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Critiques de Nathalie Rheims (205)
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Le chemin des sortilèges

Présentation de l’éditeur :

Un jour, il est parti. Lui qui l’avait vue naître et accompagnée depuis toujours, il s’est retiré dans la solitude.

Dix ans plus tard, elle retrouve sa trace et le rejoint pour comprendre ce qui s’est passé. Dans une maison aux apparences trompeuses commence un huis clos où les cauchemars se confondent avec le réel.

Les souvenirs ressurgissent à travers les contes de fées qu’une main invisible dépose chaque soir à son chevet. De l’éveil de La Belle au bois dormant au crépuscule de La Petite Marchande d’allumettes, elle franchit les étapes d’une étrange initiation qui la mène à un secret bouleversant. Aura-t-elle la force d’aller au bout de la vérité, de sa vérité ?

Je viens de faire un peu le tour de la blogosphère pour trouver ceux de vous, chers amis, qui avez déjà lu ce livre, et tout en lisant vos billets, je m'aperçois que je suis presque la seule à n'avoir pas aimé ce roman... Très déçue pour plusieurs raisons, j'en viens à me demander si je ne devrais pas le relire, étant peut-être passée à coté de quelque chose...



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Lien : http://liliba.canalblog.com
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Le chemin des sortilèges

Roman découvert grâce à Suzanne de Chez les filles.



Quelque part. Une gare dans la brume, et un village tapi dans le creux d'une vallée. Une femme laisse errer ses pensées par delà la vitre.



Histoire d'une retrouvaille. Dix ans se sont écoulés depuis que Roland, figure proche de celle d'un père, s'est retiré quelque part hors du monde. Qu'il s'est complètement isolé.



Et un jour, elle ne sait plus trop comment, au téléphone sans doute, elle le retrouve. La seule maison en face de l'église ouvre sa porte. Etrange athmosphère que celle de ces lieux. des portes closes, des réduits, des passages secrets derrière une bibliothèque. Des enfants qui n'existent plus ou n'ont jamais existé. Des souvenirs hantent la maison.



Beaucoup de monde a disparu autour d'elle. Son grand frère, Angèle - en quelque sorte sa seconde mère, et puis sa mère. Pourtant quelque chose est trouble. Un non dit qui se ressent comme une ombre fugace. Un pièce manquante à l'édifice.

Et c'est précisément un travail de reconstruction qui commence, comme une quête initiatique à l'intérieur de sa mémoire pour retrouver le fil.



Cette quête a une dimension très onirique. Rêve et réalité se mêlent subtilement, et régulièrement, dans la chambre de l'invitée, des contes de fées sont déposés. La belle au bois dormant, Blanche neige, Cendrillon, le petit poucet, le petit chaperon rouge, la petite sirène et la petite fille aux allumettes. Avec, à chaque fois, un pas franchi. Vers la mort ou la renaissance.



J'ai beaucoup aimé l'ambiance onirique, l'écriture très douce, très féminine de l'auteur, les images poétiques qui se dégagent du livre, même si parfois ces images peuvent paraître plutôt maladroites ou excessives, et même si le rythme semble parfois lent.



Dans l'ensemble, c'est donc une jolie découverte.
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Le chemin des sortilèges

Dans un précédent article j'avais noté ce livre, sans grande conviction... Il semble bien que j'avais tord, d'après ce qu'en dit Pierre Assouline.



Et surtout, la référence à Bettelheim, dont j'avais lu le livre sur les contes de fées.



Et puis, une autre référence, celle au livre de Arthur Schnitzler... l'un de mes auteurs favoris.



Finalement, de grande chance pour que je lise Le chemin des sortilèges de Nathalie Rheims...



sinon, tentée par "Le cercle de Megiddo" de Nathalie Rheims ... polar ésotérique.De la présence des morts dans un conte de fées





Rentrée littéraire de septembre 2008 - revue de presse



A première vue, ça paraît plein de fantômes.

Faux semblant.

En vérité, c’est plein des gens qui ne sont pas là.



Ce roman envoûtant bruisse (mais oui, ça se dit, n’en déplaise à l’Académie française et à un écrivain qui m’en fit un jour la remarque), il bruisse de leur absence.



