AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Nathalie Roy (80)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La Vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 4 : Fo..

c'est une saga à prendre à la légère, dont je doute me souvenir fortement, mais pour laquelle j'ai passé des bons moments lors de la lecture des différents tomes qui, si tout mes souvenirs sont bons, ont une belle évolution pour chacun.
Commenter  J’apprécie          00
Ça peut pas être pire...

Lu en fin de voyage du quebec . Que le quebecois est drole.
Commenter  J’apprécie          00
Ça peut pas être pire...

Que j'ai aimé ce livre !!! Pas un coup de coeur, mais presque... Faut dire que l'attachement au personnage principal a joué pour beaucoup. Qu'elle peut être drôle, attachante, touchante, émouvante... Je l'ai trouvé vivante !!! J'aurais aimé m'en faire une meilleure amie. Et j'étais à ces côtés à chacune des épreuves qu'elle a traversé... Et je ne lui souhaitais que du bonheur... L'écriture est très agréable à lire, drôle. Mais quelques fois, un peu trop facile. Mais ce n'est pas ça que je vais retenir du livre... J'ai plutôt envie de me souvenir à quel point le personnage principal est beau... et que les personnages secondaires sont tout aussi intéressants. Bref, un roman qui fait tellement de bien à lire. J'ai beaucoup, beaucoup aimé.
Commenter  J’apprécie          70
Turbulences du cœur

J'ai beaucoup hésité avant d'emprunter un livre de Nathalie Roy, car s'il m'est arrivée d'être agréablement surprise par sa plume (comme ce fut le cas avec le roman Ça peut pas être pire... ), j'ai plus souvent eu de mauvaises expériences de lecture (comme avec la série La vie épicée de Charlotte Lavigne que j'ai trouvé parfaitement insignifiante). Je dois dire que j'ai pourtant bien apprécié Turbulences du cœur.



Les personnages

Comme elle en a l'habitude, l'auteure présente des personnages plutôt caricaturaux (il faut partir avec cette idée, car si on veut du réalisme et de la profondeur dans les personnages, on sera automatiquement fort déçu), colorés, exagérément stéréotypés. Toutefois, si on prend ça pour une caractéristique comique voulue, ce n'est pas un élément désagréable ou dérangeant. J'ai aimé que le personnage principal soit un homme (ce qui est extrêmement rare pour un roman dit "de filles" ou "de chick lit"). Juste cet élément est une bonne raison pour lire le roman qui devient, d'office, original par son point de vue. Le personnage principal est donc Louis-Philippe (LP pour presque tout le monde), un avocat typique d'un cabinet réputé (du moins comme on se les imagine: perfectionniste, contrôlant, tranchant, sûr de lui, imbu de lui-même, égocentrique, narcissique, qui pense avoir toujours raison, carriériste, arriviste et célibataire qui enchaîne les conquêtes). Bref, un héros aux abords plutôt antipathique. Sa fille aussi est une adolescente type (dans notre imaginaire): capricieuse, désobéissante, insouciante, exigeante et effrontée. Les femmes de la vie de LP ne sortent pas tellement des stéréotypes non plus (la déséquilibrée dépendante affective, la femme d'affaires sexy, la mère accaparante qui se mêle de ce qui ne la regarde pas, la femme trop sage et plate... ) Encore une fois, on ne sort aucunement des stéréotypes habituels.



L'histoire

Au fond, tous ces clichés ne sont pas si importants, car l'histoire fonctionne très bien ainsi. En effet, le lecteur éprouve un réel plaisir à suivre les péripéties de ce millionnaire de 39 ans qui apprendra ce qu'est la maturité, le véritable bien-être, la prise de responsabilité et le fait d'assumer les conséquences de ses actes. Entre autre, il est intéressant de voir sa relation avec sa fille évoluer. D'ailleurs, cette relation prend autant de place dans le récit que les relations amoureuses ou les remises en question professionnelles. Plusieurs aspects de la vie du personnage sont traités, ce qui donne davantage un côté réaliste au roman: une vraie belle crise de la quarantaine, avec ses doutes, ses réflexions, ses expérimentations et ses remises en questions. Sans être d'une très grande profondeur (on reste dans la lecture très très légère et divertissante), le roman a le mérite d'explorer la psychologie masculine et de faire traverser une période charnière de l'existence (avoir 40 ans!) à un personnage atypique pour de la littérature "de filles".



