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Citations de Nalini Singh (342)


 Les félins ont accepté de le couvrir. (Elias secoua la tête.) Je ne sais pas à quel moment on a cessé d’essayer de les dépecer pour commencer à leur faire confiance.

— Dommage, j’aurais bien aimé un nouveau tapis, commenta un malin dans le fond.
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Il lui saisit la mâchoire en grondant.

— Toi et moi. Personne d’autre ne vient dans ce lit. Compris ?

C’était un serment autant qu’une exigence.

— Oui. (Elle riva ses yeux d’ambre sur les siens.) Ça vaut pour tous les deux.

— Oui.

Il scella leur marché avec un baiser torride.
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Elle le laissa la manipuler, l'emmitoufler d'une couverture douillette, placer l'une de ses cuisses musclées entre les siennes, l'envelopper de sa force. Elle alla jusqu'à se caler confortablement contre le bras qu'il avait glissé sous sa tête.

—Tu es réveillé ?

Il était si chaud et dégageait une odeur virile, dans le meilleur sens du terme. Elle rougit en se rendant compte qu'elle était tentée de lécher sa peau pour voir si son goût valait son odeur.
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"Si tu veux qu'on t'obéisse au doigt et à l’œil, prends-toi un chien."
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La rattrapant, il la suivit un peu en retrait, juste assez loin pour pouvoir admirer le balancement de ses hanches. Elle avait des formes parfaites; quoique petite, elle n'était pas trop mince, son corps assez voluptueux pour flatter l'oeil et inviter à la tentation. Vaughn voulait voir bouger sur lui ces fesses aguicheuses. Étant donné leur différence de taille, il profiterait au mieux de cette vue assis, avec elle l'enfourchant dos à son torse.
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Elle avait du mal à se concentrer sur ce qu'il disait, alors qu'il se tenait si près... qu'elle aurait pu le toucher. Il émanait de lui un parfum de danger, de liberté sauvage et de passion, autant de choses auxquelles elle-même ne pouvait se laisser aller. La tentation ultime, en somme.
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- Apportez-nous de la bière ! (Puis il reporta son attention sur le vieillard.) Vous et moi, nous devons discuter de l'avenir de ce village maintenant que je suis votre Archange.
La terreur s'empara des villageois, figeant leurs muscles et glaçant leurs os.
Se retenant de gémir, il jeta un coup d'oeil désespéré à Sharine. Ce genre de choses n'arrivait jamais avec son peuple ; les siens lui faisaient confiance. Or Charisemnon avait appris la crainte à son peuple, et non la confiance. Titus ne devait jamais l'oublier.
Sharine émit un soupir mental.
𝑂𝑛 𝑚𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑒̀𝑡𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑚𝑎𝑛𝑡. 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑚𝑒𝑧-𝑙𝑒𝑠 !
La fusiller du regard lui semblait une riche idée, mais on lui avait déjà rapporté que son visage pouvait faire peur quand il était de mauvaise humeur. Les villageois pétrifiés risquaient de rendre l’âme sur place. Il décida d’arborer un grand sourire.
- Je vous informe que j’ai tué ce furoncle purulent, cet excrément de chien, cette insulte au Cadre que fut votre précédent Archange.
𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒𝑧 𝑐̧𝑎 « 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑚𝑒𝑟 » ?
Faisant fi de sa remarque, il poursuivit.
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Depuis qu'ils avaient atterri, tous les villageois en haillons qui se trouvaient à proximité s'étaient prosternés à leurs pieds, leurs visages collés au sol et leurs paumes jointes en une position de supplication qui dérangea profondément Titus.
Il gouvernait d'une main de fer, mais il n'avait jamais cherché à émasculer ou à humilier qui que ce soit, car ces gens étaient des mères et des pères, des Anciens et des guérisseurs avec leur fierté et leur dignité. Ceux qui étaient couchés devant lui, cependant, n'étaient pas comme son peuple… même s'ils dépendaient de lui désormais.