Ce qu’on appelle la présence des morts et que Nathalie Rheims excelle à rendre palpable depuis son premier texte, irradié par le souvenir de son frère.



On n’en a jamais fini avec ce manque-là ; il faut bien davantage que les travaux et les jours pour le mettre à distance.



Le chemin des sortilèges(180 pages, Editions Léo Scheer) renoue avec le son et l’esprit de L’Un pour l’Autre (1999).



Comme si un dixième livre se devait d’achever un cycle.

On s’y aventure comme il semble avoir été écrit : en état d’hypnose.

Par moment, on croit s’être égaré dans La Nouvelle rêvée d’Arthur Schnitzler et dans le film qu’elle a inspiré à Stanley Kubrick ; le fait est que la narratrice semble avancer dans ce monde initiatique les yeux grands fermés.



Comme si elle ne parvenait pas à sortir de son rêve. On sent qu’elle cherche à s’en extirper à la manière du baron de Münchhausen qui put s’extraire des sables mouvants en se tirant par les cheveux.

*

C’est un conte de fées sur les contes de fées.

Six nuits ponctuées chacune par un conte déposée à son chevet. Que du classique, de la pâte à Bettelheim.



On sait l’infinie cruauté de ces choses-là pour qui veut bien les lire autrement.

L’histoire d’une femme qui abandonne son mari, ses enfants et son amant pour un homme est racontée du point de vue de l’enfant devenue femme et voix de ce roman. 15 ans à l’époque. Quels dégâts ! La mort de ses plus proches l’a faite mûrir.



Elle croit toujours aux contes de fées, sauf qu’elle les vit encore comme des histoires de terreur où peut enfin s’exprimer la violence de celle qui ne dit jamais non.

*

Un psychanalyste parisien de renom est le pivot de cette histoire.

L’amant abandonné, c’était lui.



A la suite d’un accident cérébral, il s’est drapé dans sa solitude, loin du monde mais suffisamment près pour être rejoint par la narratrice.

Dix ans qu’ils ne s’étaient vus. Elle était anorexique. Il la recevait tous les jeudis. Voussoiement de rigueur.



Il lui avait proposé de faire le deuil de sa mère. Faire son deuil de son vivant pour ne pas en mourir.

Mais le faire ensemble, à deux, chacun portant l’autre.



Comment la pratique du psychanalyste ne serait-elle pas interrogée à la suite de ce livre où, un grand nom de la discipline analyse la fille de celle qui fut longtemps sa maîtresse, tant et si bien qu’on en vient à se demander si elle n’est pas le fruit de leur liaison clandestine ?



Nous sommes les enfants de ceux qui nous élèvent, c’est sa réponse, invariable. Il ne l’a pas élevée, il n’est donc pas son père. Il croit désamorcer tout procès en déontologie en lui rappelant qu’il ne lui prenait pas d’argent pour les séances. On se voit par amour, vous ne payez pas… La pirouette ne fait que renforcer l’ambiguïté. N’empêche, cette heure hebdomadaire lui a donnée le rare sentiment d’être enfin comprise.



Voilà sur quel archipel d’intimes misères et de fragments de vie une femme s’est construite. Voilà pourquoi la hantise de n’être pas aimée pousse à obéir au désir des autres. Voilà ce qui fait parfois qu’on est un écrivain. Non pour être connue mais reconnue.



source : le blog de Pierre Assouline



A voir :

http://bibliosurf.com/Le-Chemin-des-sortileges

http://www.nathalierheims.com/

*

voir les nouveautés chez l'éditeur :

http://www.leoscheer.com/
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Le chemin des sortilèges

Rentrée littéraire 2008



Sais pas si je lirai ce livre... pas mal de temps que l'auteur est dans mes listes, mais des a-prioris... pour la simple raison qu'elle est "fille de", "apparantée à", "épouse de"... Me semble un peu trop facile d'entrer dans le monde littéraire avec tout ça ! et en même temps, je suppose que cela n'empêche pas le talent...



Seule façon de le savoir, ce serait que je me décide enfin à lire au moins un livre d'elle... alors, pourquoi pas celui-la ? donc, noté.