Commenter  J’apprécie          100
Turbulences du cœur

Nathalie Roy se définit comme une romancière d’histoires au féminin. Turbulences du cœur est son dixième roman et, au lieu, d’y aller avec du familier, du connu, du confortable la "femme", elle s’est lancée avec un protagoniste principal masculin : Louis-Philippe Rousseau.



J’avais une toute petite crainte en commençant à lire, car franchement Nathalie Roy connait la femme sur le bouts de ses doigts : son sens du détail, son habilité à se dévouer, ses goûts, ses habitudes et ses attirances. Je me demandais si son homme serait aussi crédible. Le test est passé, j’ai cru à ce bon diable en mal de changer de vie !



On surprend ce grand avocat à l’orée de la quarantaine, et si on fait le calcul, il engendré son ado de 15 ans à l’âge de 24 ans. On se doute bien que sa fille, Romy a été, jusqu’à date, une empêcheuse de tourner en rond dans sa vie de « quasi » célibataire. Jusqu’à date, Romy était la fille à sa maman, Louis-Philippe devenant père de fin de semaine uniquement. C’est que monsieur est un avocat ambitieux dans un grand bureau où on carbure au travail.



Les premiers chapitres nous exposent cette vie réglée au quart de tour, avec parfois des éclaircies dans le cerveau de l’homme où s’infiltrent ces questions ; est-ce que j’aurais laissé passer la femme de ma vie ? Suis-je en train de négliger ma fille ? Est-ce que mon précieux assistant, William a raison de se plaindre d’une surcharge de travail ?



Nathalie Roy joue des relations homme-femme, comme un chat avec une souris, habilement et dans le plaisir de la capture. Sa force est indéniable : lorsque le personnage est convaincu d’aimer pour la vie, le lecteur l’est tout autant. Pour mon plus grand plaisir, je me suis fait prendre dans la souricière à quelques reprises, je n’avais pas vu venir le dénouement et tant mieux ! J’aime être déjouée.



Le roman commence lentement, comme un lourd véhicule qui doit réchauffer son moteur avant de s’élancer à bonne vitesse. La peur de m’ennuyer dans du convenu m’a effleuré et puis, hop, on change de continent, le rythme change, la routine casse. On a un condo et des plages à visiter en Floride. J’ai senti l’auteure bien connaître les lieux et son plaisir d’y séjourner était palpable.



Tout en défilant l’histoire principale, différents thèmes sont abordés : le transgenre, l’homosexualité féminine, la filiation reniée. Évidemment, ce n’est pas un drame psychologique mais si on veut s’y arrêter, il y a une amorce de réflexion.



Pour être honnête, ma relation préférée est la progressive prise en charge de l’adolescente par le père. L’adolescente est bien campée, le casting est excellent ! Le père y met du sien pour rattraper le temps perdu et l’ensemble parait plausible. C’est une lecture qui peut faire du bien à des pères qui ont perdu la foi en leur capacité paternelle. L’auteure donne le droit de croire qu’il est possible de renouer avec notre enfant si on est motivé.



Je dois m’en confesser, j’ai eu de la difficulté avec la personne de mon âge qui pourrait être mon amie et je nomme ici : Marguerite, la mère du protagoniste. Avec son « je sais tout et je te connais tellement, et ces incessants lapineau », elle avait de quoi m’énerver. En fait, je trouvais Louis-Philippe bien bon de la trouver charmante. Peut-être est-cela la plus grosse différence entre un homme et une femme dans la relation à sa mère, l’homme est plus clément. Tant mieux pour lui, s’il roulait les yeux d’agacement et finissait par sourire d’indulgence ! Pour moi, le charme n’a pas passé la rampe. Trop d’amour et d’attention, c’est aussi pire que pas assez ! Je lui accorde cependant qu’elle est une femme déterminée car elle aura gain de cause (un secret à découvrir).



