qui a assisté une personne en fin de vie, d'une incroyable justesse.

Et il y a encore ceci, tellement vrai : «Au début de la vie, quand nous sommes encore tout-petits, nous avons besoin des autres pour survivre, non ? A la fin de la vie, quand on devient comme je le suis, on a aussi besoin des autres pour survivre, d'accord ?... Je vais te dire un secret : entre les deux, on a aussi besoin des autres. »

Alors, je me dis que de pouvoir ainsi bénéficier, ici et maintenant, des paroles de Morrie Schwartz, initialement adressée à Mitch Albom, relève de la magie pure, une magie qui n'est autre que celle des livres.

Un grand merci Willy Lefèvre pour ce conseil de lecture si judicieux.

Rachel
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L'autre personne que j'ai rencontrée là-haut

Après un début aussi perturbant qu'une arrivée au Ciel, je me suis laissée emporter vers le dénouement du récit d'Annie. Je l'ai lu d'une traite, sans courir vers la fin mais plutôt en apprenant à connaître cette héroïne malmenée par la vie. En l'accompagnant vers sa propre résilience.



C'est une histoire touchante et poignante. Originale, aussi, dans le traitement que l'auteur fait de l'au-delà.



Une lecture au gré du vent...
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L'autre personne que j'ai rencontrée là-haut

Difficile pour moi de faire une critique de ce roman.

J'ai lu il y a longtemps "les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut", et je n'en garde presque pas de souvenirs, si ce n'est que j'avais apprécié cette lecture à l'époque.

C'est donc une quasi découverte pour moi. et j'ai à nouveau beaucoup apprécié cette lecture.

Annie jeune mariée, se retrouve dans le coma suite à un accident et rencontre, entre la vie et la mort , cinq personnes qui ont compté dans sa vie , de façon anonyme, ou pas. Le but de ses rencontres: faire la paix avec soi-même.

En dehors de toute considération religieuse, et bien que je ne sois persuadée qu'être en paix avec soi-même est un peu plus "compliqué "que ça, j'ai apprécié l'idée que toute personne rencontrée au cours de sa vie (je parle d'une personne quel'on aurait fréquentée à plusieurs reprises) peut avoir un rôle dans la vie de chacun , même un rôle minime. Chaque personne rencontrée ou fréquentée participe à notre construction, même si on ne le comprend pas toujours .

C'était un fort bon moment de lecture en ce qui me concerne !
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Encore une lecture qui m’aura laissé mitigé ! J’ai trouvé « Les cinq personnes que j’ai rencontrées là-haut » dans une boite à livres et comme souvent, lorsque j’y trouve un bouquin, je me laisse surprendre en acceptant de sortir de ma zone de confort. Hop, je t’emmène avec moi découvrir ce curieux récit !



Un vieux bonhomme pétri de solitude

Eddie est vraiment le stéréotype du vieux monsieur ronchon mais ultra attachant. Dès les premières pages, j’ai été émue par cet homme pétri de solitude. Ce personnage est profondément humain et constitue clairement le point fort de cette histoire.



Des rencontres “inégales”

Je peux le dire tout de suite, toutes les rencontres contées ici ne sont pas égales. Certaines m’ont vraiment laissé de marbre, parce que les thèmes abordés sont trop américanisés à mon goût. Sans trop en dire, je peux citer par exemple le « tu dois pardonner » qu’un personnage balance à notre Eddie, ordre qui ouvre la porte à tous les abus. Je peux aussi parler de la mise en valeur malaisante du sacrifice pour le bien de la patrie. Les autres rencontres ont heureusement permis de rattraper les deux premières.



Une réflexion intéressante sur le sens de la vie

J’ai vraiment aimé la réflexion de l’auteur sur le sens de nos vies et le fait qu’elles soient interdépendantes. En effet, aucune d’entre elles n’existent en vase clos, c’est à dire qu’elles s’influencent les unes les autres -.