Un jour, il est parti. Lui qui l’avait vue naître et accompagnée depuis toujours, il s’est retiré dans la solitude.



Dix ans plus tard, elle retrouve sa trace et le rejoint pour comprendre ce qui s’est passé. Dans une maison aux apparences trompeuses commence un huis clos où les cauchemars se confondent avec le réel.



Les souvenirs ressurgissent à travers les contes de fées qu’une main invisible dépose chaque soir à son chevet.



De l’éveil de La Belle au bois dormant au crépuscule de La Petite Marchande d’allumettes, elle franchit les étapes d’une étrange initiation qui la mène à un secret bouleversant. Aura-t-elle la force d’aller au bout de la vérité, de sa vérité ?



Le Chemin des sortilèges est le dixième livre de Nathalie Rheims.



biographie



Nathalie Rheims est fille de Maurice Rheims, commissaire-priseur et académicien et sœur de la photographe Bettina Rheims. Elle a épousé Léo Scheer en 1989.



Elle est également apparentée à la famille Rothschild. Elle descend, tant par son arrière-grand-père (branche dite « von Worms ») que par son arrière-grand-mère (branche dite « de Naples ») du banquier Mayer Amschel Rothschild (1744-1812), fondateur de la dynastie.



Elle débute sa carrière artistique comme comédienne de théâtre. Tout juste âgée de 17 ans, elle entre au conservatoire de la rue Blanche. Pendant 7 ans, soit jusqu’en 1983, Nathalie Rheims poursuit sa carrière d’actrice en alternant théâtre et téléfilms.



En 1984, âgée de 25 ans, la jeune femme explore la branche du journalisme pour les pages du magazine Elle.



Deux ans plus tard, Nathalie Rheims devient productrice, d'abord pour TV6 dirigée par Léo Scheer, première version de M6, puis pour France 2, en produisant avec Léo Scheer l'émission sur l'art Haute curiosité présentée par Claude Sérillon et Maurice Rheims.



En 1999, Nathalie Rheims publie son premier roman, L’un pour l’autre (édition Galilée) récompensé par le prix du Gai Savoir.



En 2000, elle publie aux éditions Flammarion Lettres d’une amoureuse morte.



Puis se succèdent Les fleurs du silence et L’Ange de la dernière heure en 2001 et 2002.



Toujours en 2002, Nathalie Rheims, co-produit le film Une femme deménage. En 2003, elle offre au public un nouveau roman, cette fois ci aux éditions Léo Scheer, intitulé Lumière invisible à mes yeux.



Le rêve de Balthus, Le cercle de Meggido et L'ombre des autres paraissent en septembre 2004, 2005 et 2006, et la font entrer dans les listes des meilleures ventes.



Compagne et collaboratrice du producteur-réalisateur Claude Berri, elle crée avec lui la société de production cinéma Hirsch Productions et s'implique, au titre de producteur associé, dans les films, L'un reste, l'autre pas, Les enfants, Le démon de midi, La maison du bonheur, Ensemble, c'est tout, La Graine et le Mulet, Bienvenue chez les Ch'tis.



En 2007, Nathalie Rheims publie son neuvième livre Journal Intime, roman aux Éditions Léo Scheer. En parallèle, son huitième roman L'ombre des autres s’apprête à être porté à L’écran, avec Mylène Farmer dans le rôle principal (tournage prévu en 2009).



En 2008 paraît son dixième roman : Le Chemin des sortilèges aux Éditions Léo Scheer.









voir les nouveautés de l'éditeur : http://www.leoscheer.com/spip.php?page=aparaitre-2

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Au long des jours

Avant d’être romancière, Nathalie Rheims a vécu d’autres existences. On a oublié qu’elle a débuté sur les planches, avant d’apparaître dans plusieurs téléfilms et longs métrages de cinéma, tout en s’essayant à la chanson sous le pseudonyme Alix. Cet ouvrage n’est pas pour elle l’occasion de dresser sa biographie pour la gloire, mais de revenir sur la seconde moitié des années 70, celle de ses vingt ans, et de narrer sa relation intime et intense avec un chanteur alors bien plus âgé qu’elle. Un soir, après une représentation au Théâtre de la Ville, il est simplement venu la féliciter dans les loges. Admiration réciproque et enchaînement ponctué de retrouvailles, d’embrassades et davantage. C’est en exhumant d’un tiroir une vieille photographie Polaroïd que la romancière a eu l’idée de narrer cette passion tenue secrète.
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Le Cercle de Megiddo

Des archéologues israéliens découvrent un temple chaldéen qui pourrait remettre en cause l'origine de la Bible.