Est-ce que l’on peut conclure pour autant que je suis allergique aux portraits de femmes fortes, se tenant près d’une femme idéalisée ? Non, car il y a une femme fascinante dans cette histoire et celle-ci, je fais plus que l’endosser, je veux la voir vivre sous mes yeux. Et je risque d’être exaucée … en dire plus serait trop en dire.



Allez, faites comme l’auteure, n’ayez pas peur de l’homme, et plongez dans son cœur, malgré les turbulences.
Lien : http://passemot.blogspot.com..
Commenter  J’apprécie          30
La vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 1 : Pi..

Dés le début du livre, je me suis plongée dans l'histoire.



Charlotte est un personnage attachant entière parfois gafeuse.

Le petit moins j'ai eu un peu de mal avec les expressions québécoises mais on s'y fait vite.



Maintenant il ne me reste plus qu' à me.plongé dans le tome 2 pour suivre notre Charlotte er son chum.
Commenter  J’apprécie          10
Pourquoi pars-tu, Alice ?

Encore une mauvaise pioche avec ce roman. Je pense que je vais arrêter de me lancer dans la lecture de ce genre d’histoire … À chaque fois, je suis déçue !

Ce roman a révélé les mêmes problèmes que l’œuvre de Claudie Gallay, « La beauté des jours ». Une femme, qui mène une vie que tout le monde envierait, se lasse de son existence routinière. En donnant vie à ses enfants, elle a oublié de continuer à être femme. Donc, elle se permet des extravagances dans le but, dit-elle, de se retrouver. Extravagances qui, bien sûr, se résument pas tromper son époux. Oui, oui, de nos jours, la solution a tous les problèmes du monde est celle-ci : tromper son époux ! Mais qu’est-ce que c’est que ça ? C’est l’exemple qu’on veut donner aux jeunes générations ? Utiliser un homme comme on utilise un essuie-tout, puis le jeter. N’y-a-t’il plus du tout la notion de respect dans notre civilisation ? L’histoire de cette femme (je me souviens déjà plus de son prénom) est la personnification du mouvement féministe. La femme décide de partir, donc elle part (l’homme et les enfants n’ont rien à dire : ils ne comptent pas). La femme décide de tromper (l’homme et les enfants n’ont rien à dire : ça ne les concernent pas). La femme décide de se servir d’un autre homme (cet homme là n’a rien à dire non plus : il n’est qu’un pion entre les mains de madame). La femme d’aujourd’hui veut se sentir être le grand manitou de tout. Mais par contre, elle refuse de se faire juger. Sachez qu’on ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre … Pour être valorisée, il ne s’agit pas de rabaisser les hommes, il ne s’agit pas de se servir d’eux, mais il s’agit d’accomplir les mêmes choses qu’eux en fournissant le même travail qu’eux. Parce que réussir en se plaignant et en pleurant, ce n’est pas réussir. C’est manipuler !

Les personnages, vous l’aurez compris sont antipathiques à souhait. Comment pourraient-ils en être autrement puisqu’ils prônent la déstructuration de la famille par des procédés plutôt décadents … Il n’y a que le pauvre Raphaël qui m’a laissé un bon souvenir. Un homme torturé, qui, malheureusement, donne sa confiance à une vieille harpie opportuniste. Bref, la décadence de la société …

En résumé, la crise de la quarantaine, ça signifie tromper et surtout reprocher à son époux de ne pas faire d’efforts (alors qu’on en fait pas non plus) … Un genre de romans définitivement pas fait pour moi … Un genre de roman qui me déçoit toujours puisque jamais les personnages principaux de ces œuvres ne font preuve de courage, de sincérité et surtout de respect envers autrui.

La seule chose que j’ai apprécié, c’est de découvrir des expressions québécoises ici et là. Expressions qui m’ont fait lire tous les dialogues avec l’accent québécois.
Commenter  J’apprécie          112
La vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 1 : Pi..

La vie de Charlotte n’est pas toute rose. Entre un père absent, une mère cougar, une propension à compenser l’amour par la cuisine et les dépenses inconsidérées sa vie devient vite compliquée. Charlotte est pétillante à l’image de ce roman sympathique qui m’a emmenée au Québec.