Conclusion

En bref, ce conte moderne est plutôt sympa à lire si tu le trouves dans une boite à livres ou à moindre coût. Il est court et se lit donc très vite, ce qui peut être agréable à engloutir entre deux bons pavés. Je note tout de même que le background culturel de l’auteur m’a parfois fait grincer des dents par des réflexions un peu « bateau ».
Lien : https://allezjelis.com/jai-l..
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Je découvre Mitch Albom avec ce roman inspiré des histoires que lui racontait son oncle sur la vie après la mort. Dans celui-ci, nous suivons Eddie, chargé de l’entretien des attractions à la fête foraine de Ruby Pier. Il vit ses derniers instants sans le savoir en tentant de sauver une petite fille lors du décrochage de la nacelle d’une des attractions. S’ensuit son parcours au Ciel durant lequel il va rencontrer 5 personnes lui permettant de comprendre le sens de sa vie. Ces personnes ont un lien avec lui, de près ou de loin, et la dernière d’entre elles lui permettra de partir en paix.



Eddie est obnubilé par une seule et même question: a-t-il au moins réussi à sauver cette petite fille? La réponse se trouve à la fin, ce qui permet d’être un tant soit peu tenu en haleine. Car il faut le dire, ce roman est très court et ne permet pas une réflexion très approfondie sur la vie après la mort. De plus, nous sommes entrecoupés par des passages relatant le passé d’Eddie, afin que nous puissions comprendre l’évolution du personnage dans le temps, les joies et les peines qu’il a subies ainsi que le lien qu’il a avec les personnes rencontrées au Ciel.



J’ai passé un bon moment au côté d’Eddie mais j’aurais aimé un peu plus de substance dans la vision de l’auteur sur l’au-delà. Cependant le livre nous offre une belle théorie selon laquelle rien n’arrive par hasard et que chacun d’entre nous a son importance sur Terre, même si notre vie nous semble sans intérêt.
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L'autre personne que j'ai rencontrée là-haut

Idem que pour la 1ere partie 'Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut'
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Je suis perplexe ... Je m'attendais à être touchée, d'autant que les circonstances de la vie font que le sujet de la maladie et de la mort d'êtres chers sont d'actualité pour moi, mais, non, je n'ai pas été touchée !

Juste triste de lire l'histoire d'une vie si contrainte.
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Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut

Mouaif…..Voici donc un livre qui fait partie du challenge BBC, ou si vous préférez qui fait partie des 110 romans les plus plébiscités des Anglais ces dernières années. Autant je ne peux qu'être d'accord sur une grande partie des livres sélectionnés que j'ai lu pour l'instant, autant je suis dubitative à l'issue de la lecture de certains de ces livres,- car j'ai bien l'intention de lire le maximum de livres de ce challenge, il faut le dire –.

En tout cas la lecture de ce livre ne me laissera clairement pas un souvenir impérissable…. Pas sure que d'ici un mois, j'arrive à en résumer grand-chose me connaissant…

Un vieux monsieur, Eddie, qui a travaillé toute sa vie dans une fête foraine meurt dans un accident sur son lieu de travail…. Il va se retrouver (au Ciel je suppose) et va rencontrer cinq personnes qui vont lui permettre de faire le bilan de sa vie….

Bon, ce n'était pas inintéressant, mais cela fleurait un peu trop les bons sentiments et donc, je n'ai pas plus accroché que cela à ce livre… J'aurais (peut-être) plus apprécié cette lecture à douze ans, étant à l'époque bien meilleur public …

De plus, lire ce livre juste après avoir dévoré 1984 de George Orwell n'était surement pas une bonne idée au vu de la qualité du livre précité…



Une de seules choses positives qui m'a permis d'apprécier (un petit peu) cette lecture est la taille du livre : à peine un peu plus de 200 pages, ce qui fait qu'on le lit très rapidement en pensant déjà à sa prochaine lecture…



Sitôt lu, sitôt oublié……



Challenge BBC

Challenge Mauvais genres 2020

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