Comparé à ce récit, "les aventuriers de l'arche perdue" est un chef-d’œuvre car, structuré, drôle, et surtout compréhensible bien que très invraisemblable. Ici toutes ces qualités font cruellement défaut.



On atteint des sommets d'incohérences, d'absurdités, de non-écriture.



J'aurai voulu attribuer un quart d'étoile et non une demie, ce qui aurait été déjà, très largement payé.




Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Au long des jours

Impressionniste et troublé comme les amours cachées, saupoudré d'un parfum de nostalgie qui replonge le lecteur dans le Paris des années 70, et parfois 30, aux belles heures...
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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Au long des jours

Quand la romancière avait 18 ans, son coeur a battu très fort pour un homme de trente-sept ans son ainé. Le nom de ce chanteur n'est jamais cité dans le livre mais d'après la couverture du livre, on comprend qu'il s'agit de Marcel Mouloudji.



Au long des jours, c'est le titre du 23eme roman de Nathalie Rheims et c'est aussi une chanson de Mouloudji.



En couverture donc, un polaroid en noir et blanc, une magnifique photo des deux amants prise par Bettina Rheims, la soeur de Nathalie.

Une photo retrouvée par hasard par l'autrice lors du confinement et qui se décide alors à raconter cet amour secret.

De la raconter du point de vue de la jeune fille de 18 ans qu'elle était.



Elle revient sur cette histoire d'amour complètement magique et qui l'a construite.

Même si c'était compliqué car plein d'embûches.



En 1977, la comédienne rencontre donc dans sa loge de théâtre, après une représentation, cet homme.



Leur différence d'âge n'est pas problématique.



C'est un véritable coup de foudre, une irradiation.



Très vite, il est franc et honnête avec elle. Il lui dit deux choses:



"J'aime les femmes et puis je suis marié à quelqu'un de très jaloux".

Elle lui répond qu'elle l'aime et ...qu'elle aime les vieux.



Un an de rendez vous secrets, trouver des lieux où se retrouver, s'aimer.



Elle va l'écouter chanter, ils ne prennent pas le même train.

C'est totalement rocambolesque mais en même temps, ça l'a forme et lui apprend ce qu'est l'amour.



C'est un roman tendre, intimiste, sincère empreint de nostalgie et de mélancolie.



L'autrice raconte cette merveilleuse histoire avec beaucoup de retenue, d'humilité et de douceur tout en étant passionnée et authentique.



En alternance, elle raconte aussi la vie de Mouloudji, son enfance extrêmement difficile, une mère folle, un père alcoolique.

Recueilli par Prévert, Sartre, Beauvoir et d'autres talentueux artistes.



Un destin extraordinaire.

Quand elle le rencontre, c'est un homme un peu au creux de la vague, un homme qui souffre de ce début d'oubli.

Ce livre est une façon de remettre cet homme dans la lumière, un homme libre avec une voix immense.



Ce récit se lit rapidement et m'a donné immédiatement envie de découvrir et d'écouter du Mouloudji.



Et quel répertoire!

Formidable, énorme et poétique.
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Au long des jours

Cette histoire est celle de Nathalie Rheims à 18 ans dans les années 70, pendant sa vie de comédienne quand elle tombe amoureuses d’un homme âgé de 37 ans son aîné. Nous suivons donc cette relation à travers ses yeux et découvrons les secrets qu’elle nous dévoile.



J’ai trouvé cette lecture très douce et pleine de poésie. De nombreuses références musicales, littéraires et cinématographiques enrichissent le roman tout comme le contexte historique de l’époque qui est bien retranscrit. Des vers et des couplets nous sont contés, rendant la lecture mélodieuse. Nathalie Rheims nous rappelle les auteurs, les poètes et les chanteurs qui ont marqué son enfance. On découvre parfois des moments de leur vie et les évènements qui ont marqué leurs œuvres ce qui enrichit considérablement le roman.