J’ai été surprise de voir que le roman n’a pas été « traduit ». En effet on retrouve les expressions québécoises qu’ici nous n’utilisons pas. ça peut rebuter certains lecteurs. Oui le petit copain devient « chum », ce n’est pas vulgaire comme j’ai pu le lire sur des chroniques, « la blonde » n’a rien à voir avec la couleur de cheveux, là-bas on ne dit pas « je déteste ça » mais « je haïs ça » etc. Moi j’ai adoré et puis je les connaissais toutes. C’est franchement parfait pour ce mois québécois, on est en pleine immersion.



Charlotte est un personnage que j’ai aimé. Elle est attachante malgré ses défauts. Elle n’est pas sûre d’elle alors elle compense un peu trop avec l’alcool et elle se jette à corps perdu dans ses relations ce qui fait qu’elle tombe souvent de haut. Elle veut tellement être parfaite qu’elle cumule les boulettes ce qui provoque des situations cocasses à ses dépends. Elle est un peu fofolle et pas toujours mature.



C’est peut être plein de cliché avec le meilleur ami gay, la super copine/ bombe/ennemie, la mère en pleine crise mais il ne faut voir dans ce livre un bon moment de détente sans prise de tête.



Anti chick-lit passait votre chemin, clairement ce livre n’est pas fait pour vous ! Les autres n’hésitez pas à découvrir Charlotte Lavigne.
Lien : https://memelessorciereslise..
Commenter  J’apprécie          10
Ça peut pas être pire...

Ca peut pas être pire, de l’auteure québécoise Nathalie Roy, est un livre que je recommande à 100% si vous souhaitez passer un bon moment de lecture en compagnie d’une héroïne punchy, drôle mais aussi émouvante. Si certains passages m’ont déchiré le cœur et j’ai plains sincèrement Valéry face à la goujaterie de certains hommes, je me suis aussi tordue de rire avec la description de ses péripéties totalement ubuesques qui lui arrivent toujours au mauvais moment…. Avec une vie en pleine nature, dans un chalet plus ou moins rafistolé avec des toilettes sèches au fond du jardin, bien évidemment, il ne peut que se passer des choses embarrassantes pour notre pétillante Valéry qui retombe néanmoins toujours sur ses pattes. Ne vous laissez pas freiner par les expressions québécoises car une fois dans le mood, nous comprenons très bien la lecture (par exemple, si j’utilise l’expression « frencher » quand Valéry embrasse un homme, vous comprenez bien que c’est une allusion au french kiss, soit le baiser avec la langue !). Vous voyez, c’est facile à comprendre le québécois ! En tout cas, je le clame haut et fort : c’était ma première expérience de chick lit québécoise mais c’est sûr et certain que ce ne sera pas la dernière ! Je-suis-fan !!!



Ma note : 17,5/20
Lien : http://lespassionsdeviedefun..
Commenter  J’apprécie          30
Pourquoi pars-tu, Alice ?

Une comédie douce-amère sans prétention mais très agréable à parcourir !



En lisant le résumé, je craignais un roman basique narrant la crise d'une quadragénaire. Je ne sais pas ce qui m'a poussée tout de même à entreprendre cette lecture ? le fait que l'auteur soit québécoise ? La couverture qui ouvre à bien des possibles pour le personnage ? Peut-être…

Toujours est-il que je ne regrette pas d'avoir tourné les pages car j'ai passé un beau et bon moment de lecture !



Dès les premières pages, le style m'a happée. Aussitôt je me suis sentie concernée par cette femme qui s'adresse directement au lecteur au présent : on vit sa vie en même temps qu'elle, on l'accompagne dans ses péripéties et les nombreuses interrogations et questionnements qui vont devenir son quotidien durant cinq semaines. Pourtant elle aurait pu m'agacer car sa vie ne m'attire pas du tout et le récit pourrait vite devenir égocentrique. Mais l'auteur a un talent qui vous retient, qui vous pousse à poursuivre l'aventure auprès de son personnage.

Ce style est ponctué de temps à autre par des expressions québécoises imagées très plaisantes, mais pas trop, juste ce qu'il faut pour donner le ton. Un peu d'anglais aussi par ci par là. Et beaucoup d'humour, surtout !