Charisemnon, se rappela-t-il, avait réussi à convaincre ses sujets qu'en prenant leurs jeunes filles dans son lit, il leur faisait un grand honneur. Que cela n'avait rien d'une perversion. Ce souvenir révulsa Titus et sa voix fut dure lorsqu'il leur cria :
- Relevez-vous ! Je souhaite m'adresser à vos visages, pas à vos culs !
Des gémissements terrorisés montèrent jusqu'à lui, mais plusieurs villageois se mirent debout sur des jambes flageolantes. Quelques-uns, au moins, avaient un peu de cran ! À côté de lui, Sharine était aussi raide qu'une barre de fer. Elle lui réservait des paroles acerbes, cela ne faisait aucun doute, mais pour l'instant ils n'étaient pas seuls et tout cela dépassait le ridicule.
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Si tu t'en veux parce qu'un psychopathe fait des trucs psychopathiques, gronda-t-il, il faut que tu ailles voir un médecin.
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- Je préfère le franc-parler. Les émotions subtiles sont plus difficiles à interpréter pour moi.
L'autre femme rit à gorge déployée.
- Enc ce cas, tu as bien choisi ton homme. Le jour où il fera dans le subtil, ce sera peut-être la fin du monde.
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Si ça c'est être égoïste pour toi, souffla-a-t-elle en serrant les cuisses pour tenter vainement de calmer son ardeur, je ne survivrai jamais à ta générosité.
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— Je suis un peu empotée au lit.
Gabriel posa son verre de vin puis esquissa lentement ce sourire canaille qui mettait invariablement son entrejambe en émoi – s’il lui avait demandé à cet instant de passer le test de la culotte, elle aurait échoué lamentablement.
— Mademoiselle Baird, on ne naît pas « bon coup », expliqua-t-il d’une voix enjôleuse. On le devient à deux, et vous savez que j’aime le collectif.
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Gabriel n’avait jamais fait de mal à une femme. Bon Dieu, même son fumier de père biologique était un pacifique. Brian Bishop avait peut-être utilisé sa femme comme un distributeur de billets, mais il n’avait jamais levé la main sur la famille.
Gabriel ne lui voyait pas d’autre qualité.
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Gabriel Bishop était un véritable apollon.
Charlotte s’autorisait à l’admettre en secret. Trop massif, trop musclé, trop dangereux, mais d’un charme hypnotique. Comme un tigre avant le carnage
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Nous pouvons décider de rester dans nos bunkers isolés, à nous centrer sur nous-mêmes au lieu de nous tourner vers l'extérieur, ou bien nous pouvons décider d'accomplir de grandes choses ensemble.
Nous pouvons décider de stagner, ou nous pouvons décider de grandir.
Nous pouvons décider de nous satisfaire du statu quo, ou nous pouvons décider de viser les étoiles.
A vous de choisir.
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- Qu'on se lit ou non, te perdre me changerait pour toujours, dit-il d'une voix calme qui vibrait de puissance. Ton nom est inscrit sur mon âme à l'encre indélébile, Zaira. Rien n'altèrera jamais ce que tu représentes pour moi.
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Des dunes, au loin, scintillaient sous le soleil.
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Cette mission serait la cerise sur le gâteau.
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Les héros sont souvent les gens les plus discrets dans une pièce, ceux qui tiennent le moins à revendiquer ce titre. De tels hommes et de telles femmes se contentent de faire ce qui doit être fait sans s'attendre à la moindre reconnaissance ni renommée. C'est dans leur nature de protéger, de faire rempart et de lutter contre les ténèbres, quelle que soit la forme qu'elles prennent.
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Il soutint le regard de la femme que Judd appelait la compagne de Kaleb, et dont les humains disaient qu'elle était son amante. Kaleb l'appelait simplement sienne. Et il avait besoin de savoir qu'elle comprenait, qu'elle était de son côté.
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