L’auteure nous raconte son histoire simplement, sans artifice avec une réelle sincérité, telle qu’elle l’a été et ce qu’elle ressentie. Sa plume est très belle, le livre se lit avec une certaine légèreté et une facilité. On arrive à ressentir ses émotions, à la comprendre et on entre facilement dans son histoire.



L’univers du théâtre est très bien raconté comme celui du rôle et de la vie d’une comédienne de 18 ans, cet aspect-là du roman était également passionnant.



Les rencontres entre les deux personnages sont à la fois légères et touchantes. Cette lecture m’a rapprochée de cette époque inconnue pour moi qui m’a finalement parue si familière.



Même si le contexte de la relation pourrait paraître surprenant finalement, c’est une belle leçon de vie et une histoire d’amour qui a le mérite d’être racontée. Merci à l’auteure pour ce partage et à Gilles Paris pour l’envoi.

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Laisser les cendres s'envoler

Dans ce roman de Nathalie Rheims, on voyage dans l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte aux côtés d'une petite fille, adolescente et femme meurtrie dans sa relation avec sa mère. Je trouve l'écriture fluide, précise, piquante parfois, on découvre une vie qui est jalonnée par des déceptions, des abandons, des trahisons. Une famille extrêmement riche et influente et une culture du secret et du "tais-toi" permanent. J'ai refermé ce livre empreinte d'une lourdeur qui se dégageait des pages. Bravo à Nathalie Rheims d'avoir su écrire son histoire, ce qui a peut être contribué à apaiser son cœur.
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Les reins et les coeurs

Ce qu'il y a de pénible chez Nathalie Rheims c'est cette impression d'entre soi bourgeois, perceptible dans sa façon de raconter,de dire sans vraiment dire par exemple ici les hommes de sa vie,son amitié avec Mylène,quoi, Mylène qui? M'enfin.!!!! Une fois qu'on a dépassé ça,ce côté auto psychanalyse qui fait mine de se la jouer pudique,on se dit que c'est un fichtrement bon témoignage sur les fonctions des reins, l'insuffisance rénale,les dialyses dont on ressort essoré et sans force, les difficultés à ,mais l'obligation de ...mener une vie normale,l'attente d'un rein,la greffe,la suite...C.est aussi un immense hommage à toute l'équipe médicale qui l'a suivie, soutenue, opérée. Chez Nathalie Rheims il y a la forme souvent horripilante mais il y a le fond, toujours juste. Ce qui fait de ce livre ci aussi ,un livre à lire.

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Le Cercle de Megiddo

un roman où je ne suis pas certain d'avoir tout compris et suivi. Beaucoup de choses se mélangent dans la trame ainsi que les personnages. Les dialogues peuvent être un peu lourd.. je pense toutefois que l'idée de départ bonne..
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Le Père-Lachaise, jardin des ombres

Un magnifique voyage, simplement.

J'ai adoré ce bel ouvrage.

Merci !
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Ma vie sans moi

Nathalie Rheims fait partie de cette catégorie d'auteurs susceptibles de provoquer un rejet, ou un sentiment de dérision teinté d’une compassion ironique : la fille des beaux quartiers se raconte encore …Pourtant, dans les deux précédents romans Laisser les cendres s’envoler et Place Colette, il n’y avait guère de place prépondérante pour la superficialité ou la pure frivolité .Dans le premier récit, c'était l’absence d’une mère partie du foyer très tôt, que décrivait Nathalie Rheims .Le second roman, s’attachait, lui, à la description d'un amour juvénile, une passion initiatique à l’amour avec un homme bien plus âgé que l'héroïne .

Dans Ma vie sans moi, l’auteure aborde un vieux rêve humain : recommencer sa vie, en produire une nouvelle version, en évitant autant que faire se peut les erreurs et errements de la première vie .Cette exploration d’une deuxième vie commence après que l’intéressée a été anesthésiée lors d’une opération dans un cabinet dentaire. Le chirurgien se nomme Mithridate, ce qui laisse supposer que la narratrice va s’accoutumer aux poisons qu’il instille dans son organisme …Chaque chapitre du roman est illustré en préambule par des vers du poète Armand Robin, vers tirés de Ma vie sans moi.