C'est un livre détente même si on aborde des sujets, quotidiens soit, mais difficiles ou délicats, l'humour est omniprésent avec la joie de vivre. le personnage d'Alice sait pratiquer l'autodérision ce qui lui évite de s'apitoyer sur son sort et de se plaindre. Elle doute beaucoup mais elle a un fort caractère qui lui permettra de choisir sa vie à venir, de faire ses choix en pleine conscience.

Nathalie Roy nous délivre ainsi des astuces, des idées, des conseils pour vivre mieux, en accord avec soi-même, mais elle le fait tout en délicatesse et en finesse, sans faire de leçon, juste par l'exemple de ses personnages.



Un roman qui fait du bien en somme !

Commenter  J’apprécie          220
La vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 2 : Bu..

Déçue,

pas du tout convaincue, même le léger et le divertissant ne sont pas au rendez-vous.
Lien : https://lecturesindelebiles...
Commenter  J’apprécie          00
Ça peut pas être pire...

Lecture agréable. Quelques rebondissements. J'ai moins accroché au personnage principal mais l'auteure a une belle plume et le format est parfait pour les vacances.
Commenter  J’apprécie          00
Ça peut pas être pire...

J’ai lu ce roman parce qu’une de mes amies m’a conseillée cette auteure. Comme on a pas le même style de lecture, j’ai essayé de faire preuve d’ouverture. Je dois avouer, je ne suis pas un fan de chick-lit et suite à la lecture de ce roman, je ne le serais définitivement jamais. C’est juste trop «fake» et rempli de clichés. Je vous explique mon point de vue. Vous avez le droit de me lancer des pierres (virtuelles 😉 ).



Premièrement, l’héroïne de ce roman est craintive à propos de tout, mais vraiment tout, juste parce qu’elle a quelques livres en trop… si on se fie à la fille sur la couverture du livre, son manque d’estime de soi n’est pas fondé.



Deuxièmement, elle a quelques livres en trop, mais ne veut rien savoir du gars qui a aussi quelques livres en trop et même qu’elle le juge solide… euh okay…



Troisièmement, elle trippe sur le «bad boy», mais encourage sa meilleure amie de sortir avec lui. Pendant ce temps, elle se plaint d’être ‘prise’ avec le plus dodu…



Quatrièmement, elle est tellement peu sûre d’elle même qu’elle accumule les gaffes, même celles qu’elles sait que ce sont des gaffes. Et ensuite, elle s’étonne que la vie est injuste avec elle. Manque total de jugement…



En bref, c’est vrai que la société pense que les «grosses» sont insécures à propos d’elles-mêmes, mais étant moi-même ronde (ben plus que la fille sur la couverture), je vous confirme que non.



Finalement, c’est quoi cette tendance chez les québécois à se parler et jurer en anglais dans les romans et téléromans? Pour avoir de la famille au Qc, je vous confirme qu’ils parlent exclusivement en français.



Mais bon, c’est pas tout négatif, c’est quand même bien écrit avec un style fluide qui porte à la curiosité pour le prochain chapitre. Je le conseille comme livre de plage aux personnes qui aiment le style chick-lit.
Lien : https://leschroniqueslittera..
Commenter  J’apprécie          00
Pourquoi pars-tu, Alice ?

Dès le départ, la dédicace donne le sourire et fait chaud au cœur. Pour les pages suivantes, nous sommes témoins du quotidien d'une femme, d'une mère, alors que la routine la dépasse et la submerge, qu'un rien du tout fait déborder le vase. Alice s'occupe de tout: son conjoint, son fils, sa fille et leur chat. Elle jongle entre les cours, les rendez-vous, les commissions... entraînée dans ce tourbillon quotidien où le temps vient à manquer.

...

C'est un livre qui m'a fait du bien et qui est arrivé entre mes mains au bon moment. Seule la propension d'Alice à mentir m'a un peu titillé, mais pas au point de me faire déprécier le livre. C'est une escapade pleine de folies et d'anicroches qui permettra à Alice de faire le vide et de se comprendre pour finalement se sentir mieux dans sa vie. Réapprendre à se connaître pour accéder au bonheur. Quel choix fera-t-elle?

...

Allez voir la chronique complète :
Lien : https://au-boulevard-du-livr..
Commenter  J’apprécie          10
La vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 1 : Pi..

C' est " Le Festin de Babette" qui fusionne avec "Le Journal de Bridget Jones"...…c est surprenant comme mixte. On passe un bon moment avec cette mythomane.
Commenter  J’apprécie          00
La vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 1 : Pi..

Roman d'amour bien ordinaire, voire pathétique, avec une héroïne certes parfois divertissante, mais tellement nounoune (peu intelligente), dépendante, superficielle, égocentrique et peu cultivée que je me demande bien qui se sentira touchée par son histoire. Pire encore, j'ose espérer que plusieurs femmes ne se reconnaissent pas dans ce personnage sans saveur.
Commenter  J’apprécie          31
La vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 3 : Ca..

Je suis rarement touchée ou impressionnée par les héroïnes superficielles, peu intelligentes, maladroites, égocentriques, qui se définissent par leurs vêtements et par les hommes qu'elles fréquentent: c'est encore une fois le cas ici. Roman inintéressant et surtout pathétique quant aux modèles qu'il présente (si l'auteure pense décrire des personnages sympathiques qui vont toucher les gens ou dans lesquels les gens vont se reconnaître, ça fait peur!).



En plus, il ne se passe tellement rien d'intéressant que je ne me suis jamais rendu compte avant la fin du roman que j'avais emprunté le 3e tome au lieu du 2e! C'est tout dire!
Commenter  J’apprécie          40
Ça peut pas être pire...

Un roman plutôt sympathique avec une héroïne attachante.

Agréable à lire et on parle de vignobles canadiens ...
Commenter  J’apprécie          20
La vie épicée de Charlotte Lavigne, tome 3 : Ca..

Après avoir adoré le tome 1 et encore plus aimé le tome 2, me voilà enfin parvenue au moment tant attendu : l'envie de lire en entier le tome 3 ! Je l'avais commencé il y a plus d'un an, quand il était sorti, mais ça n'était pas ce dont j'avais envie au moment. Je suis comme ça souvent, il faut que je sois dans l'humeur de lire certains livres. Là c'est du léger, mais il faut croire que pourtant je n'en avais pas envie...Me voilà donc qui recommence ma lecture... et lis le roman en deux jours ! J'ai passé mon dimanche dernier après-midi dedans, et j'ai vraiment passé de bons moments. Pour ceux qui ne connaissent pas, Charlotte est une jeune femme québécoise de 34 ans qui adore cuisiner (d'où le titre), mais telle une Bridget canadienne ou une Accro du Shopping du pays des caribous, elle a une vie bien remplie. Les amis, le job de présentatrice télé, les petits plats et surtout les amours... Ahlàlà ceux-là ils ne la laissent que rarement en paix. En tout cas, dans ce nouvel opus, c'est plus compliqué que jamais pour Charlotte, entre les tentations au travail, Maxou qu'elle ne parvient pas à oublier, et son désir de maternité...

Pourquoi j'adore Charlotte Lavigne en plus de tout ça ? A cause de la manière dont ce roman est écrit. La focalisation est interne, c'est Charlotte qui nous raconte son histoire. Par conséquent, l'accent québécois est rendu, ainsi que toutes les petites expressions savoureuses qui vont avec : le chum, les "ouich" et autres cris, en plus des mots anglais. So cutttteee !! Parfois les libertés prises avec le Français sont grandes, mais c'est ce que j'adore. Un très bon moment de lecture donc, pour moult raisons.
Lien : http://lemonde-dans-leslivre..
Commenter  J’apprécie          00
La vie sucrée de Juliette Gagnon, tome 3 : Es..

En plus d'être prévisible, l'histoire est superficielle, ridicule, sans intérêt. Les personnages sont de plus en plus insipides en plus d'être immatures, artificiels et antipathiques à n'importe quel lecteur ayant un minimum de gros bon sens.
Commenter  J’apprécie          40




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Nathalie Roy (473)Voir plus

Quiz Voir plus

Famille je vous [h]aime

Complétez le titre du roman de Roy Lewis : Pourquoi j'ai mangé mon _ _ _

chien
père
papy
bébé

10 questions
1434 lecteurs ont répondu
Thèmes : enfants , familles , familleCréer un quiz sur cet auteur

{* *}