Pourtant, Nathalie Rheims ne parvient pas à « refaire sa vie », à lui imprimer un cours vraiment différent de l’ancien. Ainsi l’auteure nous décrit-elle sa rencontre avec le critique Michel Delorme, à l’origine de la publication de son premier roman L’un pour l’autre, mais les deux vies se ressemblent : « Dans cette circonstance, j’avais quelque avantage sur lui. Je savais en particulier qu’il serait treize ans plus tard, membre du jury du prix Goncourt. N’était-ce pas l’enjeu principal de mon voyage dans le temps, de devenir celle qui finirait par décrocher le prix ? »

Mais cette remontée du temps aboutit également à une crainte inédite, celle de voir sa fille de cette mère incertaine, devenir sa concurrente littéraire : « Elle ferait la couverture de Télérama, des Inrocks, la quatrième de Libération .J’étais dégoûtée .Elle volait ma place. » la fin du récit est marquée par des interrogations multiples, sur la mort, sur Dieu, sur les mécanismes de la vie mais ces choses dépassent l’auteure de son propre aveu .Elle renonce à modifier son existence et se réveille à l’issue de l'opération qui est terminée . Est-ce un avertissement amical pour ceux qui seraient tentés malgré tout de repartir de zéro ? Au public de trancher…

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L'ombre des autres

Pour ma part, je suis un peu dubitative sur l'histoire de ce roman. J'ai trouvé ça assez mal construit. Tout ce qui aurait du amener le lecteur à apprécier ce roman à été "survolé" et pas exploité convenablement. Dommage.
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Le Cercle de Megiddo

Les descriptions du pays sont farfelues , rien de ressemblant avec la realite...

Nathalie Rheims aurait peut etre due aller voir sur place.



Je n'ai pas termine le livre...
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Place Colette

Appréciation en demi-teinte pour les deux passions entretenues par une jeune adolescente : l'une entraînant le lecteur dans l'univers fascinant du théâtre et l'autre le forçant à assister à sa relation amoureuse avec un homme de plus de 30 ans son aîné.
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Place Colette

Avis partiel car je n'ai pas pu le terminer.

J'avais vu de très bons avis, alors j'ai tenté cette auteure que je n'avais jamais lu.

Mais après 100 pages, je n'ai pas été tenue en haleine, il y a quelques moments très intéressants mais je n'ai pas trop accroché à l'écriture, à l'histoire.

Bref il m'a manqué un petit quelque chose... Je ne saurai dire exactement quoi. J'ai tenté, curieuse au début, un peu déçue à la fin.
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Le chemin des sortilèges

Livre reçu dans le cadre d'une opération de partenariat du site chez les filles.com



Dans ce court roman initiatique, la narratrice retourne dans la maison où vivait un ami de sa mère qu'elle fréquenta beaucoup dans son enfance...



Le lieu, les réminiscences sont troublants ; on ne sait trop si les sentiments décrits sont ceux de l'adulte ou ceux de la petite fille qu'elle était ....



Au travers de la re-lecture des contes de son enfance qui apparaissent mystérieusement à son chevet, son histoire se recompose et les pièces du puzzle se mettent en place ...



Un livre troublant sur les relations entre adultes et enfants, sur la recherche de soi et de ce qui construit une individu ... mais un livre persistant et qui ne peut laisser indifférent !



Honnêtement, je ne peux pas dire si j'ai aimé ou pas cette histoire ... ce qui est certain, c'est qu'elle m'a marquée !
Lien : http://les.lectures.de.bill...
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Maladie d'amour

un navet (si on peut dire ça d'un livre).

le narrateur n'est autre qu'un personnage secondaire (je ne vois pas l'intérêt) car le personnage principal qui est le sujet malade n'est pas approndi.

pas de suspens, la fin est aussi nulle que prévue

roman pas du tout développé, la vie de chacun est survolée et l'auteure survole le sujet..

aucun intérêt de lire ce livre

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